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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 123

  • Grandes "Une" de L'Action française (1/13) : Espagne, 18 Juillet 1936, la Tradition se soulève contre la Révolution...

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

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    Voici la "Une" du Dimanche 19 Juillet 1936, lendemain du soulèvement : pour l'instant, étonnée, comme tout le monde, par les évènements d'Espagne, L'Action française parle, naturellement, de "soulèvement"; ce n'est que le lendemain que, jusqu'à la fin, elle arborera le titre "La contre-révolution en Espagne"...

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766399z

    Nous disons bien "étonnée" mais pas "surprise", car, en fait, l'A.F. était au courant de la mauvaise tournure que prenaient "les choses d'Espagne" : on le voit bien avec cette photo de notre Album Maîtres et témoins... (II) : Jacques Bainville, intitulée : Prévision de la guerre civile Espagnole... qui rapporte les lignes de Bainville dans L'Action française du 16 janvier 1936, juste avant les élections espagnoles, et alors qu'il ne lui reste plus que vingt-quatre jours à vivre ! Jusqu'au bout, notre immense Bainville aura conservé intacte sa lucidité et aura donné à tous un magnifique exemple de courage personnel face à la maladie qui l'emportait, inexorablement...

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    L'Action française n'est donc pas "surprise", à proprement parler, lorsqu'elle apprend qu'une révolte a éclaté dans le Maroc espagnol, et se contente, en ce premier jour, de donner une information générale, en employant souvent des conditionnels; dès le lendemain, le ton changera, et l'on parlera bien de la "contre-révolution"...

    Voici d'abord la manchette de ce numéro du 19 Juillet :

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    Et le début des informations générales, dans la partie inférieure des deux premières colonnes de gauche (juste sous l'article de Léon Daudet)... :

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    (cliquez sur l'image pour l'agrandir)

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    D'accord avec Gilbert Collard :

    "La ligue des droits de l’homme saisit la justice pour faire retirer la crèche de Perpignan; la même ligue qui défendait la liberté d'exhiber burqa et burkini dans l’espace public : c'est la ligue de la laïcité uniquement contre les chrétiens !"
     
     
    Ils n'ont pas honte, ces gens-là ?
     
    Ces gens-là n'iront pas travailler le 25 décembre, célébrant ainsi - volens, nolens... - la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ, le Père tout puissant, vrai Dieu né du vrai Dieu... et par lui tout a  été fait...
     
    Ces gens-là n'iront pas travailler non plus le 15 Août, jour de l'entrée au Ciel de la Vierge Marie...
     
    Ces gens-là n'iront pas travailler non plus le Jeudi de l'Ascension de ce même Jésus qui est monté au Ciel, où il siège à la droite du Père...
     
    Ces gens-là n'iront pas travailler non plus le jour de la Toussaint, car fêter TOUS LES SAINTS DU MONDE, DE TOUTES LES ÉPOQUES, EN MÊME TEMPS, il faut les comprendre, cela leur prend du temps !!!!!
     
    Ces gens-là n'iront pas travailler non plus les Lundi de Pâques ni de Pentecôte, mais, non, ils n'ont pas honte !
     
    Ils n'ont, surtout, pas le sens du ridicule !
     
    DE "LEUR" RIDICULE !
     
    ET, NOUS,
     
    NOUS VOULONS DES CRÈCHES
     
    PARTOUT !

     

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  • Au cinéma : Napoléon, par Guilhem de Tarlé

    Napoleon - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Napoléon, un film anglais de Ridley Scott, avec Joaquin Phoenix dans le rôle-titre, et Vanessa Kirby (Joséphine de Beauharnais).

    Du général Bonaparte à son épouse :

     Nice, le 10 germinal, an IV (30/03/1796)
    « A la tête des troupes, en parcourant les camps, mon adorable Joséphine est seule dans mon cœur, occupe mon esprit, absorbe ma pensée ».

    Il n’empêche que de réduire Napoléon, et 28 ans d’Histoire, à Joséphine et aux expéditions militaires avec 3 millions de morts…

      « c’est un peu court, jeune homme !
    On pouvait dire… Oh ! Dieu !... bien des choses en somme ».

