Solidarité Kosovo ! RENCONTRE AVEC PHILIPPE MANGEARD, CONSUL HONORAIRE...

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A l’affiche : Bob Marley – One love, Un film américain de Reinaldo Marcus Green, avec Kingsley Ben-Adir et Lashana Lynch (Bob Marley et son épouse Rita Marley), son fils Stephen comme Superviseur musical, et à la Production, outre Brad Pitt, son épouse Rita Marley et encore 3 enfants, Orly, Ziggy et Cedella Marley.
Bob Marley – One love… C’est mon épouse qui a voulu le voir alors que je ne savais rien du chanteur, que je ne connais pas le reggae, que j’ignorais l’existence d’un album Exodus et que je prenais le terme « rasta » comme un diminutif de « rastaquouère », n’ayant jamais entendu parler du mouvement messianique chrétien jamaïcain rastafari.
Quant à la Jamaïque, je ne connaissais d'elle que le rhum « vieux de deux cent cinquante ans » dont le Capitaine Haddock a rempli les soutes du Sirius dans Le Trésor de Rackham le Rouge.
J'ai appris depuis que cette île des (Grandes) Antilles, découverte en 1494 par Christophe Colomb, colonie espagnole durant près de deux siècles puis conquise par les Anglais jusqu'à son indépendance en 1962, est aujourd'hui une monarchie membre du Commonwealth avec pour roi Charles III.
Elle est malheureusement aussi un lieu de tourisme sexuel et de trafic d'armes et de drogue.
Le film ne dit rien de tout ça, tout entier a la glorification de son "héros" des années 70, avec de nombreux flash-back qui m’ont rapidement noyé dans la Mer des Caraïbes.
Il m'incite quand même à m'interroger sur "The King of Reggae" qui remplit les cinémas !
Le spectacle est en effet dans la salle pleine de fidèles, sexa-septua et octogénaires, dont les femmes regardent, debout. en se trémoussant, le long générique de cette "hagiographie" filmée !
Tous les cinéphiles connaissent "Mère courage"; avec ce reportage de France info, les Français connaissent maintenant "Maire exemple" : bravo à lui !
"Confronté à la détérioration inexorable de l’église communale et à la difficulté de recevoir des aides financières, Patrick Mangin, le maire de Saint-Maurice-aux-Forges (Meurthe-et-Moselle), fait don de la totalité de ses indemnités. Par son geste, il espère susciter la générosité collective et voir l’église rouvrir prochainement au public..."
Une bonne réponse aux déboulonneurs, effaceurs de mémoire, "grands remplaceurs" de culture et Compagnie...
Le Puy du Fou communique :
Hollywood choisit le Puy du Fou pour l'Oscar du “Meilleur Spectacle du Monde” ! Le Puy du Fou a reçu, à Hollywood, “l’Oscar du Meilleur Spectacle du Monde” décerné par le plus prestigieux des jurys internationaux, pour son nouveau spectacle Le Mime et l’Étoile. C’est à Los Angeles, la capitale mondiale du cinéma, que se tenait samedi soir la 30e cérémonie des THEA AWARDS — les “Oscars” du spectacle vivant — qui a récompensé la dernière création du Puy du Fou, inspirée de l’histoire du cinéma. Le prix a été remis à l’équipe du Puy du Fou lors de la grande soirée rassemblant les plus grands noms du spectacle mondial.
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
En juin 1912, et deux dimanche de suite (les 16 et 23) Jacques Bainville/Léonce Beaujeu parla de Rousseau, en "Une" du quotidien (quatrième colonne, et début de la cinquième). La présentation de la page est tout sauf "sensationnelle", et l'article de Bainville paraît sous le titre étrange - et effroyablement banal - de "Au jour le jour - Courrier de la semaine". Il faut dire que l'auteur se rattrape en page trois, dans laquelle, sous une présentation elle aussi très banale, il commente Les dieux ont soif, d'Anatole France...
Bainville/Beaujeu voisine, dans cette "Une" avec Daudet et Pujo : Maurras devait être absent, en vacance chez lui, dans "(son) Martigues plus beau que tout...", en ce mois d'été...
