47ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...
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La partie pourrie de notre Magistrature continue inlassablement de faire son sale boulot : alors qu'elle place sans hésiter des policiers en détention (Nanterre, Marseille...), elle relâche sans vergogne des assassins "jusqu'à leur procès" !!!!!.
Car, oui, pour nous, une "personne" (?) qui traîne un policier (ou qui que ce soit) sur plusieurs centaines de mètres, est un assassin.
Qui va juger le(s) soi-disant Juge(s) ayant pris une décision aussi écoeurante ? : à Lyon, l’automobiliste qui a traîné un policier municipal lors d’un refus d’obtempérer vendredi dernier a été placé sous contrôle judiciaire jusqu’à son procès en décembre prochain !
A l’affiche : Sur la branche, un film français de Marie Garel-Weiss, avec Daphné Patakia (Mireille, dite Mimi), Benoît Poelvoorde et Agnès Jaoui ( avocats « associés »), Raphaël Quenard (Christophe).
J’entends le petit oiseau
Gazouiller là-haut, dans l’ombre,
Sur la branche au bord de l’eau.
Il me dit : « Reprends courage,
L’espérance est un trésor ».
Ce chant de L’Espérance illustre, selon moi, bien davantage le film de Marie Garel-Weiss que la Mimi du synopsis qui « rêve toujours à ce qu’elle pourrait faire quand elle sera grande »…
Le petit oiseau, c’est évidemment Mimi – Mimi Pinson ? – qui, de sa petite voix, répond à Christophe accusé d’avoir volé un livre, et lui promet justice et vérité.
J’aurais très bien vu Sara Giraudeau dans le rôle de Mimi, mais convenons que Daphné Patakia l’interprète à merveille.
Un long-métrage « déjanté » autour de quatre personnages eux-mêmes « déjantés » qui nous intriguent, nous émeuvent, nous font sourire et même rire.
Salle de l'Édit du château de Roussillon, où Charles IX fixa au 1er janvier le début de l'année calendaire dans toute la France, le 9 août 1564
870 : La fin de la Lotharingie
Après s'être alliés contre lui, et l'avoir vaincu, Louis le Germanique et Charles le Chauve, petits-fils de Charlemagne, se partagent le territoire de leur frère Lothaire II, la Lotharingie...
Bien loin d'être un simple souvenir lointain, ce fait recouvre une réalité qui va accompagner la France pendant mille ans, expliquant une grande part de ses difficultés.
Une fois de plus, on en a l'explication lumineuse grâce à Jacques Bainville...
Elle vous emmènera aux origines de l'Escorial, évoquera la parution de L'Histoire de deux peuples de Jacques Bainville et, surtout, elle montrera bien à ceux qui l'ignorent les origines de la République idéologique qui déclasse inexorablement la France aujourd'hui : la Terreur, la violence, le massacre... résumées dans l'horrible journée d'émeute du 10 août 1792.
Elle sera également l'occasion de rendre hommage aux glorieux et valeureux Suisses qui, depuis François premier, servaient la France dans le cadre de la Paix perpétuelle...
lafautearousseau
La première "Une" du nouveau JDD, "façon Geoffroy Lejeune".
Elle a été très critiquée, à gauche, notamment à Libé, comme de bien entendu !
Nous, nous la trouvons très bien, et même, aggravant notre cas, on en redemande !!!!!
1784 : Naissance d'Alban de Villeneuve Bargemon
Il est sans conteste l'un des pionniers du magnifique mouvement des royalistes sociaux au XIXème siècle :
(le scripte de cette vidéo ici : https://www.actionroyaliste.fr/le-precurseur-de-la-justice-sociale-alban-de-villeneuve-bargemont/)
Avec Albert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre), La Tour du Pin (voir l'Éphéméride du 1er avril), Le Play (voir l'Éphéméride du 5 avril) et d'autres, il fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :
"…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.
Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."
1784 : Sociaux parce que royalistes ! Naissance d'Alban de Villeneuve Bargemon
1534 : Jacques Cartier atteint l'embouchure du Saint Laurent
C'est en effet le nom du saint du jour, Saint-Laurent, qu'il donne au fleuve dont il achève l'exploration : il avait réussi à convaincre le roi François 1er de financer un voyage pour découvrir le passage par le nord entre l'Océan Atlantique et l'Océan Pacifique.