    Mais, c’est vrai que Ridley Scott n’est plus un jeune homme, et que, fils de la perfide Albion, il ne pouvait pas traiter avec panache celui qui fut l’ennemi juré de l’Angleterre.
    C’est vrai aussi que ce long-métrage est déjà fort long (2h38) et que l’on parle d’une version de 4H30, qui en dirait forcément davantage…

    J’ai déjà écrit que nul ne sait dans quel camp il aurait été s’il avait vécu tel ou tel événement historique… On ne peut que constater l’héritage, et ignorer ce que celui du camp adverse aurait été. 

    Il faut donc se contenter de recenser les faits – ceux que l’on connaît ! – et de les caractériser, aujourd’hui, sans savoir quelle aurait été notre interprétation et notre appréciation à l’époque.

    Ce Napoléon se présente comme une succession de tableaux, de durées variables selon ce qu’ils racontent, plus ou moins intéressants, qui se caractérisent généralement, précisément comme dit ci-dessus, par l’absence de panache, avec certaines scènes regrettables, et inutiles, de « relations amoureuses » interdisant de montrer ce film aux enfants.

    Dommage car, malgré certaines facilités cinématographiques et quelques « libertés » historiques, cette fiction aurait pu être une bonne introduction à une étude sérieuse d’une période importante de l’Histoire de France et de l’épopée d’un Homme d’Etat qui ne laisse personne indifférent et, quoiqu’on en pense, nous change des ludions quinquennaux que vous savez.

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  • JUSTICE IMMANENTE, par Guy Adain

    La théorie de la justice : épisode • 1/4 du podcast Lectures de "La  République" de Platon
     
    Nous sommes nombreux à ne plus comprendre notre Justice !
     
    La Main de Justice semble se tendre plus, aux agresseurs qu’aux agressés. La compassion va presque toujours aux offenseurs, rarement aux offensés. Les victimes, si elles survivent, auront droit à la Cellule Psychologique, et dans le cas contraire, si elles périssent, au grand jeu : Marches blanches, petites bougies, allocutions ministérielle voire présidentielle, et décorations !!!
    La Justice de notre Pays nous paraît bien complaisante !
     
    Mais bien heureusement, il en est une autre, et à celle-ci, personne n’échappe ! 
    Une Justice qui n’est soumise à rien ni à personne, ni politique ni préférence ; celle-là est vraiment indépendante, elle est en nous, inaltérable !
    Une Justice qui présentera la facture à chacun !
    Le Peuple de France souffre de l’injustice régnante, le Peuple de France perd espoir, le Peuple de France ne comprends plus, l’esprit pays a disparu, le Franc a disparu, il est devenu Euro, la France aussi a disparu, elle prend ses ordres de l’ Europe !
    D’aucuns s’en satisfont et y trouvent certainement intérêt, mais l’ensemble du Peuple de France, la majorité, endurent cette détresse en perdant peu à peu l’espoir… 
    L’espoir de pouvoir laisser à leurs enfants une France d’Avenir !
     
    La Justice immanente, qui surviendra demain, présentera la facture à ceux d’aujourd’hui, tout sera réglé rubis sur l’ongle !
    Certes il faut être patient car comme le disait Pierre Dac : 
    « La justice immanente est rarement imminente; »
    Mais tout se paie et tout vient à son heure.
    Le Peuple de France retrouvera sa place, la France également ; 
    laissons la parole aux âmes, aux cœurs, le bon sens reviendra et avec l’Amour qui solutionne toujours tout, nous marcherons demain  à marche triomphale pour faire de la France 
     
    « ce qu’elle a été, ce qu’elle est et ce qu’elle veut être.» (Sic)

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Toujours excellent, l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
     
    "...Y-aura-t-il des crèches à Noël ?...
    ...Effacer l'empreinte chrétienne de la France c'est faire le jeu de ceux qui, aujourd'hui, ont le plus la laïcité en horreur : les dévots de la guerre sainte que mènent les islamistes. Le petit santon de la crèche n'est donc pas une menace, mais un rempart..."
     
