Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

Dans L'Opinion :
https://www.lopinion.fr/politique/un-premier-ministre-pour-ne-pas-gouverner
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Dans L'Opinion :
https://www.lopinion.fr/politique/un-premier-ministre-pour-ne-pas-gouverner
A l'affiche : Highway 65, un film israélien de Maya Dreifuss.
Une lente enquête policière dans un paysage sans intérêt...
it's a long, long way... pour arriver au dénouement...
Mon épouse est moins sévère.
Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici le lien conduisant à la "Une" du Samedi 17 Mars 1917 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k759378g
L'intégralité des deux dernières colonnes de la "Une" est consacrée "aux évènements", relation qui se poursuit en page deux, sur toute la première colonne et le tiers supérieur de la deuxième.
C'est Jacques Bainville qui, sur les deux tiers supérieurs des deux premières colonnes de la "Une" analyse la situation, dans son brillant article "Un 1830 à Pétrograde"...
• Commençons donc par le Bainville :
Équipe | ||||
---|---|---|---|---|
1
|
43 | 30 | 14 | 87 |
29 | 15 | 10 | 54 | |
13 | 19 | 10 | 42 | |
4
|
12 | 8 | 18 | 38 |
5
|
11 | 10 | 13 | 34 |
Grâce à une magnifique cinquième journée à Paris, où l’équipe de France a conquis cinq titres paralympiques lundi 2 septembre, la délégation tricolore a égalé son nombre de médailles d’or remportées à Tokyo. Elle est actuellement 5e au tableau des médailles.
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, reçu par Dimitri Pavlenko (ndlr : là aussi, il faudrait dire "dans notre Système" et pas "dans notre pays"...) :
Équipe | ||||
---|---|---|---|---|
1
|
33 | 27 | 11 | 71 |
23 | 12 | 8 | 43 | |
8 | 11 | 8 | 27 | |
4
|
8 | 4 | 15 | 27 |
5
|
6 | 9 | 11 | 26 |
Dans le sillage de Flamanville... la France reprend la place qu'elle n'aurait jamais du perdre dans le peloton de tête du nucléaire mondial. Le grand chantier de l'EPR est désormais terminé, et l'ensemble doit "démarrer" dans les prochains jours.
• Ainsi, la trahison de Borne (validée par Macron) qui a fermé Fessenheim nous aura seulement fait perdre une précieuse centrale, qui aurait pu vivre encore des décennies...
• et les deux autres trahisons de l'intérêt national (Voynet/Jospin, qui ont saboté Super Phénix, et Macron, qui a arrêté le "projet Astrid) n'auront pu venir à bout de la puissance et de la grandeur de notre outil nucléaire : il aura seulement été sérieusement malmené, au point de manquer disparaître; la France, à cause de ces sinistres personnages, aura seulement perdu plusieurs décennies, une grande quantité de compétences humaine et de savoir-faire; et beaucoup d'argent : mais, finalement, rien n'y aura fait et - on nous pardonnera le jeu de mot un peu facile - mais... PHÉNIX EST RENÉ DE SES CENDRES !...
Et aujourd'hui la France reprend sa marche en avant, et retrouve un peu de sa grandeur, en se dirigeant à nouveau vers sa place naturelle, située sur les sommets, comme le dirait de Gaulle...
Des journalistes marchent dans un couloir de l'usine de retraitement de la Hague (Manche), le 30 août 2024. (LOU BENOIST / AFP)
VIVE LE NUCLÉAIRE !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici le lien conduisant à la "Une" du numéro du Lundi 12 Mars 1917 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k759373k/f1.item.zoom
Ce sont "Hérecourt" (dans les deux tiers supérieurs de la sixième colonne) et Maurras, dans le quatrième paragraphe de "La Politique" (la plus grande partie de la troisième colonne) qui reviennent sur ce sujet fondamental, alors que la Grande guerre est loin d'être terminée...
• On commencera par le Hérecourt, qui propose en quelque sorte, un survol du sujet, une vision d'ensemble, sur plusieurs siècles, de ce que pensaient et voulaient les Rois, au sujet du Rhin...
Le Brésil coupe l'accès à "X".
