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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 112

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur BFM/TV :

    "Emmanuel Macron prêt à "ouvrir le débat" d'une défense européenne comprenant l'arme nucléaire"...

    macron sur bfm tv

    TOTALEMENT IRRESPONSABLE !

     

    UN TEL ABANDON DE SOUVERAINETÉ

    SERAIT ASSIMILABLE À DE LA HAUTE

    TRAHISON...

     

    Définition de haute trahison | Dictionnaire français

     

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  • Rémi Soulié communique...

     
    dans Le Monde de la philosophie,
     
    pour commémorer le dixième anniversaire de la disparition de
     
    ce grand métaphysicien qu’était Jean-François Mattéi
     
     
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  • À lire, lundi, sur lafautearousseau : notre 51ème Grand Texte, de Léon Daudet...

     

    DAUDET ASSEMBLEE.jpgC'est en 1922 que parut "Le stupide XIXème siècle", dont on va lire, ci-après, une courte partie de l' "Avant-propos" ("en manière d'introduction", dit Léon Daudet).

    Daudet, avec sa verve inimitable, y fait preuve d'un sens aigu du raccourci, aussi saisissant que lumineux.

    Sens du raccourci ? "...la révélation d’Aristote par saint Thomas n’est-elle pas l’origine de la Renaissance ?"...

    Art de la synthèse ? "...les Croisades, dont l’aboutissement est Jeanne d’Arc. Car la vierge héroïque est issue de cet immense frisson fidèle."

    Cet "Avant propos" est un survol brillant, autant qu'érudit, de quinze siècles d'Histoire et de ces quatre époques que furent les si mal nommés  "Moyen-äge" et "Renaissance" (Daudet explique bien pourquoi, on le lira plus bas...), puis les deux "grands siècles" :

    le XVIIème siècle, d'abord, celui du Roi-Soleil, "Louis, le grand en tout", disait Pierre Puget (que Daudet cite, dans cet Avant propos);

    puis le XVIIIème, celui de Louis XV (et, là, on renverra le lecteur au remarquable "Le siècle de Louis XV", de Pierre Gaxotte).

    Et c'est en se bornant à constater la rupture totale entre le XIXème siècle et les époques fécondes qui l'ont précédé que Daudet emploie le terme de "stupide" : terme, certes, polémique, mais Daudet n'est-il pas, aussi, un polémiste ? Et redoutable ?...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Rien en-dehors de l'État !

    Déjà Saint Just le disait : "Ce qui constitue une République c'est la destruction totale de tout ce qui lui est opposé !". Jérôme Guedj, député "socialo apparenté", vient de le redire, devant les représentants de la Fondation Jérôme Lejeune" :

    "Rien ne s'impose à la République, et surtout pas quelque loi naturelle que ce soit." 
     
    Jérôme Guedj ne fait que confirmer le mot juste de Clemenceau : la Révolution n'est pas terminée, et les mêmes adversaires restent face à face...
    Et aujourd'hui, selon l'autre mot tout aussi juste de Gustave Thibon, les "conservateurs du chaos figé du désordre", héritiers et successeurs du "chaos explosif des révolutionnaires" d'hier, continuent la même politique de fond : seuls les formes extérieures ont changé : Macron
    porte costard/cravate au lieu d'être "sans culotte", mais il est bien le continuateur de Robespierre.
    Et pour ce qui est de la République française, l'imposture continue : elle n'est ni une république, ni une démocratie, mais une république et une démocratie idéologiques, c'est--à-dire un Totalitarisme, et ne reconnaît rien en dehors d'elle-même...
    Comme Hitler, Staline ou l'Islam et sa charia...

    (extrait vidéo 0'40)

    https://x.com/AdrienMolin/status/1783802779724656779

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  • Au cinéma : Nous, les Leroy, par Guilhem de Tarlé

    Critique du film Nous, les Leroy - AlloCiné

     

    Grand prix à l’Alpe d’Huez : Nous, les Leroy, le premier long-métrage de Florent Bernard, avec Charlotte Gainsbourg, José Garcia, Lily Aubry et Hadrien Heaulmé (Sandrine et Christine Leroy, et leurs enfants, Lorelei et Bastien), avec aussi Lyes Salem (Claude) et Louisa Baruk (Melha).