    Nous, nous accusons carrément la République idéologique, le Système, d'avoir affaibli et désarmé spirituellement la France en particulier, l'Europe en général, en menant contre l'Église catholique une lutte à mort, une "guerre d'extermination" comme l'a dit le député socialiste Viviani en 1906...
    Se prenant elle-même pour la Nouvelle Religion Républicaine, la Révolution et sa République idéologique n'ont eu de cesse de démolir le christianisme, autant qu'elles le pouvaient; sans y parvenir, toutefois, elles l'ont considérablement affaibli, et voilà qu'arrivent les masses musulmanes de la troisième invasion islamique de l'Europe, après les deux précédentes qui, elles, étaient militaires : celle de 711, par l'Espagne, et celle de 1453, par Constantinople...
     
    Le couple révolutionnaire LFI Garrido/Corbières, avec leur fille convertie à l'Islam, est la parfaite allégorie de cette guerre anti-chrétienne menée par la Révolution, la République idéologique, le Système, contre nos Racines chrétiennes, notre héritage judéo-chrétien, notre Être profond... et le grand remplacement spirituel qu'elle induit : "Ôtez le christianisme, vous aurez l'Islam", disait ce grand royaliste de Chateaubriand. Les révolutionnaires Garrido/Corbières ont leur fille convertie à l'Islam. Pour la Révolution, c'est : "Mission accomplie, chef !"...
     
    Mais le christianisme n'est pas mort et ne mourra pas...
     
    La France est chrétienne, et elle le restera... 
     
    Et, oui, il y aura des santons à Noël !
     
    En avant-première (puisqu'elle ne sera faite que demain, premier jour de l'Avent) la crèche de lafautearousseau :

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Sur Europe 1, l'hommage de Gaspard Proust à Thomas :

    https://x.com/QueenFirmAction/status/1729826616975503658?s=20

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  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (54)...

     

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    1989 : René Sédillot vient présenter, dans notre local du 50, rue Pavillon "Le coût de la Révolution française"...

     

    1A.jpgComment mieux présenter cet exceptionnel ouvrage ? Voici un document d'archive, rare, voire exceptionnel : sa qualité technique est loin d'être fameuse, mais il date de 1989 ! C'est évidemment son fond qui en constitue l'intérêt, et nous demandons aux auditeurs de passer sur les imperfections techniques évidentes, pour aller à "la substantifique moelle...".

    Il s'agit ici d'une conférence prononcée à Marseille, au siège de la Fédération Royaliste Provençale, juste avant les célébrations du bi-centenaire de 1989, par un René Sédillot très en forme.

    On rappellera juste que René Sédillot fut, pendant de longues années, le directeur de La vie française, l'un des principaux journaux économiques de l'époque.

    Dans son Discours aux Lucs sur Boulogne (le premier de nos Grands Textes), Soljénitsyne explique la malfaisance de toute révolution, de la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationalistes du bonheur du peuple"....

    Il écrit, entre autres :

    1A.jpg"...C'est le XXème siècle qui a considérablement terni, aux yeux de l'humanité, l'auréole romantique qui entourait la révolution au XVIIIème. De demi-siècles en siècles, les hommes ont fini par se convaincre, à partir de leur propre malheur, de ce que les révolutions détruisent le caractère organique de la société, qu'elles ruinent le cours naturel de la vie, qu'elles annihilent les meilleurs éléments de la population, en donnant libre champ aux pires. Aucune révolution ne peut enrichir un pays, tout juste quelques débrouillards sans scrupules sont causes de mort innombrables, d'une paupérisation étendue et, dans les cas les plus graves, d'une dégradation durable de la population.

    Le mot révolution lui-même, du latin revolvere, signifie rouler en arrière, revenir, éprouver à nouveau, rallumer. Dans le meilleur des cas, mettre sens dessus dessous. Bref, une kyrielle de significations peu enviables. De nos jours, si de par le monde on accole au mot révolution l'épithète de "grande", on ne le fait plus qu'avec circonspection et, bien souvent, avec beaucoup d'amertume.

    Désormais, nous comprenons toujours mieux que l'effet social que nous désirons si ardemment peut être obtenu par le biais d'un développement évolutif normal, avec infiniment moins de pertes, sans sauvagerie généralisée. II faut savoir améliorer avec patience ce que nous offre chaque aujourd'hui. II serait bien vain d'espérer que la révolution puisse régénérer la nature humaine...."

