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Idées, débats... - Page 504

  • Edmonde Charles-Roux présente "Au hasard et souvent" de Sébastien Lapaque...

                Nous avons à plusieurs reprises cité ici-même Sébastien Lapaque, sur des sujets aussi divers et variés que Bernanos ou... Chenonceau (mais, oui: voyez l'Ephéméride du 26 juillet...)

                Aujourd'hui, petit changement: nous ne donnerons pas la parole à Sébastien Lapaque, mais à Edmonde Charles-Roux qui parle de lui. Plus précisément de son ouvrage Au hasard et souvent, paru ches Actes Sud.

                C'est dans La Provence du dimanche 13 juin....:  lapaque.jpg

    lapaque au hasard et souvent.JPG
    176 pages, 18 euros
    Tout au long de l'année 2009, Sébastien Lapaque a tenu cette sorte de "faux journal" qui mêle notations sur l'actualité, lectures et relectures, voyages et réflexion du chrétien (qu'il est) sur l'état d'un monde globalisé et d'une société française rongée par l'argent, l'autoritarisme sarkozien, la perte du sens et des valeurs fondatrices. Sous le flux de la production journalistique se dessine un fleuve souterrain, un arrière-pays façonné comme une oeuvre. Réflexions, conversations, voyages, digressions composent un journal théorique et critique étayé par une pensée anticapitaliste, une foi et un engagement d'anarchiste chrétien. Il s'agit ici de témoigner, de dire devant tous, publiquement, ce que l'auteur aperçoit et pressent face à notre temps.
  • Frédéric Mistral, illustre et méconnu, de Gérard Baudin

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    HC Éditions, 150 pages, 300 illustrations, 24,50 euros

                 "Il y a trop de Français qui ne savent pas que le nom de Mistral peut être prononcé comme celui d'Homère, comme celui de Virgile, comme celui de Goethe... Tous les Français devraient "connaître Mistral", qui ne fut pas un poète provençal: qui est un poète universel, qui est un poète de la grandeur, de la fierté, de la noblesse, de l'émotion la plus haute, de l'expression la plus pure..." 

  • "La menace hitlérienne et l'inconscience des politiques...": une contribution au débat de Pierre-François Paoli

                Voici un extrait de l'article publié par Pierre-François Paoli dans Famille chrétienne (n°1691, du 12 au 18 juin 2010). Il tombe à point nommer pour illustrer et conforter notre réaction au de Gaulle de France 2 :

    paoli_web.jpg
           
     

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  • Nouveau Prix pour le film "veilleurs dans la nuit"...

    Communiqué

    Nouveau Prix pour le film "veilleurs dans la nuit" !

    Le film “Veilleurs dans la nuit  — Une journée monastique à l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux”, réalisé par Eddy Vicken et Yvon Bertorello, a reçu le Prix du meilleur documentaire au Festival International du Film Catholique “Mirabile Dictu” <http://www.mirabiledictu-icff.com> qui s’est tenu à Rome du 7 au 11 juin 2010 sous le patronage du Conseil Pontifical pour la Culture.

    En février 2010 il avait déjà reçu le “Laurier Première Œuvre — Prix Marcel-Jullian” décerné par le Club Audiovisuel de Paris, Prix qui avait été remis par le Nonce Apostolique en France, Mgr Luigi Ventura.

    “Veilleurs dans la nuit” sera diffusé à nouveau sur la chaîne française KTO à cinq reprises dans la semaine du 20 au 25 juin.  

    Ce film de 52 minutes, disponible en DVD, suit la vie de prière et de travail des moines bénédictins, rythmée par les différents offices de la journée chantés en grégorien. Un cadre magnifique au cœur de la Provence, des images rares et superbes, mises en valeur par la voix intense de Michael Lonsdale.

    Version originale en français, avec sous-titrage en anglais, allemand, italien, espagnol (et français pour les malentendants).
    Bande annonce et vente en ligne sur le site de l’abbaye : http://www.barroux.org/dvd.html
    En vente également à La Procure et dans le réseau Siloé.

    V

  • 31'37" avec Jean-François Mattéi...

                Il vient de sortir un nouvel ouvrage avec Chantal Delsol, L'Identité de l'Europe (1).

                Nous avions déjà pu l'écouter sur Canal Académie parler de son Regard vide, et de Camus.

                Jamais deux sans trois: Damien Le Guay reçoit Jean-François Mattéi, toujours sur la toujours excellente Canal Académie: trente et une minutes d'altitude mentale, pour reprendre l'expression de Proust..... Il parle cette fois de son Sens de la démesure.

