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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 118

  • GRANDS TEXTES (50) : en langue provençale, cryptée, le brûlot politique anti-jacobin de Frédéric Mistral, "La Coumtesso", ici décrypté, "pour tous"..

    Lo gran Frédéric Mistral de Malhana qu'ei mòrt ! - Escòla Gaston Febus
     
    Quand il fait paraître "La Coumtesso", Mistral, né en 1830, a trente-six ans...
     

    On commencera par lire le texte complet, en provençal, mais accompagné de sa traduction en français :

    Texte complet La Coumtesso.pdf

     

    On le verra tout de suite : il s'agit d'un poème puissant, véritable allégorie contre l'idéologie et la centralisation jacobine, où le message politique se cache sous les symboles et sous un certain hermétisme (très en vogue à l'époque : le poème est daté par Mistral du "22 Août 1866").

    C'est probablement l'un des plus beaux, et en tout cas l'un des plus forts poèmes de Mistral. L'un de ceux qui a le plus de souffle.

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  • Communiqué de l’Action Française – Le prince des huées...

    You are currently viewing Communiqué de l’Action Française – Le prince des huées

    Emmanuel Macron a de nouveau été copieusement conspué à son arrivée au Salon de l’Agriculture. Ce nouvel épisode de huées est amplement justifié.

    Devant la mobilisation paysanne, le Salon de l’Agriculture a été envahi par les CRS et les gardes mobiles, une façon de souhaiter un bon accueil de la part de l’Élysée.

    Certains observateurs spécialistes du salon on fait ce constat :

    « Cette année, nous avons droit à un Salon de l’Agriculture remarquable. Dans les filières d’exception, du jamais vu, nous pouvons admirer un éventail de poulets qui nous rend fiers !

    Par croisements successifs, nous avons enfin des gallinacés bottés, casqués, pouvant porter visière et bouclier pour se protéger contre les intempéries et à même de résister au réchauffement climatique. »

    Les Gaulois réfractaires ont gardé le sens de l’humour, même si pour beaucoup d’agriculteurs les temps sont tragiques.

    Ce n’est pas le simulacre de débat que le président, qui est coutumier du fait, a ensuite tenu à huis clos avec quelques représentants des syndicats agricoles qui apaisera la colère des agriculteurs tant ce « seul en scène », qui mit fin au combat des gilets jaunes, fut un modèle de cuistrerie.

    Ce n’est pas non plus le débat improvisé qui a suivi ou il a cru opportun d’employer un langage de charretier que le président fera illusion sur sa proximité avec le monde paysan : le respect et la qualité des propos tenus par les agriculteurs présents n’avaient d’égal que la vulgarité, l’arrogance et l’autosatisfaction dont il a fait preuve. Il ne suffit pas non plus de répéter à l’envie être « aux côtés des agriculteurs » pour effacer sept ans d’exercice du pouvoir pendant lesquels il a organisé avec Ursula von der Layen la détresse du monde paysan et poursuivi la déconstruction de l’agriculture française. Il ne suffit pas, enfin, de déambuler dans les allées du Salon de l’Agriculture, entouré de dizaines de gardes du corps, pour faire oublier qu’il est le promoteur assumé d’une politique européenne laquelle, fondée sur le principe de libre échange, ne permettra jamais la mise en place du protectionnisme minimum nécessaire que les agriculteurs appellent de leurs vœux et qui est le préalable à la résolution de la crise agricole.

    Emmanuel Macron a, une fois encore, usé du subterfuge du débat improvisé pour tenter d‘apaiser, voire d’endormir, les esprits par un enfumage en règle. Ce faisant, il risque fort d’ajouter la frustration à la colère des paysans qui lui ont signifié que le temps du discours était révolu. La sauvegarde de l’agriculture française réclame des actes qu’il est incapable de mettre en œuvre tant il a placé notre pays sous la suzeraineté de Bruxelles.

