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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 103

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Vers une Irlande réunifiée, d'ici les dix prochaines années ?

    Oh, oui !

    (Source : France info)

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/mes-parents-et-grands-parents-n-auraient-jamais-imagine-cela-les-defis-de-michelle-o-neill-premiere-ministre-catholique-et-republicaine-de-l-irlande-du-nord_6339967.html

    Michèlle O'Neill est membre du Sinn Fein, le parti qui veut - à juste titre - la réunification de l'Irlande, par le retour des quatre comtés occupés par le Royaume désuni; elle vient d'être élue Premier Ministre de l'Irlande du Nord, où :

    1. Le Sinn Fein a gagné les dernières élections, pour la première fois;

    2. Les "catholiques" sont devenus (démographiquement) majoritaires...

    Ces deux évènement rendent inéluctable, à terme, la réunification de l'île, et la fin du colonialisme périmé et condamné de l'Angleterre.

    Michèlle O'Neill ne se présente d'ailleurs pas comme "premier ministre de l'Irlande du Nord", mais "du nord de l'Irlande", en attendant la réunification : la nuance est... colossale !

    Michelle O'Neill, première ministre de l'Irlande du nord, le 8 février 2024. (BEN STANSALL / AFP)

     

    VIVE L'IRLANDE LIBRE

     

    ET RÉUNIFIÉE !

     

     

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  • Éphéméride du 17 Février

    1596 : La ville de Marseille se replace sous l'autorité d'Henri IV 

     

    La ville était, alors, dominée par Charles de Casaulx, consul, et par Louis d'Aix, viguier, qui avaient profité des troubles politico-religieux pour s'emparer du pouvoir dans la ville.

    Ils s'apprêtaient à la livrer aux Espagnols lorsque Pierre de Libertat retourna la situation : Casaulx fut tué, Louis d'Aix parvint à s'évader, et la ville fit sa soumission à Henri IV. 

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    Devenu premier consul grâce à la Ligue, Casaulx rêve de faire de Marseille une république catholique indépendante et la gère en despote.
     
    Il est assassiné, le 17 février 1596, par le Corse Pierre de Libertat, alors qu'une escadre espagnole vient le secourir... 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le dossier choc de Valeurs sur cette question tabou des viols commis par les clandestins : avec notamment le courageux et utile témoignage de Claire violée par un OQTF...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir et pouvoir lire le texte :

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour... : le "Ralliement" ordonné par Léon XIII, c'est l'Église qui capitule devant la Nouvelle Religion républicaine...

    1892 : Léon XIII prône le Ralliement dans son encyclique Inter innumeras sollicitudines...

     
     
    Le souhait de Léon XIII n'était évidemment pas de se rallier lui-même à "la République", ni de pousser les catholiques français à se rallier aux idéaux révolutionnaires en tant que tels. Il s'agissait simplement, dans l'esprit du pape, après l'échec de la restauration monarchique en France, et alors que la jeune république se montrait très agressive envers le catholicisme, de renoncer à une opposition systématique au régime en place, et même d'accepter la Constitution pour combattre "par tous les moyens honnêtes et légaux" les lois anti-chrétiennes, en permettant aux catholiques de peser de tout leur poids sur les nouvelles institutions...
     
    Le pape - ingénument - pensait que, les catholiques étant majoritaires en France, cela suffirait à leur faire gagner les élections, et donc à diriger ou - si l'on peut dire... - cornaquer le16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologies gouvernements :
     
    "Accepter la constitution, fait accompli, mais pas la législation, fait réformable, et pour cela, par les élections sous étiquette républicaine, s'insérer dans le régime républicain et y faire de bonnes lois." disait le pape...

    Trois mois après l'encyclique, le Pape s'adressait aux cardinaux français : "Acceptez la République, c'est-à-dire le pouvoir constitué... respectez-le, soyez-lui soumis, comme représentant le pouvoir venu de Dieu... Inutile de rappeler que tous les individus sont tenus d'accepter ces gouvernements et de ne rien tenter pour les renverser ou pour en changer la forme."

    S'adressant au Baron de Montagnac, qui refusait le Ralliement, Léon XIII s'exclama : "Faites-vous républicain d'une bonne république. Vous comprenez ? Je veux que tous les catholiques entrent, comme une cohue dans la République... Les traditions doivent céder pour un moment... vous les retrouverez après l'œuvre accomplie...  il faut abandonner les traditions pour le moment, un petit moment seulement."


    Le pape avait "simplement" oublié les paroles de Saint Cyprien, au IIIème siècle : "Il existe un mal pire et plus meurtrier que la persécution, c'est l'empoisonnement perfide de la mentalité."
     
    Sa vision, purement théorique, était une grave erreur au plan des principes, comme au plan de la tactique : descendre sur le terrain de l'adversaire en utilisant sa doctrine et ses pratiques, cela relevait d'un angélisme profond, qui, pour être sincère, n'en témoignait pas moins d'une incompré16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologiehension fondamentale de ce qu'était la république idéologique française, fondée sur les dogmes de la Révolution : cette république, cette Révolution, ces dogmes étaient - et restent - une nouvelle religion, dont le but premier et essentiel est de remplacer l'autre, la chrétienne, la traditionnelle, et de la détruire, par tous les moyens; en détruisant également toutes les racines historiques et culturelles d'un pays millénaire, l'expression "l'an 1 de la République" étant - à cet égard - parfaitement révélatrice de cette nouvelle France, de cette nouvelle société que la république idéologique - comme l'a si justement dit Jules Ferry - voulait bâtir "sans roi et sans dieu".
     
    Méconnaître cette haine destructrice et cette volonté farouche d'effacer tout ce qui a fait une Nation pendant mille ans - y compris et surtout ses racines chrétiennes - témoignait d'une incompréhension politique dramatique à ce niveau. La rupture avec un siècle d'opposition aux thèses révolutionnaires était brutale, et l'Église renonçait à combattre son ennemi mortel : le Ralliement fut à la fois un stupéfiant marché de dupes - comme les choses devaient très vite le montrer - et une non moins stupéfiante capitulation idéologique en rase campagne, pourrait-on dire...
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieLe cardinal français Pitra, qui s'opposait fermement à cette rupture dans la politique vaticane, se vit réprimander par Léon XIII lors d'une audience très pénible de trois quart d'heure, durant laquelle, debout et tête nue, il reçut les plus aigres reproches d'un Léon XIII en l'occurrence fort peu compréhensif. Le cardinal accepta, par obéissance, de ne plus s'opposer au pape, et se retira dans une abbaye, où il mourut en 1889, soit trois ans avant la publication de l'encyclique : il se contenta de déclarer "Hora est potestas tenebrarum", reprenant les paroles du Christ à ceux qui venaient l'arrêter (citées par Luc - 22) : "Haec est hora vostra et potestas tenebrarum" ("C'est ici votre heure et la puissance des ténèbres")...
     
    Le Ralliement fut peu suivi par les catholiques français, à de rares exceptions près, notamment celle de ce grand royaliste social que fut le comte Albert de Mun - qui ne tarda pas à le regretter amèrement. Mais, comme le note Michel Mourre", "se heurtant à la majorité des catholiques et du clergé français... c'est cependant dans la ligne du ralliement que put commencer à se développer, au début du XXème siècle, le mouvement de démocratie chrétienne."
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieEt, surtout, 34 ans après, les sanctions vaticanes contre l'Action française orientèrent définitivement la structure et la mentalité même de l'Église-institution, en la vassalisant au pouvoir républicain, qu'elle reconnaissait, de fait, comme la norme suprême, le cadre obligé dans lequel toute organisation - y compris elle-même, l'Église - devait agir; mais à la condition de reconnaître les lois et règles de la république idéologique comme la loi et la norme supérieure, s'imposant à tous. Et bien sûr, a fortiori, en s'interdisant de les combattre en tant que tels.
     
    C'est à ce marché de dupe, à cette capitulation en rase campagne qu'il faut sans cesse revenir; et à partir desquels on peut marquer, dater l'origine profonde et essentielle des destructions méthodiques et continues de tout ce qui faisait l'essence même de la société française...

