Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
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Demain mercredi, jour de Noël, pas de notes sur lafautearousseau, qui fait "relâche", comme les jours de Pâques et de l'Assomption...
"À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l’Évangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Évangile, nous sommes perdus !" disait avec raison Jean de Lattre de Tassigny.
Et Chateaubriand écrivait "...Après Alexandre, commença le pouvoir romain; après César, le christianisme changea le monde; après Charlemagne, la nuit féodale engendra une nouvelle société; après Napoléon, néant : on ne voit venir ni empire, ni religion, ni barbares. La civilisation est montée à son plus haut point, mais civilisation matérielle, inféconde, qui ne peut rien produire, car on ne saurait donner la vie que par la morale; on n'arrive à la création des peuples que par les routes du ciel : les chemins de fer nous conduiront seulement avec plus de rapidité à l'abîme..." (Mémoires d'Outre-tombe, tome II, p.261).
Pourquoi ce "néant" dont parle, avec raison, Chateaubriand, après Napoléon, le sabre, l'héritier, le continuateur de la Révolution ?
Parce que la Révolution est d'abord et avant tout anti chrétienne; qu'elle s'est pensée, voulue et accomplie, en dehors, sans et contre l'héritage millénaire de la France chrétienne; un héritage qu'elle a voulu effacer et qu'elle prétend remplacer par elle-même, puisqu'elle se conçoit comme une nouvelle Religion, la Nouvelle Religion Républicaine.
Mais cette Nouvelle religion est inféconde : elle n'a su qu'affaiblir considérablement - sans le détruire complètement - le christianisme et avec lui l'âme, l'esprit Français. Et, aujourd'hui, les Français - des-éduqués par une École sectaire qui les a voulus "sans Dieu et sans Roi" - pour reprendre le mot de Jules Ferry - se retrouvent désemparés face à un Islam conquérant - lui - ou alors face au "vide", au "néant" dont parlait Chateaubriand.
Et cela parce que ses soi-disant "valeurs" ne sont que des mots, des abstractions et des incantations vaines, des formules creuses, qui ne pèsent d'aucun poids devant les réalités. La République idéologique n'a su et pu que détruire, sans rien construire à la place de ce qu'elle effaçait...
Le 8 novembre 1906, René Viviani prononça un discours fleuve à l'Assemblée (extrait) :
"...Nous sommes face à face avec l’Église catholique... La vérité, c’est que se rencontrent ici... la société fondée sur la volonté de l’homme et la société fondée sur la volonté de Dieu... Les Congrégations et l’Église ne nous menacent pas seulement par leurs agissements, mais par la propagation de la foi... La neutralité fut toujours un mensonge.
Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse... de façon active, militante, belliqueuse...
...Nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'irreligion; nous avons arraché la conscience humaine à la croyance...
...Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus...
...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l'Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d'extermination..."
Peu de temps avant ce discours, haineux mais au moins clair, c'est Georges Clemenceau qui, le 29 janvier 1891, avait lui aussi été très clair :
"...La Révolution française est un bloc… un bloc dont on ne peut rien distraire... C’est que cette admirable Révolution par qui nous sommes n’est pas finie, c’est qu’elle dure encore, c’est que nous en sommes encore les acteurs, c’est que ce sont toujours les mêmes hommes qui se trouvent aux prises avec les mêmes ennemis. Oui, ce que nos aïeux ont voulu, nous le voulons encore. Nous rencontrons les mêmes résistances. Vous êtes demeurés les mêmes ; nous n’avons pas changé. Il faut donc que la lutte dure jusqu’à ce que la victoire soit définitive..."
Ce combat de titans a donc débuté avec la funeste Révolution de 1789, et, depuis l'instauration de la funeste République en 1875, la France subit ce Régime qui la déclasse inexorablement, du point de vue matériel, en même temps qu'il la "vide" intérieurement de sa richesse spirituelle. Après avoir "changé le peuple" dans son mental, son moral, son imaginaire, par l'école, la République idéologique, devenue Système monstrueux, "change le peuple" par une immigration massive et continue : tout, pourvu que meure la France traditionnelle, lentement surgie du fond des âges à
partir de Clovis et de son baptême.
Nous, au contraire - qui préférons nous appeler "alter-révolutionnaires" que contre-révolutionnaires... - nous nous inscrivons clairement et fièrement dans cet héritage millénaire, chrétien et royal, écrit par nos ancêtres sur cette terre de France, et nous voulons poursuivre "l'aventure France" en commençant, d'abord, non pas pas "restaurer" un ordre ancien, mais par "ré-instaurer" l'esprit vivifiant et fécond de cet ordre, rénové et adapté aux exigences de notre temps...
"Pour moi, l'histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France. Avant Clovis, nous avons la préhistoire gallo-romaine et gauloise. L'élément décisif pour moi, c'est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs" (Charles de Gaulle).
