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"Les "œuvres vives" du navire France sont atteintes et nous sommes passés sous la ligne de flottaison :
• Sur le plan financier. Nous sommes en "super faillite" avec une dette de 3.000 milliards d’euros, notre déficit extérieur atteint des niveaux records et les prélèvements obligatoires dépassent les 46% : les Français travaillent pour l’Etat jusqu’à la fin du mois de juin !
• Sur le plan démographique. En 2023, 500.000 migrants sont entrés sur le territoire français. Or, nous sommes au point de bascule puisque la natalité poursuit sa chute.
• Sur le plan diplomatique. Nous avons été chassés de l’Afrique et sommes fâchés avec la Tunisie, le Maroc, l’Algérie. La France a été absente pour sauver les Arméniens du Haut-Karabagh…
• Pour couronner le tout, le corps diplomatique a été supprimé !..."
A l’affiche : La Tresse, un film français de Laetitia Colombani, avec Mia Maelzer (Smita), Fotini Peluso (Giulia), Kim Raver (Sarah), Avi Nash (le Sikh) adapté du roman éponyme de la réalisatrice, paru en 2017.
« Préparez-vous à être ému aux larmes », prétend l’affiche… N’exagérons rien, même si j’attribuerais 4 étoiles (faisons en l’expérience) sur 5 à ce long-métrage.
Laetitia Colombani s’est-elle souvenue de Samson, « nazir de Dieu », qui perdit sa force quand Dalila « lui fit raser les sept tresses des cheveux de sa tête » ? C’est en tout cas avec le fil rouge de ces cheveux, et de la force capillaire, que Laetitia nous promène en Inde, en Italie et au Canada, en compagnie de jolies femmes (particulièrement Giulia, et on envie le Sikh), qui ont pour point commun de savoir dire NON et de ne pas se soumettre…
Un film « féministe » ? Peut-être, mais un vrai féminisme, un féminisme sain et non pas à la Sandrine Rousseau ni à la « Woke », ni en fait à la gauchiste comme celles que l’on vante dans nos sociétés… Jeanne d’Arc, d’ailleurs, qui a su, elle aussi, dire NON à la défaite et aux Anglais en conduisant les hommes à la guerre, n’était-elle pas précisément précurseur dans le féminisme ?
1578 : Henri III fonde l'Ordre du Saint Esprit (ici, Collier, époque Restauration)
406 : Les tribus barbares franchissent le Rhin
La tradition rapporte que cela s'est passé dans la région de Mayence, durant la nuit du 31 décembre : cette année-là, en effet, un hiver exceptionnellement rigoureux a gelé le fleuve durablement et en profondeur.
Mais il a certainement fallu, en fait, beaucoup plus d'une nuit...
Et, en réalité, cette grande poussée des peuples barbares n'est qu'une conséquence : au fin fond de l'Asie, les Huns ont entamé leur migration vers l'ouest, et chassent les Vandales et les Sarmates, qui à leur tour chassent les Goths (Wisigoths et Ostrogoths) et ainsi de suite, par effet de domino...
Le limes rhénan (ci dessous, reconstitution dans la région de Mayence) ne peut plus suffire à contenir la poussée : ce sont les Grandes Invasions...
"En 1990, Valéry Giscard d'Estaing regrette les conséquences du regroupement familial qu'il avait pourtant mis en place. Un an plus tard, la société de connivence s’abat comme un aigle dans la forêt noir sur le pauvre Jacques #Chirac critiquant ce même regroupement familial. A partir de cet instant, c’est la grande conversion de la droite à la gauche : ils feront #Maastricht et mettront fin à la souveraineté française..."
Deux grands conflits retiennent l’attention du monde, en Ukraine et dans la bande de Gaza. Nous ne savons pas quand ils se termineront : peut-être jamais en Israël, peut-être en 2024 en Ukraine. Pour ce dernier, cela dépendra, entre autres, du bras de fer opposant républicains et démocrates aux Etats-Unis.
Ce bras de fer va être d’une intensité croissante en raison des élections présidentielles à venir en novembre prochain. D’ici-là, la longue litanie des primaires va démarrer le 15 janvier dans l’Iowa et s’étirer sur des mois.
Les six premiers Capétiens directs procéderont ainsi : après Hugues, Robert II le Pieux, Henri 1er, Philippe 1er, Louis VI et Louis VII feront sacrer leur fils de leur vivant.
Philippe Auguste, septième roi de la dynastie sera le dernier sacré du vivant de son père, Louis VII : à sa mort, le trône était suffisamment solide pour qu'il se dispensât de cette précaution.
Et, en effet, son fils Louis VIII lui succédera sans qu'aucune contestation ne s'élève.
#LoiImmigration / Le "en même temps" dépasse l'entendement : on fait croire aux pauvres Français que cette fois-ci, c'est réglé, alors que ce n'est qu'un toilettage cosmétique. On ne touche pas aux frontières - Schengen -, à la Cour européenne des droits de l'Homme, aux accords avec l'Algérie, à l'aide médicale de l'État... Au même moment : - #Bruxelles annonce un accord sur le Pacte migration/asile, - l'Allemagne souhaite élargir l'Union européenne en mettant fin au droit de véto des États membres, - le Parlement européen adopte le certificat de parentalité européen, qui mènera à la reconnaissance de la #GPA. L'#Europe avance, et elle commande. Emmanuel #Macron ne fait que transposer les décisions de Bruxelles en France. Il ne reste plus qu’au Parlement français le calendrier scolaire et la retraite des anciens combattants !..."
