Périgord : les 15 et 16 Juin prochains...
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Oui, bien sûr ! De Jérôme Fourquet sur Macron :
"Emmanuel #Macron a déjà joué sur la corde c’est moi ou le chaos. Sauf que beaucoup de Français qui auraient vocation à voter pour lui, qui ne sont pas tentés par les extrêmes se disent c’est peut-être vous qui avez plongé le pays dans ce chaos".
(extrait vidéo 3'21)
https://x.com/Cdanslair/status/1800929844810658217
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici le lien qui conduit à la "Une" de ce numéro du Lundi 26 Avril 1926, dont l'essentiel est constitué par le très bel article de Daudet sur Bernanos.
On nous permettra, malgré tout et juste avant de donner cet article, de passer la manchette qui - si elle n'a strictement rien à voir avec Bernanos - n'en reste pas moins d'une très étonnante actualité aujourd'hui, un siècle après ! :
Cet utile rappel étant fait, passons à l'essentiel, pour ce jour d'avril 26 : le très bel éloge de Bernanos, par Daudet :
"...Une étoile est apparue au firmament littéraire, et les astronomes vont braquer leurs télescopes..."
Le "grand entretien de Christophe Guilluy, dans Figaro Vox : "Avec la dissolution, Macron cherche moins à répondre à la crise démocratique qu’à l’invisibiliser"...
Pour le géographe, la percée du RN aux Européennes a été portée par un mouvement existentiel de contestation de «la France d’en haut». Dans ce contexte, la dissolution de l’Assemblée nationale s’apparente à une fuite en avant qui pourrait aussi être un pari risqué.
Les Chinois n’ont finalement pas que des défauts. Ils ont en tout cas une grande qualité : ils aiment le cognac. Cette appellation, célèbre dans le monde entier depuis des siècles, n’est plus beaucoup prisée dans notre pays. Les Français boivent moins mais pas mieux. Des breuvages étranges venus d’ailleurs supplantent progressivement nos gloires nationales, nos bons vins et nos grands digestifs.
SAUVER LE COGNAC
L’hygiénisme militant est solidement installé (quand serons-nous libérés de l’insupportable « à consommer avec modération » infligé par la loi Evin ?) et mène avec succès une offensive générale contre l’alcool. Sauf la bière que notre président consomme volontiers lors de ses sorties hors protocole. Il est certain que les boissons énergisantes, les faux jus de fruits chimiques et le coca-cola sont bien meilleurs pour la santé que les fruits de la vigne cultivés depuis des millénaires (environ -3000 avant Jésus-Christ pour le premier vin produit en Géorgie).
Nous sommes - forcément - "dans" le Système, même si, évidemment, nous ne sommes pas "du" Système. Nous ne nous intéressons donc pas aux jeux politiciens de ce Régime à bout de souffle, mais, pourtant, nous ne pouvons ni ne devons nous désintéresser de ce qui se passe autour de nous, car c'est, tout simplement, la vie des Français, et la nôtre. Et si "nous n'y sommes pas", nous n'existons pas...
Persuadés que ce n'est pas par des changements de majorités que l'on sauvera la France de l'état calamiteux dans lequel l'a mis la République idéologique depuis un siècle - depuis son instauration en 1875 - nous considérons avec scepticisme les alliances, jeux, rejets ou embrassades diverses et variées qui ponctuent notre vie politique, et, surtout, notre décadence, inéluctable et continue depuis 1875...
Et pourtant, il nous faut bien "faire avec" ce que nous avons, c'est-à-dire la France, dans l'état où elle est aujourd'hui.
Nous nous contenterons donc de dresser un constat rapide de la situation, et de dire, malgré tout, ce qui pourra peut-être sortir de moins mauvais du cataclysme d'hier soir...
1. Le deuxième quinquennat de Macron est terminé, de fait, et c'est tant mieux. Aussi désastreux que le premier (hausse vertigineuse de la Dette, de l'invasion étrangère et de son corollaire, l'insécurité...), voilà son "chef" (?) condamné, au mieux, à de la cohabitation, pour le temps qu'il lui reste à sévir, contre la France et les Français...
