Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
 
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Tout se poursuit comme prévu, et se passe bien, pour ce deuxième volet de notre trilogie consacrée à Maurras, Daudet, Bainville, et voici aujourd'hui que paraît le 200ème épisode de ce deuxième feuilleton :
Tous les autres épisodes sont déjà "placés" : le dernier paraîtra le 30 Juin prochain...
Il ne restera alors plus qu'à attendre le troisième, qui sera consacré à Jacques Bainville (et qui paraîtra fin février 2025, pour célébrer notre anniversaire) : ainsi , tous ceux qui ne connaissent pas, ou mal, ou trop peu, ces trois figures majeures de la vie politique et de la pensée française pourront se faire leur propre opinion sur chacun d'entre eux.
Comme, aussi tous ceux à qui l'on a tant menti, à qui l'on n'a présenté qu'une vérité officielle qui n'est, très souvent, qu'un grossier mensonge...
Voici donc les liens conduisant aux deux premiers feuilletons disponibles sur lafautearousseau :
• Une visite chez Charles Maurras (86 épisodes, intégralement publié);
• "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu" (245 épisodes, en cours de publication, jusqu'au 30 juin prochain);
Bonne lecture !
 
Un brave type, Marvin, dont le seul tort était de travailler (et tôt...) est mort, assassiné; mais Momo, l'assassin, lui, va très bien !
Des célébrités pourraient l'appeler "petit ange", au moins sa non-mort nous aura permis d'éviter des émeutes ethniques d'ampleur nationale, à un milliard d'euros environ...

A l’affiche : Civil war, un film américain (VF) d’Alex Garland, avec Kirsten Dunst (Lee).
Civil war… nous fait traverser des Etats-Unis en guerre civile, dans un véhicule de quatre journalistes, dont deux photographes. Un film haletant avec des scènes de guerre éprouvantes, des explosions, des « snipers », des massacres, mais aussi des parlottes, des « arrêts sur le scénario », des longueurs qui m’ont ennuyé à plusieurs reprises. Pourquoi cette guerre ? qui est qui ? le film est peu disert… Il s’agit davantage de faire l’éloge de ces journalistes et particulièrement des photographes qui se conduisent en héros pour montrer les atrocités de la guerre en cultivant l’utopie du « plus jamais ça ! ».
Si Garland est peu loquace sur les tenants et les aboutissants, sur YouTube les critiques le sont et, précisément, regrettent souvent son absence de parti pris. Ils nous racontent – pour faire court - que le Président des Etats-Unis du film est un « fasciste », et que, à la veille des élections américaines, le scénario veut nous mettre en garde contre une possible réélection de Donald Trump ou un nouvel « assaut du Capitole » !
On dit trivialement qu’il vaut mieux entendre cela que d’être sourd, et je me réjouirai, personnellement, de la victoire de Trump.
– « America first » comme « Les Français d’abord » -.

Le Bien commun
10 rue Croix-des-Petits-Champs
75001 Paris
 
Ce que la presse n'a pas trop dit ou expliqué aux Français...
Merigi poste ce court commentaire et cette courte vidéo sur tweeter :

(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
• Le "Pavé" ci-dessus est paru en "Une" du quotidien, le Jeudi 8 Juillet 1926; dans la numéro du lendemain, Vendredi 9 Juillet, on trouvera celui-ci (toujours en "Une", partie basse de la deuxième colonne) : tout est dit !
• Il n'y a rien, par contre, les samedi et dimanche et c'est, naturellement, dans le numéro du Lundi 12 Juillet que l'on trouvera le compte-rendu de la réunion, qui s'annonçait "agitée". Il est "De notre envoyé spécial" et signé "DESVIGNES"; il occupe l'intégralité de la troisième colonne de cette "Une" et la partie supérieure de la quatrième : il est donc "en "plein milieu"; et il y aura un court retour, amusant et émouvant, en page deux, où l'on parlera des "communistes rossés" et de Marseille...
 