• le premier septembre, la France et la Grande-Bretagne ont déclaré la guerre à l'Allemagne hitlérienne;
• et, le à Moscou - les ministres des Affaires étrangères allemand, Joachim von Ribbentrop, et soviétique, Viatcheslav Molotov, ont signé le pacte de non-agression germano-soviétique...
La manchette du journal revient sur les propos du Maréchal Foch... :
... qui ne fait que reprendre l'avertissement de Maurras sur le Nazisme et le Communisme, à égalité dans l'horreur, et faits pour s'entendre, comme nous l'avons donné dans nos deus "Grandes "Une"..." suivantes :
Pourtant, dans le numéro de ce 6 octobre, c'est sur l'article de Daudet (médecin de formation) que l'on s'arrêtera, car Freud est mort le 23 septembre précédent...
1926 : Premières sanctions vaticanes contre l'Action française, décrétées par Pie XI
• "Premières", car elles seront aggravées le 8 mars suivant : le 29 décembre 1926, c'est "seulement" - si l'on peut dire... - l'ensemble des ouvrages de Maurras ainsi que le quotidien L'Action française qui sont mis à l'Index par décret du Saint-Office; mais le 8 mars 1927, les adhérents de l'Action française seront carrément interdits de sacrements...
• "Sanctions" et non "Condamnation", car ni l'Action française, ni Maurras, ni le Royalisme n'ont jamais été "condamnés" par l'Église catholique. Lorsque l'Église catholique "condamne" un mouvement, une doctrine, une théorie, une personne... il s'agit d'un acte définitif et irrévocable, absolument irréversible, sur lequel aucun Pape ne pourra jamais revenir, jusqu'à la fin des Temps. Ainsi, le pape Pie XI a "condamné" le nazisme le 14 mars 1937, par la Lettre Encyclique "Mit brenender sorge", et le communisme (mot usuellement employé pour définir le "marxisme-léninisme"), le 19 mars 1937, par la Lettre Encyclique "Divini redemptoris". Aucun Pape n'est revenu sur ces "condamnations", et aucun Pape n'y reviendra jamais : jusqu'à la fin des temps, il est impossible à quiconque se dit chrétien d'adhérer aux théories nazies et marxistes, ou alors il s'exclut par là-même, et de lui-même, de l'Église catholique. Rien de tel ne s'est passé pour l'Action française en 1926 : aucune Lettre Encyclique n'est venue "condamner" le Royalisme, ni Maurras, ni l'Action française, et les choses sont donc radicalement différentes (émanant toutes trois d'un même Pape, Pie XI) : nazisme et marxisme-léninisme furent condamnés en tant que tels, irrévocablement, alors qu'l y a "seulement" eu des "sanctions" pontificales, le 29 décembre 1926, les ouvrages de Charles Maurras ainsi que le quotidien "L'Action française" ont "simplement" été "mis à l'Index", c'est-à-dire interdits de lecture pour les catholiques. Et, un peu plus de deux mois plus tard, le 8 mars 1927, ces "sanctions" furent aggravées : les catholiques qui restaient fidèles au mouvement royaliste se voyaient privés de tout sacrement, y compris au moment de leur mort...
La mort de Patrick Buisson, ce 26 décembre, a douloureusement surpris l’Action française. Patriote intransigeant, membre à part entière de la famille nationaliste, il était un homme de conviction. Ce catholique sincère avait été nommé, en janvier 2012, par décret du pape Benoît XVI, commandeur de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand. Militant toute sa vie de la cause nationale, que ce soit au travers de la presse ou dans l’action politique, il n’avait pas hésité à prendre des risques politiques jusqu’au plus haut sommet de l’État afin d’orienter l’action de l’exécutif dans le sens du bien commun. Ce fut, hélas, peine perdue, mais il tira de cette expérience un livre, La Cause du peuple, dont l’enseignement vise bien plus loin qu’une satire féroce du pays légal : c’est la vivisection en règle d’us et coutumes d’une République où le personnel se sert avant de servir. Il fut également le directeur de la chaîne Histoire de 2007 à 2018.
Homme de fidélité, ses recherches historiques le conduisirent notamment vers les guerres de Vendée, la Grande Guerre, la guerre d’Indochine ou la guerre d’Algérie et l’OAS. Analyste d’une grande finesse de l’évolution de notre société, il écrivit, en trois tomes, une monumentale étude de la sexualité des Français durant l’Occupation (1940-1945 : Années érotiques). Il avait entrepris une autre monumentale étude de l’évolution des mentalités depuis les années 1950 jusqu’à aujourd’hui : il avait publié le premier tome La Fin d’un monde en 2021 et le deuxième, Décadanse, venait de sortir. Tous ces livres font déjà autorité.
Patrick Buisson nous avait fait l’honneur et l’amitié de participer à des manifestations organisées par l’Action française ou de nous accorder des entretiens. Ce fils de camelot du Roi l’était devenu lui-même dans sa jeunesse. D’une constance remarquable à travers la richesse de ses engagements, il n’a jamais cessé de revendiquer ses fidélités politiques. Devenu un des deux conseillers d’un président de la République ne trancha-t-il pas auprès du second : « Ma référence ? Profondément ? Moi je suis le fils d’un camelot du roi. Je suis monarchiste, je suis royaliste. »
L’Action française présente à sa famille ses plus sincères condoléances.