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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 102

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur Challenge, le point - objectif et neutre - sur la dissuasion française et la folie/trahison des européistes, macronistes, traîtres et Compagnie qui poussent à la roue afin que NOTRE dissuasion nucléaire française tombe dans les mains du "machin" monstrueux qu'est "cette" U.E. ! 

    https://www.challenges.fr/monde/nucleaire-une-dissuasion-francaise-pour-l-europe_884220

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  • Au cinéma : Captives, par Guilhem de Tarlé

    Captives - film 2023 - AlloCiné
     

    A l’affiche : Captives,  un film français d’Arnaud des Pallières, avec Mélanie Thierry (Fanni),  Josiane Balasko (Bobotte, alias Marguerite Bottard, infirmière à la Salpêtrière, qui finit sa carrière comme directrice de service sous l’autorité du Professeur Charcot),  Marina Fois (La Douane), Carole Bouquet (Hersilie Rouy, pianiste), Yolande Moreau (Camomille) et Dominique Frot (Emilie).

    Captives… un docu-fiction fondé sur des faits réels à la Salpêtrière, à la fin du XIXème siècle, avec des personnages qui ont parfois véritablement existé (Bobotte ou Hersilie) tandis que d’autres ont été «recomposés» à partir de témoignages.

    L’Histoire de La Pitié-Salpêtrière remonte à Louis XIV qui décida de construire un hôpital à l’emplacement d’un bâtiment où l’on fabriquait de la poudre à canon, d’où le nom de Salpêtrière. Le mot hôpital ne doit pas nous tromper, il s’agit davantage d’un hospice ou d’un lieu d’enfermement et, si l’on y « traite » depuis toujours les pauvres et les malades, ce n’est qu’au début du XXème siècle que l’Académie française utilise à son endroit le verbe « soigner ».

    J’apprends que dans les années 1890, on enfermait à la Salpêtrière les folles, les filles de mauvaise vie, ou les femmes « rejetées » par leurs familles ! Ainsi Hersilie Rouy aurait été victime d’une simple affaire d’héritage, ce qu’elle rapporte sans doute dans ses Mémoires d’une aliénée, que je n’ai pas lus.
    C’est, en tout cas, ce pan d’histoire, cet univers et ces « pensionnaires » que nous raconte le réalisateur, autour d’un scénario, quant à lui peu crédible ou mal ficelé, déjà écrit lors de la parution d’un livre, sur le même sujet, Le Bal des folles, de Victoria Mas (2019).

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  • Éphéméride du 25 février

    Cloître de l'Abbaye royale de Fontevraud

     

     

     

    1116 : Mort de Robert d'Arbrissel 

     

    Ermite et moine breton, né vers 1047 dans le village d'Arbrissel, Robert fonda d'abord l'Abbaye de la Roë, en 1096, qui devint rapidement le monastère le plus influent de la Mayenne, avant de connaître le déclin : détruite en bonne partie durant la Révolution, elle conserve encore de beaux bâtiments conventuels et son Logis de l'Abbé.

    Cette première fondation peut être regardée comme la sœur aînée de l'Abbaye royale de Fontevraud que Robert fonda en 1101 et qui eut, comme l'abbaye de la Roë, une histoire mouvementée (jusqu'à devenir une prison, réputée la plus dure de France !).

    Aliénor d'Aquitaine y est enterrée, ainsi que son fils Richard, Coeur de Lion : épousée d'abord par le roi de France Louis VII, sur les conseils du sage Suger, mais répudiée ensuite après la mort de celui-ci, elle se remaria immédiatement avec Henri Plantagenêt (lui aussi enterré à Fontevraud, véritable nécropole des Plantagenêts), lui apportant en dot ses possessions : tout le Sud-Ouest, presque le quart de la France actuelle ! Et Henri Plantagenêt devait, en plus, devenir deux ans plus tard roi d'Angleterre !

