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  • Violences de Woippy : société malade, système pourri....

                Malek, Nabil et Joshua s'éclataient. A trois, sans casque, sans papiers, à une vitesse excessive, sur un scooter non éclairé, volé depuis décembre. La routine, quoi. On est "des chances pour la France" ou on ne l'est pas... Finalement, Malek est mort sur le coup, les deux autres sont dans un état grave.

               Et le journaliste de France inter qui demande: "si la police continue, qui sera le prochain mort "......

               Et les familles des victimes (!!!) qui font une marche d'hommage (!!!!!!!)....

               Vous avez dit société malade ? Système pourri ?.....

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    Violences à Woippy, après l' "hommage" (!) rendu aux voyous.
    Pourquoi pas la dissolution de la Police et de la Gendarmerie, tant qu'on y est !
    Et l'attribution automatique de la Légion d'Honneur, dès la naissance, à chaque "jeune" ?....
  • Premiers pas du prince à Toulon.....

     

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    Le Prince à côté du docteur Navarranne, pilier et mémoire du royalisme toulonnais....
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    Philippe Lallement a concocté le très dense programme des trois jours du prince à Toulon....
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    A Toulon comme partout, le même intérêt pour ce bon livre qu'est Un Prince français....
  • Le Prince est arrivé à Toulon....

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    Le Prince à côté du docteur Navarranne, pilier et mémoire du royalisme toulonnais....

  • La crise va repartir: aux inconscients, la douche froide !....

                Les appeler optimistes, ceux qui croient que tout est fini, que le plus dur est derrière nous, et que maintenant tout baigne et tout va baigner ?

                Inconscients, pratiquants insensés de la politique de l'autruche, dangers publics etc: voilà qui leur conviendrait mieux. Libération publie un très bon dossier sur ce sujet: le mieux est de le lire, et de le faire lire:

                http://www.liberation.fr/economie/0101614286-les-marches-repris-de-frenesie

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  • Nouvelles du Blog: de la semaine écoulée à celle qui vient...

                   Cette semaine sera évidemment marquée par les divers compte rendus des quatre jours du Prince en Provence, dont nous avons déjà donné quelques informations hier: entre la réception à la Mairie de Marseille, et les nombreux contacts qu'il va nouer, à Toulon, dans la Royale -sans omettre d'autres rencontres tout aussi fructueuses, et dans des univers très différents...- le Prince -accompagné de son épouse et du Prince Gaston de France- va poursuivre son travail sur le terrain, nouer de nouveaux contacts, en approfondir d'autres, affirmer encore un peu plus sa présence, et asseoir encore un peu plus sa stature de personnalité.....

                   Rien que du positif, dont on ne saurait, évidemment, ni se désinteresser, ni être absent....

                   La progression du Blog se poursuit: non pas foudroyante, mais régulière, ce qui est -somme toute- plus rassurant. Nous devrions finir Janvier (si les courbes se prolongent...) en dépassant encore les trois chiffres de décembre (Visites, Visiteurs uniques, Pages lues). Vous savez que nous avons formulé le souhait de doubler encore notre lectorat cette année -de septembre 2009 à septembre 2010. Pour l'instant, si nous maintenons à chaque mois la progression régulière actuelle, ce souhait est en cours de réalisation... Rendez-vous le 31, pour le bilan de janvier, et, d'ici là, à vous de jouer !....

                   Afin d'aider à la diffusion du Blog, nous vous redonnons ici le lien activé -déjà proposé les semaines précédentes- que vous pouvez proposer à vos connaissances, et faire placer dans d'autres blogs:

    bandeaufar.jpg

                Voici ce que vous trouverez cette semaine dans votre Blog préféré (sous réserve de modifications de dernière minute, imposées par l'actualité).

     

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  • Les quatre jours du prince Jean en Provence: plein succès pour la première journée, à Marseille....

    La Fédération Royaliste Provençale communique :

    Cette première journée d'un déplacement en Provence qui en comptera quatre, s'est passée à Marseille, avant que le Prince et son épouse ne se dirigent vers Toulon, où ils passeront les trois jours suivants.

    Elle fut ouverte par une longue réception à la Mairie de Marseille, pendant laquelle le Prince s'est entretenu avec le sénateur-maire, Jean-Claude Gaudin. Ce n'est pas la première fois, du reste, que le Prince est reçu dans cette Mairie, où le même Jean-Claude Gaudin lui avait déjà remis la médaille d'honneur de la Ville (ci dessous).

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    Marseille: sur le balcon d'honneur de la mairie de Puget, sous le buste de Louis XIV et face à la Bonne Mère, Jean-Claude GAUDIN remet au Prince la médaille de la ville.
    Il lui déclare : "Ce sont mes deux sources d'inspiration".

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  • Albert Camus dégage le sens profond de l'assassinat de Louis XVI...