Jacques Cartier repartira pour remonter le Saint-Laurent l'année suivante, arrivant ainsi au village indien de Hochelaga, près duquel fut bâtie plus tard Montréal. C'est là qu'il apprend des Indiens le nom de Canada qui voulait dire, en fait, village.
Voir notre Feuilleton En cartes, "l'aventure France" et/ou notre Album L'aventure France racontée par les cartes voir les deux photos "Navigateurs (II) : Jacques Cartier (I/II)" et "Navigateurs (III) : Jacques Cartier (II/II)"
"Il ne faut pas que les gens deviennent Français par inadvertance", dit Hélène Carrère d’Encausse à Darius Rochebin.
Ou : comment faire de la politique la plus immédiate avec élégance et finesse, mais de la façon la plus forte qui soit...
De parents Germano-Russes et Géorgiens, Hélène Carrère d'Encausse s'assimila à ce point à sa chère France qu'elle devint l’une des plus éminentes ambassadrices de l’esprit français.
Elle est et restera un modèle de ce que signifie être et devenir Français...
À méditer, pour beaucoup...
(extrait vidéo 1'17)
https://twitter.com/CocardeEtud/status/1687937075746611201?s=20
...parce que la concurrence fait baisser les prix ?
AUX FOUS !
1169 : Louis VII pose la première pierre du château de Fontainebleau
La première mention officielle dont on dispose, à propos de Fontainebleau, remonte à 1137 : il s'agit de la charte de succession de Louis VI, mentionnant un château dans cette localité, mais très certainement fort modeste.
C'est Louis VII qui lancera une suite de travaux qui ne s'arrêteront plus, et qui feront de Fontainebleau - selon le mot de Napoléon - "la maison des siècles, vrai palais des Rois".
Et, probablement, celui qui aura hébergé le plus de souverains : trente deux !
Encore les travaux seront-ils, eux aussi, en cette année 1169, bien modestes, puisqu'il s'agit seulement cette année-là pour Louis VII d'adjoindre une simple chapelle - dédiée à Saint-Saturnin - au logis de son père. Laquelle chapelle sera consacrée par Thomas Beckett, archevêque de Cantorbery, alors exilé en France.
Il n'empêche : le mouvement est lancé, et il ne s'arrêtera plus. Même si, pour des époques aussi lointaines, planent toujours quelques incertitudes sur les dates exactes, il est juste de faire remonter à Louis VII, et à l'été 1169, le point de départ de la grande aventure de Fontainebleau...
Il y aurait tant de manières d'aborder une personnalité, une vie, une oeuvre comme celle d'Hélène Carrère d'Encausse, qui vient de nous quitter ! De parler de son immense culture et de sa distinction, de ses ouvrages et de son action à l'Académie...
Nous avons choisi, pour la saluer au moment de son grand passage, de la remercier pour ce qu'elle a fait en faveur de Charles Maurras, il n'y a pas si longtemps, lorsqu'elle a accepté de recevoir, au nom de l'Académie française, son épée d'académicien : voyant la mauvaise tournure que prenait la donation de la Bastide du Chemin de Paradis à la Mairie de Martigues, Nicole Maurras décida, en effet - et elle fit bien - de sauver au moins ce qu'il était possible de sauver en remettant ce beau symbole - l'épée - à l'Académie, afin qu'elle y reposât en lieu sûr.
Agissant ainsi, Hélène Carrère d'Encausse rendait un hommage bien réel à celui qui, comme Socrate, "connut la colère de la Cité", pour reprendre la très juste et très habile formule du Duc de Lévis Mirepoix dans son discours de réception à l'Académie, dans lequel il faisait - comme c'est l'usage - l'éloge de son illustre prédécesseur : Maurras.
Car, accepter l'épée de l'académicien de Martigues, c'était, en creux, critiquer le sectarisme haineux et la bêtise crasse d'une équipe municipale aussi inculte que stupidement haineuse...
Ne serait-ce que pour ce beau geste, merci, Madame !
• Quelques informations sur le costume et l'épée d'académicien de Maurras ici :
• Cette épée fut remise le mercredi 19 février 2020 à l'Institut, entre les mains d'Hélène Carrère d'Encausse, par Nicole Maurras :
https://www.politiquemagazine.fr/culture/le-grand-rire-de-limmortel/