Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
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Cannes 2024 : Megalopolis , un film de Francis Ford Coppola, avec Adam Driver (l’architecte Cesar Catalina), Giancarlo Esposito (le maire, Mayor Cicero), Natalie Emmanuel (Julia Cicero, la fille du maire).
Megalopolis… Un long-métrage à grand spectacle, interminable, plein d’effets spéciaux, dont le scénario dépasse ma culture et mon « intellect » en mélangeant le passé de Rome et la modernité de New York. Un film qui me rend de mauvaise humeur tellement je n’y comprends rien…
Une réalisation apparemment pleine de messages politiques, opposant le progressisme à la réaction, contre le populisme, dont les images d’archives montrent Hitler et Mussolini, mais ignorent Staline, Pol Pot et autre Fidel Castro !
j’ai regretté de ne pas le voir à la télévision, car je serais allé me coucher au bout de 10 minutes. Une fois de plus, mon épouse est moins négative.

Paris, le 06 novembre 2024
« En démocratie, c’est le peuple qui choisit. » Mais les démocrates considèrent qu’il vote mal s’il ne choisit pas leurs champions. Les États-uniens viennent de le démontrer une deuxième fois en réélisant Donald Trump à la tête de leur pays : majorité des suffrages, majorité des grands électeurs, majorité au Sénat et à la chambre, la victoire est nette. Mais les États-Unis ne sont pas la France et nous ne pouvons que regretter cette marque d’aliénation intellectuelle, qui consiste à s’enthousiasmer de cette victoire, comme une certaine droite nationale, ou, comme le centre et la gauche, à la déplorer comme une catastrophe de portée mondiale. Les États-Unis sont également forts de cette américanisation des esprits, qu’on ne s’attendrait pas à trouver chez des patriotes.
Comme Kamala Harris si elle avait été élue, comme Biden juste avant lui, Donald Trump, et c’est normal, pensera d’abord à ce qu’il considérera être l’intérêt des États-Unis, que ce soit en matière de politique étrangère ou d’échanges économiques. Sur ces plans-là, quelles que soient leurs divergences, les administrations démocrates et républicaines ont toujours considéré l’Europe comme un protectorat à diviser, à neutraliser et à rentabiliser.
Si Trump, comme il l’a annoncé, fait le choix de la paix en Ukraine, nous ne pourrons que nous en féliciter. Mais nous devrons faire respecter notre présence dans l’Indopacifique et ne pas accepter que le sort de notre agriculture et de notre industrie soit réglé à Washington tant les gouvernements européens, via l’OTAN et Bruxelles, sont inféodés aux intérêts américains qu’ils croient conformes à ceux de l’Europe. C’est particulièrement vrai de Macron.
Il appartiendra durant les quatre prochaines années aux gouvernements successifs de la France de savoir, sans a priori aucun, entretenir une relation transatlantique au mieux des intérêts français. Pays jadis allié, interlocuteur incontournable aujourd’hui en raison non seulement de sa puissance mais aussi de la persistance d’alliances pourtant devenues sans objet, les États-Unis doivent redevenir pour la France ce qu’ils sont, un rival avec lequel il convient de traiter.
C'est bien de dénoncer l'état lamentable dans lequel se trouve notre beau pays aujourd'hui, comme le fait ici Michel Taverne, Député du Nord...
Ce sera mieux le jour où on nommera la cause, la source de tous ces maux que l'on dénonce, à juste titre...
De Mathieu Valet (sur "X") :
"Le bateau France sombre un peu plus chaque jour dans l’ensauvagement ! Nos enfants se font exécuter en pleine rue, la PJ a été sacrifiée, la réponse pénale est à la ramasse. Quel plaisir de voir mon ami policier, Michael Taverne, député du Nord dire ses 4 vérités à Didier Migaud..."
(extrait vidéo 2'09)
https://x.com/mvalet_officiel/status/1853895092425400724
Si cela marque un coup d'arrêt définitif au cancelisme, au wokisme...
Une question, cependant, aux directeurs des organes de presse (écrite, orale, télévisuelle) : vous allez vous remettre en cause, vous et vos journalistes ? Et les "informations" (?) que vous donnez ?...
Ou pas ?
Comment pouvez-vous, à ce point, nous désinformer ?
De Destination télé (sur "x")
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
A l’affiche : Monsieur Aznavour… un film français de Grand Corps Malade et Mehdi Idir, avec Tahar Rahim dans le rôle-titre, Camille Moutawakil (Aïda Aznavour, sœur du chanteur), Bastien Bouillon (Pierre Roche, compositeur) et Marie-Julie Baup (Edith Piaf).
" Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues".
1951, Charles Aznavour, qui aurait fêté ses 100 ans cette année, vit en « génie con » dans la lumière d’Edith Piaf et, à l’écoute de Charles Trenet et de L’Âme des poètes, sans doute rêve-t-il à la gloire : « Bien que miséreux, avec le ventre creux, nous ne cessions d’y croire ».
C’est seulement une dizaine d’années plus tard que sa voix et « Je m’voyais déjà » percent le mur du silence et du dénigrement :
« Mais un jour viendra, je leur montrerai que j’ai du talent ».
Il n’est pas, je le confesse, dans le trio de tête du panthéon de mes chanteurs préférés, à savoir les 3 B (Brassens, Brel et Barbara), mais il est le premier de la concurrence très lourde de ce 3ème quart du vingtième siècle, que constituent les Bécaud, Ferré, Ferrat, les Frères Jacques et les Compagnons de la Chanson, Yves Montand, Félix Leclerc, Juliette Gréco, Mouloudji, Guy Béart, Claude Nougaro, et encore bien d’autres comme Henri Tachant, Maurice Fanon, Georges Chelon, jusqu’aux meilleurs des « yé-yé ».
A l’époque malgré l’arrivée des rockers anglo-américains, on chantait encore français, et ce fils de réfugiés arméniens s’en vante comme le rapporte un recueil de ses chansons – poètes d’aujourd’hui – publié chez Seghers en 1964 : « je savais, moi, que J’étais français par la langue. En découvrant cette langue, j’ai trouvé un pays. Le français m’a révélé la France. Encore aujourd’hui, j’aime sûrement la langue française plus que n’importe quel lieu de France ».
Merci aux réalisateurs de ce magnifique hommage rendu à ce Français « par la langue chantée » et merci à Monsieur Tahar Rahim de l’avoir si bien incarné.
C’est aussi un hommage à l’esprit de conquête, à la volonté de réussir, et au Travail : « j’ai appris mon métier en travaillant tous les jours, depuis l’âge de dix-sept ans » nous dit-il dans le recueil cité plus haut, et nous chante-t-il dans « Mes Emmerdes » :
« J’ai travaillé,
Des années
Sans répit,
Jour et nuit
Pour réussir,
Pour gravir
Les sommets ».
Je ne voudrais pas encourir vos reproches, et les siens –« Tu t’laisses aller » -, en prolongeant plus avant ce commentaire – « Il faut savoir quitter la table » - même si je ne résiste pas à l’idée de conclure sur le podium de ses quelque 400 titres : La Bohême, La Mamma et Non je n’ai rien oublié ».
Moment de grâce, hier soir, à 18h, lors de l'ouverture du "24heures Pujadas" sur LCI : nous avons eu droit à un très bel éloge de La Royauté et des Monarques, à l'occasion du drame terrible qui a frappé la région de Valence !
C'est Pujadas qui a commencé : un peu théâtralement, mais sincère et vrai - quoique se sentant obligé de rappeler qu'il était "républicain" jusqu'aux tripes - il a dit la vérité sur le spectacle affligeant de ce minable Sánchez, soi-disant Chef du Gouvernement central (Madrid), qui s'est enfui sitôt après être arrivé sur les lieux du drame, dès qu'il a entendu les "Asesino", "Fuera" et "Pedro Sánchez, hijo de puta"; alors que le couple royal - qui, lui, n'est pour rien dans cette terrible tragédie - est resté, stoïque et digne, même s'il a du supprimer une partie de sa visite après le très long moment qu'il a passé avec et au milieu de son peuple.
Et Pujadas de poser la question : n'est-ce pas frappant, cette différence entre la dignité d'un couple royal et la lâcheté et veulerie d'une classe politique, qui n'ose pas affronter les conséquences de son incapacité ? De son incompétence ? Employant le langage/jargon du temps, Pujadas demande si cela "ne nous dit pas quelque chose...", et il enfonce le clou : la Royauté n'est-elle pas différente des dirigeants démocratiques, en incarnant une permanence, une proximité avec le peuple, dans la durée et dans les épreuves, offrant un spectacle impressionnant de force et de grandeur. En somme, dit en substance Pujadas - qui ne fait que reprendre là ce que nous disons depuis toujours - la Royauté incarne la Nation, la durée, le Pays qui ne "passe" pas, au milieu de l'actualité, fleuve en permanence mouvant, représentée par des gens qui sont, eux aussi, "de simple passage"...
C'est là qu'intervient - très sérieusement et très calmement, "Jean-Do" (Jean-Dominique Merchet, excellent spécialiste - entre autres sujets... - des affaires militaires, et qui sera appuyé fermement, peu après, par le Général Trinquand, qui vient, d'ordinaire, parler de l'Ukraine); et "Jean-Do" se met a rappeler que les monarchies constitutionnelles d'Europe, "ça marche", prenant soin tout de même de rappeler qu'il faut séparer le roi qui règne et le gouvernement qui gère les affaires; mais que, en effet, les Rois ou Reines représentent et incarnent quelque chose de permanent et d'essentiel, qui manque dans nos démocraties... : sauf à se rallier publiquement et en direct à la Royauté, il ne pouvait pas aller plus loin, mais l'éloge du Roi (ou de la Reine) qui incarne la Nation, sur le temps long, sur la durée, et qui rend ainsi un service signalé et nécessaire, indispensable, a bien été prononcé, avec un sentiment de respect et d'intérêt pour la chose.
Certes, nous ne pouvons, nous, nous contenter de cela, puisque la tradition française veut que le Roi - depuis le premier : Clovis- "règne et gouverne"; c'est ce qu'avait dit Louis XVIII, en ré-occupant le Trône, après la coupure révolutionnaire : il a "octroyé" la Charte car sinon, disait-il, ce n'était pas la peine de restaurer la monarchie.
Mais prenons la chose pour ce qu'elle est : c'est la première fois depuis bien longtemps qu'un réel éloge de la Royauté est fait sur les ondes.
À nous, royalistes, de montrer et d'expliquer aux Pujadas, "Jean-Do" et Trinquand, et à tous les Français, que la Constitution voulue par ce de Gaulle intimement royaliste est parfaitement compatible avec la Royauté, les pouvoirs du Chef de l'État étant transférés, à titre héréditaire, au Chef de la Maison de France, et pour le reste, le Gouvernement faisant son travail selon cette Constitution dont le Comte de Paris de l'époque (grand-père de l'actuel) avait dit - on s'en souvient ! - : "La Constitution (de la Vème) ? Elle me convient parfaitement ! Il (de Gaulle) l'a faite pour moi !"
NE SURTOUT PAS S'HABITUER !
À CAUSE DU SYSTÈME ET DE LA RACAILLE QU'IL FAIT ENTRER CHEZ NOUS DEPUIS LES SCÉLÉRATS DÉCRETS CHIRAC DE 75/76,
NOUS SOMMES EN TRAIN D'ARRIVER À UN MORT PAR JOUR...
PUIS CE SERA UN PAR DEMI-JOURNÉE...
PUIS UN PAR HEURE !
ASSEZ ! ÇA SUFFIT !
C'EST LA RACAILLE QU'IL FAUT EXPULSER DE FRANCE, CERTES,
MAIS C'EST SURTOUT LE SYSTÈME QUI LA FAIT VENIR,
ET QUI NOUS LIVRE À ELLE !
APRÈS TOUS LES AUTRES, AUJOURD'HUI C'EST NICOLAS DUMAS,
JOUEUR DE RUGBY DE 22 ANS - LICENCIÉ DANS LE MÊME CLUB DE RUGBY QUE THOMAS PEROTTO - QUI EST MORT, DES SUITES DE SES BLESSURES, APRÈS UNE FUSILLADE EN ARDÈCHE...
IL FAUDRAIT QUE NOUS NOUS LAISSIONS TOUS ASSASSINER JUSQU'AU DERNIER ?
NOUS PRÉFÉRONS CHANGER CE SYSTÈME, DE FOLIE ET EN FOLIE, QUI NOUS A MIS DANS CETTE SITUATION...
https://atlantico.fr/article/decryptage/le-pari-marocain-demmanuel-macron-alexandre-del-valle
A l’affiche : Les Barbares… de Julie Delpy, avec Julie Delpy et son père Albert Delpy (Joëlle, l’institutrice, et Yves, l’ancien du village), Sandrine Kiberlain (Anne Poudoulec, propriétaire de la supérette), et Laurent Lafitte (le plombier « facho »).
A la lecture du synopsis, j’avais l’intuition que ce film ne m’amuserait pas, qui se veut une comédie sur l’accueil des migrants… pour dénoncer… le racisme, le refus du « vivre ensemble » et les « fachos »…
Désolé, mais l’immigration, et l’objectif de l’Union européenne d’accueillir 4 millions d’immigrants légaux par an, au détriment de l’identité des nations européennes, ne me font pas rire.
Bref un film manichéen de propagande, avec en outre une charge contre Bachar el Assad qui serait davantage coupable de morts en Syrie que Daech.
Peut-être… mais je ne crois pas qu’il menace la France !