    L'abbaye de Fontevraud était l'abbaye de coeur d'Aliénor: c'est là qu'elle s'était retirée à la fin de sa vie agitée, et qu'elle mourut, deux ans après la chute de Château-Gaillard - construit en un an par son fils Richard... - et la reconquête de la Normandie par Philippe Auguste.

    Comme une sorte de réconciliation entre les familles, la petite-fille d'Aliénor, Blanche de Castille, devait peu après épouser, sur les instances d'Aliénor, le nouveau roi de France, Louis VIII, et devenir la mère de Louis IX. 

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    Vue aérienne de l'abbaye (ci-dessus) et (ci-dessous) l'extraordinaire cheminée romane de la cuisine, qui conserve cinq de ses huit absidioles primitives

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     http://lettrevolee.irht.cnrs.fr/robert.htm 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    EXPULSÉ À TUNIS, MAJOUBI SE LAMENTE POUR FEMMES ET ENFANTS, PARENTS ET AMIS : QUE VONT-ILS DEVENIR SANS LUI ?

    POUR LE REGROUPEMENT FAMILIAL !

    TOUS À TUNIS, VITE !

    PAR TOUS LES MOYENS, MÊME LÉGAUX :

    EN AVION, EN BATEAU, EN STOP, À LA NAGE, COMME ILS VEULENT, MAIS :

    À TUNIS !

     

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    Ce personnage n'a pas hésité à dire : "Ma femme a commencé à pleurer et mes enfants aussi..."

    Séchez vos larmes, prenez toutes et tous un aller simple pour Tunis, et (comme on dit en provençal) : "Allez, ZOU !"

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  • Au cinéma : Léo, par Guilhem de Tarlé

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    A l’affiche : Léo, la fabuleuse histoire de Léonard de Vinci,  un film irlandais d’animation de Jim Capobianco et Pierre-Luc Granjon.

    « Qu’est-ce qui est important ? L’art ou le droit à une alimentation saine et durable ? »… Fin janvier, deux militantes « Riposte alimentaire » ont ainsi aspergé avec de la soupe la vitrine blindée protégeant « La Joconde », suivies par deux autres, quelques jours après, qui se sont attaquées, à Lyon, au tableau « Le Printemps » de Claude Monet…
    En a-t-on beaucoup parlé ?

    Imaginez la réaction des politiques, des médias, des églises et autorités morales, si ces actes de vandalisme avaient été, à la veille de l’inscription de l’IVG dans la constitution,  le fait de militants dits d’ « extrême droite » ou d’ « ultra droite », avec le slogan « Qu’est-ce qui est important ? L’art ou sauver les enfants à naître ? ».
    On aurait lu et entendu partout le célèbre « Quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver » prêté à Goering ou Goebbels ; on aurait déclaré « la République en danger » et crié au retour nauséabond du nazisme et de la bête immonde et brune ; on aurait organisé une grande manifestation nationale avec en tête le Président de la République, comme pour Carpentras mensongèrement attribué au Front National ; on aurait dissous sur le champ, en même temps que d’autres « groupuscules »,  le mouvement inscrit sur les maillots des coupables, et, enfin, les prisons n’auraient pas été trop pleines pour une comparution immédiate et une condamnation sans sursis.

    Mais il ne s’agissait que d’écolos, partie prenante de cet « arc républicain », que le Président – dit « de tous les Français » - théorise dans le quotidien communiste « L’Humanité » !

    Ce « deux poids, deux mesures » m’écœure et c’est peut-être pour honorer « La Joconde » et réparer l’affront fait à Léonard de Vinci – « panthéoniser » en quelque sorte cet étranger, puisque c’est à la mode – que j’ai tenu à aller voir le dessin animé de sa fabuleuse histoire.

    Sans doute les réalisateurs ont-ils voulu, eux aussi, à leur manière, rendre hommage à leur « héros » ?  Malheureusement, ils se sont surtout fait plaisir avec une œuvre  originale, parfois jolie, mais confuse et incompréhensible pour qui ne connaît rien d’autre, ou presque, de l’artiste, que « La Joconde ».

