Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
L'éditorial de Vincent Trémolet de Villers :
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L'éditorial de Vincent Trémolet de Villers :
A l’affiche : Juré n°2… un film américain de Clint Eastwood, avec Nicolas Hoult et Zoey Deutch (Justin Kemp et son épouse), et avec Toni Collette (le procureur).
Des 41 films réalisés par Clint Eastwood, nous en avons vu 8 et c’est Sully (2016), déjà un procès - et le procès d’un héros -, que je mets en tête de gondole.
je n’en dirai pas autant de ce Juré n°2, qui nous rappelle, un peu, l’excellent 12 hommes en colère de Sidney Lumet (1957), mais dont il n’est même pas un pâle remake.
Dommage, le sujet est intéressant de ce juré confronté à lui-même. Clint Eastwood en a sans doute conçu « un bon film », ce qui ne m’empêche pas d’écrire qu’il « aurait pu mieux faire ».
Vincent Trémolet de Villers a raison : on ne va parler que de Marine Le Pen ces jours prochains !
Et si l'on remettait le bon sens à sa place : centrale ?
De Sophie Lenaerts, vice-présidente de la Coordination Rurale :
"L'affaire Le Pen" : d'accord avec Guillaume Bigot :
France-Nouvelle-Zélande: exploit majuscule des Bleus qui s'offrent les Blacks pour la troisième fois d'affilée !

https://www.xvovalie.com/les-bleus-renversent-les-all-blacks-au-prix-dune-revolte-acharnee-video/
Art et Essai : All we imagine as light… un film indien de Payal Kapadia, avec Kani Kusruti et Divya Prabha (Prabha et Anu, infirmières à l’hôpital, et colocataires) et aussi Chhaya Kadam (Parvaty, veuve et sans papiers).
La réalisatrice, Payal Kapadia, milite contre le gouvernement indien de Narendra Modi que la critique qualifie « d’extrême droite », d’où sans doute le Grand prix obtenu au festival de cannes 2024…
Un film en VOSTF que je ne serai probablement pas allé voir si le quotidien régional et le Cinéfil n’avaient pas indiqué une séance en VF.
All we imagine as light… Tout ce que l'on imagine comme étant de la lumière… j’avoue ne pas très bien comprendre la signification de ce titre et son lien avec le scénario
All we imagine as light… un long métrage, très long (1h58) et très lent, sombre et hypnotique, pour raconter les destin de trois femmes à Mumbai, alias Bombay.
Sans grand intérêt.
Ventes d'armes françaises dans le monde...
Sur OpexNews :
"Selon @antoinehasday, #Thales et #MBDA - via Eurosam - tentent de convaincre la Grèce, qui veut se doter d’un « dôme de fer » face à son rival turc, d’acheter du SAMP/T. Mais la compétition avec une offre israélienne s’annonce ardue..."
Deux aspects de la compétition franco-israélienne pour "fournir" la Grèce :
1. Dans L'Informé (où l'on pense que la situation est plutôt favorable à la France) :
"C’est peu dire que la coopération de défense franco-grecque est au beau fixe. Depuis 2020, Athènes a commandé à Dassault Aviation 24 avions de chasse Rafale pour 3 milliards d’euros et envisage d’en acquérir 10 supplémentaires. Après l’achat de trois frégates de défense et d’intervention (FDI) de Naval Group en 2022 pour un montant équivalent, la marine grecque a officialisé en septembre dernier la commande d’un quatrième bâtiment, qu’Athènes aimerait équiper de missiles de croisière MdCN (Scalp Naval) de MBDA, dont Airbus est actionnaire à 35 %. Et Naval Group espère toujours fournir quatre corvettes Gowind à la marine de guerre hellénique, dans une compétition où elle fait face à l’Italien Fincantieri..."
2. Dans Challenges, par contre, on montre la férocité de la négociation :
https://www.challenges.fr/monde/la-grece-discute-avec-israel-du-developpement-d-un-dome-de-fer

Normalement, vous pourrez lire lundi, mercredi et vendredi prochain les résultats de notre recherche de Documents sur l'histoire de l'Union Royaliste Provençale - mais, aussi, sur la vie de l'Action française, "vue de l'intérieur" - par la lecture systématique de la collection de L'Action française, sur le site Gallica de la BNF.
Vous avez déjà pu lire les deux premières séries, couvrant quatre années chacune :
• (années 1908 à 1911) Glané dans la rubrique "Ligue d'Action française" du quotidien (série proposée par François Davin, 1/9)...
• (années 1912 à 1915) Glané dans la rubrique "Ligue d'Action française" du quotidien (série proposée par François Davin, 2/9)
Nous continuons ce gros travail auquel nous nous sommes attelés, et nous nous occupons en ce moment de terminer la troisième série de quatre ans, qui couvrira les années 1916 /1917 1918 et 1919; nous avons, pour l'instant, collecté et "placé" l'intégralité des trois premières années : il ne nous reste donc plus qu'à couvrir la dernière année - 1919 - de cette troisième série; un travail qui, sauf incident imprévisible, devrait être terminé samedi prochain.
Comme je l'avais expliqué précédemment, lors de nos deux premières livraisons, ce travail est long et fastidieux (car répétitif) mais jamais vraiment ennuyeux, au contraire, car il apprend énormément de choses, et parfois très émouvantes...
• en "Une" du numéro du Samedi 22 Juillet 1916 :
Mais ce que j'avais dit également se confirme, malheureusement, au fur et à mesure de notre avancée :
• d'abord, "Gallica" n'est pas vraiment à la hauteur pour sa collection de L'Action française et sa présentation : plusieurs numéros manquent, carrément (et, par deux fois, ce sont sept et huit numéros d'affilée qui sont manquants !) Par ailleurs, comme pour les deux premières séries, beaucoup de numéros sont en mauvais état, abimés ou très abimés...
• mais, surtout, le fonctionnement même du site est loin d'être sans reproche : il "plante" souvent : nous avons ainsi perdu toute une journée, pendant laquelle le site a, obstinément, refusé de fonctionner ! Heureusement, tout a re-fonctionné le lendemain, mais les pannes et les "une erreur est survenue" sont monnaie courante sur ce site, qui fait souvent sa bourrique...
Bon, c'est ainsi, on ne peut rien y faire, inutile de se lamenter...
• en "Une" du numéro du Mercredi 7 Novembre 1917 :
Nous arrivons donc, malgré les embûches, à la très prochaine livraison de notre troisième série, c'est-à-dire que nous allons très vite couvrir douze années, soit le tiers de la collection (le journal a vécu 36 ans...)...
Et ces trois années ont beaucoup enrichi le contenu de nos Pages : deux citations concernant le Commandant Dromard (qui fut le ré-organisateur et premier Président de notre URP); la blessure du "camelot du Roi Georges Bernanos"; les morts de Léon de Montesquiou et Henri Vaugeois (le "fondateur"...); la nouvelle Imprimerie (rue du Croissant, à Montmartre) et le nouveau changement de siège (de la rue Caumartin à la rue de Rome...)... et bien d'autres choses encore !
François Davin,
Blogmestre