    Se souvenir de l’Alpe d’Huez et de Florent Bernard, tellement ce film est nul, comme son titre le donnait à penser, mais la bande-annonce et surtout les deux acteurs principaux ont attiré mon épouse, ce qu’elle a regretté…
    Heureusement, quand même, qu’il y avait Charlotte Gainsbourg !
    J’ajoute que j’ai bien aimé aussi Lily Aubry qui se croit laide parce qu’elle est prognathe… mais cela lui donne, précisément, beaucoup de charme.

    Nous, les Leroy … est l’histoire d’une femme qui décide de quitter mari et enfants parce qu’elle s’ennuie… Ben voyons…
    Et son engagement du jour de son mariage ? et le mal qu’elle va faire à ses enfants qui voient leurs parents se déchirer ? C’est vrai que dans notre société actuelle, où prime l’égoïsme de chacun, tout le monde « s’en f… », ainsi que le commente par ailleurs très justement le réalisateur : « le divorce des parents s’est banalisé (…) tous nos potes avaient des parents séparés ».
    Il dit aussi, dans un autre registre, qu’il s’agit « d’une famille profondément française, qu’il a voulu raconter dans Nous, les Leroy, » et c’est sans doute pour cela qu’il s’est cru obligé de cocher la case « diversité et métissage » avec Melha, l’amie de Bastien.

    Quelques scènes auraient pu faire rire, si elles avaient été menées jusqu’à leur terme au lieu de finir en « queue de poisson ». Les dialogues se caractérisent surtout par leur vulgarité et leur grossièreté… sans doute Florent Bernard croit-il que le comique et l’humour se situent toujours au-dessous de la ceinture.

    Ecrivons pour conclure que j’ai été déçu de voir Lyes Salem dans cette « bouse », qui avait pourtant été un excellent vicaire dans Paternel.

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Tiens ! Pour une fois que le Parlement européen fait quelque chose de bien, il convient de le signaler, non ?

    Le Parlement européen associe pour la première fois la GPA à la traite d’êtres humains...

    "Le Parlement a voté sur une révision de la directive interdisant la traite d’êtres humains dans l’Union européenne. Sous l’impulsion de l’eurodéputé et tête de liste LR aux élections européennes, le Parlement européen a ajouté la gestation pour autrui (GPA) sur la liste des pratiques considérées comme relevant de la traite d’êtres humains : cette liste constitue une base minimale des pratiques criminelles que les États membres sont tenus d’interdire dans leur droit interne. Le texte a été voté à 563 voix pour, 7 contre et 17 abstentions..." (source : Le Figaro)

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  • Le Centre Lesdiguières communique...

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    Le cercle Bayard organise à Pontcharra le samedi 27 avril, un colloque en mémoire du chevalier Bayard, mort il y a cinq cents ans. 
     
    Le centre Lesdiguières se joint à cet hommage.
     
    Participation aux frais de 15 à 45 euros.
     
    Par ailleurs si vous vous inscrivez, indiquez nous vos disponibilités ou demandes pour un éventuel co-voiturage.
     
     
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Europe : attention, DANGER !

    L'avertissement d'Alexandre Devecchio :

    "Pendant que l'on parle de #Gaza, on oublie les véritables enjeux de cette élection européenne. Et notamment le maintien au non d'un minimum de souveraineté pour les nations européennes. La fin du vote à l’unanimité au Conseil de l’Union, remplacé par le vote à la majorité qualifiée y compris sur les questions de défense et de politique extérieure, signifierait le basculement définitif dans un système supranational et post-démocratique... 50 personnalités appellent à un référendum sur ce sujet d'importance historique."