    Léonard de Vinci, un très grand peintre ? certainement, mais pas que… comme on dit…
    Un savant, un philosophe, un anatomiste, un ingénieur, un architecte…  ce que le dessin animé suggère sans l’enseigner…
    J’ai seulement découvert qu’il avait voulu construire « la cité idéale » à Romorantin, qui aurait été la capitale du Royaume…
    Malheureusement, sans aucune raison, les réalisateurs en profitent pour ridiculiser François Ier, alors que c’est ce grand roi qui a attiré ce génie dans notre pays, à Amboise, au Château du Clos Lucé, et que la France leur doit, à l’un et à l’autre, la Renaissance des Arts, des Lettres et des sciences.

    « France, Mère des arts, des armes et des lois »
                                                                      J. du Bellay, Les regrets (1558)

     

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Napoléon, contre les intérêts supérieurs et vitaux de la France, "lance" l'unification allemande...

    1803 : Napoléon contre la France : le "recès" de 1803

     

    Le "Recès" de la Diète d’Empire est une résolution (ou "recès") de la dernière séance de la Diète d’Empire tenue à Ratisbonne. 
    Il avait été décidé, suite à l’accord entre la France et l’Autriche de 1802 et en conséquence du Traité de Lunéville, de dédommager les princes allemands des terres qu’ils avaient perdues lors de l’annexion de la rive gauche du Rhin par la France. 
    Mais, d’une part, certains princes, qui ne possédaient rien sur la rive gauche du Rhin, obtinrent des avantages territoriaux. 
    D’autre part, le "recès" bouleversait le Saint-Empire dans la mesure où les principautés ecclésiastiques disparaissaient, ainsi que 45 villes libres sur 51...

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    Couverture du "recès" du 25 février 1803... 

     

    Michel Mourre monte bien comment ce "recès" - qui fut aggravé par la "médiatisation" de 1806 : voir l'Éphéméride du 12 juillet - fut l’ouverture de la boîte de Pandore, et comment il inaugura une dynamique en rupture avec la politique traditionnelle française de division des Allemagnes; le "recès" - aggravé encore en 1806 par la "médiatisation" !... - lançait, en fait, le processus d’unification allemande, et devait très vite se révéler désastreux pour nous, comme on le vit en 1814/1815, et, surtout, en 1870, 1914 et 1939…

    Du Dictionnaire Encyclopédique d’histoire, Tome I, page 166 :

    "…À la suite des Traités de Campoformio (1797) et de Lunéville (1801), la France annexa toute la rive gauche du Rhin… 
    En vertu des Traités, les Princes qui avaient été dépossédés sur la rive gauche du Rhin devaient être dédommagés : après de longues négociations, le recès impérial de février 1803 remania complètement la carte de l’Allemagne. 
    Presque toutes les principautés ecclésiastiques ainsi que la plupart des villes libres et des petites seigneuries disparurent pour agrandir la Prusse, la Bavière, le Wurtemberg, Bade, la Hesse-Darmstadt et le Nassau. 
    Par cette simplification révolutionnaire, qui faisait passer "les Allemagnes" de plus de 300 États en 1789 à moins de quarante, Napoléon Bonaparte prenait le contre-pied  de la politique de la monarchie, laquelle s’était employée à maintenir en Allemagne le chaos créé par les Traités  de Westphalie…"

    Pour ne prendre que quatre exemples, au lieu de "la croix des géographes" et de l’Allemagne divisée en plus de 300 entités, quatre régions grandissaient considérablement :

    1. La Prusse passait de 2.000 km2 à 12.000, et de 140.000 habitants à 600.000.
    2. La Bavière passait de 10.000 km2 à 14.000, et de 600.000 habitants à 850.000.
    3. Le Bade passait de 450 km2 à 2.000, et de 30.000 habitants à 240.000.
    4. Le Wurtemberg passait de 400 km2 à 1.500, et de 30.000 à 120.000 habitants.