                Vivement la prochaine, pour son dernier....

                http://www.canalacademie.com/ida5564-Jean-Francois-Mattei-Le-sens-de-la.html

     

     

    (1) :

    mattei identite de l'europe.jpg

    173 pages, 15,20 euros

     
    Les contributions sont d'Alain BESANÇON, Chantal DELSOL, Jacques DEWITTE, Gérard-François DUMONT, Mezri HADDAD, Jean-François MATTÉI, Philippe NEMO, Joanna NOWIKI et André RESZLER.

                En renonçant à assumer son identité, l'Europe enchaîne les paradoxes.

     

                Le premier est celui d'une culture universelle qui, Hugo, Valéry ou Camus en témoignent, n'a pas posé de problème aux créateurs qui s'en réclamaient.

     

                Le deuxième paradoxe est celui du refus de donner un contenu à l'idée d'Europe : parler de son identité serait une illusion rétrospective ou le masque d'un colonialisme culturel plus pernicieux que celui du passé.

     

                Le troisième paradoxe tient à ce que cette critique de l'Europe utilise ses propres outils intellectuels pour mettre en doute son existence. Mais en suivant la forme de ses récits, de ses connaissances et de ses oeuvres, il est possible de donner un sens à la quête de l'identité européenne. Si l'Europe n'ose plus se réclamer de sa culture en abdiquant son origine et son destin, elle se dissoudra sans voir qu'elle se prive tout simplement de sa présence au monde.

     
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                 Si "l'utilisation de la notion d'identité commence par une critique de cette notion", notait Claude Lévi-Strauss dans son séminaire sur L'identité, il est indispensable, nuançait-il, de voir en elle le "foyer virtuel" qui rassemble les traits dominants d'une culture.
    L'Europe a ainsi constitué son identité mouvante à travers les siècles en intégrant rétrospectivement dans ce foyer les sources grecque, romaine et chrétienne ainsi que de multiples influences extérieures. Tel est son premier paradoxe : sa culture particulière s'est reconnue comme le foyer de la culture universelle en soumettant le monde à une investigation rationnelle et critique. Mais lorsque la critique retourne la raison contre elle-même, elle succombe à la tentation de désavouer sa propre culture.
                 Tel est le second paradoxe de l'Europe : en doutant aujourd'hui de sa vocation à exprimer l'universel, elle se résigne à ce que Valéry appelait, dans Regards sur le monde actuel, "l'illusion perdue d'une culture européenne".
     
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  • Quelques réflexions, après le "de Gaulle" de France 2, à l'occasion du 18 juin (1) : les coupables...

                On pourrait dire bien des choses sur ce téléfilm. On s'en tiendra ici, comme nous le disons chaque fois, non à la critique cinématographique traditionnelle -qui n'est pas de notre ressort- mais aux leçons politiques.....

                Et la principale d'entre elles est cette évidence hallucinante, dès les premières images, dès les premiers instants, de "débâcle", de "débandade", de catastrophe "pire que toutes les précédentes" de notre histoire; cette impréparation manifeste de la France et de son armée au conflit, qui happe littéralement le spectateur, sans fioritures, dès le début du film.

                Et la question vient d'elle même, s'impose d'évidence: Mais qui est responsable de tout cela ? Qui est coupable ? Qui était au pouvoir, "avant", et porte donc la responsabilité de cette impréparation et des catastrophes infinies qui s'en sont ensuivies, tant civiles que militaires ?

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  • De Gaulle au Bac : le caca nerveux du Snes, sectaire et ridicule...

                "En réalité, la démarche du Snes a pour objectif d'exclure de la culture des lycéens français toute forme de littérature qui ne serait pas en conformité avec les idées de gauche de ce syndicat sectaire" dit Philippe Reinhard.

                 Et, rappelant "le désastreux Meyrieu", Plunkett remarque que  "...Si, en 2010, certains refusent la qualité littéraire aux écrits du général de Gaulle, c'est qu'à leurs yeux il n'y a de littérature que véhiculant les valeurs globales" de cette "nouvelle gauche".... ou "gauche américaine".... (qui, dans les années 1990) s'est substituée à la vraie.... (et) a infiltré largement l'Education nationale...

                 C'est parce que nous pensons exactement la même chose que, dans notre quête habituelle des convergences tous azimuts, et sur tous les sujets, et sans chercher à redire ce qui a été bien dit ailleurs, nous donnons les deux billets de Philippe Reinhard (dans La Provence) et de Patrice de Plunkett (sur son Blog), sur ce sujet à mi chemin entre les guerres picrocholines et la manifestation révélatrice d'un esprit véritablement tordu, sectaire jusqu'au trognon, et extrêmement dangereux.

