Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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Goldnadel a très bien réagi à l'hénaurmité de ce lamentable Bruno Le Maire, qui a "sorti" un propos aussi minable que misérable, en réponse (?) à un Député RN du Var :
1. Le propos débile de ce pauvre ministre (?), sur ce coup, très "bas de plafond" :
"Nous n'aurions pas eu de problème de flambée des prix de l'électricité et du gaz si votre ami Vladimir Poutine n'avait pas attaqué l'Ukraine"
2. La réponse toute simple, toute pleine du plus élémentaire bon sens, de Goldnadel :
... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...
Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...
L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras, celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire !
Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...
Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...
(1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...
L’essai d’Herbert van Leisen sur Mirabeau a la valeur d’une découverte. Car il y a des découvertes en histoire comme dans les sciences. Et les pages qu’il a écrites renouvellent en entier l’histoire des origines de la Révolution.
Il n’est pas excessif de dire que, jusqu’à une date tout à fait récente, ces origines ont été incomprises et méconnues. En étudiant Mirabeau, en pénétrant sa pensée, en expliquant son action, M. Herbert van Leisen fait apparaître et corrige une longue suite de contresens.
En gros, Mirabeau a été le seul vrai monarchiste de son temps. Il était dans l’esprit de Louis XV, selon une conception dont Louis XVI s’était écarté, comme nous l’avons indiqué brièvement dans notre Histoire de France. Ceci demande un mot d’explication.
Plus les affaires militaires de l’OTAN vont mal en Ukraine, plus l’Europe se lance dans une ahurissante fuite en avant pour intégrer à marche forcée un pays en guerre.
C’est bien sûr la Commission de Bruxelles qui est à la manœuvre, représentée par sa sémillante présidente, Ursula von der Layen. Elle n’est élue par personne, mais agit comme un véritable président d’une Europe qui n’en possède pas. Ne nous en étonnons pas, c’est le fonctionnement normal du « machin » où les élus du Parlement européen ne semblent pas servir à grand-chose et avalisent, quand on leur demande leur avis, les décisions concoctées par la toute puissante Commission. Les élections à venir changeront peut-être certains fonctionnements mais la Commission poursuivra son œuvre.
Dans Boulevard Voltaire :
"Séjourné au Quai d’Orsay : pourquoi cette nomination est consternante. Gabrielle Cluzel a justement épinglé l'un des péchés originels de ce remaniement : l'évacuation du critère de compétence..."
Michel Onfray a mille fois raison : le "spectacle" (?) offert par la classe politique de ce Système est "pitoyable et minable... L'époque sent terriblement mauvais..."
En ces jours où l'on fait mémoire de l'assassinat du Roi Louis XVI, nous nous contenterons - en plus d'approuver ces propos - de les dédier à ce pauvre Saint Just et à ses camarades terroristes révolutionnaires, eux qui prétendaient "régénérer" la France : tu as bien prononcé cette phrase horrible, Saint Just, en parlant de Louis XVI, lors de son pseudo-procès :
"Je ne juge pas, je tue; une nation ne se régénère que sur un monceau de cadavres..."
Eh, bien ! regarde, Saint Just ! Et regardez, vous ses complices ! Vous avez fait tout ce que tu avez fait, la destruction de notre Famille Royale, la mise à bas de notre édifice politique millénaire, le Génocide vendéen, une déclaration de guerre insensée à l'Europe qui nous a conduit, après une saignée de vingt-cinq ans, à Waterloo, épuisés et ayant perdu notre prépondérance européenne et mondiale... et tout cela, soi-disant, pour "régénérer" la France ?
Mais, regardez dans quel état misérable elle se trouve, cent cinquante ans après qu'on lui ait appliqué vos principes mortifères...
Regardez ces "régénérés" d'aujourd'hui : ce sont vos enfants...
Regardez cette société d'aujourd'hui, dont vous êtes à l'origine : elle est "pitoyable et minable", elle "sent terriblement mauvais", et ce n'est pas un royaliste qui vous le dit...
ALORS ?
(extrait vidéo 0'50)
https://x.com/FrontPopOff/status/1746138819542278222?s=20
A l’affiche : Une Affaire d’honneur, un film français de Vincent Perez, avec Vincent Perez (le colonel Louis Berchère), Roschdy Zem (le Maître d’armes Clément Lacaze) et Doria Tillier (Marie-Rose Astié de Valsayre).