    Il y a cinquante ans, Albert Camus se tuait dans un accident de voiture. Ce fils des rivages d’Afrique du Nord, malheureusement fort éloigné du christianisme, n’en avait pas moins saisi le sens profond de l’assassinat de Louis XVI, beaucoup mieux que la grande majorité des hommes politiques et même que certains hommes d’Eglise qui rêvent de “baptiser” la Révolution ::

     « Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

      Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme.

     Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau ».

     Albert Camus, L’homme révolté, La Pléiade, p. 528-529.

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  • GRANDS TEXTES (18), ou ANTI GRAND TEXTE : Discours de Maximilien de Robespierre (première intervention, le 3 décembre 1792, au cours du pseudo procès de Louis XVI).

    Il y a 18 ans, le jeune Maximilien de Robespierre avait eu à féliciter le roi Louis XVI rentrant à Paris après son couronnement à Reims, le 15 juin 1775 (Maximilien avait alors 17 ans accomplis). C'était rue Saint-Jacques, devant le Collège Louis-le-Grand. Le professeur de rhétorique avait rédigé pour la cérémonie un compliment superbe en vers, que Robespierre fut chargé de dire, comme étant l'un des élèves les plus doués et les plus méritants. Il pleuvait à seaux ce jour-là, mais le jeune Maximilien était infiniment fier d'avoir eu «l'honneur» de saluer ce jeune roi qui incarnait aux yeux de la nation toute entière les espérance d'un avenir prometteur pour la France.

     

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    Robespierre, avant...

     

    Aujourd'hui, dix-huit ans plus tard, ce 3 décembre 1792, il prononce les mots terribles que l'on va lire ci-dessous, dans ce véritable discours fondateur de tous les Totalitarismes modernes. C'est à l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI : c'est toujours le même Robespierre et, pourtant il n'est plus le même : le jeune élève brillant et prometteur est devenu un idéologue endurci, sec et froid.

    C'est à lui que s'adressera quelques jours plus tard le courageux De Sèze: "Français, la révolution qui vous régénère a développé en vous de grandes vertus ; mais craignez, qu’elle n’ait affaibli dans vos âmes le sentiment de l’humanité, sans lequel il ne peut y en avoir que de fausses !".

    De Sèze a courageusement et intelligemment démasqué les idéologues, se voulant régénérateurs et purificateurs, persuadés d'oeuvrer pour l'Homme, mais n'ayant aucune forme de pitié ou de considération pour les hommes.

    Mais Robespierre et la Convention n'entendront évidemment pas le message. Comment Robespierre et ses affidés, un Saint Just par exemple, pourraient-il l'entendre, ce message, lorsque le même Saint Just osait proférer (toujours lors du pseudo-procès de Louis XVI): "Je ne juge pas, je tue... Une nation ne se régénère que sur des monceaux de cadavres"...

    C'est trop tard : Robespierre est mort, du moins le jeune et brillant élève qui recevait et complimentait le Roi lors de son retours de Reims. L'a remplacé un idéologue aveuglé par sa confiance en lui-même et en ses principes, qu'il croit supérieurs et qu'il veut appliquer à tout prix, ne se rendant absolument pas compte, absolument plus compte, qu'il est devenu la parfaite incarnation de la terrible prophétie de Frédéric II à Voltaire : « Nous avons connu le fanatisme de la foi. Peut-être connaîtrons-nous, mon cher Voltaire, le fanatisme de la raison, et ce sera bien pire »...

    Oui, c'est bien un fanatique, sec et froid, qui s'exprime d'une façon presque métallique, pourrait-on dire, ce 3 décembre, lors de l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI. Et qui prononce les paroles monstrueuses que l'on va lire, et que reprendront mot pour mot les Staline, Hitler, Mao, Pol Pot et autres monstres secs et froids des Totalitarismes modernes, qui ont tous pour père et modèle le même et unique Maximilien de Robespierre.

    Oui, l'on entend déjà, en lisant ce monstrueux discours et cette aberrante logique, ce que diront les enfants de Robespierre plus tard, bien plus tard, eux qui auront bien compris et bien assimilé cette infernale logique:

    A quoi bon juger ces Juifs, dira Hitler, la race aryenne ne saurait être soupçonnée d'erreur(s) dans ses pensées, ses jugements ou ses actes, puisqu'elle est "supérieure" (!). Ces juifs doivent donc mourir, sinon c'est admettre l'idée que la race aryenne a pu se tromper, ce qui est impossible... A quoi bon juger ces dissidents, dira Staline, la classe ouvrière est l'avant-garde consciente qui a reçu pour mission de faire éclore l'Histoire et de l'achever. Elle marche dans le sens de l'Histoire, et l'idée même de juger quelqu'un qui s'oppose à elle -et qui ne peut donc être qu'un traître ou un malade- serait admettre l'idée que la classe ouvrière pourrait se tromper, ce qui est impossible.....

    Donc, on ne juge pas, on tue, pour reprendre telle quelle la formule de Saint Just, ce grand ami de Robespierre, et l'un de ses alter ego...