                A dénoncer et à combattre comme tel.....

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  • Le dernier Mattéi - Delsol : L'identité de l'Europe, aux PUF...

                L'identité de l'Europe, le dernier ouvrage de Chantal DELSOL et Jean-François MATTÉI, est paru le lundi 7 juin dernier, aux Presses Universitaires de France

                Les contributions sont d'Alain BESANÇON, Chantal DELSOL, Jacques DEWITTE, Gérard-François DUMONT, Mezri HADDAD, Jean-François MATTÉI, Philippe NEMO, Joanna NOWIKI et André RESZLER.

     

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    173 pages, 15,20 euros

    Chantal Delsol, professeur de philosophie à l'Université Paris-Est, est membre de l'Institut, auteur d'ouvrages de philosophie, d'essais et de romans.
    Jean-François Mattéi est membre de l'Institut, professeur émérite de l'Université de Nice-Sophia Antipolis, et professeur de philosophie politique à l'Institut d'Études Politiques d'Aix-en-Provence.

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  • Le Hors-série de Marianne...

    marianne rois.jpg
     
                Une fois de plus, ne boudons pas notre plaisir: cette fois, c'est Marianne qui réalise un hors-série intéressant, et de qualité.
     
                Nous avons plusieurs choses à dire sur ce numéro: nous le ferons sous la forme de plusieurs courtes réflexions, une sur chacun des aspects qui nous "interpellent quelque part" (comme on dit, aujourd'hui dans le jargon); il y en aura pour tous les goûts... et nous réunirons l'ensemble de ces réflexions en un Pdf...
     
                La première sera consacrée à Maurras, dont nous ne pensons évidemment pas qu'il soit "philosophiquement nul" : certes, "un" Maurras a bel et bien fait naufrage, et pour toujours. C'est, d'ailleurs, le lot commun de tout écrivain ou penseur : qui lit aujourd'hui la Henriade de Voltaire ou le Moïse de Chateaubriand ? Mais il nous reste le Maurras de L'Avenir de l'Intelligence, celui qui ne passe pas, celui dont le printemps dure toujours, et qui - pour reprendre le mot de Boutang, dans la merveilleuse conférence que nous avons mise en ligne - était bien "le plus jeune d'entre nous..."
     
                Mais, patience, attendez un peu pour avoir nos commentaires... A bientôt !...

  • Autour du dernier empereur, avec Jean Sévillia...

                Nous avons déjà parlé deux fois du dernier ouvrage de Jean Sévillia, Le dernier empereur. Notamment lorsque Jean Raspail l'a présenté dans un excellent article du Figaro Magazine (1).....

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    Perrin, 358 pages, 21,80 euros

                Voici que le toujours excellent Canal Académie-première radio académique francophone sur internet- a reçu l'auteur, et mis en ligne -en novembre dernier- cet entretien extrêmement intéressant. David Gaillardon offre à Jean Sévillia la possibilité d'approfondir et de préciser encore un peu plus le sujet, et c'est pourquoi on l'écoutera avec profit:

               http://www.canalacademie.com/Charles-Ier-d-Autriche-Le-dernier.html

    (1) : Voici cette courte note, du dimanche, 06 septembre 2009 : Jean Raspail présente le dernier Jean Sévillia.....

                 Sous le titre L'incroyable destin de Charles de Habsbourg, Jean Raspail consacre dans Le Figaro Magazine (1) un bel article au dernier ouvrage de Jean Sévillia, Le dernier empereur.

    sevillia.png

    Perrin, 358 pages, 21,80 euros


                     Il a choisi d'évoquer lui-même avec passion ce personnage de Charles Ier dont, dit-il, "notre ami Jean Sévillia retrace avec passion la vie méconnue",après avoir écrit celle de Zita, son épouse, "l'impératrice courage".Au point d'achever son article en se déclarant, lui, Jean Raspail, l'un "des sujets inconditionnels de l'empereur Charles Ier et de de l'impératrice Zita". C'est ainsi qu'on l'aime, notre Raspail, et Dieu merci, il ne change pas....

                     Vers la fin de son article, il évoque cette paix séparée que Charles souhaitait sincèrement offrir aux Alliés, secondant en cela les efforts intenses de la papauté pour abréger la Guerre. Il ne sert évidemment à rien de refaire l'Histoire, et Bainville -on le sait- ne cessait de mettre en garde contre ce défaut : l'uchronie. Il n'empêche: on a pourtant bien le droit de pointer les préjugés anticatholiques et -donc- antiautrichiens dont Clémenceau, entre autres, était accablés, et qu'il fit passer avant le Bien Commun, non seulement de la France mais de l'Europe, et de la Civilisation. Et l'on a bien le droit de penser, et de dire, que cette attitude fut, au-delà du mesquin, suicidaire; et, pour un homme politique, au-delà de l'erroné, scandaleux.

