Au Centre Lesdiguières, ce 11 Décembre

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L'édito de Vincent Trémolet de Villers : Reconstruire, plutôt que déconstruire...
(extrait vidéo 3'48)
https://x.com/vtremolet/status/1866027842192158977
Notre premier Président, le Commandant Dromard, mourut le premier Mai 1950.
Ce très court texte/poème de Maurras (alors emprisonné) parut le 23 Novembre 1950, à Aix-en-Provence, avec Le Lai d’Aristote, sans lieu, ni date ni achevé d’imprimer, sous une chemise protectrice.
Le tirage était de mille exemplaires, vendus au profit d’une école privée.
Le texte fut repris en 1952 dans La Balance intérieure.
Le poème est, on le voit, en partie hermétique, de prime abord, surtout au début : il s'éclaire au fur et à mesure, et son sens devient évident avec les trois dernières réponses (Non !...) du "myste" : "le myste", dans l'Antiquité grecque, c'est celui qui a été initié aux mystères. Comment ne pas voir, dans les trois derniers distyques du "myste", un écho de cette sorte de poème métaphysique de Pierre Boutang, que nous avons publié dans lafautearousseau : "Ce qu'on appelle vie est de ne pas te voir; Ce qu'on appelle mort, c'est regard qui commence..."
C'est Philippe Kaminski, au téléphone, hier, qui m'a appris l'existence de ce texte, que j'ai voulu "passer" tout de suite, même si, évidemment, il faudra y revenir.
Nous y reviendrons...
François Davin

Après des années dune guerre meurtrière et une victoire chèrement acquise, il n’a fallu que quelques jours aux islamistes précédemment vaincus pour balayer l’armée syrienne.
Que s’est-il passé ? Pour le comprendre, il faut partir d’un constat simple : l’armée syrienne n’a jamais valu grand-chose et beaucoup de ses meilleurs éléments sont morts dans les premiers mois de la guerre. Ce n’est donc pas elle qui avait gagné. Les vainqueurs ont été les Russes dans les airs, le Hezbollah libanais, les gardiens de la révolution iraniens et des milices chiites irakiennes au sol. A ces trois forces, il faut ajouter une multitude de petits groupes chrétiens ou alaouites qui avaient pris l’initiative de défendre leurs villages ou leurs quartiers face aux islamistes venus du monde entier (plus de 100 nationalités représentées). On ne le rappellera jamais assez : ce fut le plus grand jihad international de l’histoire. Nous avons rencontré ces combattants chrétiens de Sqalbieh ou Mhardeh, ils n’ont jamais reculé et ont perdu des centaines d’amis : plus de 800 noms entourent la petite église Sainte Sophie construite pour fêter la victoire et remercier la Vierge dont ils ont tous des images chez eux.
Cliquez sur l'image pour l'agrandir :
Son Altesse Royale le Prince Jean d'Orléans
Son Altesse Royale le Prince Gaston d'Orléans,
à côté des Bourbons des Deux-Siciles...

Et, dimanche matin, la Princesse Philoména est venue assister à la Messe : on a vu le couple princier deux fois, à l'écran (la Messe était retransmise sur France 2, par l'émission "Le jour du Seigneur)...
Cela a fait hurler cet hystérico/haineux d'Antoine Léaument, l'un des bras droits de Mélenchon (tout est dit...) et revenant de "la Section des Piques" de 1793, nostalgique assumé de la Guillotine partout et du Génocide vendéen, autant que du glorieux Goulag et du Petit Père des Peuples...
Il fallait donc qu'il bavât et qu'il éructât sa cinglerie du jour; la voilà :
Dans le cadre de la recherche de Documents pour servir à une Histoire de l'URP, nous mettons en ligne aujourd'hui ce Dossier concernant notre premier Président...
https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/121271

