Soutien total total à nos camarades et amis de Limoges !
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Le féminisme de droite est-il persécuté ?
En réaction à l'arrestation de Yona, la très intéressante intervention de Mathieu Bock-Côté, chez Christine Kelly, dans Fac à l'info :
(extrait vidéo 14'51)
https://x.com/DamienRieu/status/1778071974222147869
lafautearousseau annonce, à chaque fois, les conférences de nos amis du Centre Lesdiguières, puis met en ligne - à chaque fois que nous les recevons - les vidéos de ces conférences.
Aujourd'hui, c'est Jean-Philippe Chauvin qui est venu parle du Royalisme social :
Université Côte d’Azur-CRHI
Chaire Jean-François Mattéi-CUM
Sous la direction d’Hervé Pasqua, Centre d’Histoire des Idées
Philosophe, Jean-François Mattéi est l’auteur d’une oeuvre riche et profonde. Sa pensée éclairée, nourrie de la lecture des Présocratiques et de Platon, en dialogue avec la pensée de Nietzsche et de Heidegger, s’est exprimée dans des ouvrages qui sont autant de coups de projecteurs sur la condition faite au XXe siècle à l’homme dévasté : « La dévastation, écrit-il, est l’action d’un homme qui se déserte de lui-même et du monde ». Ce colloque se propose de mettre en avant cette recherche de la transcendance en rendant hommage à l’homme,
au philosophe, au professeur, à l’auteur, à l’ami, dont nous célébrons le dixième anniversaire de la disparition qui eut lieu le 24 mars 2014.
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
• Voici maintenant l'intégralité de ce qui se trouve dans la page cinq du numéro du Lundi 12 Décembre :
• À tout seigneur, tout honneur : commençons donc par le "discours de bienvenue du Maire d'Alger à Charles Maurras" : Alger, grande ville française (partie supérieure des deux colonnes de droite)... :
On commence à recevoir, par bribes, des informations concrètes et détaillées concernant le successeur du Charles de Gaulle... Le Capitaine de vaisseau Alban est venu le présenter dans le grand amphithéâtre de l’école navale de Lanvéoc-Poulmic, dans le Finistère, et a aussi répondu aux nombreuses questions qui lui furent posées :
• sa propulsion nucléaire lui permettra dix ans d’autonomie de navigation;
• il sera le plus grand bâtiment jamais construit en Europe;
• avec ses 75.000 tonnes, il surpassera très largement les 42.500 tonnes de l'actuel Charles-de-Gaulle (qui quittera le "service actif", normalement, en 2038);
• il pourra embarquer une quarantaine d’aéronefs, des Rafale Marine, des hélicoptères, des drones et peut-être le futur avion de combat issu du programme SCAF (système de combat aérien du futur);
• son équipage sera de 2.000 hommes et femmes, et l'effectif total embarqué sera proche de 5.000 personnes;
• la France sera la seule, avec les États-(Des)Unis à disposer d’un tel bâtiment...
Deux choses à dire, pour nous :
1. Nous voulons qu'il s'appelle "Le Richelieu" (nom que devait, initialement porter l'actuel Charles de Gaulle)...
2. Et nous voulons qu'il ait un petit frère... (genre "Le Bayard" ou "Le du Guesclin" ou l'un de ces noms glorieux dont notre Histoire ne manque pas. Pourquoi pas "Le Jeanne d'Arc" ?...)
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Fin novembre/début décembre 38, Maurras effectua une tournée en Algérie, avec Maxime Réal del Sarte et Joseph Delest : tous les trois seront reçus chaleureusement à Oran, Alger, Sidi-Bel-Abbès, Philippeville, Batna, Bougie, Tlemcen, Mostaganem, Bône, Blida...
L'embarquement eut lieu à Marseille (pour Oran) le 26 novembre; l'embarquement "retour" eut lieu le samedi 10, à Philippeville, toujours pour Marseille, d'où Maurras se rendit au Banquet d'Hyères...
Nous allons raconter ce voyage - qui fut un très grand succès - en deux livraisons, en nous permettant deux entorses à notre règle habituelle concernant la "Une" mise en avant de la note :
• la "Une" ci-dessus n'est pas celle du jour du départ de Maurras, qui n'est annoncé que par un tout petit pavé, certes en "Une", mais, si l'on peut dire, "sans plus", dans le numéro du vendredi 25 novembre; comme cela n'est pas très "parlant" pour une "Grande "Une"...", nous avons préféré mettre, pour cette première livraison, la "Une " du mardi 6 décembre, avec, en bas de page, occupant les quatre colonnes centrales, les deux photos de Maurras déposant deux gerbes, l'une à Sidi-Bel-Abbès, l'autre dans "la cour de la caserne du 1er Etranger"...
• et, dans notre seconde livraison sur ce voyage triomphal, nous mettrons en avant non pas une "Une" mais une "Cinq" ! : celle du lundi 12 décembre, dont la page cinq est presqu'intégralement consacrée aux discours de bienvenue et à un très intéressant article sur... l'Algérie !...
• Voici donc, maintenant, pour commencer le récit, et reprendre l'ordre logique et chronologique, le "détail" de cette "Une", concernant le début de la tournée de Maurras, dans le numéro du Vendredi 25 Novembre 1938 : Maurras vient d'embarquer, à Marseille, le 24, et il commencera ses conférences par Oran, dès le 26... :
• En "Une" du numéro du Dimanche 27 novembre (en bas de la cinquième colonne), on a quelques précisions sur le programme général de la tournée et d'autres lieux de réunion :
A l’affiche : Une Vie, le premier long-métrage, britannique, de James Hawes, avec Anthony Hopkins (Nicholas Winton),
d’après le livre de Barbara Winton, publié en 2014, qui raconte le haut fait de son père.
