Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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Dans son édito politique (sur Europe 1) Vincent Trémolet de Villers insiste sur l'inquiétant pouvoir culturel de La France insoumise, sa "capacité de nuisance", à travers une galaxie qu'elle "inspire" (?) :
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Mostra de Venise 2023 : L’Homme d’argile, le premier long-métrage d’Anaïs Tellenne, la fille de Karl Zéro, avec Raphaël Thiéry, dans le rôle de Raphaël, et Emmanuelle Devos, dans le rôle de l’artiste Garance.
« l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur » (1 Samuel, 16.7).
Il était une fois une "artiste" que l’on appelait « la femme en bleu » et qui pratiquait "l'art" contemporain, en fait un « contre-art » qui ne recherche pas la beauté mais l'insolite et, de préférence, le choquant. Elle usait et abusait pour commettre ses "œuvres" de toutes les matières et tous les corps possibles, à commencer par le sien qu'elle avait tatoué, comme c'est l'horrible mode, et qu'elle exposait à nu.
Elle prit un jour pour modèle un homme borgne dont la première caractéristique était la laideur.
"Comme un vase d'argile
Ton amour nous façonne"
chante-t-on aujourd'hui dans les églises, et Raphaël aurait pu l'interpréter à la cornemuse.
Les critiques évoquent le conte de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont (XVIIIème siècle), La Belle et la bête : "Il était une fois un marchand très riche....:
Ils citent aussi le film éponyme de Cocteau (1946) destiné aux enfants, dont le prologue leur rappelle "quatre mots magiques : Il était une fois".
Mais cet Homme d'argile est pour les adultes, et la réalisatrice, quant à elle, se réfère au Golem juif, un être d'argile qui prend vie : c’est « le rêveur de Garance ».
Un Système de plus en plus illégitime...
Même France info le dit, qui est pourtant une radio du "Sévice public" (comme le dit si justement Goldnadel) : ce sont près de 12 millions de Français (soit 24% de la population en âge de voter, une paille !) qui sont "non inscrits" ou "mal inscrits" (pour ceux-là, le résultat est le même : ils ne votent pas, ou leur vote ne peut pas être pris en compte, ce qui revient au même...)...
Ajoutez à cela que, en 2019, il y a eu près de la moitié d'abstentionnistes...
Il est communément et tacitement admis que, si l'on est - ou prétend être- "en démocratie", le pouvoir est confié au parti qui regroupe la moitié des électeurs, plus un (et davantage, éventuellement, mais, au moins, "la moitié plus un").
Question impertinente : en additionnant "non inscrits/mal inscrits" et les abstentionnistes, qui peut prétendre, aujourd'hui, à tous les échelons de la Société (Présidentiel, Régional, Départemental, Municipal...) représenter "la moitié des Français plus un" ?
Réponse, non moins impertinente : personne !
Alors ?
Retour au début de cette réflexion...
Quelle gloire pour la république maçonnique d’inscrire dans sa constitution le droit pour toutes les femmes de pouvoir tuer leurs enfants à naître en leur sein. Et gare à celui qui s’y oppose ! Celui-là n’est que l’incarnation d’un obscurantisme Moyen Âgeux, un retour en arrière honteux, un arriéré qui n’a rien compris à la femme et à son rôle dans la société moderne.
Les républicains nous présentent l’avortement comme un progrès pour la femme. Mais en quoi le fait de pouvoir tuer son fils ou sa fille impunément, sur le simple motif qu’elle n’en a pas envie, est-il un progrès ? Ces avorteuses ne voient dans le futur bébé à naître qu’un simple fardeau à porter. Un peu à la façon d’un parasite qui a pris possession de son corps, et dont il est préférable de s’en débarrasser. Sauf que ce « parasite » en question n’est pas un être étranger au corps de la femme, étant donné qu’il est fait avec la moitié du sang de sa génitrice. L’autre moitié étant le père. Mais peu importe ! Une décision émanant d’un simple caprice est désormais suffisant pour que les femmes décident de tuer leur enfant en plein développement dans leur ventre. Un peu à l’instar de la Sparte païenne qui faisait tuer par des oracles, les enfants nés avec une apparence trop chétive ou malformé.
Et pour être sûr que cet acquis du « progrès » de la femme ne soit surtout pas remis en cause, les républicains l’inscrivent dans leur constitution à la gloire de leur chère Simone Veil, qui doit voir défiler de là-Haut les 230 000 âmes des bébés qui sont tués chaque année, sur l’autel du féminisme et de la déesse Marianne.
Bref ! La mort est une valeur consubstantielle à la république. Que ce soit l’avortement, l’euthanasie ou les suicides qu’elle déclenche chez beaucoup de personnes, il n’y a rien à attendre de la république et de ses pseudos valeur ! L’histoire et l’avenir nous imposent une seule chose : abolir la république en France et instituer un régime qui porte la vie comme valeur haute de la société, incarnée dans l’épanouissement d’une fleur de lys au soleil ! Criez « Victoire » chers républicains, avec la mort comme socle de vos idéaux. Si vous n’êtes pas faits pour la vie, alors vous n’êtes pas faits pour l’avenir ! Le futur nous appartient, parce que la vie est le moteur de nos idéaux !
Notre jour viendra !
P-P Blancher
Entièrement d'accord avec l'édito de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
(retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)
(à paraître, en cours de rédaction)
Le 31 mars 1988, l'URP reçoit Pierre Boutang, dans son local du 35 rue Pavillon, pour une brillante conférence de plus d'une heure et demie...
