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47 (2/2) : Engagements et fidélités au Royalisme dans l'URP et dans l'Action française, et même bien avant, en remontant le temps... (suite et fin de l'hommage entamé le 20 avril dernier) :
"Ici, chez moi, la République s'arrête à la porte !..."
Le 20 avril dernier - jour anniversaire de la naissance de Maurras - j'ai voulu rappeler un "Témoignage d'estime et d'affection réciproques d'un martégal royaliste, "blanc du midi" à un autre martégal royaliste et "blanc du midi"..."
Je l'ai fait en partant de la copie d'un portrait de Maurras, réalisé à la plume et à l'encre de Chine, sur un papier velin, présenté à Maurras - qui le lui a dédicacé - par mon père, le jeune Camelot du Roi Pierre Davin, fils du Camelot Émile Davin, l'un des neuf fondateurs de la section d'Action française de Martigues (la section de Charles Maurras...), dans les années 1910...
Détail de la dédicace :
Voici aujourd'hui - jour anniversaire de l'entrée de Maurras dans la Vie - la seconde partie (et la fin) de ce témoignage et de cet hommage; simplement élargi, de mon père seul, à mes deux familles, paternelle et maternelle, et aux ancêtres de celles-ci, où l'on ne comptait que des "blancs du Midi" : tous fidèles à la Cause, d'abord, puis à Maurras (et à l'Action française) lorsque celui-ci parut...
C'est donc d'un hommage familial et inter-générationnel - pardon si le ton est un peu pompeux... - qu'il s'agit aujourd'hui, pour bien montrer les engagements et fidélités de royalistes à travers le temps : dans mes deux familles, en effet, mes deux grands-parents parlaient de leurs propres parents et grands-parents, ultra royalistes et catholiques : ce qui nous ramène aux temps heureux de Louis-Philippe et Charles X, lorsque notre Royauté traditionnelle 6 et non cet actuel Système qui la tue dirigeait la France, pour son plus grand bien...
C'est cette fidélité que je veux dédier aujourd'hui - en ce jour où l'on fait mémoire de son départ - à celui qui, "comme Socrate, connut la colère de la Cité", tout simplement à cause du "combat qu'il soutint... pour une Patrie, pour un Roi, les plus beaux qu'on ait vus sous le ciel : la France des Bourbons, de Mesdames Marie, Jeanne d'Arc et Thérèse, et Monsieur Saint-Michel..."
François Davin (suite et fin)
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