     

    Comme en écho à ces propos, René Sédillot se penche, lui, justement, sur le coût de la révolution.  Le mot "coût" ne devant bien évidemment pas être pris dans sa seule acception économique...

    René Sedillot est "présenté" par Pierre Chauvet, Président de l'Union Royaliste Provençale (à droite, sur l'écran) et par François Davin (à gauche)

    (Conférence tenue dans les locaux l'Action Française de Marseille en 1989, dans le contexte des célébrations du bicentetaire de la Révolution française)

  • Au cinéma : The old oak, par Guilhem de Tarlé

    The Old Oak - film 2023 - AlloCiné

    Cannes 2023 : The old oak, un film anglais de Ken Loach, avec Dave Turner (TJ Ballantyne, propriétaire du pub, The old oak) et Ebla Mari (Yara, migrante syrienne).


    Contre le feu, je ne manifeste pas avec les pyromanes...
    Et ceux-ci d'ailleurs manifestent pour ne pas agir.
    C'est donc sans aucun complexe que, ce dimanche 12 novembre, nous sommes allés au cinéma, nous abriter de la pluie sous un vieux chêne.
    Hélas le vieux chêne de Ken Loach n'est pas celui de Vincennes au pied duquel St Louis rendait la justice .
    .
    The old oak est le 3ème opus d'une sorte de trilogie filmée dans le Nord-est de l'Angleterre qui fut le théâtre d'une grande grève des mineurs sous Margareth Thatcher en 1984.
    Dans MoiDaniel Blake le réalisateur dénonce une bureaucratie incapable de se mettre à la place d'un malheureux artisan qui a travaillé toute sa vie et se retrouve au chômage à la suite d'une maladie.
    Dans Sorry, we missed you, il dénonce l' « uberisation » c'est-à-dire l'exploitation de travailleurs que l'on qualifie d'indépendants alors que, sans aucune protection sociale et avec des revenus misérables, ils sont soumis à des cadences infernales imposées par des employeurs sans foi ni loi.

    Ken Loach est évidemment un militant de gauche, très à gauche, un anglais opposé aux gouvernements conservateurs  des Tories, ou social-démocrate de Tony Blair. Il n'empêche que ses deux premiers films, décevants par ailleurs, mènent des bons combats... ce n'est pas le cas du troisième qui n'est qu'un prospectus cinématographique manichéen pour l'accueil des migrants. Sylvie Binet, Secrétaire général de la CGT, en a d’ailleurs fait l’éloge – « un film comme ça, ça vaut 100 000 tracts » -, ce que confirme « le journal des curés de gauche » (de Gaulle),  La Croix, qui lui attribue 4 étoiles (« chef-d’œuvre »).

    A vous de juger.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le très mauvais esprit (irrécupérable ?) de Patrick Cohen a révolté tout le monde et a été, fort logiquement, épinglé par tout le monde : de Marc Menant et Charlotte d'Ornellas (sur CNews) à Front Populaire (ci-dessous, extrait) :

    "Mort de Thomas : le service public s’embourbe dans l’inversion accusatoire

    ARTICLE. Hier soir dans l'émission C à vous sur France 5, l'éditorialiste Patrick Cohen est revenu sur les événements survenus le soir du drame à Crépol. Avec un parti pris effrayant : seule la version des assaillants a composé la majorité de son narratif. Et le tout sur le service public.

    C’est une inversion accusatoire comme le service public en a le secret. En quelques jours, l’agressé devient l’agresseur, la victime le coupable. Dans son édito du lundi 28 novembre dans l’émission C à vous, Patrick Cohen est revenu sur le déroulement de la soirée lors de l’attaque dans le petit village dans la Drôme, dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre. Intitulée « Crépol : la mécanique de la haine et du mensonge », sa chronique est elle-même un tissu de témoignages mono-sourcés ponctués de raccourcis idéologiques..."

    "Avec sa crânerie somme toute habituelle", dit la Rédaction de Front populaire : comme Goldnadel a raison de parler de radio/télé

    "DE SÉVICE PUBLIC" !