Une Affaire d’honneur… Le titre n’est pas anodin puisque depuis bientôt deux siècles, selon le dictionnaire de l’Académie française, l’expression « signifie quelquefois Duel ». C’est en effet, de la salle d’arme au pré, à partir de faits réels, l’histoire, le fonctionnement et la chorégraphie de l’institution du duel que nous présente Vincent Perez.
Interdit par des édits depuis le XVIème siècle, passible de la peine de mort depuis Richelieu, le duel perdura jusqu’après la deuxième guerre mondiale, avec des « temps forts » notamment à la fin des années 1880, allant jusqu’à devenir une revendication féministe…
Cette Affaire d’honneur se révèle un docufiction où l’on apprend que, si tous les coups sont permis, le duel doit répondre à la défense de son honneur et jamais à un esprit de vengeance.
« Une femme ne peut-elle pas défendre son honneur ? » interroge Marie-Rose Astié de Valsayre – qui ne figure ni dans mon dictionnaire historique Mourre, ni dans mon Larousse en 10 volumes de 1960, mais sur Wikipédia -.
Je retiens pour ma part qu’un homme ne se bat pas contre une femme, et j’avais précisément été choqué de voir en duel d’Artagnan et Milady.
J’en reste donc à la seule idée qu’une femme s’honore, et c’est l’homme qui se déshonore à déshonorer une femme.
Remaniement : Gabriel, le choix fatal
CONTRIBUTION / OPINION. Jeune, dynamique, clairvoyant… Au centre droit comme au centre gauche (bref, au centre), on ne tarit pas d’éloges pour le nouveau Premier ministre. Mais la majorité des Français ne sont pas dupes.
Sonnez l’Attali. Enfin, Gaby va pouvoir nous chanter la mer et nous montrer son amour sans Borne pour la France. Être né à Clamart, petit, c’est déjà une suspicion d’anti-gaullisme primaire.
Ah ben il y a des points positifs : dommage qu’ils ne soient que purement spectaculaires. Logique pour un garçon qui se destinait à la comédie. Tartuffe en herbe, l’épopée napoléonienne lui aurait été comptée. Gageons qu’il ne doit pas en rester grand-chose, à moins qu’il ne vît en Waterloo une étape sur la route de Bruxelles…
Les huiles de la machine à couronner des laquais d’outre-Lescaut ne tarderont pas à faire de lui le Mozart de l’école publique. Nul n’est prophète en son pays, la solution ne pouvait venir que d’un pur produit de la méritocratie de l’école privée. Flûte enchantée, sciences popogeno.
Si l’on peut imaginer qu’il connaît l’Alsace par son école, connaît-il la France périphérique ? Nous en doutons. De la Touraine, il ne connaît que le cabinet… Azay, rideau ! Alors le reste.
Une question reste néanmoins en suspens : refuserons-nous de mourir d’amour enchaîné ? Ô Gabriel, archange francophobe, tu annonces, à ton corps défendant, la fin de l’oppression du peuple.
Natalité/Immigration-invasion...
Du toujours excellent Dimitri Pavlenko, dans Face à l'info :
"...Si vous combinez cette mutation de la natalité française à une poursuite de l'immigration massive, vous avez un scénario de mise en minorité du peuple historique français sur son sol à un horizon 2070..."
(extrait vidéo 1'49)
https://x.com/Livrenoirmedia/status/1745354252954845492?s=20
Voilà donc les prévisions, des prévisions, pour dans trente cinq ans, c'est-à-dire demain.
Mais le pire n'est jamais sûr et nous préférons l'espoir jusqu'au bout que le fatalisme destructeur. Ces prévisions sont justes... "À MOINS QUE..." comme le disait Maurras, en conclusion de son magistral "L'Avenir de l'Intelligence" (cet "immense petit livre", disait Boutang) :
Si vous voulez - et pouvez - prendre quelques instants, et si le sujet vous intéresse, nous avons préparé cette "Page - résumé" à votre intention...
Elle vous semblera, au début, éloigner du sujet alors que, au fond, elle y ramène en allant à l'essentiel : comment en est-on arrivé là, à cette catastrophe qui nous menace, et, surtout, comment pourrait-on en sortir...
Charles Maurras : L'Avenir de l'Intelligence...
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