Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
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Ce mardi, à 19h40, sur LCI (dans le "24 heures Pujadas") on a eu droit à un festival aussi réjouissant que rarissime (et inattendu).
• Le sujet ? L'actuel gouvernement algérien, mais aussi l'Algérie depuis 1962...
• Les trois protagonistes ? : Pascal Perri - qui a déclenché les hostilités en envoyant un missile intercontinental - et, plus surprenant, Ruth Elkrief et Caroline Fourest, qui intervenaient à chaque fois, non seulement pour approuver Perri mais pour "en rajouter une couche" !...
Tout y est passé, tout, malgré la brièveté du moment (que l'on aurait volontiers aimé voir se prolonger jusqu'à minuit !)
De Perri (en substance) : le problème de l'Algérie et de ses gouvernants, c'est quelque chose qui remonte à 62 et qui a commencé bien avant, c'est la soviétisation du pays, prenant l'URSS obsolète comme modèle, ce qui a abouti à ruiner le pays, qui est maintenant "un pays riche avec un peuple pauvre".
Ruth Elkrief intervient, pour rappeler avec justesse que la pénétration de l'URSS via le FLN avait commencé bien avant 62, et que "on" savait très bien ce que l'on faisait en donnant les clés du pays le plus avancé d'Afrique, à l'époque, à cette bande de rétrogrades qui allaient tout ruiner (ce qu'ils firent méthodiquement et consciencieusement, et qu'ils continuent de faire aujourd'hui...); Caroline Fourest approuve chaudement...
Deuxième missile intercontinental de Perri : aujourd'hui, l'Algérie c'est la corruption totale, et si l'on veut faire quoi que ce soit il faut aller voir une dizaine de "monsieur 10%" : encore une fois, Ruth Elkrief et Caroline Fourest approuvent, chaleureusement...
Et cela a continué ainsi pendant une trop petite dizaine de minutes : ceux qui ont ruiné ce magnifique pays créé par la France - qui lui a donné son nom - le premier d'Afrique en 62, avec les perspectives d'avenir les plus brillantes, en ont pris - et bien pris... - pour leur grade !
Oui, ce mardi soir, à 19h40, et pour une fois, c'est devant LCI qu'il faisait bon être !
Prince Jean d'Orléans - Comte de Paris
Le prince Gaston, qui vient de fêter son 15e anniversaire, âge de la majorité dans la famille sous l’Ancien Régime, a tenu à accompagner son père le comte de Paris vendredi soir afin de témoigner son soutien et son admiration pour le courage et la détermination des agriculteurs.
Vaincre ou Mourir sera diffusé ce 27 novembre sur C8, à 21h20 :
AU POSTE !
TOUS AU POSTE !
ELLE AURA JUSTE RÉUSSI À FAIRE DE PARIS "LA PLUS BELLE VILLE INVIVABLE" DU MONDE...
ENFIN UNE BONNE NOUVELLE POUR PARIS, APRÈS DOUZE ANS D'ENFER !
LA NULLISSIME SACCAGEUSE S'EN IRA, APRÈS DEUX MANDATS PENDANT LESQUELS ELLE A DÉMOLI LA VILLE, SES FINANCES, SON CADRE DE VIE (ET ON EN PASSE !)...
MARS 2026 MARQUERA DONC (ENFIN !)
LA NOUVELLE LIBÉRATION DE PARIS !
Cannes 2024 : Miséricorde… un film français d’Alain Guiraudie, avec Catherine Frot (Martine, la veuve du boulanger), et Félix Kysyl (jérémie, l’ami du boulanger).
"Il a pour nom Miséricorde..."
Comme on le chante dans les églises.
Miséricorde : Quel plus beau titre de film en la soirée de la Toussaint, veille de cette Fête des Morts qui nous appelle, justement, à les recommander à la miséricorde de Dieu ?
Je mentirais en écrivant qu'il n'y a que ce titre de beau car on roule beaucoup, avec ravissement, dans les paysages de l' Aveyron.
J'ai néanmoins le sentiment - mais n'est-ce qu'un sentiment ? - d'avoir été "roulé " avec un scénario farfelu qui, sur fond de mort, précisément, flirte autour de l'homosexualité.