    Goldnadel qui déclare, au sujet des propos intolérables de Patrick Cohen :

    "...Le reportage de Patrick Cohen, c’est le déni dédaigneux des dandys, l’univers du service public. Il prend pour argent comptant les déclarations des mis en cause mais la question du racisme anti blanc ne doit surtout pas être posée..."

     

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  • Documents pour servir à une Histoire de l'URP (53) : Quelques informations sur Le Commandant Dromard, premier Président de l'Union Royaliste Provençale...

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    Ci-dessus, photo du Commandant Dromard, parue dans L'Almanach d'Action française pour l'année 1928 (page 347)

     

    On n'a malheureusement pas autant d'informations qu'on le souhaiterait sur le Commandant Dromard, qui fut le premier Président de notre Union Royaliste Provençale.

    Pourtant, son nom fut écrit des dizaines de fois dans L'Action française, lors des compte-rendus des grands Rassemblements royalistes (de Barbentane, le 29 mai 1927 ou de Roquemartine, le 5 août 1934, ci-dessus) ou des autres manifestations marseillaises et provençales, comme la double inauguration de la statue de Jeanne d'Arc, en haut de La Canebière, en 1942 et 1943 (voir ici, pour 1942, et ici, pour 1943).

    J'avais demandé à Pierre Chauvet - qui lui succéda à la tête de l'URP - et à Jean Lavoëgie - qui fut Chef des Camelots dans la "Dixième zone", la nôtre... - de me parler de lui; ainsi, bien entendu, qu'à mon père, Camelot marseillais de toujours : tous les trois, avec leurs mots à eux, différents mais se rejoignant sur le fond, me firent la même réponse : Dromard fut un serviteur fidèle et zélé de notre Cause, un Président actif et infatigable, toujours assidu à sa tâche, mais sans jamais d'accroc ni de dispute ou problèmes d'aucune sorte, ni de pas de côté, ni d'action(s) ou de décision(s) controversée(s). Tout entier donné à sa Cause, il ne vivait que pour servir : les gens heureux n'ont pas d'histoire, dit le dicton...

    Finalement, n'est-ce pas le plus beau des éloges que l'on puisse faire d'un Président de Fédération ? Pendant trente ans, du lendemain de la Guerre à sa mort, le premier mai 1950, il a servi, fidèlement, infatigablement, toujours là, toujours présent et actif, et le rappeler suffit pour lui rendre hommage, même si manquent photos et documents...

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    (cliquez sur le document pour l'agrandir)

    Louis, Francois, Marie Joseph Dromard fut nommé Chevalier de la Légion d'Honneur le 2 août 1920; puis promu Officier le 30 juin 1939...

    Il mourut le premier Mai 1950, à Marseille, où il demeurait (au 64, Boulevard Rabatau)

    (comme pour notre précédente livraison, traitant de L'Ordre Provençal, nous mettons en fin de cette note deux liens intéressants, en ceci qu'ils fournissent un grand nombre de noms, dates et lieux, personnalités; le tout mêlé dans un ensemble parfois un peu long, ennuyeux, voire "poussiéreux" : le lecteur en usera comme bon lui semble; pour notre part, nous en avons extrait certains des renseignements suivants...)

    C'est le Samedi 30 Mars qu'apparaît pour la première fois le nom de "Louis Dromard", dans L'Action française (en page deux) : Louis Dromard envoie 11 francs à la souscription permanente "pour la propagande du journal".

    Voilà comment est entré dans le quotidien, assez modestement, le nom de celui qui deviendra notre premier Président. Né le 15 Juin 1878, "le commandant Dromard" avait, alors, 34 ans, et - franc-comtois d'origine - il travaillait depuis une dizaine d'années à Marseille,  comme courtier en graines oléagineuses...

    Il y aura d'autres parutions sur Louis Dromard dans le quotidien, notamment pendant la Grande guerre :

    • en "Une" du numéro du Samedi 22 Juillet 1916 :

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    • en "Une" du numéro du Mercredi 7 Novembre 1917 :

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    • dans le numéro, du Mercredi Premier Octobre 1919 (page deux) : nous avions laissé Louis Dromard capitaine; le voici commandant; et Président de la Section de Marseille reconstituée...