L'article de Bainville est en quelque sorte une suite (mais nettement plus approfondie) de l'article du 6 précédent, que vous pourrez lire ici)
Voici le lien du numéro du Dimanche 23 Juin 1912 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k757675q
On verra que, dans sa charge féroce contre "Jean-Jacques", Bainville n'oublie pas l'impartialité de rigueur, ni l'honnêteté intellectuelle la plus élémentaire; et qu'il commence par reconnaître les mérites et qualités éminentes - littéraires, s'entend... - de celui qu'il s'apprête à... assassiner (là aussi, littérairement s'entend...) :
Le grand Chateaubriand n'a pas dit autre chose lorsqu'il écrivait, parlant de Rousseau :
"...Je commençai, à Lausanne, les Remarques sur le premier ouvrage de ma vie, l'Essai sur les révolutions anciennes et modernes. Je voyais de mes fenêtres les rochers de Meillerie : "Rousseau", écrivais-je dans une de ces Remarques, "n'est décidement au-dessus des auteurs de son temps que dans une soixantaine de lettres de la Nouvelle Héloïse, dans quelques pages de ses Rêveries et de ses Confessions. Là, placé dans la véritable nature de son talent, il arrive à une éloquence de passion inconnue avant lui. Voltaire et Montesquieu ont trouvé des modèles de style dans les écrivains du siècle de Louis XIV; Rousseau, et même un peu Buffon, dans un autre genre, ont créé une langue qui fut ignorée du grand siècle."
(Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, tome II, pages 128/129).
• Voici donc l'article en question; d'abord, le début et la partie principale en quatrième colonne... :
Quand France info - pourtant radio du "sévice public", pour reprendre l'excellent jeu de mots de Goldnadel... - dénonce le "scandale Miller", qui "était intouchable", malgré - pourtant - une alerte sur son comportement, lancée auprès de la direction de l'université Paris 8 !
Art et Essai : Bellissima, Un film italien (VOSTF) de Luchino Visconti, avec Anna Magnani (Maddalena Cecconi).
Bellissima… Je crois n’avoir jamais vu de Visconti, « ou alors, y a longtemps, ou bien j’ai oublié », dont on dit qu’il aimait la musique classique et l’opéra et qu’il en gratifiait ses films. Je ne suis pas pour ma part mélomane, mais j’ai effectivement apprécié l’introduction musicale de son Bellissima, annonciatrice d’une bonne soirée.
Le synopsis raconte qu’un réalisateur cherche un enfant pour son prochain film et organise un casting à Cinecittà, un complexe de studios créé à Rome par le gouvernement fasciste, « la cité du cinéma », dont la première pierre fut posée en 1936 par Mussolini, qui l’inaugura en 1937.
Bellissima… « saoulantissima »…. Allergique à la VO, j’ai malheureusement rapidement « décroché » sous un flot de paroles assourdissant et un sous-titrage qui fait la course. Pourtant la tragi-comédie semble magnifique et tournée avec humour, de cette mère qui veut promouvoir son enfant, la plus belle, la meilleure, la plus intelligente… mais même mon épouse a trouvé la réalisation un peu longue (2h).
Sans doute un bon film qui n’est pas fait pour moi, car je veux bien concéder qu’il perdrait de sa teneur en VF.
Philippe Kaminski est le Président de l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis :
NOTRE SEUL BUT :
1. RESTAURER INTÉGRALEMENT ET IMMÉDIATEMENT LA BASTIDE (INTÉRIEUR ET JARDIN)...
2. L'OUVRIR AU PUBLIC, APRÈS LUI AVOIR FAIT INTÉGRER LE RÉSEAU DES MAISONS DES ILLUSTRES, AFIN DE PRÉSENTER L'INTÉGRALITÉ DES MEUBLES, LIVRES, SOUVENIRS ET OBJETS DE TOUTE SORTE AYANT APPARTENU AU MAÎTRE DES LIEUX...
ADHÉREZ A L'ASSOCIATION DES AMIS DE LA BASTIDE DU CHEMIN DE PARADIS !
Pour adhérer à l'Association des Amis de la Bastide du Chemin de Paradis
La réception de Sylviane Agacinski à l’Académie française, c'est tout de même mieux (et de très, très loin !...) que le dernier Nobel de littérature décerné à une personne dont nous ne voulons même pas écrire le nom...
Sylviane Agacinski est la 11ème femme à entrer à l'Académie, au fauteuil 19 ou elle succède à Jean-Loup Dabadie :
"...Dans une société comme la nôtre, la liberté n’est pas étouffée par un despote ni par un régime totalitaire. La liberté de penser, d’écrire et de parler peut néanmoins être menacée, par exemple par des petits groupes d’activistes érigés en nouveaux censeurs. Chacun défend sa cause en imposant sa théorie et sa langue : certains mots sont bannis, d’autres sont imposés, et l’autocensure progresse..."
Comme le veut l’usage de l’Académie française, la nouvelle entrante a rendu hommage à son prédécesseur au fauteuil no 19, l’écrivain et chansonnier Jean-Loup Dabadie, "un amoureux des mots qui traite subtilement les relations entre hommes et femmes..."
"Mesdames et Messieurs de l’Académie,
Et puis, c’est elle qui est partie. Son absence jette une ombre sur l’instant solennel où vous me recevez. Vous me permettrez, j’en suis sûre, de dédier à Hélène le bonheur que j’éprouve aujourd’hui à vous rejoindre..."