                     Ecoutons Raspail :

                     "....L'affaire est célèbre. C'est en Suisse, pays neutre, que va se tisser la trame. Émissaires occultes, fausses identités, entrevues secrètes, escaliers dérobés, complicités, trahisons, promesses vaines, lettres détournées, chausse-trappes et, dans l'ombre, les services de renseignements militaires des deux camps, acharnés à faire capoter le projet, sauf, peut-être, les services français -je le sais par mon père, qui, à Berne, les dirigeait et qui soutint tant qu'il le put les efforts des princes de Parme (Sixte et Xavier de Bourbon-Parme, ndlr). Dès son arrivée au pouvoir, et avec l'appui du président Wilson, Clémenceau assassine cette paix séparée qui, en épargnant le vieil Empire, aurait sauvé des centaines de milliers de vies, preservé l'équilibre des Balkans et peut-être écourté la guerre. Tout cela par haine du catholicisme ! Il fallait que disparaisse à jamais du pouvoir, où que ce fût, la moindre trace de référence à Dieu...." 

    (1) : Le Figaro Magazine, 29 août 2009, pages 72/73.

  • Après Le Barroux, le Mont Athos... : Yvon Bertorello nous emmène sur ces hauts lieux, où souffle l'esprit...

                Nous vous avons présenté récemment le très beau DVD d'Yvon Bertorello sur les moines du Barroux, intitulé Veilleurs dans la nuit (1). Yvon Bertorello a réalisé un autre document, de grande qualité lui aussi, dont vous avez eu un très rapide aperçu et que vous allez découvrir plus amplement....

                En voici la bande annonce: 

                http://www.dailymotion.com/video/xb7avj_mont-athos-la-republique-des-moines_shortfilms 

                Et aussi le lien internet vers le site du Vatican où l'on peut retrouver le sujet "Veilleurs dans la nuit":

                http://www.radiovaticana.org/fr1/Articolo.asp?c=365134

                Les deux films sont disponibles en dvd dans les librairies La Procure, Tequi, Siloé et sans doute bientôt dans les fnacs.

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    (1) : nous redonnons ici la note consacrée, le jeudi 18 février 2010, au superbe Veilleurs dans la nuit:
     

    Veilleurs dans la nuit.....

    BARROUX.jpg
     

                Le film “Veilleurs dans la nuit — Une journée monastique à l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux”, programmé sur la chaîne KTO pendant la semaine de Noël 2009, a été retenu et primé par le jury du Club Audiovisuel de Paris qui décerne chaque année les Lauriers de la radio et de la télévision.

                Le lundi 15 février 2010, dans les salons du Sénat à Paris, le Nonce Apostolique en France, Mgr Luigi Ventura, a remis aux co-réalisateurs de ce film, Eddy Vicken et Yvon Bertorello, le “Laurier Première Œuvre — Prix Marcel-Jullian”, en présence de Dom Louis-Marie, abbé du Barroux.

    V

    Bande annonce et vente en ligne: http://www.barroux.org/dvd.html

    Une journée monastique à l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
    Mieux que lors d’une opération “portes ouvertes” découvrez la vie des moines du Barroux au cours d’une journée de travail et de prières. Des images superbes dans un cadre enchanteur pour goûter la splendeur de la liturgie monastique.
    Narration de Michael Lonsdale
    52 mn + bonus
    Sous-titrages en anglais, allemand, italien et espagnol (ainsi que français pour les malentendants).

  • Les deux discours du Ministre de la Culture devant la statue d'Henri IV, le 14 mai 2010...

                Pour répondre d'avance aux mauvais coucheurs de tous bords -et de tout ordre- qui s'étonnent de ceci ou cela, rappelons juste que le simple fait que le Pays légal organise la célébration de tel ou tel acte, ou de tel ou tel souverain -en l'occurrence, avec l'Année Henri IV...- revient à porter condamnation des mensonges officiels passés, et aussi des horreurs révolutionnaires (profanation de Saint Denis etc...).

                Voilà pourquoi l'on ne peut que se réjouir de voir les Autorités d'aujourd'hui donner tort aux furieux d'hier....