    Cette rupture avec la politique traditionnelle de la monarchie, cette "politique" (!) anti-nationale était une folie : elle détruisait l'oeuvre bienfaisante de Louis XIII et Louis XIV, de Richelieu et Mazarin, qui avaient obtenu le morcellement de l'Allemagne en plus de 350 États, par les Traités de Westphalie -"chef d'oeuvre absolu", disait Bainville - qui assuraient notre sécurité et nous donnaient la prééminence en Europe.

    Cette politique suicidaire, trahison totale des intérêts nationaux de la France, fut mise en route par la Révolution et la République, et poursuivie par son "sabre", Napoléon, puis par Napoléon III : tous, Révolution, Républiques, Empires, agissant contre l'intérêt national, et - de fait - en "intelligence avec l'ennemi"…

     

     Dans notre Album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville. voir les deux photos "Intelligence avec l'ennemi : le recès de 1803" et "la médiatisation de 1806")

  • Éphéméride du 24 février

    À Madrid, la Plaza de la Villa, où François premier fut retenu prisonnier; de gauche à droite : Casa de los Lujanes (la tour "haute et carrée" où il logeait), la Casa de Cisneros et la Casa de la Villa

     

     

     

    1525 : Désastre de Pavie 

     

    24 fevrier,te deum,pavie,françois premier,charpentier,la palice,marot,le brun,fouquet,vaux le vicomte,louvre,invalides,marlyDix ans après le triomphe de Marignan, la déroute est totale, à Pavie, pour François Premier et son armée. Le roi de France est battu par un chef de guerre français,  le Connétable de Bourbon, qui le servait dix ans auparavant, à Marignan, mais qui, depuis, a trahi, se ralliant aux Impériaux...(voir l'Éphéméride du 18 juillet)

    Les Français perdent environ 10.000 hommes, François 1er est fait prisonnier, et sera embarqué à Villefranche pour l'Espagne, où il sera détenu pendant un an, en attente du versement d'une rançon par la France et la signature d'un traité l'engageant, entre autres choses, à céder la Bourgogne à Charles Quint et à renoncer à ses prétentions sur l'Italie.

    Ci dessus, détail d'une tapisserie d'époque : la capture du Roi.  

    François premier est le troisième roi de France à être fait prisonnier sur un champ de bataille : à propos des "rois faits prisonniers sur le champ de bataille", voir l'Éphéméride du 11 février.

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  • 28 février 2007/28 février 2024 : lafautearousseau fête ses dix-sept ans !...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgEncore une année passée en votre compagnie, chers lecteurs, amis, militants et sympathisants, à nous donner autant que possible à la noble Cause qui est la nôtre : Dieu, la Patrie, le Roi, dans la fidélité absolue à cette Action française que nous nous efforçons de faire toujours mieux connaître, notamment avec la nouvelle Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", que nous avons ouverte, justement, l'an dernier, pour célébrer notre seizième anniversaire : et voici que, un an après, venant juste de terminer l'importante livraison sur la terrible inondation de 1910 à Paris, et l'image extrêmement positive qu'ont montrée les Camelots du Roi à ce moment-là, en se mettant généreusement et efficacement au service des sinistrés, notre Catégorie est déjà riche de 116 livraisons !...

    Cette année, pour célébrer notre dix-septième anniversaire, nous arrivons au cinquantième de nos Grands Textes, et nous avons surtout choisi de lancer notre cinquième feuilleton : "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !", Léon Daudet", dont la publication, à raison de deux livraisons par jour, s'étalera sur environ trois mois.

    Parallèlement, avant les vacances d'été, nous donnerons tous les comptes-rendus de l'intégralité des Rassemblements royalistes tenus en Provence (notamment à Barbentane et Roquemartine), entre les deux guerres...

