Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

"Emmanuel Macron au théâtre hier soir..."; l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
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"Emmanuel Macron au théâtre hier soir..."; l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
Bien vu, l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
(extrait vidéo 3'57)
https://x.com/vtremolet/status/1767812506309833120?s=20
Certes, c'est facile à dire, mais ce qu'il faut faire, et que personne ne fait (tous se contentant de constater) c'est : poser la question du "Pourquoi ?"
Et, c'est impossible à résumer en deux mots, mais la réponse à ce "pourquoi ?" c'est : à cause de l'idéologie jacobine centralisatrice du Système...
"Que voulez-vous, - disait Maurras au préfet de la Vienne, lors de son passage à Poitiers, sur la route de l'exode - soixante-dix ans de démocratie, ça se paie !"
Et cent cinquante, encore plus !
(retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)
Alain Bourrit
C'est au tout début de la création de notre groupe qu'Alain vint sonner au 9 rue Saint Suffren.
En dehors de "la politique", plusieurs choses nous rassemblaient, lui et moi, qui avons sympathisé tout de suite (il faut dire qu'Alain avait le don de sympathie...) : par exemple, j'ai participé avec lui, presque sitôt après son arrivée au local, au Camp Maxime Réal del Sarte d'Étrie, en Vendée; nous aurions pu, et du, d'ailleurs, en faire un second ensemble : lorsque le Camp eut lieu à Saint Martin de Crau (j'y ai participé) je demandai à Alain de venir avec moi, ce qui était son souhait, mais il eut alors un empêchement familial...
Autre point d'entente entre nous : nous étions tous deux professeurs, moi d'Espagnol/Provençal et lui de Lettres, bien que sa vraie passion fût la philosophie : ah, ces interminables discussions où il adorait se perdre, en parlant de l'une de ses marottes, Guénon. Il ne m'en voulait pas quand je finissais par lui dire que, franchement, Guénon, "ce n'était pas mon truc", comme disent nos élèves, dans les cours de récré (et ailleurs !...).
Pleinement intégré à notre groupe, Alain rendait davantage de services en s'occupant de Cercles d'études ou de conférences (bref, de la formation...) qu'en affichant ou distribuant et vendant à la criée; mais il faut de tout pour faire une Section, et Alain était bien un membre éminent et éminemment important de notre groupe, écouté comme tel et dont les avis comptaient beaucoup...
Quand nous organisâmes les Cafés politiques de lafautearousseau, il y participa immédiatement, en y prenant toute sa place :
• dès la première saison je le reçus pour notre Huitième Café, le samedi 26 mars 2011 : Que devient l'identité française ? Débat sur la Nation...
• l'année suivante (deuxième saison), je le reçus encore pour notre Septième Café, le samedi 12 mai 2012 : La leçon de Jeanne... Dans notre Page, consacrée à cette deuxième Saison, j'écrivais :
"Cette année, nous avons décidé de bousculer un peu les choses - mais pour la bonne cause, bien sûr.. - en faisant suivre le traditionnel Hommage à Jeanne d'Arc par la projection du film de Paul Barba Negra, Reims, cathédrale du sacre, présenté par Alain Bourrit.
Document d'archive, ce très beau film de Paul Barba Negra fut diffusé par FR3; ses images et ses commentaires n'ont rien perdu de leur puissance, de leur profondeur et de leur beauté..."
• pour notre troisième Saison, ce fut pour notre Quatrième Café, le samedi 9 février 2013, qu'Alain vint traiter le sujet : Quelle Europe voulons-nous ?...
Alain nous quitta en décembre 2017. Bien entendu, lafautearousseau lui rendit immédiatement l'hommage qu'il méritait si amplement, et exprima la tristesse de tous, lorsque nous devenions séparés de celui qui était avec nous depuis les tous premiers jours...
L'émission complète (45'18)
Depuis l’attaque terroriste du Hamas le 7 octobre dernier et l’incroyable violence de la riposte israélienne, le monde scrute le comportement de l’Iran, acteur essentiel de la poudrière orientale.
Le Hamas a dû être déçu : dans les jours qui ont suivi son offensive, l’Iran n’a pas bronché et n’envisage pas de le faire. Les spéculations selon lesquelles les mollahs de Téhéran étaient derrière le 7 octobre ont fait long feu. On le sait d’ailleurs maintenant avec certitude : personne n’était au courant et tout le monde a été stupéfait, l’Iran comme la Russie, le Qatar ou l’Arabie Saoudite.
Une fois ce point acquis, la question restait entière : qu’allait faire l’Iran ? Envoyer le Hezbollah libanais attaquer Israël au nord ?Organiser des bombardements sur l’Etat hébreux par milices irakiennes chiites interposées ? Rien de tout cela ne s’est produit.
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Cannes 2023 : Si seulement je pouvais hiberner, Un film mongol (VOSTF) de Zoljargal Purevdash, avec Battsooj Uurtsaikh (Ulzii).
Si seulement je pouvais hiberner… « J’aime pas l’hiver » répète chaque année l’une de mes sœurs, de façon triviale, dès la fin de l’été de la Saint Martin, tandis que mon épouse jalouse les animaux qui hibernent… C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle m’a traîné vers cette production, qui me donnait froid dans le dos, et partout, avec l’envie de dormir avant même d’entrer dans la salle.