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    Quatre de nos Éphémérides traitent des rapports entre l'Église et la République idéologique française, en général, et des rapports entre l'Église et l'Action française en particulier :

    pour les rapports entre l'Église et la République idéologique française, en plus de celle-ci sur le "Ralliement", voir notre Éphéméride du 18 novembre - sur le "toast d'Alger", qui préparait les esprits à ce "ralliement";

    pour les rapports entre l'Église et l'Action française, voir notre Éphéméride du 29 décembre, sur les sanctions vaticanes contre l'Action française, et notre Éphéméride du 10 juillet, sur la levée de ces sanctions par Pie XII...
     
  • Solidarité Kosovo ! RENCONTRE AVEC PHILIPPE MANGEARD, CONSUL HONORAIRE...

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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  • Éphéméride du 16 février

    1892 : Léon XIII, pape du Ralliement...

     

     

     

     

    1608 : Mort de Nicolas Rapin

    Dans la France troublée des Guerres de religion, Nicolas Rapin se signale par son action politique, "royaliste" au sens le plus profond et le plus politique du terme.

    Aux États généraux de Blois (1588), il défend avec vigueur la Royauté; et il s'oppose à la Ligue, par la plume, en dressant l'épitaphe du duc de Joyeuse et par ses poèmes sur les victoires de l'armée royale.

    Lors de la Journée des barricades (voir l'Éphéméride du 12 mai), il est contraint de fuir Paris, et rallie le camp d'Henri III; puis il fait partie de ceux qui, avec Jacques-Auguste de Thou réclame à Henri de Navarre de venir au secours d'Henri III.

    Après l'assassinat du Roi, Rapin participe à la bataille d'Arques : remarqué sur les champs de bataille, comme à Ivry, sa fidélité lui vaut d'être anobli en octobre 1590 par Henri IV.

    Rapin a directement participé à la rédaction de La Satyre Menippée, pamphlet dirigé contre la Ligue, écrit en collaboration avec Pierre Pithou et Jean Passerat (voir l'Éphéméride du 1er novembre).

    On peut toujours admirer son très beau château de Terre-Neuve, en Vendée :

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    https://chateau-terreneuve.com/

    De Chambord proviennent différents panneaux du XVIème siècle à motifs de salamandres et du monogramme de François 1er, mais également les 13 soleils en bois doré contemporains des aménagements commandés par Louis XIV. Ces éléments de décors furent enlevés par le maréchal de Saxe - à qui le château fut offert par Louis XV, en guise de récompense, après le triomphe de Fontenoy... - qui les remplaça par d'autres boiseries; et aussi le probable fronton de scène de la première représentation du Bourgeois Gentilhomme, donnée à Chambord le 14 octobre 1670...

     

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  • Reçu du Centre Lesdiguières...

    ...l'annonce de la disponibilité de la conférence de Richard de Sèze... :

    (1'05'32)

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le Figaro a publié sur tweeter cette bonne vidéo sur Soljénitsyne (2'27), accompagnée du court commentaire suivant :

    "Le 13 février 1974, l’écrivain russe Alexandre Soljenitsyne était accueilli à Francfort, en Allemagne de l’ouest, après son expulsion d’URSS. Son tort ? La publication de «L’Archipel du Goulag», un livre écrit en secret qui révéla l’ampleur des horreurs du Goulag."

    https://x.com/Le_Figaro/status/1757353672466469053?s=20

    La vidéo est bonne, on vient de le dire : il y manque pourtant quelque chose d'essentiel : le rappel de la venue de Soljénitsyne en Vendée, il y a 30 ans (le 25 septembre 1993) Alexandre Soljenitsyne, de retour de 20 années d'exil, pour inaugurer le Mémorial de Vendée aux Lucs-sur-Boulogne. Il prononça alors un discours mémorable, établissant la filiation directe entre l'horrible révolution bolchévique et son origine : la révolution française, dont la révolution bolchévique se voulut, tout simplement, la quintessence, l'aboutissement final et parfait (!)...

    Dans ce discours, Soljénitsyne dit le mal qu'il faut penser de toute révolution. De la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationnalistes du bonheur du peuple"...

    Lisez-le ici :

    GRANDS TEXTES (1) : Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée.