    Dans Le Figaro, l’appel de 50 personnalités pour un référendum sur «le tour de vis fédéraliste» de l’Union européenne (cliquez sur l'image pour l'agrandir, puis utilisez le zoom pour pouvoir lire le texte) : évidemment dédié par nous à Macron, qui veut une Europe fédérale...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur le scandaleux chantage à la grève dans les transports publics, à l'approche des JO, l'excellent édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :

    "C'était prévisible mais ça n'en est pas moins insupportable...

    ...Les ministres disent surveiller les dépenses à l’euro près mais la SNCF lâche des dizaines de millions d’euros pour acheter la paix sociale. Ce n’est pas "tu casses, tu répares", mais plutôt "tu menaces et l’Etat casque"  : le privé finance et le public dépense..."

    Et aussi :

    "...La France, ce n’est pas un parc d’attraction destinée à ouvrir le 26 juillet et à fermer le 11 août avec des trains qui roulent à prix d’or, des migrants envoyés à la campagne pendant qu’Anne Hidalgo fait de l’aquagym dans la Seine. Ce n’est pas le village Potemkine Olympique..."

    (extrait vidéo 3'51)

    https://x.com/vtremolet/status/1783027365330702593

     

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  • Au cinéma, pour un film de grande actualité : La nouvelle femme, par Guilhem de Tarlé

     

    La Nouvelle femme - Film 2023 - AlloCiné

    Premier long-métrage : La Nouvelle femme, un film franco-italien de Léa Todorov, avec Jasmine Trinca (Maria Montessori) et Leïla Bekhti ( la courtisane Lili d’Alengy).

    J’avoue que j’en connaissais le nom mais ne savais rien de la « méthode » Montessori et de Maria, et je regrette que ce docufiction nous présente moins la première qu’il n’insiste sur le « militantisme » féministe de celle qui fut la première femme médecin d’Italie au début du siècle dernier.

    Elle ne voulait pas se marier pour ne pas perdre ses droits, qui auraient été effectivement accaparés par son mari. Ecrivant cela, je pense à l’Hiver à Majorque de George Sand qui, en France, au siècle précédent, décida de se séparer du baron Dudevant pour pouvoir gérer elle-même sa propriété de Nohant. Les « droits de l’Homme » issus de la révolution française n’étaient pas forcément les droits de la femme…

    Il n’empêche que pour cette « indépendance », Maria Montessori, fille-mère, sacrifia son fils Mario et l’abandonna presque totalement durant sa première jeunesse tandis qu’elle mettait au point, précisément, sa « méthode » au profit des enfants des autres… n’était-elle pas en l’occurrence digne disciple de Rousseau – Émile ou De l’Éducation !

     

    L’intérêt du film, néanmoins, est ailleurs et on pense au très bon documentaire, Et les mistrals gagnants (2017), d’Anne-Dauphine Julliand. On pense aussi à la phrase merveilleuse du Professeur Jérôme Lejeune, que Maria Montessori reprendra à sa façon, « La médecine (…) c’est l’amour du malade ».
    Permettez-moi de ne pas croire que cette sollicitude auprès des enfants, et particulièrement des handicapés, partagerait les combats « progressistes » d’aujourd’hui en faveur de l’avortement, avec l’eugénisme inhérent au diagnostic prénatal, ou la propagande pour « aider à mourir dans la dignité » ceux que le handicap ou la vieillesse rendent dépendants.
    Bref, un film d’une grande actualité.

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  • Tellement vrai !...

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  • Paris, jeudi 25 Avril...

    Les Éveilleurs

     

    Le grand oral des Européennes

    À l’occasion des élections européennes, Les Éveilleurs préparent LA grande soirée politique de l’année sur le thème “L’Union Européenne contre les nations ?”.

    Nous avons réussi à organiser une soirée inédite en réunissant les trois candidats de la droite, ce qui annonce d'ores et déjà un événement grandiose !

    En effet, Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement National, Marion Maréchal, tête de liste Reconquête!, et François-Xavier Bellamy, tête de liste Les Républicains, ont accepté de se soumettre à un grand oral sur cinq sujets majeurs : la politique internationale, l’immigration, la transition écologique, l’éducation et l’agriculture.