« Ce qui fait l’Histoire, selon notre conception occidentale et chrétienne, c’est la volonté des hommes, c’est l’intelligence des hommes, ce sont leurs passions ».
Rappelons-nous avec émotion cette profession de foi du Colonel Bastien-Thiry à son procès, alors qu’en ce jour anniversaire nous faisons mémoire (le devoir de mémoire) de son exécution le 11 mars 1963. Je n’ai pas souvenance qu’à cette époque le « Panthéonisé » Robert Badinter, ni personne à gauche, ni personne chez les Gaullistes, se soit élevé contre la Peine de mort !
Une Vie raconte l’action d’un Homme de volonté, un héros méconnu, Nicholas Winton, l’un de ces Hommes qui font l’Histoire, en sauvant 669 enfants de la barbarie nazie.
Il y a aujourd’hui environ 6 000 personnes qui lui doivent leur existence.
1938, les 29 et 30 septembre sont signés les « Accords de Munich » par la France, la Grande-Bretagne, l’Italie et l’Allemagne, en l’absence de la Tchécoslovaquie. Ils reconnaissent l’annexion par l’Allemagne du pays des Sudètes à savoir, en Tchécoslovaquie précisément, bordant la Bohême et la Moravie, le long de la frontière du Reich, une région dont les 3 millions d’habitants germanophones avaient demandé vainement en 1919 leur rattachement à l’Allemagne.
Au lendemain de ces accords, l’Allemagne occupa ce « pays des Sudètes », et provoqua ainsi une fuite de réfugiés vers Prague, la capitale tchécoslovaque en plein cœur de la Bohême.
Informé par un ami, Nicholas Winton s’investit dans leur accueil puis, dès l’invasion des pays tchèques de Bohême et de Moravie, le 15 mars 1939, il affrète des trains d’enfants, pour la plupart juifs, vers le Royaume Uni.
Le film, malheureusement, n’est pas très didactique sur l’enchainement de tous ces événements, ni même sur les raisons de l’engagement du banquier Nicholas Winton, sans doute à cause du choix du réalisateur de procéder par « flash-backs ». Il nous instruit néanmoins et met en valeur une action héroïque et un véritable grand homme, à la veille de la deuxième guerre mondiale, dont on salue – et ce n’est pas le moindre de ce qu’il fut – l’humilité qui l’a caché au grand public jusqu’à ce jour.
En France, il mériterait, lui, certainement, le Panthéon.
LE CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
Communication Culturelle, vous invite le mercredi 10 avril à 19h à la conférence de Jean-Philippe Chauvin, professeur d’histoire en lycée public et royaliste social revendiqué :
Les royalistes face à la question sociale, de la Révolution à nos jours.
En 1791, la Révolution française détruit l’ordre social corporatif, au nom d’un libéralisme: ainsi, «le prolétariat naît de la Révolution française», (dixit le comte de Paris) la République n’aura guère de scrupules à faire tirer sur les ouvriers durant le XIXe siècle, siècle de l’exploitation des travailleurs de l’usine et de la mine.
Les rois de France et les royalistes sociaux cherchent des solutions à la terrible question sociale, dans les villes comme dans les campagnes : Villeneuve-Bargemont, puis La Tour du Pin, Albert de Mun, et Maurras lui-même… dénonçant les conditions de travail et de vie des ouvriers.
Aujourd’hui, la question sociale n’est toujours pas réglée, et les Gilets jaunes comme les paysans français et les ouvriers démontrent, par leurs colères respectives, la nécessité de nouvelles pistes, au-delà du libéralisme comme de l’étatisme: et si l’on écoutait ce que les monarchistes contemporains ont à dire, et à proposer?
Jean-Philippe Chauvin évoquera une lecture monarchiste de la question sociale, de
l’Ancien Régime à nos jours, avec l’ambition de valoriser une «autre voie» économique et sociale conciliant nécessité économique et justice sociale.
La réunion sera suivie d'un buffet convivial Salle des Vignes : 3 bis, avenue Maréchal Randon à l’Ile Verte - 38000 GRENOBLE (tramway ligne B « la Tronche Hôpital »)
(Inscription requise et participation aux frais)
Merci de vous inscrire par courriel au centrelesdiguieres@gmail.com
Philippe de Villiers n'y va pas de main morte : il a raison, il fait bien...
Dans la série des "Une" impayables de Libé :
Tous métis, vraiment ? En tout cas, pas à la Rédaction de Libé !
(retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)
L'annonce ci-dessus paraît en "Une" de L'Action française du Mercredi 16 Novembre 1938 (tout en bas de la première colonne).
Ce n'est que dans le numéro du Lundi 28 Novembre 38 que le journal donnera le compte-rendu de cette réunion, en page trois, sur la plus grande partie de la première colonne :
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - L’école est frappée en plein cœur par une entreprise de décivilisation ivre de son pouvoir.
C'est la même société qui vote des lois sur la discrimination capillaire dans l'entreprise et laisse une jeune fille se faire battre à mort devant son école. Le même microcosme qui surveille, collecte, signale les « violences symboliques », tandis qu'explose sur le trottoir une sauvagerie de temps barbares. Le même pouvoir qui promeut les cours d'empathie et assiste désemparé au départ d'un proviseur menacé de mort parce qu'il a dit à une lycéenne de retirer son voile, au lynchage d'un jeune élève. Samara, nouvelle victime d'une litanie insoutenable de crimes où s'étreignent l'inhumanité et l'impunité, nouveau drame d'un grand renversement qui donne la primauté à la force sur le droit, à la cruauté sur la civilité, à la meute sur l'autorité...
• à écouter, aussi, l'édito du même Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
https://x.com/vtremolet/status/1776296040599089226