2. Trois "zones politiques" apparaissent, pour les prochaines Législatives, dans trois semaines (entre parenthèse, Macron aurait pu attendre la fin des JO : dissoudre, avec un calendrier aussi précipité, n’est-ce pas prendre un gros risque pour l’ordre public ?...) :
• à gauche et à l'extrême-gauche, guerre civile entre les plus "enragés" (LFI, les "revenants de la section des piques de 1793") qui veulent ramener à la vie leur Nupes terroriste et proposent riens moins qu'un Front populaire : on en a déjà eu un, en 36, on a déjà donné, et on a vu, justement, ce que cela a donné ! Alors, un nouveau Front popu ? Merci, mais... non merci ! Heureusement, beaucoup, là-bas, ne peuvent plus voir Mélenchon en peinture, si l'on nous passe l'expression...
• dans l'extrême-centre, ou l'extrême n'importe quoi, tant on ne sait plus comment nommer cette sorte de magma, cette "chose" qui est tout sauf "politique" et qui a tout en tête, sauf l'intérêt et la défense de la France et des Français, c'est "panique à bord" et "le bateau coule" : on voit très mal qui va pouvoir surnager (nous parlons d'élus) dans ce cataclysme et cette démoralisation générale de ce qui n'est même plus un "camp"...
• enfin, reste le camp des Patriotes, des souverainistes, de ceux qui raisonnent en terme de "Nation française" et pas d'Europe fédérale ou on ne sait trop quelle niaiserie aussi vaine que dangereuse et mortifère. Ce camp, les journaleux du "sévice public", la gauche, les terroristes et les bobos l'appellent, jouant à se faire peur, "l'extrême droite". Les pauvres... Laissons les à leur inculture, leur mauvaise foi et leur malhonnêteté indécrottables... Et revenons-en à ce que nous avons dit en commençant : si les Patriotes (Rassemblement national, Reconquête, Debout la France et autres) s'entendent et forment un Front de réaction à la chute accélérée du pays, on peut avoir une bonne Chambre, à la fin du mois, comme on a eu la bonne "Chambre bleu horizon", en 1919.
Ce sera, ce serait, évidemment, moins pire que ce que l'on a aujourd'hui. Mais n'oublions pas que la Chambre bleu horizon n'a eu qu'un temps, et que le Cartel des Gauches, qui l'a remplacé, à défait ce qu'elle avait fait...
Alors, souhaiter une victoire des patriotes/souverainistes pour dans trois semaines, oui, bien sûr. Mais sans la moindre illusion sur le fond des choses : ce dont la France est malade, et peut mourir, c'est du Système, de la République idéologique, et ce n'est pas un changement de Chambre qui la sauvera, mais un changement de Régime.
Donc, si les Patriotes/souverainistes ont la sagesse de s'entendre et de s'allier, nous les soutiendrons et voterons pour eux, mais, en parallèle, nous continuerons de mener la seule action qui vaille :
"étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..." (Léon Daudet)
À Martigues, le Rassemblement National, avec Jordan Bardella comme tête de liste, arrive en première position des élections européennes, recueillant 41,69% des suffrages. Il est suivi par Manon Aubry, de La France insoumise avec 11,93%, puis de Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) qui comptabilise 9,53% des voix.
Jordan Bardella (Rassemblement national) : 41,69%
Manon Aubry (La France insoumise) : 11,93%
Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) : 9,53%
Valérie Hayer (Renaissance) : 8,97%
Léon Deffontaines (PCF - Gauche unie) : 7,22%
Marion Maréchal (Reconquête !) : 5,56%
Marie Toussaint (Les Écologistes) : 3,52%
François-Xavier Bellamy (Les Républicains) : 3,43%
Le mur de la dette est devenu colossal, tout le monde le sait.
