immigration - Page 7
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Hier la Suisse a dit Non aux minarets, par une votation....Aujourd'hui, la Belgique dit Non à la burqa, par un vote en commission des députés: à l'unanimité, et toutes tendances politiques confondues...
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Lire Michele Tribalat...
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Ce qu' "ils" réputaient impossible il y a cinquante ans -là-bas- pourrait-il être devenu possible, mais "à l'envers", ici ?.....
Plusieurs lectures possibles de "ça":
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Sans commentaire(s)....
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Corruption : 4 salariés d'un centre pour demandeurs d'asile en examen...
Quatre salariés d'une association, soupçonnés d'avoir demandé de l'argent à des demandeurs d'asile en échange de places d'hébergement, ont été mis en examen pour corruption, apprenait-on le vendredi 12 février, de source judiciaire.
Ces quatre personnes -un Russe, un Marocain, un Algérien et un Géorgien-, salariés de la Coordination de l'accueil des familles demandeuses d'asile (Cafda), sont soupçonnées d'avoir réclamé des sommes comprises entre 1.000 et 2.000 euros à des familles pour leur obtenir un logement ou une place en centre d'accueil en région parisienne.
Deux des quatre salariés ont reconnu les faits devant la police, a indiqué la source. Les quatre personnes ont été placées sous contrôle judiciaire, avec notamment l'interdiction de se rendre dans les locaux de la Cafda.
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Redire, sans se lasser, les évidences...
C'est ce qu'a fait Denis Tillinac, dans sa chronique Vu de ma fenêtre (dans Valeurs Actuelles du 24 décembre dernier); et il a bien fait.. :
"...Mais on en vient à occulter la majorité de français dont les ancêtres sont peut-être venus d'ailleurs mais qui campent sous nos clochers depuis maintes générations... Pourtant ils ont une identité, ils la savent, ils la sentent, elle est spirituelle, paysagère, patrimoniale, esthétique, gastronomique. Elle se reflète dans une sociabilité, des tournures d'esprit, une approche de la féminité, un type d'humour, une mythologie, un attachement à des rituels dont la subtilité échappe aux sociologues...
J'appartiens à cette humble piétaille apparemment hétérogène, car nos terroirs sont contrastés, mais qui tout de même pérennise le fond de sauce de l'identité de la France. Si on la respectait davantage, elle n'éprouverait pas ce sentiment de dépossession qui parfois tourne à la rancoeur... nulle part des minorités ne sont bien accueillies quand la majorité sociologique n'est pas assurée d'un minimum de supériorité symbolique. Tous les citoyens français sont évidemment égaux devant la loi; les composantes culturelles de la citoyenneté française, bien que toutes respectables, ne sont pas égales devant la mémoire..."
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Jean Sévillia présente le dernier Zemmour, Mélancolie française...
Voici quelques extraits de l'article de Sévillia consacré à Eric Zemmour, que vous trouverez dans son intégralité ici :
Disponible le 3 mars, 16 euros -
Contre les idéologies: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(5/5).
En guise de conclusion....
Arrivés à ce stade de notre raisonnement, faisons une sorte de petite pause, et convenons qu'il est -somme toute- assez amusant de constater qu'en réalité les choses ne se passent pas tout à fait, et même pas du tout, comme le souhaitaient -et comme prétendaient les organiser- nos idéologues de gauche et d'extrême gauche.
Et la vie dans les banlieues, dans les cités, n'est pas toujours -loin s'en faut- un long fleuve tranquille....
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Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(4/5)
Eh oui, les chiffres sont là, et ils sont intrafiquables: au total, ce sont bien presque cinq millions de Français perdus, volatilisés, sortis de l'histoire dans le siècle et demi qui a suivi la Révolution.... Dont énormément de jeunes, qui n'ont pas eu le temps de fonder un foyer, et d'avoir une descendance.
Voilà pourquoi -et c'est la seule et unique raison: la dé-raison de la politique (?) menée par ceux qui se voulaient pourtant les tenants de la Raison- voilà pourquoi, donc, la France a eu besoin, après la première Guerre Mondiale, et pour la première fois de son histoire, de faire appel à des populations extérieures.