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    ...Robespierre

               

    On le voit, le tout de la mécanique infernale est contenu dans le discours de Robespierre, qui est une vraie bombe, insuffisamment lu, insuffisamment étudié. Ce discours est bien l'acte fondateur, la parole fondatrice de tous les procès nazis ou staliniens de l'histoire, de tous les Totalitarismes, de tous les Génocides....

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  • Jeudi 21 Janvier, l'Anti Grand Texte....

    Ou : Quand, à la face du monde, Maximilien de Robespierre a posé les bases des Totalitarismes et des Génocides modernes. C'est dans sa Première intervention, le 3 décembre 1793, lors du procès (!) de Louis XVI, et ce sera, dans son intégralité, notre XVIIIème Grand Texte...

  • Paris, 17 janvier, Marche pour la vie : un évêque à la manif'...

                Nous ne nous souhaitons pas, ici, nous aventurer sur un terrain qui ne serait pas le nôtre, et prendre parti sur un sujet de société qui pourrait apparaître, sinon exclusivement, du moins en grande partie, comme relevant essentiellement du moral, du spirituel, du religieux....

                Mais tout n'est-il pas politique, jusques et y compris -et peut-être même surtout ?...- ces fameux sujets de société ?

                Ce que nous cherchons à faire, ici, c'est à lire les signes que nous propose régulièrement l'actualité, afin d'en tirer, si possible, car telle est la vocation de ce Blog, une leçon politique. Ces signes que, bien souvent, certains ne voient pas, alors qu'ils crèvent les yeux....

                Et il y en a, de ces signes, dans nos temps qui sont durs, mais qui sont nos temps, comme aime à le rappeler le Prince Jean, citant Saint Augustin. Celui sur lequel nous avons choisi de nous arrêter aujourd'hui, c'est cette Marche pour la Vie, qui s'est déroulée à Paris, le dimanche 17 janvier.

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    De la Place de la république à l'Opéra....

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  • Dis-moi ce qui te choque, je te dirai qui tu es....

                Marseille, vendredi 15 janvier. Lors d'un débat sur l'idenbtité nationale , le maire, Jean-Claude Gaudin, lâche une petite parcelle de la vérité: il rappelle que, il y a quelques semaines, "15.000 à 20.000 musulmans avaient déferlé sur le Vieux-Port pour fêter la victoire de l'Algérie".

                Il s'agit là d'un fait réel, abondamment rapporté par tous les médias de la presse écrite et parlée, et dont on a également pu voir les images -fort parlantes !...- à la télé.

                Pas de quoi, donc, fouetter un chat, dans les propos du sénateur- maire.

                Sauf que.....

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    Sur la Canebière...
    "Ils" s'en fichent de tout casser: c'est nous qu'on paye !
    Mais il ne faut pas le dire. Sinon gare à SOS Racisme et consorts....

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  • Des évènements auquels nul n'était préparé...

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  • Séguin, archétype des désanchantés du Système ?.....

                Un "semble État", disait Boutang. La chose publique, caricaturée et dénaturée en république idéologique (en démocratie idéologique) est en effet devenue comme un spectacle, confirme Zemmour, notamment dans sa dernière phrase: le spectacle continue !

                Voilà ce qu' "ils" en ont fait, de la chose publique. Et c'est pour cela que Séguin était déçu. Déçu ou, plus justement encore, désanchanté; Zemmour employant, pour sa part, le mot de "désespoir" et, pour ceux de la classe politique qui -lors des obsèques- ont senti cela, plus ou moins confusément, et dont le degré de sincérité peut varier beaucoup, celui de "remords".

                Tout à fait d'accord avec Zemmour: l'enterrement de Séguin n'était pas seulement l'enterrement de Séguin. Ou, dit d'une autre façon, en enterrant Séguin, c'est aussi la foi, l'espoir, les illusions de la nouvelle religion -déjà ancienne, maintenant- qu'on enterrait. Une nouvelle religion qui a vieilli, beaucoup vieilli, et surtout terriblement mal vieilli; qui n'a pas tenu ses promesses; et qui ne tient plus que par habitude, par la force d'inertie. Et qui est finalement devenue à son tour, maintenant, le nouvel ancien régime...

                Séguin était désanchanté de s'être rendu compte qu'on avait fait tout ça pour ça...

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  • Toulon : le prince Jean de France présentera "Un Prince Français", le vendredi 22 janvier

    S.A.R. le prince

    Jean de France

     

     

    vous prie d’assister à la conférence qu’il prononcera

    à l’occasion de la publication de son livre

     

     

    Un prince français

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    le vendredi 22 janvier 2010

    à 19h00 à Toulon

     

    dans la salle de réception de la Résidence du Cap Brun

    192, rue du Lieutenant Aviateur Gayraud Toulon 83000,

    aimablement mise à disposition par Monsieur Olivier Boré de Loisy

     

     

     Dédicaces à l’issue de la conférence

     

    Entrée libre

     

    Gens de France 53, rue Lemercier 75017 PARIS secretariat@gensdefrance.com

     

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    Le Prince passera 3 jours à Toulon. Pour consulter le programme de cette visite, cliquer sur le lien ci-dessous.