Dans Figaro Vox, Gilles-William Goldnadel dénonce (et il a bien raison de le faire...) :
"LFI et l’antisémitisme, le point de non-retour"
Il déclare : "Privilège Rouge : Si LFI était d'extrême-droite, elle serait interdite» Mon dernier article dans Le Figaro Vox" :
«Le discours et le comportement de la France insoumise atteignent désormais un point de non-retour». JOEL SAGET / AFP
 
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
 
La reprise, pour la juste, et saine, et sainte colère paysanne ?
De Gilbert Collard :
PAS DE PAYS SANS
PAYSANS !
SOLIDARITÉ TOTALE
AVEC NOS PAYSANS !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

Le "pavé" ci-dessus a été publié dans le numéro du Vendredi 25 Juin 1926, mais il était déjà déjà paru tel quel dans les deux numéros précédents, des 23 et 24.
Le lendemain, dans le numéro du Samedi 26, Maurice Pujo annonce de nouveau la réunion et son importance : son article, intitulé "L'Action française à Strasbourg" occupe la moitié supérieure de la cinquième colonne de la "Une" :
 
Oui, il faut suspendre temporairement le droit d'asile en France !
Pendant combien de temps ?
Pendant tout le temps qu'il faudra pour ramener à la normale la situation générale du pays (violences partout, insécurité à tous moments, assassinats bientôt quotidiens...) et pour que l'on sorte de l'état de fait invivable dans lequel nous nous trouvons, conséquence logique des scélérats "décrets Chirac" dits de "regroupement familial" de 75/76, qui n'ont réussi qu'à poubelliser la France, en faire le gigantesque foutoir, la pétaudière infernale, le dépotoir du monde que nous voyons (et, surtout, subissons !) aujourd'hui...
D'accord avec l'article de Samuel Martin, dans Boulevard Voltaire :
"Déséquilibrés" : la France, terre d'asile... psychiatrique"


Cannes 2024 : Marcello Mio, un film franco-italien de Christophe Honoré, avec Chiara Mastroianni, Catherine Deneuve, Fabrice Luchini, Benjamin Biolay, Nicole Garcia, Melvil Poupaud, chacun dans son rôle.
Marcello Mio … N’ayant ni la culture cinématographique suffisante, ni le culte de Marcello Mastroianni, je ne me faisais pas beaucoup d’illusions sur cette réalisation, sans doute trop « cinéphilique » pour moi, et encore je n’avais fait attention ni à la durée, 2 heures, ni au casting pléthorique qui, bien souvent, est synonyme de médiocrité.
N’est-ce pas l’heure pour Catherine Deneuve de quitter l’écran plutôt que de se pavaner dans son propre personnage ?
Chiara Mastroianni n’a-t-elle pas honte de jouer les « transgenres » dans les habits de son père ?
Fabrice Luchini et Nicole Garcia ne se déconsidèrent-ils pas dans les seconds rôles de cette pantalonnade ?
Je dois à la vérité de dire que mon épouse est moins sévère, alors que je me suis profondément ennuyé.
Mais déjà, en 2016, je n’avais pas apprécié Les Malheurs de Sophie du même réalisateur.   
 
Pompier pyromane, Macron ne manque pas d'air !
Il plastronne aujourd'hui parce qu'il vient de racheter (deux fois plus chers qu'ils ne les avait vendues, tout de même) les turbines d'Alstom au groupe américain General Electric. Petit rappel : il avait permis cette vente folle en 2015, alors qu'il était ministre de l'économie.
Et il déclare, maintenant, tout content :
"C’est un engagement que j’avais pris à Belfort : EDF reprend dès aujourd’hui les activités nucléaires de General Electric, notamment la fabrication des turbines Arabelle. Un grand pas pour notre souveraineté énergétique. Une fierté française !"
"Plus c'est gros, plus ça passe !...", disait un certain... Goebbels !
Mais : et les brevets, là-dedans? Et les évidents transferts de technologie qui ont forcément eu lieu ? Là-dessus : silence radio !
Macron se contente de nous prendre pour ce que nous ne sommes pas, cela lui paraît amplement suffisant...
VIVEMENT LA GIGANTESQUE GIFLE DE DIMANCHE PROCHAIN !

Grand Prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville 2023 : LaRoy, un film américain (VOSTF) de Shane Atkinson, avec John Magaro (Ray) et Steve Zahn (Skip, le détective privé).
LaRoy… c’est une petite ville du Texas où se déroule l’action. Je n’en dirai pas davantage car le scénario est trop compliqué pour moi.
En revanche, le cirque et les clowns à la Skip ont toute ma sympathie.  J’avais lu et entendu qu’il s’agissait d’un « thriller façon Coen »… ce que mon inculture cinématographique ne me permettait pas d’identifier… je n’avais pas apprécié The Big Lebowski (1998) et n’ai aucun souvenir d’Inside Llewyn Davis (2013) ou d’Ave Cesar (2016)… seul Arizona Junior avait trouvé grâce à mes yeux…
Mon épouse, quant à elle, est davantage cinéphile que moi qui, n’ayant rien lu et rien entendu, m’a très vite soufflé le nom de Coen.
Bref un film déjanté, qui devrait plaire à mon fils.