Le char du futur ?
Attention, danger : nos ennemis allemands !...
Selon les 2 rapporteurs/sénateurs @HSaury et @HConwayMouret, l’ASCALON, une innovation française @KNDS_France constitue une contribution importante au projet #MGCS, mais serait écarté de toute perspective de commercialisation afin de préserver le leadership de Rheinmetall & KNDS Deutschland.
On n'en finira jamais de payer le crime de la République idéologique et du Système qui ont trahi la France et perdu sa victoire, en 1918, en refusant de démembrer l'Allemagne pour la remettre en l'état de division où l'avait mise les Rois de France, avec les Traités de Westphalie...
Nous aurons toujours devant nous, et contre nous, l'Allemagne politiquement unifiée :
DELENDA EST GERMANIA !
La Von der Layen a envoyé une gifle monumentale aux Français en général, aux paysans qui souffrent et meurent en particulier.
Cette femme est une mauvaise personne : elle est l'incarnation de la malfaisance du "machin" bruxellois (pour reprendre le mot de de Gaulle qui parlait, lui, de l'ONU), qui est - à côte du monstre "Allemagne politiquement unie" - le deuxième monstre que la République idéologique a laissé se créer, et qui, maintenant, comme le premier, agit - logiquement - en permanence contre la France et ses intérêts supérieurs...
Nous devons reprendre notre Souveraineté, sortir de toutes ces soi-disant institutions (de "Schengen" à la CEDH) qui se prétendent supérieurs aux décisions du Peuple français : le Peuple français n'a pas de supérieur, en aucun domaine, et nulle personne ou assemblée ne peut lui imposer quoi que c esoit.
Sauf, bien entendu, dans notre République idéologique, notre Système, qui est "le règne de l'étranger, comme le disait si justement Charles Maurras.
Le Roi de France, lui, est "empereur en son royaume" : il l'était, il ne l'est plus, la République idéologique ayant usurpé sa place, il faut qu'il revienne et qu'il le redevienne...
D'accord avec Philippe de Villiers :
"En scellant l’accord du #Mercosur à Montevideo, Ursula von der Leyen poignarde, nargue, piétine et humilie la France. L’Union européenne a choisi de déléguer son approvisionnement alimentaire au marché mondial : elle va nous broyer ! Nous ne sommes plus souverains, j'alerte depuis plus de 30 ans..."
(extrait vidéo 9'33)
https://x.com/PhdeVilliers/status/1865129278477566330

Comme on le dit dans les films d'Hollywood :
Mostra de Venise 2024 : Trois amies, un film français d’Emmanuel Mouret, avec Vincent Macaigne (Victor Harzouian), India Hair (Joan Belair, la compagne de Victor), Camille Cottin (Alice), Grégoire Ludig (Éric, le mari d’Alice), et Sara Forestier (Rebecca Maillard, la maîtresse d’Éric).
Après Mademoiselle de Jonquières (2018), Les Choses qu’on dit – les choses qu’on fait (2020), et malgré Chronique d’une liaison passagère (2022), le nom du réalisateur, Emmanuel Mouret, me pousse au cinéma les yeux fermés, et je me réjouis de les avoir rouverts devant ces Trois amies, même si je trouve ce titre relativement nul, indigne de la qualité de l’œuvre qu’il recouvre.
Je me réjouis surtout de les avoir rouverts sur Joan qui, à elle seule – et avec son sourire – avec son « bel air » -, vaut le déplacement. Comme Victor a raison qui ne cesse de lui dire qu’elle est jolie et qu’il l’aime !
India Hair, finalement, et bien davantage évidemment que le réalisateur, me fera courir au cinéma.
Trois amies… Comme ce titre ne l’indique pas, Mouret ne nous parle pas d’amitié mais d’amours, et nous invite à réfléchir sur l’amour.
Qu’est-ce que l’amour ? s’interrogent, chacune à leur façon, Joan et Alice, dans un film magnifique avec des vues splendides de Lyon et un excellent accompagnement musical.
Qu’est-ce que l’amour ? Malgré la présence de leur enfant, Joan veut quitter Victor, dont elle est la « compagne », car elle croit qu’elle ne l’aime pas assez…
« Avec le temps
Avec le temps, va, tout s'en va… »
chantait très justement Léo Ferré : « Avec le temps tout s’évanouit ».
Que reste-t-il en effet des sentiments de Joan et de son attirance pour Victor, bref du sable, finalement bien mouvant, sur lequel elle a fondé son couple ?
Joan n’a pas lu le second livre d’Anne-Dauphine Julliand, « Une Journée particulière », selon lequel « s’aimer toute une vie relève d’une décision sans cesse renouvelée (…) aimer est un choix, un apprentissage de chaque jour ».
Il faut, autrement dit, fonder l’union sur le roc de la durée, à savoir la promesse, l’engagement initial, la volonté d’aimer « pour toute notre vie – oui, pour toute notre vie »… et c’est, à sa manière, le choix d’Alice.
« On ne se marie pas » disait un ancien vicaire de La Ciotat, « on ne se marie pas parce que l’on s’aime, mais on se marie pour s’aimer ».

AUJOURD'HUI, IL Y A GRANDE JOIE DANS LE
ROYAUME DE FRANCE !
NOTRE-DAME EST RESTÉE AVEC NOUS !
LES PORTES SONT RÉ-OUVERTES !
UN IMMENSE BRAVO ET MERCI
AUX RE-BÂTISSEURS...

• Pour ce qui est des "Documents pour une Histoire de l'URP" (et malgré les caprices de "la bourrique", le site de Gallica...) nous terminerons normalement l'année 1921 ce samedi : comme nous avons déjà réalisé les trois premières séries de quatre années chacune (1908 à 1911, 1912 à 1915 et 1916 à 1919), le tiers du travail est déjà accompli, et nous avons terminé la moitié de la quatrième série (1920 et 1921)...
Il restera à voir ce que nous ferons pour les numéros manquants chez Gallica (pour l'instant, une soixantaine) mais, comme on ne peut pas tout faire en même temps, nous verrons cela quand nous aurons terminé...
Nous mettrons en avant ces "Documents URP" lundi...
• Mardi, vous pourrez lire le début de la deuxième série de "l'Action française vue de l'intérieur". La première est déjà disponible, en permanence :
La deuxième est, donc, "en construction", et couvrira, à terme, la deuxième décennie de l'histoire du mouvement (de 1921 à 1930). Elle apprendra, nous en sommes certains, pas mal de choses à pas mal de personnes, et c'est très bien ainsi...
• Mercredi et Jeudi, deux nouveautés : La Revue universelle (mercredi) et L'Action française du Dimanche (jeudi). Ce seront les Annexes deux (La Revue) et trois (L'AF Dimanche) de notre série de trois Annexes...
• La première Annexe est déjà bien avancée aussi, puisqu'elle traite des Congrès du mouvement : nous venons de "rentrer" le Huitième Congrès (celui de juin 1921), et vous pourrez voir tout cela vendredi...
Nous vous souhaitons donc, par avance une bonne et - nous l'espérons - profitable lecture !...
François Davin,
Blogmestre
Alors que les bruits de guerre arrivent de toute part...
Cette bonne nouvelle, dans ChallengeS :
"Le drone de combat Neuron de Dassault va reprendre du service...
EXCLUSIF - Après avoir effectué 170 vols de 2012 à 2022, le démonstrateur de drone de combat Neuron, conçu sous maîtrise d’œuvre de Dassault Aviation, va reprendre du service. Objectif : tester des technologies pour le futur drone de combat qui accompagnera le Rafale au début des années 2030.
La retraite du Neuron n’aura pas duré bien longtemps. Selon nos informations, le démonstrateur de drone de combat de Dassault Aviation, qui avait effectué plus de 170 vols de 2012 à fin 2022, devrait prochainement reprendre du service. La Direction générale de l’armement (DGA) devrait, de sources concordantes, prochainement notifier un contrat à Dassault Aviation pour redonner du potentiel de vol à l’appareil, actuellement stocké sur la base aérienne 125 d’Istres. En clair, lui permettre de démarrer une nouvelle campagne d’essais..."

Le drone Neuron en vol près de la base aérienne d'Istres
A l’affiche : Au boulot !, un film de Gilles Perret et François Ruffin, avec la participation de François Ruffin et Sarah Saldmann.
On le sait, François Ruffin est député et siège dans le Groupe Écologiste et Social du Nouveau Front Populaire… Nous avions bien aimé son premier film Merci Patron (2016), au contraire de J’veux du soleil (2019) tentative de récupération des Gilets jaunes, et nous n’avons pas eu l’occasion de voir Debout les femmes ! (2021), réalisé, lui aussi, comme le précédent avec Gilles Perret. De ce dernier d’ailleurs nous avions trouvé intéressante sa comédie Reprise en main contre la finance « dévastatrice.
Quant à Sarah Saldmann, il s’agit d’une avocate, chroniqueuse sur BFM, que nous avons aussi vue sur C news.
Selon Ruffin, ce documentaire est une comédie et, de fait, nous avons entendu rire dans la salle et quelques spectateurs ont même applaudi… « un film qui fait du bien » disaient certains à la sortie.
Eh bien non ! un film de lutte des classes opposant « la France d’en bas » comme le disait le sinistre Raffarin, la France qui travaille et qui se lève tôt, à une bobo, dont l’unique raison de vivre, selon ses propres mots, est de dépenser sans compter et de consommer du cher et du luxe, sans avoir honte de dire à la télé « le Smic, c’est déjà pas mal ».
Bref une caricature censée représenter la classe bourgeoise, libérale, qui vote « à droite ».
Les réalisateurs ont réussi l’exploit de montrer cette femme dans toute sa stupidité, et elle de s’y prêter (sans doute de s’y vendre), servant ainsi la soupe à Ruffin et à l’extrême gauche.
Désolé, mais cela ne m’a pas fait rire.