    Et, ne pouvant tout faire à la fois - ce qui, d'ailleurs ne serait pas souhaitable - nous garderons le sixième feuilleton pour notre prochain dix-huitième anniversaire : à ce moment-là, entre les Grandes "Une" et les Documents pour servir à une histoire de l'URP d'une part, et les feuilletons sur Maurras, Bainville et Daudet (sans oublier l'Histoire de France, les Guerres de Vendée et Chateaubriand) d'autre part, nous commencerons à offrir aux nouveaux lecteurs, aux nouveaux publics, un ensemble de plus en plus complet permettant à ceux qui l'ignorent (ils sont, hélas, légion...) de découvrir la richesse de ce que l'on pourrait appeler le fonds d'Action française...

    Ces nouveaux lecteurs, ces nouveaux publics dont je parle proviennent, entre autres, des 43 groupes privés qui, nous ont proposé de les rejoindre : nous étions membres de 36 groupes, lorsque facebook - vous vous en souvenez - nous a scandaleusement "restreint" notre page pendant trois mois, puis encore pendant un mois, quelques jours à peine après nous avoir rendu un accès normal au réseau : évidemment, pas de "partages" dans les groupes à ce moment-là ! En réaction, et par mesure de soutien, dont nous leur savons gré, les responsables et administrateurs de sept nouveaux groupes nous ont invité à les rejoindre : c'est donc maintenant dans 43 groupes que nous "partageons" notre Revue de presse et d'actualité quotidienne, sans compter trois groupes "historiques", dans lesquels nous ne publions que nos Éphémérides, et deux groupes "internes", si je puis dire, regroupant des anciens du mouvement... 

    Merci donc à tous, et Joyeux anniversaire à nous ! Continuons à servir sans relâche, en accomplissant ce gros travail au quotidien - qui est une des formes du militantisme... - que représente la réalisation de notre quotidien, et

    SURTOUT, SUR TOUT, VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

     

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau;

    Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en chef;

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Macron s'est encore une fois donné en spectacle...

    Encore une fois, c'est raté...

    Sacha Guitry disait "On peut faire semblant d'être grave; on ne peut pas faire semblant d'avoir de l'esprit..."

    Macron a voulu jouer au penseur, au philosophe, à l'on ne-sait-trop-quoi, lors de la panthéonisation : il n'a accouché que d'un pathos d'une insanité aussi extravagante qu'insensée.

    Laetitia Strauch-Bonart (Rédac chef Idée à L'Express) a bien résumé le ridicule, l'inepte et l'indécence des propos présidentiels : 
     
    "Emmanuel Macron, pour l'entrée des Manouchian au Panthéon, a prononcé un discours extrêmement dérangeant. En bref, un éloge kitsch et indécent du communisme. Jugez-en plutôt : Macron évoque sans aucune distance l'"idéal communiste" embrassé par Manouchian et, en passant, met sur le même plan "1789" et "1793". Et il dit : "Parce qu’ils sont communistes, ils ne connaissent rien d’autre que la fraternité humaine, enfants de la Révolution française, guetteurs de la Révolution universelle". Vous avez bien lu. C'est une insulte à la mémoire des dizaines de millions de morts de cette idéologie épouvantable. Soljenitsyne se retourne dans sa tombe, Poutine se marre."

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  • Éphéméride du 23 février

    Mayence, le Kirschgarten dans la vieille ville

     

     

     

     

    1440 : Naissance de l'imprimerie 

     

    Dans son atelier de Strasbourg, Gutenberg, né à Mayence, réussit la première impression d’une page lisible, à l’aide d’une presse et de caractères mobiles en plomb : c’est la révolution de l’imprimerie.

    Rentré à Mayence, le premier livre qu’il imprimera sera une Bible de 1.282 pages.