    Mais quand le pouvoir politique refuse de passer à l’acte, c’est bien souvent le peuple qui s’en charge… S’il veut éviter d’en arriver là, il doit d’abord rompre avec les règles européennes et le modèle mondialiste, quoi qu’il en coûte, et probablement en coûtera-t-il moins cher si le pays réel reprend le contrôle. Avec le scrutin qui vient, il faudra choisir : L’UE ou la France…

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur Challenge, le point - objectif et neutre - sur la dissuasion française et la folie/trahison des européistes, macronistes, traîtres et Compagnie qui poussent à la roue afin que NOTRE dissuasion nucléaire française tombe dans les mains du "machin" monstrueux qu'est "cette" U.E. ! 

    https://www.challenges.fr/monde/nucleaire-une-dissuasion-francaise-pour-l-europe_884220

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  • Au cinéma : Captives, par Guilhem de Tarlé

    Captives - film 2023 - AlloCiné
     

    A l’affiche : Captives,  un film français d’Arnaud des Pallières, avec Mélanie Thierry (Fanni),  Josiane Balasko (Bobotte, alias Marguerite Bottard, infirmière à la Salpêtrière, qui finit sa carrière comme directrice de service sous l’autorité du Professeur Charcot),  Marina Fois (La Douane), Carole Bouquet (Hersilie Rouy, pianiste), Yolande Moreau (Camomille) et Dominique Frot (Emilie).

    Captives… un docu-fiction fondé sur des faits réels à la Salpêtrière, à la fin du XIXème siècle, avec des personnages qui ont parfois véritablement existé (Bobotte ou Hersilie) tandis que d’autres ont été «recomposés» à partir de témoignages.

    L’Histoire de La Pitié-Salpêtrière remonte à Louis XIV qui décida de construire un hôpital à l’emplacement d’un bâtiment où l’on fabriquait de la poudre à canon, d’où le nom de Salpêtrière. Le mot hôpital ne doit pas nous tromper, il s’agit davantage d’un hospice ou d’un lieu d’enfermement et, si l’on y « traite » depuis toujours les pauvres et les malades, ce n’est qu’au début du XXème siècle que l’Académie française utilise à son endroit le verbe « soigner ».

    J’apprends que dans les années 1890, on enfermait à la Salpêtrière les folles, les filles de mauvaise vie, ou les femmes « rejetées » par leurs familles ! Ainsi Hersilie Rouy aurait été victime d’une simple affaire d’héritage, ce qu’elle rapporte sans doute dans ses Mémoires d’une aliénée, que je n’ai pas lus.
    C’est, en tout cas, ce pan d’histoire, cet univers et ces « pensionnaires » que nous raconte le réalisateur, autour d’un scénario, quant à lui peu crédible ou mal ficelé, déjà écrit lors de la parution d’un livre, sur le même sujet, Le Bal des folles, de Victoria Mas (2019).

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    EXPULSÉ À TUNIS, MAJOUBI SE LAMENTE POUR FEMMES ET ENFANTS, PARENTS ET AMIS : QUE VONT-ILS DEVENIR SANS LUI ?

    POUR LE REGROUPEMENT FAMILIAL !

    TOUS À TUNIS, VITE !

    PAR TOUS LES MOYENS, MÊME LÉGAUX :

    EN AVION, EN BATEAU, EN STOP, À LA NAGE, COMME ILS VEULENT, MAIS :

    À TUNIS !

     

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    Ce personnage n'a pas hésité à dire : "Ma femme a commencé à pleurer et mes enfants aussi..."

    Séchez vos larmes, prenez toutes et tous un aller simple pour Tunis, et (comme on dit en provençal) : "Allez, ZOU !"

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  • Au cinéma : Léo, par Guilhem de Tarlé

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    A l’affiche : Léo, la fabuleuse histoire de Léonard de Vinci,  un film irlandais d’animation de Jim Capobianco et Pierre-Luc Granjon.

    « Qu’est-ce qui est important ? L’art ou le droit à une alimentation saine et durable ? »… Fin janvier, deux militantes « Riposte alimentaire » ont ainsi aspergé avec de la soupe la vitrine blindée protégeant « La Joconde », suivies par deux autres, quelques jours après, qui se sont attaquées, à Lyon, au tableau « Le Printemps » de Claude Monet…
    En a-t-on beaucoup parlé ?