Il paraît que c'est une "comédie" !
Effectivement, quelques rares spectateurs rigolent... au-dessous de la ceinture !
A nouveau un long-métrage sans intérêt à la fin duquel on s'interroge sur sa signification et le propos qu'a voulu nous tenir le réalisateur.
Je crois personnellement que c'est lui qui a besoin de notre miséricorde.
Le Pays légal d'aujourd'hui a détruit méthodiquement ce qu'avaient construit et "lancé" patiemment de Gaulle puis Pompidou : Charles Gave explique calmement et, surtout, clairement ...
Cannes 2024 : The Apprentice, un film de Ali Abbasi, avec Sebastian Stan et Maria Bakalova (Donald Trump et son épouse Ivana), Jeremy Strong (l’avocat Roy Cohn), Martin Donovan (Fred Trump, le frère de Donald).
The Apprentice… un film à charge contre le candidat Républicain Donald Trump !
Sans doute le réalisateur iranien ne sait-il pas que c’est un président Démocrate Jimmy Carter qui a lâché et trahi le Shah, et permis l’arrivée des ayatollahs en Iran.
Un film à charge, en pleine campagne électorale, qui n’a quand même pas empêché le bon sens populaire de s’exprimer et une réélection particulièrement brillante de Donald Trump avec 50,0 % (contre 48,4 %) des suffrages exprimés, 312 grands électeurs contre 226, et la majorité des sièges dans les deux chambres.
« Make America great again »
Espérons que pendant les deux mois et demi d’interrègne (!), Joe Biden, les Démocrates et « l’État profond » ne vont pas trop lui « savonner la planche » en rendant plus difficile une résolution pacifique de la guerre OTAN/Poutine en Ukraine.
The Apprentice : A vrai dire, je n’ai pas aimé ce film trop agité, trop long, avec trop de bavardages en VOSTF, mais je veux bien convenir de son intérêt quand il nous dépeint, probablement à juste titre, un Donald Trump sans foi ni loi, un être épouvantable, exécrable, mu par la seule volonté de réussir, de gagner… ce qui a manqué à Le Pen (le vrai).
Retenons les leçons de son mentor, l’avocat Roy Cohn :
· Règle numéro 1 : Attaque, attaque, attaque
· Règle numéro 2 : N’avoue rien, nie tout
· Règle numéro 3 : Quoiqu’il arrive, revendique la victoire, ne t’avoue jamais vaincu
Ce n’est peut-être pas très moral, mais si c’est pour le bien commun des Américains, tant mieux pour eux, et on ne va pas aller chercher les gens du showbiz et des médias pour nous faire des cours de morale.
Dommage que nos dirigeants, à nous, méprisent notre pays avec un Macron (« il n’y a pas de culture française ») et même un Barnier qui, le 11 novembre, reproche à un petit garçon de ne pas arborer le drapeau de l’Union Européenne à côté du drapeau français !
A quand , un Trump à la française ?
En 1771, Louis XV avait, sagement, "renvoyé" les Parlements, car ceux-ci sortaient constamment de leur rôle, qui était judiciaire, et se mêlaient de faire de la politique. Et, en plus, non pas une politique pour le Peuple, pour la Nation, et à leur service, mais une politique de classe et de caste, ne visant qu'à préserver leurs intérêts et privilèges.
Par cette sage décision, Louis XV évitait la Révolution, et permettait à l'administration royale d'organiser et mettre en pratique toutes les réformes dont le Pays avait besoin.
Louis XVI - l'un des rares adeptes du "l'homme naît bon..." de Rousseau... - commit l'erreur funeste de "rappeler" ces Parlements, les croyant "bons" et pensant que son grand-père avait commis une erreur : revenus hautains et pleins de morgue, bien décidés à se venger, au lieu de servir le Peuple et la Nation, les Parlementaires reprirent leur travail de blocage de la Société afin de ne se préoccuper que de la seule chose qui leur importait : le maintien et la défense de leurs intérêts personnels égoïstes de classe et de caste.