    La nouveauté du système mis au point par Gutenberg tient à ce qu'il remplace les caractères mobiles (déjà connus, mais fabriqués en argile ou en bois, et qui s'usaient donc assez rapidement) par du métal : ces caractères pouvaient donc être employés beaucoup plus longtemps; cette innovation permit la multiplication du livre, la baisse de son prix et, contrairement à la copie, la fidélité assurée au texte original.

    C’est une des pierres de base de l’Europe de la Renaissance humaniste. 

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1803 : Napoléon contre la France, avec son "recès" de 1803, dont il amplifiera les conséquences catastrophiques pour nous avec sa médiatisation de 1806. Ces deux actes malfaisants préparent, tout simplement, et organisent, l'unification de l'Allemagne !

    Cette rupture avec la politique traditionnelle de la monarchie, cette "politique" (!) anti-nationale était une folie : elle détruisait l'oeuvre bienfaisante de Louis XIII et Louis XIV, de Richelieu et Mazarin, qui avaient obtenu le morcellement de l'Allemagne en plus de 350 États, par les Traités de Westphalie - "chef d'oeuvre absolu", disait Bainville - qui assuraient notre sécurité et nous donnaient la prééminence en Europe.

    Cette politique suicidaire, trahison totale des intérêts nationaux de la France, fut mise en route par la Révolution et la République, et poursuivie par son "sabre", Napoléon, puis par Napoléon III : tous, Révolution, Républiques, Empires, agissant contre l'intérêt national, et - de fait - en "intelligence avec l'ennemi"…

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Vers un fichage des journalistes et des chroniqueurs ?

    De Philippe de Villiers :

    "Ficher les journalistes et chroniqueurs : #Orwell n'y avait même pas pensé ! Ce qu'a fait Emmanuel #Macron, avec son délégué général des États généraux de l’information, est inouï : il restera dans l'Histoire..." :

    (extrait vidéo (4'32)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1760189321133338930?s=20

    L'émission complète (43'40) :

     

     

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  • Trois patronymes de militants retrouvés (pour l'instant...) dans la chronique "Ligue d'Action française" du quotidien...,

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgOu : premiers résultats inattendus de notre plongée dans l'immense fond d'archive que constitue la collection de L'Action française...

    Lorsque nous préparions notre seizième anniversaire, l'année dernière, nous cherchions une idée originale : nous la trouvâmes en nous demandant pourquoi nous ne nous plongerions pas - en emmenant nos lecteurs et amis avec nous - dans l'immense opportunité que nous offrait, tout simplement, la lecture des numéros de L'Action française. Et ce fut l'invention de notre nouvelle Catégorie "Grandes "Unes" de L'Action française..." 

    Nous nous doutions bien que nous trouverions force choses intéressantes "là-dedans", mais nous ne nous doutions pas que nous en trouverions autant, et d'aussi inattendues...

    Pour nous en tenir au seul aspect personnel, nous sommes trois, pour l'instant, à avoir retrouvé notre patronyme inscrit dans le quotidien : manifestation émouvante de la fidélité et du militantisme de nos parents et grands-parents...

    • Le premier qui trouva son nom fut notre Rédac'chef, Jean-Baptiste : dès que l'idée fut lancée, il trouva, dans les jours qui suivirent l'annonce suivante... :

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    ... dans le numéro du 23  Juillet 34, Rubrique "Mariages", juste en dessous de la Chronique quotidienne "Ligue d'Action française".

    Germain Collomb, "ligueur de Marseille", et Gabrielle de Gombert sont les grands-parents de Jean-Baptiste Collomb, notre Rédacteur en chef, à lafautearousseau... "Ligueur de Marseille", Germain Collomb a, évidemment, participé, le 6 Février précédent, à la grande "manif" de Marseille (car "le 6 février" eut lieu non seulement à Paris mais partout en France...) aux côtés de mon père et de Louis Ducret, le Trésorier de la Section de Marseille lorsque j'entrai pour la première fois dans notre beau local du 9 rue Saint-Suffren, à Marseille, et qui me raconta par le menu la-dite manif...