    Imaginez la réaction des politiques, des médias, des églises et autorités morales, si ces actes de vandalisme avaient été, à la veille de l’inscription de l’IVG dans la constitution,  le fait de militants dits d’ « extrême droite » ou d’ « ultra droite », avec le slogan « Qu’est-ce qui est important ? L’art ou sauver les enfants à naître ? ».
    On aurait lu et entendu partout le célèbre « Quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver » prêté à Goering ou Goebbels ; on aurait déclaré « la République en danger » et crié au retour nauséabond du nazisme et de la bête immonde et brune ; on aurait organisé une grande manifestation nationale avec en tête le Président de la République, comme pour Carpentras mensongèrement attribué au Front National ; on aurait dissous sur le champ, en même temps que d’autres « groupuscules »,  le mouvement inscrit sur les maillots des coupables, et, enfin, les prisons n’auraient pas été trop pleines pour une comparution immédiate et une condamnation sans sursis.

    Mais il ne s’agissait que d’écolos, partie prenante de cet « arc républicain », que le Président – dit « de tous les Français » - théorise dans le quotidien communiste « L’Humanité » !

    Ce « deux poids, deux mesures » m’écœure et c’est peut-être pour honorer « La Joconde » et réparer l’affront fait à Léonard de Vinci – « panthéoniser » en quelque sorte cet étranger, puisque c’est à la mode – que j’ai tenu à aller voir le dessin animé de sa fabuleuse histoire.

    Sans doute les réalisateurs ont-ils voulu, eux aussi, à leur manière, rendre hommage à leur « héros » ?  Malheureusement, ils se sont surtout fait plaisir avec une œuvre  originale, parfois jolie, mais confuse et incompréhensible pour qui ne connaît rien d’autre, ou presque, de l’artiste, que « La Joconde ».

    Léonard de Vinci, un très grand peintre ? certainement, mais pas que… comme on dit…
    Un savant, un philosophe, un anatomiste, un ingénieur, un architecte…  ce que le dessin animé suggère sans l’enseigner…
    J’ai seulement découvert qu’il avait voulu construire « la cité idéale » à Romorantin, qui aurait été la capitale du Royaume…
    Malheureusement, sans aucune raison, les réalisateurs en profitent pour ridiculiser François Ier, alors que c’est ce grand roi qui a attiré ce génie dans notre pays, à Amboise, au Château du Clos Lucé, et que la France leur doit, à l’un et à l’autre, la Renaissance des Arts, des Lettres et des sciences.

    « France, Mère des arts, des armes et des lois »
                                                                      J. du Bellay, Les regrets (1558)

     

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  • 28 février 2007/28 février 2024 : lafautearousseau fête ses dix-sept ans !...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgEncore une année passée en votre compagnie, chers lecteurs, amis, militants et sympathisants, à nous donner autant que possible à la noble Cause qui est la nôtre : Dieu, la Patrie, le Roi, dans la fidélité absolue à cette Action française que nous nous efforçons de faire toujours mieux connaître, notamment avec la nouvelle Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", que nous avons ouverte, justement, l'an dernier, pour célébrer notre seizième anniversaire : et voici que, un an après, venant juste de terminer l'importante livraison sur la terrible inondation de 1910 à Paris, et l'image extrêmement positive qu'ont montrée les Camelots du Roi à ce moment-là, en se mettant généreusement et efficacement au service des sinistrés, notre Catégorie est déjà riche de 116 livraisons !...

    Cette année, pour célébrer notre dix-septième anniversaire, nous arrivons au cinquantième de nos Grands Textes, et nous avons surtout choisi de lancer notre cinquième feuilleton : "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !", Léon Daudet", dont la publication, à raison de deux livraisons par jour, s'étalera sur environ trois mois.

    Parallèlement, avant les vacances d'été, nous donnerons tous les comptes-rendus de l'intégralité des Rassemblements royalistes tenus en Provence (notamment à Barbentane et Roquemartine), entre les deux guerres...

    Et, ne pouvant tout faire à la fois - ce qui, d'ailleurs ne serait pas souhaitable - nous garderons le sixième feuilleton pour notre prochain dix-huitième anniversaire : à ce moment-là, entre les Grandes "Une" et les Documents pour servir à une histoire de l'URP d'une part, et les feuilletons sur Maurras, Bainville et Daudet (sans oublier l'Histoire de France, les Guerres de Vendée et Chateaubriand) d'autre part, nous commencerons à offrir aux nouveaux lecteurs, aux nouveaux publics, un ensemble de plus en plus complet permettant à ceux qui l'ignorent (ils sont, hélas, légion...) de découvrir la richesse de ce que l'on pourrait appeler le fonds d'Action française...