"Emmanuel Macron au théâtre hier soir..."; l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
Bien vu, l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
(extrait vidéo 3'57)
https://x.com/vtremolet/status/1767812506309833120?s=20
Certes, c'est facile à dire, mais ce qu'il faut faire, et que personne ne fait (tous se contentant de constater) c'est : poser la question du "Pourquoi ?"
Et, c'est impossible à résumer en deux mots, mais la réponse à ce "pourquoi ?" c'est : à cause de l'idéologie jacobine centralisatrice du Système...
"Que voulez-vous, - disait Maurras au préfet de la Vienne, lors de son passage à Poitiers, sur la route de l'exode - soixante-dix ans de démocratie, ça se paie !"
Et cent cinquante, encore plus !
(retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)
Alain Bourrit
C'est au tout début de la création de notre groupe qu'Alain vint sonner au 9 rue Saint Suffren.
En dehors de "la politique", plusieurs choses nous rassemblaient, lui et moi, qui avons sympathisé tout de suite (il faut dire qu'Alain avait le don de sympathie...) : par exemple, j'ai participé avec lui, presque sitôt après son arrivée au local, au Camp Maxime Réal del Sarte d'Étrie, en Vendée; nous aurions pu, et du, d'ailleurs, en faire un second ensemble : lorsque le Camp eut lieu à Saint Martin de Crau (j'y ai participé) je demandai à Alain de venir avec moi, ce qui était son souhait, mais il eut alors un empêchement familial...
Autre point d'entente entre nous : nous étions tous deux professeurs, moi d'Espagnol/Provençal et lui de Lettres, bien que sa vraie passion fût la philosophie : ah, ces interminables discussions où il adorait se perdre, en parlant de l'une de ses marottes, Guénon. Il ne m'en voulait pas quand je finissais par lui dire que, franchement, Guénon, "ce n'était pas mon truc", comme disent nos élèves, dans les cours de récré (et ailleurs !...).
Pleinement intégré à notre groupe, Alain rendait davantage de services en s'occupant de Cercles d'études ou de conférences (bref, de la formation...) qu'en affichant ou distribuant et vendant à la criée; mais il faut de tout pour faire une Section, et Alain était bien un membre éminent et éminemment important de notre groupe, écouté comme tel et dont les avis comptaient beaucoup...
Quand nous organisâmes les Cafés politiques de lafautearousseau, il y participa immédiatement, en y prenant toute sa place :
• dès la première saison je le reçus pour notre Huitième Café, le samedi 26 mars 2011 : Que devient l'identité française ? Débat sur la Nation...
• l'année suivante (deuxième saison), je le reçus encore pour notre Septième Café, le samedi 12 mai 2012 : La leçon de Jeanne... Dans notre Page, consacrée à cette deuxième Saison, j'écrivais :
"Cette année, nous avons décidé de bousculer un peu les choses - mais pour la bonne cause, bien sûr.. - en faisant suivre le traditionnel Hommage à Jeanne d'Arc par la projection du film de Paul Barba Negra, Reims, cathédrale du sacre, présenté par Alain Bourrit.
Document d'archive, ce très beau film de Paul Barba Negra fut diffusé par FR3; ses images et ses commentaires n'ont rien perdu de leur puissance, de leur profondeur et de leur beauté..."
• pour notre troisième Saison, ce fut pour notre Quatrième Café, le samedi 9 février 2013, qu'Alain vint traiter le sujet : Quelle Europe voulons-nous ?...
Alain nous quitta en décembre 2017. Bien entendu, lafautearousseau lui rendit immédiatement l'hommage qu'il méritait si amplement, et exprima la tristesse de tous, lorsque nous devenions séparés de celui qui était avec nous depuis les tous premiers jours...
L'émission complète (45'18)
Depuis l’attaque terroriste du Hamas le 7 octobre dernier et l’incroyable violence de la riposte israélienne, le monde scrute le comportement de l’Iran, acteur essentiel de la poudrière orientale.
Le Hamas a dû être déçu : dans les jours qui ont suivi son offensive, l’Iran n’a pas bronché et n’envisage pas de le faire. Les spéculations selon lesquelles les mollahs de Téhéran étaient derrière le 7 octobre ont fait long feu. On le sait d’ailleurs maintenant avec certitude : personne n’était au courant et tout le monde a été stupéfait, l’Iran comme la Russie, le Qatar ou l’Arabie Saoudite.
Une fois ce point acquis, la question restait entière : qu’allait faire l’Iran ? Envoyer le Hezbollah libanais attaquer Israël au nord ?Organiser des bombardements sur l’Etat hébreux par milices irakiennes chiites interposées ? Rien de tout cela ne s’est produit.