    • Ensuite, rien, pendant presqu'un an, jusqu'à la livraison de notre dernière série sur les terribles inondations de 1910. La série - assez longue... - commença avec le numéro du 20 Janvier et s'acheva avec ceux de la dernière semaine de février; et voilà que, coup sur coup, dans deux numéros à la suite (ceux du 20 et du 21 février, donc, les tous derniers que nous consultions pour cette livraison) nous tombons sur les deux textes suivants :

    • À Toulon, dans le numéro du Dimanche 20 Février 1910 (page deux), l'Union Fraternelle de Prévoyance de l'Action française a renouvelé son bureau... :

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    Si ma famille paternelle est bien "de Martigues", et depuis des générations (voir ici et ici) une branche quitta la ville pour s'installer à Toulon, au début du siècle dernier : c'est grâce à elle que mon père obtint son premier emploi, à l'Arsenal (il avait - comme on le voit avec le portrait de Maurras qu'il réalisa, à la plume et à l'encre de chine - un réel don pour le dessin); son adresse était, alors, "Villa Les Olivettes - Chemin Foulcon, Petit-Bois, Cap brun".

    Il y eut trois enfants dans ma famille martégale : deux garçons (Raoul et mon père) et une fille, Noëllie. Raoul quitta très vite la Provence, attiré par l'Hôtellerie-Restauration; mon père vint se fixer à Marseille, après avoir rencontré et épousé ma mère; et ma tante Noëllie, à force d'aller à Toulon, visiter notre "branche exilée", y rencontra Tòni Rufo, un artisan boulanger-patissier, qu'elle épousa, se fixant elle aussi, à son tour, à Toulon. Du coup, restés seuls à Martigues, mes grands-parents vinrent aussi s'installer à Toulon, où ils aidèrent à la boulangerie familiale, quartier des Routes...

    La "branche toulonnaise" de ma famille paternelle était évidemment restée ardemment royaliste et militante, comme en témoigne le compte-rendu ci-dessus...

     

    • Et enfin, dans le numéro du lendemain, Lundi 21 Février 1910, en "Une", s'il-vous-plaît, sixième colonne :

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    ( si vous souhaitez lire l'ensemble du compte-rendu "de notre envoyé spécial", c'est ici :

    Guy Bertran de Balanda : quatre ans déjà, toujours présent !

    La famille Bertran de Balanda est l'une des plus anciennes familles catalanes, et même sa "branche marseillaise" se rend toujours à La Tour / Bas-Elne, où elle est fixée depuis des temps lointains. Guy, militant de toujours de l'URP, ne dérogeait pas à la règle, et voilà pourquoi nous citons ce passage de L'A.F. qui concerne le Roussillon mais, aussi, par Guy, l'URP...

    Voilà, pour l'instant, l'un des résultats de nos recherches.

    Rendez-vous bientôt, peut-être, pour de nouvelles trouvailles, concernant d'autres militants...

    François Davin

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  • Éphéméride du 22 février

    1986 : Lancement de Spot 1

     

     

    1358 : Coup de force d'Étienne Marcel 

     

    22 fevrier,etienne marcel,louvre,affaire des poisons,la voisin,louis xiv,airbus a 320,charles vii,chopin,le brun,corot,spot,catinatLe roi Jean II (le Bon) était prisonnier à Londres, après sa défaite de Poitiers, en 1356. Il était, ainsi, le deuxième roi de France fait prisonnier sur le champ de bataille (voir l'Éphéméride du 11 février).

     
    L'anarchie s'installait, succédant au découragement et au flottement de l'opinion. Étienne Marcel, Prévôt des Marchands, profitant de la situation et de l'affaiblissement notable du pouvoir royal,  pénétra avec une troupe dans les appartements du Dauphin, au Louvre, et fit assassiner ses deux maréchaux conseillers (ci dessous).

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