Le 11 Novembre aujourd'hui ?
Dans ce Système de "décérébrés", mot très bien choisi par Gabrielle cluzel :
"Macron qui n’arrête pas d’ouvrir les frontières aux islamistes, fait un tweet pour rendre hommage aux millions de personnes qui justement se sont battues pour protéger nos frontières ! On aura tout vu dans ce monde de décérébrés..."
(extrait vidéo 2'31)
https://x.com/titibellini/status/1856060362572853466
On vient de célébrer l'amour de la France, jusqu'au sacrifice suprême.
Mais, qu'a fait le Système, qu'a fait la République idéologique de cet amour, aujourd'hui ?
Nos aînés se sont battus, jusqu'à la mort pour un million et demi d'entre eux; et, maintenant, le Système a transformé la France en une gigantesque pétaudière, un immense foutoir; elle en a fait la poubelle du monde fait de notre pays la poubelle du monde !
De Gabrielle Cluzel (dans Face à l'info, chez Christine Kelly) :
(extrait vidéo 3'08)
https://x.com/titibellini/status/1856056849994264772

A l’affiche : Louise Violet, un film français d’Éric Besnard, avec Alexandra Lamy dans le rôle-titre, et Grégory Gadebois, le maire du village.
Louise Violet… Le sujet pouvait être intéressant de l’implantation de « l’école publique, gratuite, laïque et obligatoire » dans les campagnes, son accueil par des gens « qui n’avaient rien demandé » et, partant, susciter une réflexion sur l’école, l’instruction et l’éducation des enfants.
le principe de subsidiarité donne d’abord à la famille – aux parents – le « droit-devoir » d’éduquer les enfants, avec le recours à l’école pour apporter une valeur ajoutée nécessaire…
Ce ne fut évidemment pas l’idéologie qui fonda l’école de Jules Ferry. Celui-ci, anticlérical, voulut « grand-remplacer » par « l’école de la République » - comme ils disent - les écoles tenues par les congrégations religieuses. A qui d’ailleurs fera-t-on croire, quand Louise Violet arrive dans son village, que le curé n’y est pas le premier instituteur, ne serait-ce que pour enseigner le catéchisme aux enfants ?
Ainsi, au prétexte de l’instruction – l’enfer est pavé de bonnes intentions – l’objectif des lois de 1881-82 était de déraciner l’enfant, le couper de l’emprise familiale pour en faire des citoyens… Le Maire a d’ailleurs le mot juste : « des fonctionnaires ».
Faute, donc, d’esprit critique, le Réalisateur nous sert, à l’encre violette, un roman à l’eau de rose, rouge du sang de la Commune, dont Louise Violet est le chantre, sans aucune réserve sur ces 72 jours d’anarchie de 1871 au cours desquels un pouvoir insurrectionnel a régné à Paris par la terreur.
Bien au contraire, l’actrice Alexandra Lamy fait l’éloge du film : « on y parle de la République, de l’étrangère et de la Femme »…
On voit le message !
Elle en oublie même de prononcer le mot « instruction », mais Louise Violet ne manque pas d’affirmer « Mon corps m’appartient ».
Bref, un film de propagande, long (1h48), insipide, « bisounours » et « républicain ».
Ne jetons pas, néanmoins, le bébé avec l’eau du bain. Outre d’abord les beaux paysages auvergnats dans lesquels l’action se déroule, ne nions pas quand même que ces lois Ferry ont donné un « coup d’accélérateur » à la formation de notre peuple.
Il est vrai, surtout, que les instituteurs de cette époque – et le film le montre - enseignaient véritablement les fondamentaux - lire, écrire, compter (le maire dit « chiffrer ») - , et ils auraient sans doute suffoqué à voir l’écriture inclusive utilisée dans le dictionnaire qui accompagne le générique final.
Louise Violet enseigne aussi l’Histoire et la géographie, et j’ai en mémoire la carte muette sur laquelle mon professeur de huitième, quelque 60 ans plus tard, nous apprenait encore à situer les départements français.
Qu’en est-il aujourd’hui ?
Jusqu'à présent, et malgré tout, Paris c'était "Fluctuat nec mergitur"...
Or, Anne Hidalgo, la nullissime, fait tout ce qu'elle peut pour tuer, enlaidir, couler la Ville-lumière : Vincent Trémolet de Villers ne l'a pas "loupée", dans son édito, et il a très bien fait :

