À Toulon, ce samedi...
La cérémonie aura lieu samedi 9 décembre à 15h00 devant la stèle commémorative, située entre l'avenue du colonel Fabien et le boulevard Clemenceau, dans le parc du champ de Mars.
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La cérémonie aura lieu samedi 9 décembre à 15h00 devant la stèle commémorative, située entre l'avenue du colonel Fabien et le boulevard Clemenceau, dans le parc du champ de Mars.
À Notre-Dame de Paris, la flèche est de retour ! Et la Croix la surmonte, à nouveau !
De Philippe de Villiers :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Jeudi 23 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766403w
Incroyable ! Face à un Hitler qui a transformé depuis des années "son" Allemagne en forges de Vulcain et s'arme à tout-va, la République idéologique, le Système, a d'abord commencé par laisser détricoter le Traité de Versailles (dans le peu de "fort" qu'il avait...) puis s'est couché sans cesse devant Hitler qui s'armait, lui, sans nous armer, nous.
Et voilà que le trop peu d'armes que nous avons (en l'occurrence, nos avions) le gouvernement du Front populaire veut les livrer au "Frente popular" espagnol, par solidarité idéologique ! Notre Front populaire (au pouvoir, hélas...), lui qui perd les dernières années où l'on pouvait encore faire un peu quelque chose avant le désastre, va donc aider son "Front frère", le "Frente popular / Frente crapular" comme le disent les traditionnalistes espagnols soulevés contre cette ignominie qu'était leur République...
• C'est Pujo qui dénonce ce "marché sanglant" en "Une" du journal (partie inférieure des deux colonnes de droite) : oui, Blum, Moch, Pierre Cot, au lieu de servir les intérêts de la France que le Système avait mise en grand péril ont préféré mettre leur idéologie en avant et en premier, la faisant passer avant l'intérêt national; cela s'appelle, tout simplement, de la trahison...
Vingt et un mois après le déclenchement de la guerre en Ukraine, le conflit semble être à un tournant. La croisade occidentale lancée contre la Russie sous la houlette de Washington a clairement échoué, et dans tous les domaines.
Oui, comme nous l'avons déjà dit et écrit dans ces colonnes, et même si nous ne croyons plus au Père Noël depuis longtemps (ni au sujet d'Attal, ni au sujet de personne...) nous sommes d'accord avec ce que dit Vincent Trémolet de Villers sur Gabriel Attal, ministre :
"...Gabriel Attal devra faire ses preuves à l'examen mais il est impossible de ne pas lui donner à la fin du premier trimestre les encouragements du conseil de classe...
...@GabrielAttal, c’est l’anti Pap…Ndiaye mais c’est aussi, malgré les apparences l’anti-Macron. Ni déni, ni "en même temps", parole performative plutôt que verbe à moitié vide. Le ministre de l'Education Nationale fait le contraire du chef de l'Etat en faisant mine de l’imiter..."
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Mercredi 22 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766402h
et sa manchette, qui se passe de commentaire(s) :
• Maurras consacre le premier paragraphe de sa "Politique" ("I. Une guerre de religion") à la Guerre qui vient de débuter :
"50 ans après l’Archipel du Goulag, le cri de Soljenitsyne résonne toujours..." Bravo à Eugénie Bastié de l'avoir rappelé :
(extrait vidéo Europe 1, 3'47)
https://x.com/EugenieBastie/status/1731586835070013899?s=20
"...Il y a 50 ans était publié en décembre 1973 à Paris L’Archipel du goulag, un livre qui allait changer la face du monde. Ce livre n’a pas pris une ride. Il faut le lire. D’abord parce qu’il nous rappelle la cruauté et l’horreur des crimes communistes que certains voudraient toujours occulter. Ensuite, parce qu’en Russie aujourd’hui, Soljenitsyne n’est plus lu. Certains réclament même qu’il ne soit plus étudié à l’école. Le régime poutinien voudrait occulter cette mémoire du goulag au profit d’une nostalgie de la Russie soviétique. Enfin, il faut lire Soljenitsyne parce qu’au-delà de la dénonciation d’un système politique, c’est une œuvre littéraire au même titre que celle d’Homère, Dante ou Primo Lévi. C’est un poème sur la fabrique de la violence qui nous rappelle que le bourreau peut sommeiller en chaque homme. C’est une description minutieuse de la fabrique du mensonge qui nous parle encore aujourd’hui, à l’heure où certains refusent toujours, par idéologie, de nommer le réel..."
P.S. : rappelons au lecteur intéréssé que c'est avec Soljénitsyne que nous avons commencé notre série de Grands Textes (49, pour l'instant...) :
GRANDS TEXTES (1) : Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée.
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Mardi 21 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7664014
Ni Daudet ni Maurras ne parlent, dans ce numéro de "La contre-révolution en Espagne", où "la situation reste confuse", dit le journal...
Les nouvelles occupent la partie supérieure des deux colonnes de droite, avec un "lire la suite en 3ème page", où elles occupent quasiment les trois premières colonnes de gauche...
A l’affiche : Monsieur le Maire, un film de Karine Blanc et Michel Tavares, avec Clovis Cornillac (le maire, Paul Barral), et Eye Haïdara (Joe Lynn).
Monsieur le Maire … Adjoint au maire de ma commune, je ne voulais évidemment pas manquer ce long-métrage que je pensais être un docu-fiction sur le dévouement de ces maires de petits villages qui, malgré leurs impératifs, leurs obligations et leurs soucis personnels, familiaux et professionnels, doivent être disponibles 24h/24 au service de leurs concitoyens et répondre immédiatement à leurs attentes, légitimes ou non.