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  • Grandes "Une" de L'Action française : sur Charles Péguy, "tombé les armes à la main, face à l'ennemi", ainsi "entré parmi les héros de la pensée française"...

     

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

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    Charles Péguy est mort 5 Septembre 1914, le premier jour de la première bataille de l'Ourcq, à Villeroy.

    En plus des désordres, lenteurs et désorganisations diverses dues à la guerre, le gouvernement français s'est replié sur Bordeaux, face à l'avancée ennemie : dans L'Action française du 8 Février on a cette information capitale :

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    • la "blessure" concernant Léon Daudet, dont il est question ici, provient d'un accident de la route le concernant, qui eut lieu le premier Août précédent (jour de la Mobilisation générale) : c'est encore Daudet qui en parle le mieux :

    accident de La Roche

    • Le trio Bainville/Daudet/Maurras est donc séparé, ce qui ajoute encore à la désorganisation générale et à la lenteur de la circulation des informations; ce n'est donc que treize jours après la mort glorieuse de Péguy que L'Action française lui rendra l'hommage qu'il méritait, sous la plume élogieuse de Maurras, dans le beau troisième paragraphe de sa "Politique" (colonnes trois et quatre), sobrement intitulé "III. Charles Péguy"...

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    • Bainville, lui, qui tient son Journal (et spécialement un Journal année 1914), ne rédigera sa note (qu'on lira plus bas) que le 20 septembre...

    Voici la "Une" du Vendredi 18 Septembre 1914 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k758482k

    • Voici ce troisième paragraphe, débutant en partie inférieure de la troisième colonne...:

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  • Éphéméride du 15 février

    30 juillet,sacre des rois de france,couronnement,reims,cathédrale du sacre,roi de france,sacre de reims,regalia,saint denis,louvre,sainte ampoule,galerie d'apollonIl y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée" .

    Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel  à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.

    Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :  

    1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)

    • 2. Splendeur et décadence : Les diamants de la Couronne... Ou : comment la Troisième République naissante, par haine du passé national, juste après avoir fait démolir les Tuileries (1883) dispersa les Joyaux de la Couronne (1887), amputant ainsi volontairement la France de deux pans majeurs de son Histoire (12 février)

     3. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. I : La cathédrale de Reims et la cérémonie du sacre du roi de France (15 février)

    • 4. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. II : La basilique de Saint-Denis, nécropole royale (19 février)

     5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française (13 mars)

     6. Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France (11 avril)

     7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien (28 avril)

     8. Les Chambiges, père et fils (Martin et Pierre), constructeurs de cathédrales, élèvent à Beauvais (cathédrale Saint-Pierre) le choeur ogival le plus haut du monde : 46 mètres 77 ! (4 mai)

     9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile (28 mai)

     10.  Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650 (26 juillet)

     11. Le Mont Saint Michel (11 août)

     12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord (29 septembre)

     13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé (27 octobre)  

     

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    Aujourd'hui : 

    Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale.

    I : La cathédrale de Reims et la cérémonie du sacre du roi de France... (suivant : Éphéméride du 19  février, Basilique de Saint-Denis) 

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    Voir aussi notre album (40 photos) : Reims, cathédrale du Sacre

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1892 : Léon XIII impose le "Ralliement" à la République, premier acte de la capitulation en rase campagne de l'Église catholique face à la Nouvelle Religion Républicaine.

    Trente quatre ans plus tard, un autre Pape, Pie XI, "sanctionnera" l'Action française, qui menait la croisade contre le nazisme montant en Allemagne, et qui était alors en pleine "phase ascendante"...

    Dans un cas comme dans l'autre, l'Église "légale" aura bien servi la Révolution, dont l'oeuvre et le but essentiel est, justement, la destruction de l'Église catholique autant que de la Royauté traditionnelle; conscient, "mais un peu tard" (comme le dirait La Fontaine), Léon XIII déclara à ses intimes : "Ils nous ont bien eu !..." Certes, mais, à qui la faute ?

    De même, Pie XI prit en 1926 les écoeurantes "sanctions vaticanes" contre l'Action française : ses injustes et cruelles sanctions seront levées en 1939 par le nouveau Pape, Pie XII, dont ce fut le premier acte pontifical. La mesure était bonne, certes, mais elle arrivait trop tard, le mal était fait, irrémédiablement...

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Jean-Dominique Merchet - par ailleurs très intéressant à écouter, la plupart du temps - a perdu une bonne occasion de sa taire; ce qui lui a valu ce "pan sur le bec" bien mérité, asséné par une Gabrielle Cluzel très en forme... :

    1. le propos stupéfiant, et condamnable en tout point, de "jean-do" (parlant de notre magnifique École de Saint Cyr) :

    "J’ai été effaré de retrouver le même état d’esprit que celui que j’avais connu. C’est toujours la même société imprégnée d’ultra-catholicisme et de relents de droite extrême..." 

    2. "Tu l'as voulu, tu l'as eu !" Après ce propos inqualifiable (qu'est-ce qui lui  a pris ?) le tacle cinglant de Gabrielle Cluzel, qui tape vite, juste et fort :

    "Ah tiens, il y avait longtemps qu’on ne s’était pas attaqué à l’un des rares trucs qui fonctionnent encore dans notre pays. Après Stan, Saint-Cyr…"

    Saint-Cyr à l'épreuve des ruptures – Académie des Sciences Morales et  Politiques
     

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  • Guy Bertran de Balanda : quatre ans déjà, toujours présent !

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     "La" photo préférée, prise aux États-Unis, lors d'une de ses visites chez l'un de ses fils, Axel, qui vit et travaille là-bas...

    À l'occasion de ce quatrième anniversaire de l'entrée de Guy dans le vrai Royaume, nous lui dédions ce compte-rendu paru dans L'Action française du 21 Février 1910, (et en "Une", s'il-vous plaît, excusez du peu !...) de la magnifique réunion publique tenue la veille, à Perpignan (voir ci-dessous)...

    Comme chaque année, la famille de Guy organisera une Messe en la cathédrale d'Aix, suivie d'un repas familial, devenu une tradition maintenant. Je suis convié et, naturellement, je serai présent, comme les trois années précédentes, à l'invitation de Bénédicte et Florence (soeurs aînée et cadette de Guy) et de Pierre et Hugues (ses frères) à cette prochaine Messe en la Cathédrale Saint Sauveur d'Aix et au repas/réunion familiale qui s'ensuivra. Je serai accompagné par notre Rédacteur en chef Jean-Baptiste Collomb, qui a si bien connu Guy, et nous vous représenterons tous, vous qui avez connu et apprécié Guy mais ne pourrez être sur place ce jour-là...

    François Davin, Blogmestre

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    Dans la "Une" de L'Action française du Lundi 21 Février 1910 :

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  • Au cinéma : Coup de dés, par Guilhem de Tarlé

    Un coup de dés - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Un coup de dés,  un film français de Yvan Attal, avec Yvan Attal (Mathieu), Guillaume Canet, Maïwenn et Victor Belmondo (Vincent, Delphine et leur fils Alex).

    « Un coup de dés jamais n’abolira le hasard »… C’est cette formule, énigmatique, de Mallarmé qui inspira le titre du long-métrage, nous dit Attal, le réalisateur (et non pas le coq de Matignon qui se pavanait avant de se heurter aux fourches).
    Nous avons vu, l’an dernier, un film assez médiocre portant pourtant sur la question intéressante de jouer une décision aux dés… et j’avais regretté précisément que son titre, Le principal,  n’évoquât en rien ce lancer de dés.
    Permettez-moi de faire l’observation inverse pour ce nouveau long-métrage dont le réalisateur est obligé, en voix off, de justifier longuement son coup de dés tellement celui-ci est artificiel.

    Aller au cinéma, c’est toujours, malgré le réalisateur, les acteurs, les critiques et les « commentaires », un Coup de dés, une bonne ou mauvaise pioche. Malgré son titre, ce Coup de dés est un bon coup, et le scénario vaut le lancer qui porte sur la succession des faits, des événements, des hasards…
    Une très bonne comédie dramatique, en 2022, traitait du même sujet, Le tourbillon de la vie.
    Yvan Attal a choisi de nous raconter ce vent violent sous la forme d’un thriller haletant.

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