Encore celles ci vinrent elles d'Europe, pour l'essentiel. Elles avaient donc, en gros et à peu de choses près, les mêmes fondements spirituels, culturels, mentaux et moraux que nous. Et leur proportion, par rapport à la population française, est de toutes façons restée raisonnable, permettant leur intégration, puis leur assimilation.
Malgré de réelles -et inévitables- frictions, qu'il serait vain et sot de nier, mais qui n'ont, au final, pas entravé l'irrésistible processus d'intégration/assimilation.
Ossuaire de Douaumont.Un million cinq cent mille jeunes français couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue..... -
Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(3/5)
Il faut donc tordre le cou à cette contre vérité flagrante des soi disant "vagues migratoires successives".
Et il suffit d'observer l'Histoire pour démontrer l'inanité, l'imposture (le révisionnisme ?: ce serait amusant, pour des gens de gauche...) de la position des immigrationnistes.
A l'époque de la Gaule, et des Celtes, la conquête militaire par Jules César devait nous assurer une longue période de "Pax Romana". Époque féconde et bienheureuse s'il en fut, l'arrivée des Romains dans ce qui devenait -lentement mais sûrement- "chez nous" permit de créer le vrai socle, les vrais fondements, solides et définitifs de ce qui n'allait pas tarder à être la France, peuplée par le Peuple français.
Même si, on ne peut le nier, la conquête fut rude, et la romanisation menée -comme toujours avec Rome....- d'une poigne de fer: certains historiens avancent qu'un tiers des peuples gaulois aurait été tué, ou serait resté gravement blessé, voire invalide; un autre tiers deplacé ou vendu comme esclave; seul un tiers restant en l'état, si l'on peut dire.... Peu importent les chiffres, qu'on ne connaîtra de toutes façons jamais, à l'unité près....
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Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(2/5)
Dans la masse des âneries que l'on entend sur l'identité nationale, il s'agira donc, pour certains, de simples erreurs, due à l'ignorance dans laquelle le Système a volontairement voulu les tenir, éloignés qu'ils sont de la connaissance de leur Histoire vraie. Et ils sont pardonnables, pour cette raison.
Mais, pour ceux qui en coulisse tirent les ficelles de l'offensive contre notre Nation historique, il s'agit évidemment bel et bien d'un mensonge délibéré, cachant leurs noirs desseins...
La France est un isthme, une voie de grande communication entre le Nord et le Midi... Le mélange s'est formé peu à peu, ne laissant qu'une heureuse diversité... De là viennent la richesse intellectuelle et morale de la France, son équilibre, son génie.... La France est une œuvre de l'intelligence et de la volonté (Jacques Bainville). -
Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(1/5)
Avant-propos..... Ce qui se cache, en réalité, derrière la façon idéologique de concevoir l'identité nationale, et à quoi nous renvoient les élucubrations désolantes Éric Bresson...
Les propos d'Éric Besson-et plus généralement les propos de tous ceux qui mènent un combat acharné contre nos Racines- doivent bien entendu être replacés dans un contexte plus large. Évidemment, celui du Grand cycle, ouvert en 1789/1793, par une Révolution qui a, justement, voulu du passé faire table rase.
Mais aussi celui du Petit cycle, ouvert à la fin du XXème siècle par les tenants orgueilleux du marxisme-léninisme, qu'ils voyaient comme la quintessence, définitivement aboutie, de la-dite Révolution.
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« Discriminer », pour ne surtout pas « discriminer »…..
Eh, oui, c’est le summum de l’aberration à laquelle arrive le Quick de Roubaix. Dans le but de ne pas faire de peine aux petits nouveaux, les français de plastique, ces pauvres chéris, eh bien, c’est simple, on n’a qu’à empêcher les autochtones de manger du porc ! CQFD.
Ce qui est une assez curieuse conception de la « diversité », mot qu’ils ont toujours à la bouche, et dont ils montrent bien, par là, qu’ils se fichent en réalité ; ainsi que de la laïcité, la chaîne Quick appartenant en partie à la Caisse des Dépôts, donc à l’Etat, censé ne s’occuper en rien (mon œil !...) des choses religieuses….