Cannes 2024 : Santosh, un film indien (VOSTF), le premier long-métrage de Sandhya Suri, avec Shahana Goswami dans le rôle-titre,
inspiré de faits réels.
Santosh… une policière amenée à enquêter sur le viol et le meurtre d’une jeune fille. Une réalisation trop longue (2h08) et trop lente sur les méandres de la société indienne composée de castes, avec en sus la coexistence d’hindous et de musulmans… et, comme partout, la corruption.
mon épouse a apprécié, mais j’aurais pu ne pas le voir.
29 août 2024
Notre monde n’est pas parfait, ni nous d’ailleurs. Chacun de nous, à sa façon, essaie de le rendre meilleur. Dans nos sociétés, le facteur humain est central, dans nos réflexions comme dans nos actions. C’est pourquoi notre mode de gouvernement doit se faire d’abord pour les autres et non pour soi, comme nous le voyons trop souvent aujourd’hui.
En effet, le pour-soi et l’entre-soi remplissent nos espaces de vie, privés comme publics ; la carrière, l’argent, le pouvoir, les passions parfois les plus sombres. Avec plus ou moins de force, aucune structure humaine n’y échappe. Les fractures multiples qui caractérisent notre société sont entretenues, ravivées comme nous avons pu le voir lors des élections européennes et législatives ou à l’occasion des Jeux Olympiques. Nos souverainetés sont abandonnées et nos libertés confisquées par ceux-là même qui devraient nous protéger et qui, au lieu de cela, jouent les apprentis sorciers. Nous le vivons malheureusement de plus en plus.
Est-ce là l’aboutissement de 70 000 ans d’humanité, de 2 000 ans de chrétienté et de 1 500 ans d’histoire commune ? Devons-nous nous résigner à cette situation ? Je ne le crois pas.
Plus que par nos passions, nous nous caractérisons par notre raison. Descartes avait vu juste en disant que « le bon sens » était « la chose du monde la mieux partagée ». Mais encore faudrait-il qu’elle soit droite ! Et dans sa recherche d’idéal, pourquoi l’homme de raison ne s’attacherait-il pas à poursuivre le bien ! Et dans ses relations, pourquoi l’homme social ne miserait-il pas plus sur la confiance ! Et dans sa gouvernance, pourquoi l’homme de responsabilité ne s’appuierait-il plus sur les corps intermédiaires ! Cela rétablirait peut-être le sens du service, un service individuel et collectif exercé dans la solidarité, la justice et la liberté. Cela rendrait nos sociétés plus humaines, unies et paisibles, facilitant ainsi l’exercice d’une charité bien ordonnée.
Et par quels moyens politiques pourrions-nous y arriver ? Peut-être faudrait-il privilégier le long terme ; ce pourrait être par exemple en revenant au septennat. Peut-être faudrait-il favoriser une meilleure représentativité de nos concitoyens et de ce qu’ils expriment ; ce pourrait être par exemple en réintroduisant une dose de proportionnelle dans nos modes de scrutin. Peut-être faudrait-il reconnecter nos politiques à la réalité du terrain ; ce pourrait être par exemple en ré-autorisant le cumul d’un mandat local et d’un mandat national ? Ces moyens politiques devraient être recherchés dans un état d’esprit qui remplacerait les « calculs politiques » par une vraie réflexion stratégique, pour la défense des intérêts vitaux de notre pays et de nos concitoyens, dans une Europe respectueuse des richesses et particularités de chaque nation.
Et pourquoi ne pas aller chercher l’original plutôt que de se contenter de la copie ? Les monarchies sont nombreuses en Europe. Sans avoir la prétention d’être le remède miracle, la monarchie, en s’appuyant sur ces piliers, mettrait en place une dynamique « vertueuse », solide et souple à la fois. Un système plus responsable et vivant, où les libertés fondamentales sont respectées, où le bien, le beau et le vrai restent des belles choses à accomplir pour une vie sociale meilleure et pleine d’avenir.
Nommer Bernard Cazaneuve à Matignon ? Une hypothèse que commente ainsi Vincent Trémolet de Villers, reçu par Dimitri Pavlenko :