    Ces nouveaux lecteurs, ces nouveaux publics dont je parle proviennent, entre autres, des 43 groupes privés qui, nous ont proposé de les rejoindre : nous étions membres de 36 groupes, lorsque facebook - vous vous en souvenez - nous a scandaleusement "restreint" notre page pendant trois mois, puis encore pendant un mois, quelques jours à peine après nous avoir rendu un accès normal au réseau : évidemment, pas de "partages" dans les groupes à ce moment-là ! En réaction, et par mesure de soutien, dont nous leur savons gré, les responsables et administrateurs de sept nouveaux groupes nous ont invité à les rejoindre : c'est donc maintenant dans 43 groupes que nous "partageons" notre Revue de presse et d'actualité quotidienne, sans compter trois groupes "historiques", dans lesquels nous ne publions que nos Éphémérides, et deux groupes "internes", si je puis dire, regroupant des anciens du mouvement... 

    Merci donc à tous, et Joyeux anniversaire à nous ! Continuons à servir sans relâche, en accomplissant ce gros travail au quotidien - qui est une des formes du militantisme... - que représente la réalisation de notre quotidien, et

    SURTOUT, SUR TOUT, VIVE LA FRANCE !

    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,

    VIVE LE ROI !

     

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau;

    Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en chef;

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Macron s'est encore une fois donné en spectacle...

    Encore une fois, c'est raté...

    Sacha Guitry disait "On peut faire semblant d'être grave; on ne peut pas faire semblant d'avoir de l'esprit..."

    Macron a voulu jouer au penseur, au philosophe, à l'on ne-sait-trop-quoi, lors de la panthéonisation : il n'a accouché que d'un pathos d'une insanité aussi extravagante qu'insensée.

    Laetitia Strauch-Bonart (Rédac chef Idée à L'Express) a bien résumé le ridicule, l'inepte et l'indécence des propos présidentiels : 
     
    "Emmanuel Macron, pour l'entrée des Manouchian au Panthéon, a prononcé un discours extrêmement dérangeant. En bref, un éloge kitsch et indécent du communisme. Jugez-en plutôt : Macron évoque sans aucune distance l'"idéal communiste" embrassé par Manouchian et, en passant, met sur le même plan "1789" et "1793". Et il dit : "Parce qu’ils sont communistes, ils ne connaissent rien d’autre que la fraternité humaine, enfants de la Révolution française, guetteurs de la Révolution universelle". Vous avez bien lu. C'est une insulte à la mémoire des dizaines de millions de morts de cette idéologie épouvantable. Soljenitsyne se retourne dans sa tombe, Poutine se marre."

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Vers un fichage des journalistes et des chroniqueurs ?

    De Philippe de Villiers :

    "Ficher les journalistes et chroniqueurs : #Orwell n'y avait même pas pensé ! Ce qu'a fait Emmanuel #Macron, avec son délégué général des États généraux de l’information, est inouï : il restera dans l'Histoire..." :

    (extrait vidéo (4'32)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1760189321133338930?s=20

    L'émission complète (43'40) :

     

     

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  • Trois patronymes de militants retrouvés (pour l'instant...) dans la chronique "Ligue d'Action française" du quotidien...,

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgOu : premiers résultats inattendus de notre plongée dans l'immense fond d'archive que constitue la collection de L'Action française...

    Lorsque nous préparions notre seizième anniversaire, l'année dernière, nous cherchions une idée originale : nous la trouvâmes en nous demandant pourquoi nous ne nous plongerions pas - en emmenant nos lecteurs et amis avec nous - dans l'immense opportunité que nous offrait, tout simplement, la lecture des numéros de L'Action française. Et ce fut l'invention de notre nouvelle Catégorie "Grandes "Unes" de L'Action française..." 

    Nous nous doutions bien que nous trouverions force choses intéressantes "là-dedans", mais nous ne nous doutions pas que nous en trouverions autant, et d'aussi inattendues...

    Pour nous en tenir au seul aspect personnel, nous sommes trois, pour l'instant, à avoir retrouvé notre patronyme inscrit dans le quotidien : manifestation émouvante de la fidélité et du militantisme de nos parents et grands-parents...

