Paris, Jeudi 16 novembre...
Le Syndicat de la Famille communique :
https://www.lesyndicatdelafamille.fr/actualite-en-france/manif-16-nov-2023-gpa/
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Le Syndicat de la Famille communique :
https://www.lesyndicatdelafamille.fr/actualite-en-france/manif-16-nov-2023-gpa/
Et encore une bonne nouvelle pour la France !
C'est sur Opex News :
"@TawazunCouncil, le fonds souverain émirati chargé des achats militaires, a écrit à la DGA et à #NavalGroup pour leur annoncer que le chantier naval français avait remporté le contrat-cadre du National Combat Management System (système national de gestion de combat) pour la marine émiratie. #BITD "Cela signifie que le Combat Management System (CMS) de Naval Group est censé équiper tous les futurs programmes de la marine émiratie."
Sur un rythme enlevé et dans une démarche didactique, mêlant analyses, témoignages d’experts et graphiques, le documentaire 3.000 milliards : les secrets d’un État en faillite a pour objectif d’expliquer aux Français l’engrenage de la dette et comment nous en sommes arrivés là.
Mais aussi de pousser les responsables politiques à agir, tant l’heure est grave.
SOMMAIRE
00:00 Introduction
11:28 Chapitre 1 : Impôt, élus, service public
24:47 Les collectivités locales
37:35 Chapitre 2 : Le contrôle des dépenses
53:46 La gestion de l'Etat
1:08:33 Chapitre 3 : La matrice de la dépense publique
1:18:46 Le système de santé Français
1:27:48 Chapitre 4 : La dette
1:36:58 Les conséquences du non-paiement de la dette
INTERVENANTS :
Jean-Marc Daniel - Économiste et essayiste - Professeur à l'ESCP
Christian Saint-Etienne - Économiste et essayiste - Professeur au CNAM
Marc Touati - Économiste et essayiste - Directeur ACEDFI
François Ecalle - Ancien rapporteur général de la Cour des comptes - Président de FIPECO
Édouard Balladur – Ancien Premier ministre (1993-1995)
Benoît Perrin – Directeur de Contribuables Associés
Virginie Pradel - Avocate fiscaliste - Présidente de l'Institut Vauban
Olivier Babeau - Économiste et essayiste - Président de l'Institut Sapiens
Jean-Michel Fourgous - Maire d'Élancourt, ancien député
François Facchini – Professeur de sciences économiques à l'Université Paris-Sorbonne
François Lainée – Consultant, Data Expert
Jean-Baptiste Leon – Directeur des publications de Contribuables Associés
Benoîte Taffin - Ancien maire du 2e arrondissement de Paris
Paul-Antoine Martin – Ingénieur et essayiste
Hervé Novelli - Ancien ministre, député et maire
Charles Prats - Ancien magistrat de la Délégation Nationale à la lutte contre la Fraude (DNLF)
Pr. Michaël Peyromaure - Chef du service d'Urologie à l'hôpital Cochin et essayiste
Lisa Kamen-Hirsig - Enseignante et essayiste Auteur-
Réalisateur : Charles Thimon -
Producteur : Charles Guillemin
A l’affiche : Marie-Line et son juge, un film français de Jean-Pierre Améris, avec Louane Emera et Michel Blanc (dans les rôles-titre), Victor Belmondo (Alexandre) et Philippe Rebbot (le père de Marie-Line),
adapté du livre Changer le sens des rivières (2019) de Murielle Magellan.
« Certes de nos voisins l’alliance m’enchante,
Mais leur langue, à vrai dire, est trop envahissante »
Jean-Pons-Guillaume Viennet s’en désolait déjà devant l’Académie française, il y près de deux siècles, dans son Epitre à Boileau . Le Grand Remplacement des mots est aussi, malheureusement, une réalité : je lis que ce film est un « buddy-movie » ! c’est-à-dire un film qui met en scène un « « duo de choc », deux personnages que tout oppose.
En l’occurrence, les Laurel et Hardy sont un juge, enfermé sur lui-même, et une fille de « milieu modeste », extravertie et exubérante, tatouée - sans doute de partout -, minijupe et poitrine à l’air, dont la mère s’est suicidée et le père « en situation de handicap » - comme on dit maintenant de façon ampoulée au lieu d’un simple « handicapé » – victime d’un accident du travail.
L’actrice Louane, à elle seule, « crève l’écran » et « fait » le film comme elle l’avait fait dans La Famille Bélier (2014) dont nous gardons un excellent souvenir.
On passe un bon moment à voir ce long-métrage qui s’oppose au déterminisme social : « Quand on veut, on peut (…) la chance, on la provoque (…) Redresse la tête, pousse la barrière » ne sont pas « des phrases de riche ».