Le Quick de Roubaix.Depuis novembre, la chaîne de restauration rapide Quick a remplacé le bacon par de la dinde fumée dans huit de ses établissements. A Roubaix, le maire PS a qualifié –à bon droit- cette pratique de «discriminatoire». …. -
Quelques instants en bonne compagnie.....(2/15)
Pour donner envie à celles et ceux qui ne l'ont pas encore lu, ou acheté... ou qui se demandent si cela vaut le coup...
Pour nous, c'est sûr, il vaut le coup d'être acheté et lu, car c'est un bon livre...
Quelques mises en bouche ?.....
237 pages, 19,50 euros
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Réflexions… en bref, sur deux aspects de la politique de l'Eglise
Il y a, aujourd’hui, deux domaines où l’Eglise romaine, très sage en beaucoup d’autres, nous paraît se tromper radicalement. Il faut en traiter avec le respect qui lui est, naturellement, dû, mais il n’y a aucune raison - même si nous ne contredisons pas de gaité de coeur la haute figure du pape Benoît XVI - de ne pas exprimer notre pensée sur ces deux points qui, après tout, ressortent du domaine politique :
1. l’encyclique Caritas in Veritate croit pouvoir constater l’unification du monde. Elle le fait, il est vrai, dans sa logique propre, sa dynamique interne : elle y voit l’édification de la Cité de Dieu. A-t-elle raison ? Nous ne le croyons vraiment pas. Primo, parce que les exemples contraires de « déconstruction » de grands ensembles politiques, qu’ils fussent bons ou mauvais, tout au long du siècle dernier, et encore aujourd’hui, abondent, sans qu’il soit vraiment besoin de les citer. Comment peut-on les ignorer ? Secundo, parce que ce qui, en effet, s’unifie, ou, pour mieux dire, s’uniformise, le fait par le bas. Si nous raisonnions chrétiennement, nous y verrions, plutôt, l’œuvre du mal. Politiquement, ce n’est pas la Cité de Dieu, au sens catholique, qui se construit, dont on peut penser, même si l’on n’est pas chrétien, qu’elle élèverait les peuples, les nations et les civilisations. Mais celle du grand vide marchand où l’homme, mais aussi les cités, les nations, les civilisations du monde, perdent leur âme. En la matière, l’optimisme romain est confondant. Jusqu’à preuve du contraire, nous ne voyons aucune raison de le faire nôtre.
2. Sur la question de l’immigration, l’Eglise ne cesse de prêcher l’accueil de l’étranger à des peuples qui, pourtant, s’épuisent à en accepter bien plus qu’il n’est raisonnable. Pourquoi la sagesse romaine n’en voit-elle pas les limites, aujourd’hui largement franchies ? Elle s’exprime au nom de la charité due à tout homme et, sur ce terrain, nous la comprenons, nous partageons son souci. Nous ne sommes pas plus sauvagesqu’elle ! Nous ne voulons de mal à personne. Mais l’Europe est, aujourd’hui, confrontée, d’ailleurs en grande partie à son initiative et de son fait, à un problème sociopolitique de première ampleur qui brise de très anciens et très profonds équilibres : une invasion sans précédent par un prolétariat étranger à sa nature et à sa tradition, qui met en péril sa stabilité, son ordre, son identité même et jusqu’à son existence. Il faut, dit Rome, rechercher « des solutions justes ». Soit. Nous en sommes d’accord. Mais, à ce titre, des nations, une civilisation comme les nôtres, dont, à tous les sens du terme, la richesse, humaine, culturelle, spirituelle, est immense et remonte à quelques millénaires, ont toute raison de vouloir préserver et continuer de développer, sans qu’elles soient brutalement bouleversées, et, probablement, détruites, leurs identités historiques propres. Qu’en pense donc Rome ?
Même si elle doit toujours être écoutée avec respect, L’Eglise n’a pas reçu, de son fondateur, les promesses de l’infaillibilité en tous domaines. Nous avons appris de Lui qu’il faut « rendre à César ce qui est à César ». Pour ce qui est de notre destin politique, c’est nous qui en sommes – ou devrions en être – maîtres. En l’occurrence, forts ou défaillants, comme, autrefois, les rois se France se voulaient empereurs en leur royaume, c’est nous qui sommes – ou devrions être - César.