    • Le premier qui trouva son nom fut notre Rédac'chef, Jean-Baptiste : dès que l'idée fut lancée, il trouva, dans les jours qui suivirent l'annonce suivante... :

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    ... dans le numéro du 23  Juillet 34, Rubrique "Mariages", juste en dessous de la Chronique quotidienne "Ligue d'Action française".

    Germain Collomb, "ligueur de Marseille", et Gabrielle de Gombert sont les grands-parents de Jean-Baptiste Collomb, notre Rédacteur en chef, à lafautearousseau... "Ligueur de Marseille", Germain Collomb a, évidemment, participé, le 6 Février précédent, à la grande "manif" de Marseille (car "le 6 février" eut lieu non seulement à Paris mais partout en France...) aux côtés de mon père et de Louis Ducret, le Trésorier de la Section de Marseille lorsque j'entrai pour la première fois dans notre beau local du 9 rue Saint-Suffren, à Marseille, et qui me raconta par le menu la-dite manif...

    • Ensuite, rien, pendant presqu'un an, jusqu'à la livraison de notre dernière série sur les terribles inondations de 1910. La série - assez longue... - commença avec le numéro du 20 Janvier et s'acheva avec ceux de la dernière semaine de février; et voilà que, coup sur coup, dans deux numéros à la suite (ceux du 20 et du 21 février, donc, les tous derniers que nous consultions pour cette livraison) nous tombons sur les deux textes suivants :

    • À Toulon, dans le numéro du Dimanche 20 Février 1910 (page deux), l'Union Fraternelle de Prévoyance de l'Action française a renouvelé son bureau... :

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    Si ma famille paternelle est bien "de Martigues", et depuis des générations (voir ici et ici) une branche quitta la ville pour s'installer à Toulon, au début du siècle dernier : c'est grâce à elle que mon père obtint son premier emploi, à l'Arsenal (il avait - comme on le voit avec le portrait de Maurras qu'il réalisa, à la plume et à l'encre de chine - un réel don pour le dessin); son adresse était, alors, "Villa Les Olivettes - Chemin Foulcon, Petit-Bois, Cap brun".

    Il y eut trois enfants dans ma famille martégale : deux garçons (Raoul et mon père) et une fille, Noëllie. Raoul quitta très vite la Provence, attiré par l'Hôtellerie-Restauration; mon père vint se fixer à Marseille, après avoir rencontré et épousé ma mère; et ma tante Noëllie, à force d'aller à Toulon, visiter notre "branche exilée", y rencontra Tòni Rufo, un artisan boulanger-patissier, qu'elle épousa, se fixant elle aussi, à son tour, à Toulon. Du coup, restés seuls à Martigues, mes grands-parents vinrent aussi s'installer à Toulon, où ils aidèrent à la boulangerie familiale, quartier des Routes...

    La "branche toulonnaise" de ma famille paternelle était évidemment restée ardemment royaliste et militante, comme en témoigne le compte-rendu ci-dessus...

     

    • Et enfin, dans le numéro du lendemain, Lundi 21 Février 1910, en "Une", s'il-vous-plaît, sixième colonne :

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    ( si vous souhaitez lire l'ensemble du compte-rendu "de notre envoyé spécial", c'est ici :

    Guy Bertran de Balanda : quatre ans déjà, toujours présent !

    La famille Bertran de Balanda est l'une des plus anciennes familles catalanes, et même sa "branche marseillaise" se rend toujours à La Tour / Bas-Elne, où elle est fixée depuis des temps lointains. Guy, militant de toujours de l'URP, ne dérogeait pas à la règle, et voilà pourquoi nous citons ce passage de L'A.F. qui concerne le Roussillon mais, aussi, par Guy, l'URP...

    Voilà, pour l'instant, l'un des résultats de nos recherches.

    Rendez-vous bientôt, peut-être, pour de nouvelles trouvailles, concernant d'autres militants...

    François Davin

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Il faut en finir avec le grotesque carnaval du Panthéon républicain...