Voilà pourquoi - trop rapidement résumé, certes... - lafautearousseau, trois fois par an, manifeste son attachement aux vraies racines de la France, qui sont chrétiennes, plutôt qu'aux malfaisantes nuées d'une Révolution sanguinaire, belliqueuse et génocidaire...
À Noël, à Pâques et le 15 août, voilà ce que nous voulons dire, en... ne disant rien !
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En 2024, ce sont des personnalités engagées et inspirantes qui sont venues aux Éveilleurs lors de conférences, d’entretiens vidéo ou de grandes soirées : Philippe de Villiers, Christine Kelly, Marc Menant, Stanislas Rigault, Guilhem Carayon, Romain Maréchal, Aziliz Le Corre…
L’événement marquant de notre année a été notre soirée avec les ténors de la droite : Marion Maréchal, François-Xavier Bellamy et Jordan Bardella, pour les élections européennes. Nous voulons être une agora de la reconstruction, en provoquant la rencontre et le dialogue de nos personnalités politiques, culturelles et littéraires et terminons cette année avec au cœur l’intense désir de poursuivre ce combat intellectuel et métapolitique, pour agiter les consciences et faire vivre le débat d’idées, en vue du bien commun de notre pays.
Et puisque vient Noël, nous avons la joie de vous offrir un passionnant entretien avec Aziliz le Corre, auteur de L’Enfant est l’avenir de l’homme. Après avoir mené une enquête presque policière dans le monde des adeptes du « No Kids », elle dévoile pour nous ses découvertes sur la conception et la situation de la maternité et de la fécondité dans le monde occidental. Quoi de plus actuel à la veille de Noël ?
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Au nom de tous les Eveilleurs nous vous souhaitons un saint et joyeux Noël,
Camille, Présidente,
Brieuc, Vice-président,
Gonzague, Trésorier.
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Obélix et tous les gaulois réfractaires seront certainement d'accord pour cette façon de résister à l'anglo-ricanisme qui nous assaille de partout !...
Et (par Maité et la grande cuisine française !), contre la mal bouffe et tous les "mal" qui nous viennent de là-bas, vive nos saines et robustes traditions, y compris culinaires et gastronomiques !!!!!
À écouter ces lamentables et misérables paroles d'un soi-disant président, on se demande qui est plus sinistré : Mayotte, ou... lui !
(extrait vidéo 0'16)
https://x.com/AmauryBrelet/status/1870020010703294607
D'accord avec Amaury Brelet :
A l’affiche : Saint-Ex… un film de Pablo Agüero, avec Louis Garrel, dans le rôle-titre, Vincent Cassel et Diane Kruger (les époux Henri et Noëlle Guillaumet).
Saint-Ex… « Dessine-moi un mouton »… J’aurais plaisir à dessiner une petite « caisse » dans laquelle je cacherais mon ignorance de l’histoire aéronautique, en général, celle de l’Aérospatiale en particulier et ma méconnaissance de Saint-Exupéry.
Pourtant, jeune louveteau, j’ai mimé le Petit Prince, lui-même, lors d’une fête paroissiale à Paris, mais je ne crois pas m’être intéressé à « Pilote de guerre », qui est le seul livre de cet auteur que je retrouve dans ma bibliothèque. Je n’ai donc certainement pas lu « Terre des hommes », et je ne savais rien de Saint-Ex et Guillaumet, que nous raconte ce réalisateur argentin. En cela ce film m’a intéressé sans pour autant savoir ce qui relève de l’Histoire et ce qui relève du roman.
La fin du scénario, néanmoins, m’a paru politiquement orientée, et j’ai horreur qu’on fasse parler les morts…
L’avion que pilotait Guillaumet, le 28 novembre 1940, a été mitraillé alors – ou parce - qu’il transportait vers Beyrouth le préfet Jean Chiappe tout juste nommé Haut-Commissaire en Syrie et au Liban. L’équipage coupable de cet acte n’a jamais été identifié… italien, comme s’en serait vanté un pilote, ou anglais, selon le communiqué du Gouvernement de Vichy ?
Guillaumet est donc mort à la guerre, de même que, 4 ans plus tard, en 1944, Saint-Exupéry. Ils sont morts pour la France. Un point c’est tout.
VICTOIRE À BÉLÂBRE !
Sur TVL :

Indre : le projet de centre d'accueil des demandeurs d'asile officiellement abandonné à Bélâbre

Benjamin Morel a raison : sauf à remonter à la misérable Quatrième République, on n'a jamais vu - depuis les débuts de la Vème - un Gouvernement et un Président aussi faibles.
Alors que la situation générale du pays, elle, n'a jamais été aussi catastrophique.