A bien regarder une carte, la Mongolie « à chevale », comme la France, le 45ème degré de latitude mais, selon Wikipédia, sous « un climat nettement continental, avec des hivers longs, secs et froids.
Des températures de – 20 °C sont fréquentes en janvier et février et peuvent descendre jusqu’à –40 °C la nuit ».
C’est là le véritable sujet du film, dans un quartier défavorisé de la capitale – Oulan-Bator -, quand la pauvreté - l’alcool aidant – vous empêche de vous fournir en bois, en charbon et même en électricité.
« Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil ».
( Charles Aznavour)
Pourtant Ulzii ne pense pas à migrer… à rechercher ailleurs un statut de « Mineur Non Accompagné ».
... Depuis le 15 février dernier, un problème technique, lié à l'une de ces "joyeusetés informatiques" qui apparaissent régulièrement ici ou là, empêchait l'arrivée des "commentaires". Ce problème relevant de Hautetfort, et non de nous, il nous était impossible d'y remédier; il fallait attendre...
Voilà que le problème est résolu : cela aura duré presqu'un mois, moins longtemps, tout de même, que notre censure sur facebook, l'année passée, qui a duré trois mois entiers puis, trois jours à peine après son arrêt, a repris pour, encore, un mois !
Les commentaires sont donc publiés, maintenant : avec toutes nos excuses pour ce retard, bien involontaire...
La Rédaction
Alors qu'il y a - largement - mieux et plus urgent à faire, Macron et le Système persistent dans leur acharnement à "organiser/imposer" la mort partout, du début à la fin de vie...
Dans son édito politique "IVG et fin de vie : Emmanuel Macron président "sociétaliste"... Vincent Trémolet de Villers revient sur cette fureur pathologique qu'il y a à vouloir légiférer sur tout, pour que "la mort" règne partout, sans partage, comme règle suprême et ("comme ils disent", dirait Aznavour...) "gravée dans le marbre".
Dans "leur" marbre, peut-être.
Mais, ce qu'un Système a fait, un autre le défera...
"Les derniers jours d'un être humain contiennent, malgré les apparences, le mystère insondable de sa présence. C'est ce mystère que l'administration médicalisée de la mort risque de faire disparaître. C'est pourtant ce mystère qui nous lie les uns aux autres...".
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(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Ce fut le 10 Décembre 1919 que l'Académie Goncourt attribua son Prix à Marcel Proust, en très grande partie grâce à la campagne vigoureuse de Léon Daudet en sa faveur.
• Dès le lendemain, dans le numéro du Jeudi 11, sous une signature dont la fin est illisible, Alain MELL... annonçait simplement la chose, en page deux du journal, dans la moitié inférieure de la première colonne :
• Et le vendredi onze - deux jours après, donc... - c'est Léon Daudet en personne qui annonça la nouvelle et la commenta ainsi, dans le
Le Système part à vau l'eau, et entraîne le pays avec lui, dans son naufrage...
Pour Le Figaro (relayé sur ce point par le JT de 20h France 2...) "À Marseille, la corruption pourrait aussi venir des fonctionnaires de justice, qui seraient payés pour mal monter des dossiers, et faire libérer d’éventuels trafiquants de drogue..."
A l’affiche : Daaaaaali !, Un film français de Quentin Dupieux, avec Anaïs Demoustier (Judith, journaliste), Edouard Baer, Jonathan Cohen, Pio Marmaï, Gilles Lellouche et Didier Flamand (qui interprètent, dans le désordre, Salvador Dali) et Catherine Schaub-Abkarian (Gala, l’épouse du peintre).
2024 va nous conduire à célébrer le cinquantenaire de la mort de Marcel Pagnol (1974) et, outre la lecture ou relecture de son œuvre, j’espère que l’offre cinématographique sera à la hauteur. J’ai déjà suggéré qu’un réalisateur s’attelle à son Premier amour dont il a écrit le scénario.
Nous honorerons aussi les cent-dix ans de la mort de Frédéric Mistral (1914) avec Mireille et ses Mémoires et Récits… je doute, hélas !, qu’il y ait un biopic.
Dans un autre registre, Daaaaaali !, me permet de découvrir et commémorer Salvador Dali, qui aurait fêté ses 120 ans (2004)… s’il n’était pas mort en 1989.
Quentin Dupieux nous avait déjà régalé d’une bonne soirée, il y a six mois, avec son Yannick… il récidive.
« il ne faut pas se mentir », selon l’expression à la mode, caractéristique d’une époque où, davantage encore que dans le passé, le mensonge est roi… Confessons donc que j’ignorais tout de ce « génie », comme il se qualifiait lui-même, qui n’avait pas peur de s’affirmer anarchiste et monarchiste !
Bien évidemment, et malheureusement, le long-métrage ne rapporte pas ces propos, dits « sulfureux », mais que l’on peut entendre dans la rediffusion d’interviews sous YouTube. Cette réalisation nous amuse quand même dans un portrait haut en couleurs qui me fait comprendre le surréalisme, l’imbrication du rêve et de la réalité dans des représentations sans queue ni tête : un film « déjanté » pour un héros « déjanté ».
Bravo à Quentin Dupieux, et surtout, surtout, vive Salvator Dali !
Le Bien commun,10 rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris