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Si la devise de Fouquet était "Quo non ascendam ?" (jusqu'où ne monterai-je pas ?), celle de la République idéologique (en latin de cuisine) est certainement : "Quo non descendet ?" (jusqu'où ne descendra-t-elle pas ?)
Hôtel de ville de Marseille, façade sur le Vieux Port : Louis XIV domine la ville...
L'annonce ci-dessus paraît trois fois, toujours en "Une", dans les numéros du 9, 10 et 11 Juin (actualisée ce jour-là par un "Aujourd'hui"...); il n'y a rien dans le numéro du 12 car, Maurras ayant été élu à l'Académie - au fauteuil de Jean de La Fontaine - le 9 Juin, la "Une" publie, ce jour-là cette photo de lui, et la suite des "Félicitations"... :
Il est émouvant de lire la légende de cette photo, prise "dans les jardins de Mme Jacques Bainville", l'ami fidèle, le plus jeune des "trois mousquetaires", et, pourtant, parti le premier, trois ans plus tôt, ce terrible 9 Février 1936...
C'est, ensuite, dans la "Une du Lundi 13 que le journal revient sur les deux réunions :
1. D'abord, celle de Pujo, du samedi (même si le journal commence par dire un mot, très court, des "onze cent couverts du merveilleux banquet de la Saint-Jean et du tricentenaire de Louis XIV, dont nous donnerons demain un compte-rendu complet..."
•Dans la partie inférieure des deux colonnes centrales (trois et quatre)...
Cette Maison blanche qui a toujours été hostile à la France et aux intérêts français (voir - un exemple entre mille - le sabotage de la victoire de 14/18, qui nous donné Hitler et 39/45...)...
De Fabien Bouglé (sur tweeter) qui renvoie à l'article de Thomas Durand, dans École de guerre économique :
"Comment les Etats-Unis prennent le contrôle de l’industrie nucléaire en Europe de l’Est au détriment de Framatome..."
"Alors que les regards se fixent sur la guerre qui oppose russes et ukrainiens une guerre d’une autre nature se joue aussi dans l’Est de l’Europe. Cette « autre guerre » est d’ordre économique. Elle oppose l’américain @westinghouse au français @Framatome..." :
Encore une entorse à notre règle de ne présenter que des "Une" en image centrale de ces notes : l'immense "Napoléon" de Bainville n'est présenté, dans ce numéro du Jeudi 15 Octobre 1931, qu'en page trois !
Voici le lien qui y donne accès : la page est intégralement consacrée à "La vie littéraire" et, sur presque les deux tiers supérieur des deux premières colonnes on a les dernières lignes de la dernière page de "ce grand livre", présentées au lecteur par une courte introduction, même pas signée (les dix lignes de conclusion, avec la signature "Jacques Bainville" sont reportées en troisième colonne, au centre) :
Tout a été parfait, magnifique, superbe dans cette arrivée du Belem à Marseille : la beauté du site naturel de la ville, la beauté du navire, l'enthousiasme et la joie - sans le moindre incident... - de la population, le tifo splendide et riche de sens offert par les supporteurs de l'OM, la Patrouille de France, le multiple médaillé Florent Manaudou, modèle pour tous...
Il a fallu qu'après ce "tout parfait" Macron vienne clôturer ce splendide moment par les choix qu'il a imposés, ramenant la fête magnifique au fond du panier (pour ne pas dire de la poubelle) en nous imposant son Jul : Macron semble fasciné par les éphèbes (comme aux Antilles, par exemple) ou par les "rappeurs" (?) limite/limite, comme ce "Jul" (qui éructe tout de même "Te déshabille pas je vais te violer" dans l'une de ses chansons (?), et il y en a des dizaines d'autres comme "ça" : par exemple, ce monstrueux "Nique ta mère sur la Canebière - Nique tes morts sur le Vieux-Port"...); Macron semble fasciné aussi par tout ce qui vient des banlieues en général (oser dire que le "9.3." c'est "la Californie sans la mer", il fallait le faire, eh, bien ! il l'a fait ! il l'a dit !).