Jean-Pierre Raffarin dit que c'est la faute de la France, qui est irréformable.
Il a complètement tort : ce n'est en aucun cas la faute de la France !
C'est la faute du Système, qui est - on nous permettra le barbarisme -
IN -GOUVERNEUR !
En bon français : incapable, bon à rien; sauf à détruire, et à faire de ce qui était la première puissance du monde sous ses Rois un bateau ivre, qui fonce vers un avenir qui ressemblerait à... Zanzibar !
(extrait vidéo 0'56)
https://x.com/Le_Figaro/status/1868706534009585946
Palme d’or au festival de Cannes 2024 : Anora, un film américain de Sean Backer, avec Mikey Madison dans le rôle-titre, et Mark Eydelshteyn (Ivan).
Anora… Certes le synopsis parlait d’une strip-teaseuse mais la bande-annonce n’annonçait pas davantage de scènes scabreuses que ce que l’industrie cinématographique a malheureusement l’habitude de nous proposer… Il citait en outre Cendrillon, ce qui frise la publicité mensongère et blasphématoire.
En fait, la palme de ce film n’est vraiment pas une feuille de vigne et je me suis demandé pendant la très longue première partie, ce qui nous avait poussé à aller voir ce cinéma érotique, à la limite du porno, digne – si l’on peut dire - de salles de série B dans des rues de prostituées.
Et puis, Sean Backer change de registre et nous offre un spectacle farfelu, loufoque, burlesque, rocambolesque qui m’a fait éclater de rire… avant de m’ennuyer profondément dans une fin interminable qui fait écho au début…
Un long-métrage qui dure 2h20… que j’aurais mieux fait de passer à relire les Contes de Perrault.
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
"Notre-Dame de Paris, le pape à Ajaccio : la France redécouvre ses racines chrétiennes...
...A Notre-Dame de Paris il y a une semaine, hier à Ajaccio : en huit jours, c’est en allant puiser à la source chrétienne que la France, malmenée politiquement, déprimée collectivement, a retrouvé un peu de sourire. Cela devrait nous faire réfléchir...
...On répondra mieux à la volonté de conquête de l’Islam politique par le bourdon de Notre Dame, les crèches et les confréries que par une abstraction légale et réglementaire. Nier la dimension spirituelle de l’être humain, c’est le transformer soit en zombie, soit en fanatique..."
(extrait vidéo 3'47)
https://x.com/vtremolet/status/1868566672023732365

Art et essai : La Fille du puisatier… un film de Marcel Pagnol, avec Raimu et Josette Day (Pascal Amoretti et sa fille Patricia), et avec Fernandel (Félipe Rambert).
La Fille du puisatier… « C’est pas une fille, c’est un trésor »… et effectivement ce film de 1940, restauré sous l’autorité de Nicolas Pagnol, petit-fils de Marcel, « c’est un trésor ».
J’avoue n’avoir aucun souvenir de la version de Daniel Auteuil, en 2011, pourtant tournée avec une « brochette » de grands acteurs comme le réalisateur lui-même, mais aussi Kad Merad, Sabine Azéma et Jean-Pierre Darroussin… comme quoi l’original est toujours préférable à la copie.
Et, en l’occurrence, il s’agit du véritable original ! à savoir celui tourné en 1940 où Pagnol a inscrit ce drame familial dans le drame national, avec la lueur d’espoir qui s’ensuit : « C’est le cœur serré que je vous dis aujourd’hui qu’il faut cesser le combat (…) Je fais à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur ».
Ce long-métrage a en effet été « revisité » - comme ils disent – en 1944 pour substituer au Message du maréchal Pétain, l’Appel du Général de Gaulle.
Honneur à Nicolas Pagnol de ne pas s’être soumis à la bien-pensance !
Honneur aussi, d’ailleurs, aux quelques salles qui nous offrent ce film sans craindre « celles et ceux » qui pourraient l’accuser de misogynie, de « patriarcat » et même, pourquoi pas, faire interdire son « discours de haine » : « honnête… quoique avec les filles tu ne le sais jamais (…) les filles, elles mentent comme elles respirent ».
Messieurs les Censeurs, bonsoir ! et appliquons à cette Fille du puisatier la morale de l’histoire : elle n’est pas à nous, nous n’avons que le droit de l’aimer et de la servir.

... plusieurs personnes, dans et à l'extérieur de ce que l'on appelle familièrement "nos cercles", vont apprendre quand, comment et par qui fut "inventé" le sigle "Action française"... : dans cette deuxième série, qui couvre l'histoire du mouvement de 1920 à 1930, il suffira d'aller jusqu'au mois de novembre 1921 :
• L'origine du nom "Action française", expliquée en "Une" du numéro du Mardi 8 Novembre 1921 (moitié inférieure de la deuxième colonne de gauche) :