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    • en "Une" du  numéro du Lundi 16 Août 1920 :

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    Voici le dossier de Légion d'honneur du Commandant Dromard :

    https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/121271

     

    François Davin

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (68) : Folco de Baroncelli, aux origines de la Camargue moderne...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Folco de Baroncelli, aux origine sde la Camargue moderne...

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Quatre minutes et quarante-quatre secondes magiques : un pur bonheur !

    Charlotte d'Ornellas est parfaite sur "Crépol"... :

    https://x.com/YHWH_RAOUL/status/1729219368330944655?s=20

     

    Crépol : à quand la fin du déni ? - Charlotte d'Ornellas - YouTube

    Crépol : à quand la fin du déni ? - Charlotte d'Ornellas

     

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  • Au cinéma : Oui, "faisons du bruit" pour Sound of freedom, avec Guilhem de Tarlé

    Sound of Freedom - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Sound of freedom, un film américain d’Alejandro Monteverde, avec Jim Caviezel (l’agent fédéral Tim Ballard), inspiré de faits réels.

    Sound of freedom… C’est en effet un long-métrage qui fait du bruit… le bruit de la liberté, bien qu’il soit projeté dans très peu de salles puisque, selon les chaînes publiques (France info et F5) et bien d’autres médias, il s’agit d’une œuvre « complotiste » de la « mouvance conspirationniste et d’extrême droite américaine »…  Nous avons donc dû faire plus d’une heure de route pour aller le voir, et je comprends la « censure » (officieuse ou sous le manteau) dont il est victime puisque, en plus de tous ses défauts que je viens d’évoquer, il a le tort d’être un excellent thriller qui prend aux tripes du début à la fin sans qu’on ressente à aucun moment le temps passer (2h11).

    « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage » nous enseignait ce bon La Fontaine (mais l’étudie-t-on encore dans nos écoles ?).
    Les détracteurs peuvent donc se régaler avec le producteur Mel Gibson catalogué par Wikipédia comme « catholique sédévacantiste » et « ultraconservateur », tandis que l’acteur Jim Caviezel (déjà interprète de Jésus de Nazareth dans La Passion du Christ), serait un tenant de la théorie du complot. Quant à Tim Ballard, j’ai entendu qu’il serait candidat républicain « trumpiste » aux prochaines élections…

    Tim Ballard, précisément, le héros du film, et un héros tout court, qui s’est engagé dans la lutte contre le fléau de la pédocriminalité et le trafic d’enfants (2 millions d’enfants, deuxième trafic international après la drogue) avec la volonté non seulement d’arrêter les criminels, les trafiquants comme les « consommateurs », mais aussi de récupérer les victimes… C’est tout le sujet de ce Sound of freedom qui dénonce cet esclavage bien actuel et plus important que celui d’autrefois dont le camp du Bien  ne cesse de faire repentance et de nous culpabiliser.

    Sound of freedom, faisons du bruit pour le promouvoir et remercier la société Saje Distribution sans laquelle même les médias de gauche feraient silence.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    On célèbre aujourd'hui la naissance de Claude Lévy-Strauss.

    Il ne nous paraît pas inutile - à cette occasion -  de redonner la courte note que nous avons rédigée à l'occasion de son décès (et publiée le 4 novembre 2009) car, on le verra, il parlait - hier - de notre "aujourd'hui tel qu'il est", comme le dit Michel Onfray, que nous citions ici-même, il y a vingt-quatre heures, à propos de "l'affaire de Crépol"... :

    "Si c'est Lévy-Strauss qui le dit..." ,

    Une note suivie de ce court extrait d'une de ses conférences à l'UNESCO :

    "...Il n'est nullement coupable de placer une manière de vivre ou de penser au dessus de toutes les autres et d'éprouver peu d'attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s'éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. (...) Cette incommunicabilité relative n'autorise pas à opprimer ou à détruire les valeurs qu'on rejette ou leurs représentants, mais, maintenue dans ces limites, elle n'a rien de révoltant. Elle peut même représenter le prix à payer pour que les systèmes de valeurs de chaque famille spirituelle ou de chaque communauté se conservent et trouvent dans leur propre fonds les ressources nécessaires à leur renouvellement..." 

    (Claude Lévy-Strauss, Conférence à l'UNESCO, Race et culture)

     

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