A peine élu, au lendemain de son investiture, alors que le maire sortant, et sorti, nous avait remis du bout des doigts les clefs de la mairie, notre nouvel édile, sans aucune expérience comme toute sa liste, a été interpellé pour un vol de poubelle, un chien qui aboie et une reconnaissance de paternité… ce n’était que le début, avant de découvrir les récriminations contre l’éclairage public, la gestion des déchets verts, l’entretien du cimetière, la vitesse des voitures dans la commune, les canalisations qui se bouchent ou qui éclatent, les querelles de voisinage, l’école, les associations, la gestion des agents communaux et enfin les ambitions et incompatibilités d’humeur à l’intérieur même du conseil municipal… sans compter la centralisation de la « communauté d’agglomération » qui prend la main progressivement sur les compétences de la commune avec une « réunionite » permanente qui mobilise les élus !
Au lieu de cela, ce long-métrage porte quasiment exclusivement sur la désertification bien réelle des campagnes qu’il faut donc revitaliser comme le dit Monsieur le Maire « avec des vrais gens qui font des enfants ».
Mais on assiste alors à un scénario de pure propagande sur un « vivre ensemble » bisounours avec le Grand remplacement et les cas sociaux, que l’on dissémine sur tout le territoire.
En fait, je suis fautif, coupable de ma naïveté…
j’aurais évidemment dû me méfier, puisque je savais que les maires du département avaient été invités à une séance gratuite (financée par nos impôts) pour voir ce film… et recevoir ainsi la « bonne parole »…
Jamais je n’aurais dû aller voir cette production sans avoir regardé la bande-annonce.
il ne me reste qu’à me consoler d’avoir perdu ainsi mon temps et mon argent, et de ma fureur de m’être ainsi fait piéger, en vous écrivant en toute conscience : Surtout n’y allez pas !
Hélas, cette réalisation est inspirée de faits réels… Pauvre Monsieur le Maire !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Lundi 20 Juillet 36 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766400r
Il n'a fallu qu'un jour à l'A.F. pour adopter le bandeau qui figurera jusqu'à la victoire finale dans ses articles :
Maurras parle de cette "contre-révolution, dans "La Politique" (son premier paragraphe) mais c'est surtout Léon Daudet, ce jour-là, qui commentera le début de cette Guerre civile, avec son article "Choses d'Espagne" (dans les moitiés supérieures des deux colonnes de gauche); la plus grande partie des deux colonnes de droite est consacrées aux "nouvelles" d'Espagne (avec un "lire la suite en 2ème page, où elles se poursuivent sur la plus grande partie de la troisième colonne et le tiers supérieur de la quatrième); dans cette même deuxième page, et sur toute la première colonne, José LE BOUCHER donne un "Révolutions espagnoles" que vous lirez ci-après...
Art et essai : Le Temps d’aimer, un film français de Katell Quillévéré, avec Anaïs Demoustier (Madeleine), Vincent Lacoste (François) et Paul Beaurepaire (Daniel).
Le Temps d'aimer... Selon le synopsis, La réalisatrice "entraîne ses personnages dans le Châteauroux des années 50", c'est-à-dire à l'époque des Américains. Pour mon épouse, castelroussine pur jus qui côtoyait leurs enfants aux abris bus, ils faisaient partie du décor naturel. Elle se rappelle aujourd'hui son désarroi, son incompréhension quand, à 17 ans, en 1967, elle les a vus partir.
On lit dans le quotidien régional que Katell Quillévéré est venue ici rencontrer les témoins de cette période américaine. Elle n'a pas vu mon épouse mais elle a fouillé les archives et consulté les historiens locaux.
C'est donc avec enthousiasme et nostalgie que nous nous sommes rendus à cette avant-première qui a rempli à craquer les 328 places du cinéma d'art et d'essai de la ville.
Le Temps d'aimer ne fut pourtant pas le film que nous pensions aller voir, et avec nous sans doute la quasi-totalité des spectateurs.
En fait les G.I. en Berry ne sont que les figurants d'un drame et d'une tragédie qui ont "fritzé" le très bon film. Nous avons compati au drame de cette jolie serveuse, amoureuse d'un officier allemand et violentée, sous les ciseaux de la haine, par le camp du Bien. Nous avons partagé la tragédie du fruit illégitime de ces amours "collaborationnistes", ce" fils de Boche".
Ce n'était donc pas - je le répète- ce que nous pensions aller voir, mais la fiction aurait pu être nettement supérieure au documentaire.
Malheureusement, comme Flo, ce long-métrage (plus de 2h) est gâché par des scènes véritablement nauséabondes, non pas au sens galvaudé du politiquement correct relatif aux "heures les plus sombres de notre Histoire" mais celui du voyeurisme et même, pire que Flo, un voyeurisme d'urinoir.
Quand, à rebours de ce féminisme « metoo », plus porno que les hommes, elles sauront suggérer plutôt que se vautrer, Géraldine Danon et Katell Quillévéré seront sans doute de grandes réalisatrices.
Pour ma part, je retourne écouter Brassens :
"J'aurais dû prendre un peu parti pour sa toison
J'aurais dû dire un mot pour sauver son chignon
Pour sauver son chignon".
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Les Rois de France, aux origines du Palais et du Musée du Louvre... (tiré de notre Éphéméride du 8 Novembre)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")