D'accord avec Gilles-William Goldnadel pour dénoncer le scandale "Mélenchon/Miller" sur l'odieux visuel du "sévice public" !
1. Les faits :
Le 30 janvier 2017, à 3 mois de la présidentielle, était diffusé sur France 3 un documentaire d’1h30 à la gloire de «Jean-Luc Mélenchon», réalisé et produit par Gérard Miller et sa compagne Anaïs Feuillette. Gérard Miller était également le producteur du doc pour… 400 000€ ! Excusez du peu !
2. La réaction de Goldnadel :
"J’attends une commission d’enquête parlementaire- mais avec des députés intelligents et respectueux - sur le scandale démocratique total de la mainmise de la gauche extrême sur l’odieux visuel public et son absence de pluralisme. La droite parlementaire toujours aussi bête."
((extrait vidéo 0'36)
https://x.com/GWGoldnadel/status/1763864842467709120?s=20
DANS CE SYSTÈME,
POURRITURE PARTOUT !
VIDÉO - "Mélenchon, l'homme qui avançait à contre-courant", documentaire de Gérard Miller...
Mélenchon, Miller : deux "potes" !!!!!
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la "Une" du Dimanche 23 Juin 1912.
Bainville y est présent, avec un premier article, assez court, sur Rousseau (1), signé - comme le fit Bainville jusqu'à la Guerre de 14 - "Léonce BEAUJEU", et dans une chronique au nom étrange, "Au jour le jour"; vous pouvez lire cet article ici :
Lire Jacques Bainville (XXVI) : Encore Jean-Jacques Rousseau
Mais c'est en page trois que Bainville est de nouveau présent dans ce numéro, pour parler cette fois d'Anatole France, et pour présenter et commenter son roman "Les dieux ont soif"...
"...Les dieux de la Révolution avaient soif, soif de sang. Et c'est le principe religieux de la Révolution qui l'a rendue détestable et sanguinaire... Jamais, depuis Taine, esprit non prévenu n'avait aussi bien démonté le mécanisme de la Révolution...
(pour des extraits du roman, voir notre Éphéméride du 15 Janvier :
Dans notre Éphéméride de ce jour : "la démence révolutionnaire" (le mot est de Balzac)...).
Voici l'article de la page trois, qui y occupe les deux tiers des deux premières colonnes de gauche, et s'achève en haut de la troisième, sur trente-deux lignes; et, là, il est bien signé "Jacques BAINVILLE"... :
Mostra de Venise 2023 : La Bête, un film français de Bertrand Bonello, avec Léa Seydoux (Gabrielle Monnier) et George MacKay (Louis), adapté d’un court roman d’Henry James, La Bête dans la jungle (1903).
La Bête… C’est le synopsis qui m’a attiré – « Dans un futur proche où règne l’intelligence artificielle… » - pour pouvoir dire tout le mal que je pense de l’I.A. et l’escroquerie de ses promoteurs.
Elle n’est que l’outil aux mains des idéologues pour « formater » la pensée des gens, avec un ordinateur puissant qui ne peut pas « recracher » autre chose que les « data » programmées par les informaticiens. Il y eut à ce sujet, cette semaine, une intervention particulièrement excellente de Marc Menant sur CNews, dans l’émission de Christine Kelly à 19 H.
La Bête… Bêtement, je n’avais pas lu que c’était une nouvelle adaptation du roman d’Henry James, qui date de 120 ans. A cette époque, en effet, les « élites » étaient moins totalitaires que celles, prétendues telles, d’aujourd’hui, qui singent Dieu quand, après avoir avorté l’enfant conçu naturellement, elles veulent « créer », « réinventer » comme elles disent, un homme dominé par une « intelligence artificielle » et fabriqué tout autant artificiellement par la PMA ou la GPA.
J’avais déjà vu, il y a six mois, une adaptation de La Bête dans la jungle, réalisée par Patric Chiha, que je n’avais pas aimée… Cette fois c’est pire, à savoir un long-métrage, précisément horriblement long (2h26), dont une partie en langue anglaise sous-titrée, dans un scénario particulièrement compliqué qui entremêle trois époques (1910, 2014 et 2044). L’unique personne qui était avec nous dans la salle nous a avoué avoir décroché, pour se réveiller plus tard et apprécier la fin. Comme la réalisation flirte, par son bruitage, avec un film d’épouvante, je soupçonne qu’il a été réveillé par un cri de mon épouse, qui n’a jamais été autant effrayée. même si, différemment de moi, elle considère avoir passé une bonne soirée.
La Bête… les critiques, relativement circonspects, évoquent un public intellectuel… Sans doute suis-je trop bête, mon intelligence insuffisamment artificielle, et peut-être, surtout, faut-il commencer par lire l’œuvre d’Henry James.
Comme chaque année, depuis qu'il nous a quitté, je viens de recevoir le message de Bénédicte et Hugues (soeur et frère de Guy) m'indiquant l'heure de la Messe "pour Guy" en la cathédrale d'Aix (ce sera ce dimanche 10 Mars, à 10h30) et m'invitant au traditionnel repas familial qui suit...
Bien entendu, comme chaque année, j'assisterai à l'une et à l'autre, et vous représenterai, vous tous qui ne pourrez vous rendre à la Messe à Aix ce jour-là.
Notre Rédacteur en chef, Jean-Baptiste Collomb m'accompagnera...
François Davin, Blogmestre