C’est sans doute ce qu’écrit dans son roman Murielle Magellan, dont je n’ai jamais entendu parler.
C’est peut-être aussi l’objet de la filmographie de François Truffaut à propos duquel, je serais bien incapable d'écrire quelque chose, n’ayant, comme Marie-Line. aucune culture cinématographique. Je n'ai d'ailleurs sans doute jamais vu, ni en 1962 ni depuis, son Jules et Gim qui est le « film culte » d’Alexandre et du juge.
Dans son Dictionnaire passionné du cinéma, Laurent Dandrieu écrit que Jules et Jim est un film « raté »... En tout cas Marie-Line et son juge ne l’est pas.
Une chose m’a choqué pourtant, mais avec Edouard Philippe tous les mensonges sont permis, à savoir la ville du Havre en permanence sous un soleil éclatant !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici el lien menant à la "Une" du Jeudi 14 Novembre 1918 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k759965v
1. Sur les six colonnes, quatre sont pour Maurras, avec deux articles :
• (deux premières colonnes de gauche et les quinze premières lignes de la troisième) : "Les chefs socialistes pendant la Guerre"...
• et "La Politique", sur le reste de la troisième colonne et l'intégralité de la quatrième, pour ses cinq paragraphes...
2. Bainville et Daudet occupent les deux colonnes de droite :
• Bainville avec son article "Demain ?" occupe l'intégralité de la cinquième colonne et le début de la sixième (sur vingt lignes) :
• Daudet occupe le reste de la sixième colonne, avec une suite en page deux, avec son article "LE MAÎTRE ET LE VALET - GUILLAUME II ET CAILLAUX" (en page deux, l'article s'achève sur la moitié supérieure de la première colonne, de gauche.
Voici l'article de Bainville dans son intégralité :
Proposé par Cheyenne Caron (sur tweeter)... :
"La princesse Leonor de Borbón y Ortiz, future reine d'Espagne. La magnificence de l'histoire européenne se poursuit."
...et commenté par Noir Lys (toujours sur tweeter) :
"Le saviez-vous ? Cette jeune blonde aux yeux clairs, du haut de ses 18 ans, a déjà plus d’expérience militaire que le chef des armées françaises."
Macron pense donc avoir "écrit aux Français", en publiant une sorte de "lettre" (?) dans Le Parisien, bourrée de banalités et autres platitudes ronflantes, du genre "L'antisémitisme refait surface. La République ne transigera pas. Nous serons impitoyables face aux porteurs de haine..."
Plus théâtral et banal que ça, tu meurs !
Le Français Benoît Saint-Denis, ancien militaire des forces spéciales reconverti dans le MMA, a écrasé l'Américain Matt Frevola dès le 1er round samedi à New York pour son sixième combat UFC :
Champion ? Artiste ?
Les deux, et bravo à lui !
A la télévision : Mourir n’est pas tuer – Enquête au cœur de la fin de vie, Un film français de Gérard Burin des Roziers, produit par Bernard de La Villardière, diffusé le 7 novembre 2023, suivi d’un débat animé par Christine Kelly.
Mourir n’est pas tuer – Enquête au cœur de la fin de vie… un documentaire sur les soins palliatifs et l’euthanasie dite par euphémisme « l’aide active à mourir ».
Merci à C8 d’oser mettre le débat sur la table, en tout cas sur le petit écran, et constatons qu’actuellement, en France, la liberté d’expression passe, dans les grands médias, par M. Bolloré.
Tu ne tueras pas
Ils sont les mêmes - « Si ce n’est toi, c’est donc ton frère » - ceux qui ont aboli la peine de mort, ceux qui ont légalisé l’IVG et veulent aujourd’hui rendre « irréversible » « le droit à l’avortement », et encore ceux qui veulent légiférer sur l’euthanasie et le suicide assisté, qui l’inscriront aussi, demain, dans la constitution.
Ce sont les mêmes encore, « celles et ceux » - comme ils disent –, qui s’inquiètent de la violence dans notre société et qui la gravent dans le marbre – un marbre funéraire – car personne n’osera dire que l’avortement n’est pas une violence, et qu’une injonction létale n’est pas aussi une violence.
Nous avons déjà vu et commenté, il y près d’un an, un film de 2013, Le Fil de la vie, sur le même sujet.
Les militants de l’euthanasie sont quasiment toujours des gens bien-portants, des gens en bonne santé, des gens pour qui le problème ne se pose pas, car ce qu’ils redoutent, ce n’est pas la mort, c’est la souffrance, c’est la douleur. Pour ne plus souffrir on appelle la mort comme un traitement de la souffrance, que celle-ci soit physique, morale ou psychologique.