                Ce qui ne veut bien sûr pas dire que l'on gobe tout: quand le Ministre évoque (deuxième discours) "une Europe dont toutes les étoiles et toutes les identités dialoguent harmonieusement, dans le respect mutuel...", on ne peut que rester dubitatif (!), en rappelant à certaines de ces "identités" (!) qu'elles doivent elles-même, d'abord, respecter le cadre dans lequel elles sont venues vivre; en se souvenant que leur présence -en France et en Europe- n'a jamais été ratifiée par un peuple pourtant réputé souverain, mais à qui on n'a jamais demandé son avis sur le sujet... 

                Il suffit de lire lafautearousseau au quotidien pour bien voir que nous ne sommes pas dupes des propos officiels, du moins de certains....

                Nous nous réjouissons simplement quand les choses prennent une tournure et suivent une évolution qui, pour l'essentiel et dans l'ensemble, va dans le bon sens....

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    L'Année Henri IV est placée "sous le parrainage officiel du Chef de l'Etat".
    Célebrer, officiellement, ce "grand roi", cet "immense souverain", cette "figure fondatrice de notre histoire nationale"etc...etc... c'est donc, toujours officiellement, et explicitement, donner tort à tous ceux qui ont deversé, des décennies durant, des tombereaux de mensonges et d'insanités sur notre passé: celui d'Henri IV en particulier, mais plus largement, l'ensemble de notre Histoire....
    C'est cela qui est nouveau, et dont il faut se réjouir....

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  • En marge de l'année Henri IV: sur le "Qui m'aime me suive !", rapprochement inattendu entre le roi et La Varende.....

                Puisqu'on est dans l'année Henri IV, et rien que pour le plaisir, une pensée qui vient à propos de cette maxime du Roi, "Qui m'aime me suive !...". Beaucoup plus qu'une maxime, du reste, une véritable règle de vie; et tout le contraire de notre actuelle démagogie, de ce misérable suivisme (jeunisme et tout ce qu'on voudra...) qui est le lot du Système: je suis qui m'aime..... (je suis, du verbe suivre, bien sûr...);

               Le rapprochement, inattendu, et qui est venu comme ça, tout seul, dû au hasard des lectures et relectures..., est avec cette pensée de La Varende: «  Avec Roger Tainchebray mourait ultimement l’Ancien Régime, le prestige et l’amour : la vraie démocratie, celle qui ne condamnait pas l’âme du chef à s’abaisser aux désirs de la masse, mais qui soulevait cette masse de la poésie, de la noblesse de son chef. »

               N'est-ce pas tout à fait cela, le Qui m'aime me suive d'Henri IV.....

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  • Année Henri IV : Programme officiel de la Journée du 14 Mai 2010...

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    Henri IV 2010

    La Paix assassinée Le Panache retrouvé

     

    QUATRIEME CENTENAIRE DE L’ASSASSINAT D’HENRI IV

    1610-2010

     

    Célébration nationale

    placée sous le Haut patronage du Président de la République

     

    Programme officiel de la journée du 14 mai 2010

     

    9h30 Dépôt de gerbes rue de la Ferronnerie

    (accessible à tous)

     

    11h Messe pontificale en la cathédrale Saint-Denis

    célébrée par Mgr Aumonier, évêque de Versailles (accessible à tous)

     

    Mise en ligne du site internet interactif 

    Henri IV Le règne interrompu

    www.

    (ministère de la culture et de la communication avec le concours de la Société Henri IV et du Centre de musique baroque de Versailles)

     

    Statue d’Henri IV sur le Pont Neuf

    (accessible à tous)

     

    22h. Hommage officiel  par Frédéric Mitterrand,

    ministre de la culture et de la communication

     

    Embrasement et mise en lumière de l’installation

     de Jean-Charles de Castelbajac

     

    Société Henri IV – Château de Pau – 64000 PAU

    site : www.societe-henri-iv.eu

    Secrétariat parisien :  01 47 05 02 97

    henri-iv.2010@orange.fr

  • Un peu de politique-fiction : d'un dialogue bien réel, à un autre qui, même si l'on peut aisément l'imaginer, restera hélas dans l'ordre du virtuel...

                Au Printemps du Livre de Montaigu, le Prince Jean a pu dialoguer avec Eric Zemmour.

                Ensemble, ils ont parlé de la France, évidemment, de l’héritage romain et –comme nous le faisions remarquer récemment- du fait que, si les rois de France se voulaient effectivement héritiers de la politique de civilisation des empereurs, et porteurs comme eux d’une sorte de message universel – de ce point de vue de la Civilisation - les rois ont, dès la troisième dynastie (celle des Capétiens) rompu avec ce que Bainville appelle « la chimère impériale » dans laquelle s’étaient « épuisées » - ajoute-t-il encore - les deux premières : la Mérovingienne (fondée par Clovis) et la Carolingienne (de Charlemagne)…

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