C'est ce blocage de la révolution royale en cours, grâce à Louis XV, qui rendit la Révolution inévitable. Mitterand - qui côtoya l'Action française dans sa jeunesse... - savait cela. C'est le sens de son mot bien connu : "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Royauté, ils détruiront la République..."
Aujourd'hui, nous sommes revenus à cette époque des Parlementaires sortant de leur rôle - judiciaire - pour faire de la politique. "Leur" politique, de gauche et d'extrême-gauche, bien entendu... Et "l'affaire Marine Le Pen" - qui nous occupe ici - n'en est que le dernier exemple : l'incroyable sévérité des réquisitions du Procureur, dans une affaire ancienne et dans laquelle il n'y a aucun enrichissement personnel, montre bien que le Parquet est sorti - comme sous Louis XVI - du champ judiciaire pour entrer dans le domaine politique.
À ne surtout pas manquer !
Vaincre ou Mourir sera diffusé ce 27 novembre sur C8, à 21h20 :
AU POSTE !
TOUS AU POSTE !
(sorti en janvier 2023, avec plus de 300.000 entrées, ce grand film avait rendu hystérique la presse de gauche)

A l’affiche : Gladiator II, un film du réalisateur britannique Ridley Scott, avec Paul Mescal (Lucius), Connie Nielsen (Lucilla, fille de Marc Aurèle, et sœur de Commode), Fred Hechinger et Joseph Quinn (les empereurs Caracalla et Geta).
Histoire et fiction.
24 ans après Gladiator, Ridley Scott revient dans l’arène, et précisément au Colisée, un amphithéâtre achevé vers l’an 80, qui fut le plus imposant édifice de l’époque romaine, contenant près de 90 000 spectateurs.
Le premier Gladiator se déroulait à la fin du 2ème siècle, quand l’empereur Commode succéda à son père, le philosophe Marc Aurèle, et, dans le scénario, massacra la famille d’un général Maximus. Le film raconte comment celui-ci devint gladiateur et prépara sa vengeance.
De même que Gladiator II sort en salle 24 ans après le premier, l’histoire qu’il raconte se déroule quelque vingt ans après l’assassinat de Commode (192), sous le règne des deux fils de l’empereur Septime Sévère, Caracalla et Geta.
Lucius est, lui aussi, un personnage historique que l’on a vu, enfant, dans le premier épisode, fils de Lucilla et, pour l’intrigue, de Maximus. Afin de le protéger de Commode, Lucius avait été exilé par sa mère, et Gladiator II le retrouve en Numidie (l’Algérie d’avant les Vandales) où les armées de Rome se heurtent aux révoltes berbères.
C’est ainsi qu’après Maximus, Lucius, aussi, devient gladiateur et veut se venger…
On ne peut évidemment pas dire que le Gladiator II soit un « remake » du premier, mais le fil conducteur est bien le même avec de nombreux clins d’œil, jusqu’à des répliques identiques.
« Force et Honneur » est le mot d’ordre de ces gladiateurs qui affrontent des empereurs violents et corrompus… On se prend à rêver.
Profitons de ces péplums pour affirmer, malgré ses erreurs et ses fautes, l’œuvre civilisatrice de la colonisation… La Gaule serait-elle devenue la France sans la colonisation romaine ?

Novembre Résistance, par un double "NON" !
• Non au remplacement de la façon de vivre française par une pseudo et "anti" fête début novembre ("à l'eau, ouine !), puis par un matraquage mercantile poussant à la sur-consommation souvent inutile, source de gaspillage anti-écologique et souvent prétexte à des arnaques en tous genres fin novembre...
• Non à l'imposition de la sous-culture en plastoc des états-désunis, et à l'anglo-ricanisation forcée par les intérêts strictement matériels du "fric", "la Fortune anonyme et vagabonde" dont parlait l'Action française...
• Non à la dé-francisation, si bien menée par ce Système, cette République idéologique qui s'est construite sans nos Racines historiques, culturelles et chrétiennes, en dehors d'elles et contre elles...
NON À CES DEUX IMPORTATIONS FORCÊES !