Guérissez les de leur souffrance, et ils ne voudront plus mourir.
Leur proposer l’injection létale, c’est refuser de soigner leur douleur.
Et pourtant… la loi date du 9 juin 1999 qui garantit à « toute personne malade dont l'état le requiert (…) le droit d'accéder à des soins palliatifs et à un accompagnement » (art. L1-A)
et qui définit lesdits soins à l’article L 1-B,
à savoir des « soins actifs et continus pratiqués par une équipe interdisciplinaire (… qui) visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne malade et à soutenir son entourage ».
Près d’un quart de siècle plus tard, sur les dix années environ des études médicales, seules dix heures sont consacrées au traitement de la douleur, et il y a encore 26 départements qui ne disposent d’aucune unité de soins palliatifs.
Ainsi une classe politique, incapable de mettre en œuvre ses propres lois, veut décider aujourd’hui d’en écrire une nouvelle, non pas pour « accélérer une transition médicale » afin d’apaiser la souffrance, mais au contraire pour tuer ceux qu’elle ne soigne pas.
Est-ce cela qu’ils appellent avec emphase les « valeurs de la République » ?
Un tel gouvernement doit être censuré.
Le scandale révélé par Le Figaro : c'est ce Système pourri qui veut "ça", c'est de ce Régime qu'il faut changer !
Cannes 2023 : L’Enlèvement, un film italien de Marco Bellocchio, avec Paolo Pierobon (le Pape Pie IX), Leonardo Maltese et Fausto Russo Alesi (Edgardo – adulte – et son père Momolo Mortara).
Après Le Ravissement, L’Enlèvement, qui ne nous ravit pas davantage. Même si le long-métrage (2h15) est très bon, il n’en est pas moins une charge impitoyable contre l’Église et contre le Bienheureux Pape Pie IX.
Certes le réalisateur prétend s’opposer à toutes les religions et aux dogmes, et c’est vrai qu’il montre un parallèle méprisant entre les prières juives et chrétiennes, mais au bout du compte – et du conte – c’est bien le « Non possumus » papal qui est visé, c’est bien l’Église catholique, et l’Église catholique seule, qui est la cible.
Finalement, sans doute doit-on s’en féliciter et y voir l’hommage du vice à la Vertu.
Je confesse n’avoir jamais entendu parler de ces enfants baptisés à l’insu de leurs parents et éduqués par la suite de force dans la religion catholique. L’affaire Edgardo Montara a fait, paraît-il, l’objet d’un scandale international dans la seconde moitié du XIXème siècle… Les chiens aboient, la caravane passe…
Qu’en disent, aujourd’hui, les théologiens ?
Prenons garde, profanes que nous sommes, de porter un jugement sur des faits, des décisions, des événements d’il y a 165 ans dans une société qui n’était pas la nôtre et n’était pas encore une « nation » – « qui suis-je ?» dirait le Pape François.
Peut-être faut-il penser que « l’Eglise est sans péché, elle n’est pas sans pécheurs ». Peut-être faut-il rappeler que l’infaillibilité pontificale, instituée précisément quelques années plus tard, en 1870, sous le même Pape, au concile Vatican I, porte sur les seules « vérités salutaires de la foi » ou dogmes.
Et précisément, Pie IX est le pape qui a proclamé l’Immaculée Conception de Marie, ce que Bellocchio mentionne dans son film.
N’y a-t-il pas dans ce dogme une raison suffisante pour jeter Pie IX en pâture ?
Marie a été préservée du péché originel, Elle est Eve avant d’avoir croqué la pomme et jouit de ce fait d’une dignité supérieure à tous les hommes…
Difficile alors, pour ceux qui veulent « écraser l’infâme », de prétendre que l’Eglise est misogyne.
Vive Pie IX !
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Antisémitisme ?
L'édito de Vincent Trémolet de Villers sur Europe 1 :
"...Ce nihilisme criminel n’aurait pas pris une telle ampleur sans des décennies d’immigration anarchique, d’intégration catastrophique, de décervellement collectif. Le moment antisémite que nous vivons porte cette marque..."
(extrait vidéo 3'34)
https://x.com/vtremolet/status/1722884983172297151?s=20
• et, puisqu'on parle d'antisémitisme, arrêtons-nous un instant sur ce CRIF déjà très largement dé-crédibilisé, et qui achève de s'auto-exclure du débat... Comme le dit avec raison Goldnadel : "Qu’aurait dit le CRIF si le RN n’avait pas voulu y participer ? La stupidité d’un CRIF qui ne représente pas les juifs, qui aura facilité l’immigration invasive vectrice d’antisémitisme et qui devrait réserver ses flèches à l’antisémitisme du présent : La FI pro Islamiste pro Hamas ?"