Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Alors qu'il y a - largement - mieux et plus urgent à faire, Macron et le Système persistent dans leur acharnement à "organiser/imposer" la mort partout, du début à la fin de vie...
Dans son édito politique "IVG et fin de vie : Emmanuel Macron président "sociétaliste"... Vincent Trémolet de Villers revient sur cette fureur pathologique qu'il y a à vouloir légiférer sur tout, pour que "la mort" règne partout, sans partage, comme règle suprême et ("comme ils disent", dirait Aznavour...) "gravée dans le marbre".
Dans "leur" marbre, peut-être.
Mais, ce qu'un Système a fait, un autre le défera...
"Les derniers jours d'un être humain contiennent, malgré les apparences, le mystère insondable de sa présence. C'est ce mystère que l'administration médicalisée de la mort risque de faire disparaître. C'est pourtant ce mystère qui nous lie les uns aux autres...".
1. Dans La Croix, Mgr de Moulins-Beaufort (président de la Conférence des évêques de France) répond au président "thanatos" :
"Appeler “loi de fraternité” un texte qui ouvre le suicide assisté et l’euthanasie est une tromperie..." :
2. Valérie Hayer, l'illustre inconnue choisie par les macronistes pour les prochaines européennes, masque sa nullité intellectuelle et son inculture abyssale sous des propos saugrenus et extravagants, dont on ne peut parler qu'à la façon de Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant..."
Dans sa Réunion publique de lancement de campagne, à Lille, elle n'a pas craint de déclamer un abracadabrantesque :
"Hier Daladier et Chamberlain, aujourd'hui le Pen et Orban, nous sommes à Munich en 1938..."
Maxime Tandonnet a répondu à ce propos délirant dans Le Figaro :
2 BIS. D'Amaury Brelet (Rédacteur en chef à Valeurs) sur cette Valérie Hayer :
"La tête de liste Renaissance Valérie Hayer a de quoi inquiéter les agriculteurs. Elle soutient le Pacte vert, vote à 90% comme le socialiste Glucksmann et son groupe a validé des accords de libre échange en plein salon de l’agriculture. La colère gronde, Macron peut trembler."
https://x.com/AmauryBrelet/status/1766888229305790963?s=20
4. Au Portugal, le Centre-Droit (?) et les Patriotes remportent les élections... Le mouvement nationaliste Chega (Assez) a nettement renforcé son rang de troisième force politique du pays, en recueillant 14 à 17% (plus du double du score de 7,2% atteint il y a deux ans). Cette formation antisystème, anticorruption, anti-invasion, a été créé en 2019 par André Ventura, un professeur de droit de 41 ans...
5. De Fabien Bouglé (sur tweeter) :
5 BIS. Chez nos ennemis allemands aussi, le cataclysme éolien, commence à être dénoncé : La Cour des comptes allemande dresse un tableau apocalyptique de la transition énergétique déployée par Berlin...
7. Gilbert Collard lanceur d'alerte :
JO Paris 2024 : ces réservistes de la Police nationale qui inquiètent
ANGOISSE. Créée en 2022, la réserve opérationnelle de la Police nationale connaît un véritable succès. Mais des policiers alertent : certains admis sont connus des services, parfois pour des faits graves.
À cinq mois des Jeux olympiques, la réserve de la Police nationale (PN), en partie prévue pour combler le manque d’effectifs lors de la sécurisation de l’événement, accueille des personnels aux profils parfois troublants. Les conditions de recrutement, trop peu exigeantes pour certains, séduisent. D’après nos informations, près de 26 000 postulants ont intégré ou sont en train d’intégrer la réserve de la PN. Problème : certains de ces admis sont connus de la justice pour escroqueries, vols, trafic de stupéfiants, violence en bande organisée, refus d’obtempérer ou encore – un comble – outrages envers personnes dépositaires de l’autorité publique...
Le JDD a pu consulter plusieurs fichiers extraits du Traitement des antécédents judiciaires (TAJ), propre à la police : des dizaines de réservistes ont pu intégrer l’institution sans être inquiétés par leur passif judiciaire plus ou moins grave. Certains exemples sont frappants. Adam*, ancien adjoint de sécurité (ADS) au sein de la police, en est renvoyé pour problèmes de comportement. Pendant sa convalescence, le trentenaire connaît plusieurs démêlés avec les forces de l’ordre : il ira jusqu’au refus d’obtempérer et se livrera à des faits de « violences envers des collègues gendarmes », comme le confesse une source policière. Quelques mois plus tard, il est recruté et intégré dans la réserve de la Police nationale..."
Des réservistes de la Police nationale s'entraînent à tirer...
À DEMAIN !