    Le Panthéon est une église catholique, qui doit être rendue à l'Église catholique et restituée dans son état originel, c'est-à-dire en effaçant les modifications malheureuses apportés au bâtiment par Quatremère de Quincy, qui a supprimé le lanterneau et les deux clochers arrières et, surtout, qui a obturé 38 des 42 fenêtres : Soufflot souhaitait faire entrer le plus de lumière possible, cette obturation démente des ouvertures plonge maintenant la base du lieu dans une semi-pénombre bizarre, mais, surtout, perturbe la ventilation du bâtiment, augmente le taux d'humidité, ce qui provoque inévitablement fissures et érosion des structures métalliques de l'édifice....

    Il faut surtout en retirer les cendres de ceux qui n'ont rien à faire là, comme "les trois pires" :

    • Carnot, organisateur du Génocide vendéen (le premier des Temps modernes, matrice de tous les suivants...);

    • Voltaire, antisémite furieux et raciste anti-nègre joyeux;

    • Zola, qui a affaibli l'armée française alors que le Kaiser se préparait à nous attaquer...

    Enfin, pour en revenir à "la dernière lubie de Macron", il n'est pas inutile de lire l'article de Nicolas Gauthier, paru dans Boulevard Voltaire :

    le couple manouchian au pantheon

     

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  • Solidarité Kosovo ! DES ENFANTS HEUREUX D’APPRENDRE DANS LES ÉCOLES RÉNOVÉES

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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  • Au cinéma : Making off, par Guilhem de Tarlé

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    A l’affiche : Making Of,  un film français de Cédric Kahn, avec Denis Podalydès (Simon, le réalisateur) Xavier Beauvois (Marquez, le Producteur) et Jonathan Cohen (Alain, un acteur).

    Bienvenue dans le monde merveilleux du cinéma… Les cinéphiles évoquent Les Ensorcelés de Vincente Minelli (1953), La Nuit américaine de François Truffaut (1973) ou Mulholland Drive de David Lynch (2001), et Cédric Kahn se réfère à ça tourne à Manhattan de Tom DiCillo (1995), autant de films que je n’ai pas vus. Je pense, pour ma part au La Vérité de Kore-Eda sorti en 2019 (à ne pas confondre avec celui de Clouzot qui date de 1960) et surtout, la même année, à Lux Aeterna de Gaspar Noé.
    C’est en tout cas cette accroche qui m’a attiré - un film sur la réalisation d’un film –.

    J’ignore tout en effet de ce monde et de son langage qui m’impose à lire et relire des définitions de termes dont je saisis difficilement les nuances.
    Making Of, c’est – en bon français ! - le reportage de ce qui se passe derrière la caméra, ce qui se fait dans les coulisses, le dessous des cartes. C’est donc, pour moi, le moyen de faire connaissance avec les différents intervenants « hors champ », très nombreux, et de cerner le rôle et la mission de chacun.

    Ainsi les critiques, et mes commentaires, citent toujours le Réalisateur, et ce docufiction lui donne tout l’espace alors qu’il abandonne un rôle très secondaire, presque un figurant, au Producteur !
    Que sont-ils, pourtant,  l’un pour l’autre, et des deux lequel est le véritable patron ? la réponse dépend évidemment de la personnalité, de l’expérience et du professionnalisme de chacun. J’ai eu professionnellement à connaître le monde de la construction. Puis-je écrire que le Réalisateur est évidemment le Maître d’Œuvre chargé de définir la mise en scène,
    que le Producteur est un Promoteur chargé de rechercher, apporter et gérer les moyens,
    et que le maître d’Ouvrage – le véritable patron – est celui des deux qui a apporté l’idée originale du scénario.

    Le spectateur conviendra que cette réflexion reste bien dans le cadre de l’image, qui conclut sur la nécessité d’une hiérarchie, et l’utopie de l’autogestion, laquelle aboutit toujours à la substitution d’un chef à un autre.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    D'accord avec Alexandre del Valle (qui a "oublié" le JDD...) :

    Le Système a réussi à détruire L'Action française en 45, et à créer une presse écrite et "odieux-visuelle" qu'il contrôlait ou qui ne représentait qu'une très pâle "opposition" (?) pour lui...

    Aujourd'hui, il ne supporte pas de voir émerger, prospérer et grandir personnalités et médias qui, sans représenter, et de loin, le même danger pour lui que L'Action française, sont autant de foyers qui échappent malgré tout, peu ou prou, à la désolante soviétisation de la société imposée par le CNR en 45...

     

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