Que Macron soit fasciné par ses fantasmes, c'est son problème ! Mais qu'il ne les impose pas à la terre entière !
Nous sommes totalement d'accord avec l'article de Marie Delarue, dans Boulevard Voltaire :
"Macron nous impose la start-up nation version Jul : beuh, wesh-wesh et Coca-Cola" :
A l’affiche : Sidonie au Japon, un film français d’Élise Girard, avec Isabelle Huppert dans le rôle-titre.
« Elle avait pour prénom Sidonie, Ses amis l’appelaient Lasido».
J’aurais, effectivement mieux fait d’écouter, avec les Frères Jacques, son « horrible mélange de faux do, de faux si, de faux ré », que de partir avec elle au Japon dans ce film d’inaction… j’ai eu autant de mal à rester vigilant que dans la fumerie du Lotus Bleu chez Mitsuhirato.
Décidément, nous devons être allergiques à cette actrice que nous avons vue dans au moins 9 films, avec un seul avis favorable – Eva (2018) – et encore je m’interroge à la lecture de mon commentaire !
LE CENTRE LESDIGUIERES vous convie à la messe de Sainte Jeanne D'arc, qui sera dite le dimanche 12 mai 2024 en la Collégiale Saint André, Place Saint André, à partir de 10h30. Dans ce cadre, une gerbe sera déposée par la DDCC aux pieds de la statue de Sainte Jeanne D'arc à l'intérieur de la collégiale. Merci d'en informer vos amis.
Très juste et très bien vu - comme d'habitude... - l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, reçu par Dimitri Pavlenko, sur Europe 1 :
"Macron, du Monde à l’Intime... L'Etat prétend réguler l'intime et le monde - la congélation des ovocytes et la dissuasion nucléaire - dans une contradiction perpétuelle. Il dénonce l'absence du père et promeut la PMA pour les femmes seules. Il réduit à néant la politique familiale et voudrait plus d'enfants..."
"Je suis soulagé que nous puissions travailler désormais ensemble pour développer un patrimoine historique et également mieux faire connaître l’histoire de France et celle de la dynastie capétienne à un public plus large."
Monseigneur le Comte de Paris a accordé une interview à Point de Vue où il revient sur son rôle de président d'honneur de la Fondation Saint-Louis. Toute la Famille de France participe ainsi à la valorisation de ce patrimoine.
Cet entretien fut l'occasion de la réalisation de magnifiques portraits pris à Bourbon-l'Archambault, Dreux et Amboise.
La hideuse alliance "escrolos/socialos" a fait tout ce qu'elle a pu pour saboter le nucléaire français, et a bien failli réussir : sabotage de Super Phénix sous Jospin, arrêt du Projet Astrid par Macron, fermeture de "Fessenheim ulta-moderne-et-sûre" par Borne et Macron... : tous ces insensés, traîtres à la Nation et à ses intérêts supérieurs, nous ont fait perdre un temps précieux, et une partie de l'avance colossale que nous avions sur tout le monde, y compris la Chine et les États-désunis, dans le domaine du nucléaire...
Heureusement, les anti nationaux, les anti France, ont fini par rater leur coup : ils ne nous auront fait perdre que beaucoup de temps et beaucoup d'argent, mais ils auront échoué : l’ASN ("Autorité de sûreté nucléaire, ndlr) autorise la mise en service du réacteur EPR de Flamanville, par décision du 7 mai dernier. Cette autorisation permet à EDF de charger le combustible nucléaire dans le réacteur et de procéder aux essais de démarrage puis à l’exploitation du réacteur...
"Je suis un peu étonné que des gens qui défendent un Parti communiste qui a collaboré avec les nazis me donnent des leçons de démocratie (...) et me traitent de facho" (Michel Onfray).
Retour en images sur le Printemps de la liberté d'expression, où Naulleau et Onfray ont été pris à partis par des énergumènes, "faux antifas/vrais terroristes", au cri de "fachos", "nazis" et autres cingleries de foldingues dont l'extrême-gauche terroriste a le secret...