    Le jeudi 25 avril, la droite politique française sera rassemblée à Paris (La Palmeraie, XVe arrondissement) !

    N’hésitez plus, prenez vos places dès maintenant et venez écouter #LeGrandOral des candidats !

    JE PRENDS MES PLACES
     
  • À lire, lundi, sur lafautearousseau : notre 51ème Grand Texte, de Léon Daudet...

     

    DAUDET ASSEMBLEE.jpgC'est en 1922 que parut "Le stupide XIXème siècle", dont on va lire, ci-après, une courte partie de l' "Avant-propos" ("en manière d'introduction", dit Léon Daudet).

    Daudet, avec sa verve inimitable, y fait preuve d'un sens aigu du raccourci, aussi saisissant que lumineux.

    Cet "Avant propos" est un survol brillant, autant qu'érudit, de quinze siècles d'Histoire et de ces quatre époques que furent les si mal nommés  "Moyen-äge" et "Renaissance" (Daudet explique bien pourquoi, on le lira plus bas...), puis les deux "grands siècles" :

    le XVIIème siècle, d'abord, celui du Roi-Soleil, "Louis, le grand en tout", disait Pierre Puget (que Daudet cite, dans cet Avant propos);

    puis le XVIIIème, celui de Louis XV (et, là, on renverra le lecteur au remarquable "Le siècle de Louis XV", de Pierre Gaxotte).

    Et c'est en se bornant à constater la rupture totale entre le XIXème siècle et les époques fécondes qui l'ont précédé que Daudet emploie le terme de "stupide" : terme, certes, polémique, mais Daudet n'est-il pas, aussi, un polémiste ? Et redoutable ?...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Posté sur tweeter par Destination Télé (dont l'excellente devise est empruntée à Solénitsyne : "Crois tes yeux, pas tes oreilles") :

    "Hallucinant ! 9h actuellement sur France Inter : Un débat entre Jean-Michel Aphatie et Pablo Pillaud-Vivien animé par Nicolas Demorand. Ils sont d’accord sur tout : c’est la faute de «l’extrême droite» !

    • Première réaction, de Destination Télé :

    "Rigolez pas, c'est avec votre pognon !" (Coluche)...

    • Deuxième réaction, de Goldnadel :

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  • Au cinéma : Tristana, par Guilhem de Tarlé

    Tristana - Film (1970) - SensCritique

     

    Retours vers le futur (festival) : Tristana, un film espagnol de Luis Buñuel, sorti en 1970, avec Catherine Deneuve (dans le rôle-titre), Fernando Rey (Don Lope, le tuteur de Tristana), Lola Gaos (Saturna),
    adapté du roman éponyme de Benito Perez Galdos (1872)

    Tristana…  Un film avec beaucoup de charme, Le Charme discret de la bourgeoisie de Don Lope, un Don Juan chic mais vieillissant, à Tolède, comme l’Arlequin

    « Hier c’était lui l’amant
    Mais cela ne dure »

    Il y a aussi, quoiqu’en dise mon épouse, le  charme de Saturna, la femme de chambre.

    Quant à Tristana elle-même… qu’elles sont loin dans ma mémoire Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy (1967) !
    Elle m’a ébloui… et j’avais aussi oublié, la même année, la beauté et la fraicheur de cette Belle de jour (1967) que l’on ne voit plus maintenant  qu’en Bernadette (2023).

    « Vraiment, la reine eut près d’elle été laide
    Quand, vers le soir,
    Elle passait sur le pont de Tolède
    En corset noir »

    (Victor Hugo, Gastibelza)

    Mutatis mutandis, à voir cette jeune fille devenir l’amante de son tuteur, le fuir puis revenir vivre à ses crochets pour pouvoir mieux le haïr, j’ai pensé à Christine Angot…
    Mais contrairement au documentaire de cette dernière, la fiction de Buñuel vaut la peine d’être vue, quoiqu’on pense de l’anticatholicisme et de l’anti franquisme du cinéaste.guilhem de tarlé.jpg