Ce n'est plus un mur, dirait Cyrano, c'est un pic, un sommet, un Mont blanc ! Que dis-je un Mont blanc, c'est un Himalaya !
François Lenglet a-t-il raison ?
La véritable raison de la dissolution de l'Assemblée est-elle que "construire" le budget de la Nation sera impossible en 2025 ?
Et que, donc - on admirera le cynisme... - la dissolution pourrait être un avatar du jeu de la grenade dégoupillée : la situation budgétaire étant tellement désespérée qu’il est plus commode de laisser d’autres se "prendre l’explosion" en pleine figure ? (si on nous permet l'expression)...
(extrait vidéo 3'23)
https://x.com/OlivierBabeau/status/1800245779392573801
Mostra de Venise : L’Affaire Abel Trem, un film hongrois de Gabor Reisz, avec Gaspar Adonyi-Walsh (dans le rôle-titre).
Ave Cesar, morituri te salutant…
Ne serait-ce que ces quelques mots… qui seraient pourtant bien tombés, mais qu’Abel Trem est incapable de prononcer quand, à l’épreuve orale d’Histoire du baccalauréat, les examinateurs lui demandent d’évoquer Jules César.
C’est vrai que nous, nous avons La Guerre des Gaules, nous avons Vercingétorix, alors qu’on peut s’interroger sur ce que représente César dans la tête d’un jeune lycéen hongrois. Sans doute aurait-il été plus loquace sur Kroutchev qui, en 1956, lança les chars russes contre les étudiants de Budapest. D’autant plus qu’Abel arbore à sa boutonnière la cocarde des Hongrois nationalistes, ardents soutiens de Victor Orban.
L’Affaire Abel Trem … c’est l’histoire d’un étudiant qui échoue à un examen et en rejette la faute sur son examinateur, un gauchiste sectaire (pardon pour le pléonasme) qui l’aurait « saqué »…
L’Affaire Abel Trem… une charge contre la Hongrie d’Orban où la presse aux ordres condamne un enseignant sans enquêter sur le mensonge dont il est victime.
Chacun conviendra qu’une telle situation ne pourrait pas se produire dans notre « République » dont les « valeurs » imposent de faire la chasse aux « fake-news », comme le dit Adèle Van Reeth, Directrice de France Inter : « Nous avons choisi de ne pas donner la parole à des personnes qui contesteraient le fait même du réchauffement climatique, c’est un engagement de Radio France au nom d’une valeur qui est à la hauteur de la mission même qu’on doit accomplir ».
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Nous sommes - forcément - "dans" le Système, même si, évidemment, nous ne sommes pas "du" Système. Nous ne nous intéressons donc pas aux jeux politiciens de ce Régime à bout de souffle, mais, pourtant, nous ne pouvons ni ne devons nous désintéresser de ce qui se passe autour de nous, car c'est, tout simplement, la vie des Français, et la nôtre. Et si "nous n'y sommes pas", nous n'existons pas...
Persuadés que ce n'est pas par des changements de majorités que l'on sauvera la France de l'état calamiteux dans lequel l'a mis la République idéologique depuis un siècle - depuis son instauration en 1875 - nous considérons avec scepticisme les alliances, jeux, rejets ou embrassades diverses et variées qui ponctuent notre vie politique, et, surtout, notre décadence, inéluctable et continue depuis 1875...
Et pourtant, il nous faut bien "faire avec" ce que nous avons, c'est-à-dire la France, dans l'état où elle est aujourd'hui.
Nous nous contenterons donc de dresser un constat rapide de la situation, et de dire, malgré tout, ce qui pourra peut-être sortir de moins mauvais du cataclysme d'hier soir...
1. Le deuxième quinquennat de Macron est terminé, de fait, et c'est tant mieux. Aussi désastreux que le premier (hausse vertigineuse de la Dette, de l'invasion étrangère et de son corollaire, l'insécurité...), voilà son "chef" (?) condamné, au mieux, à de la cohabitation, pour le temps qu'il lui reste à sévir, contre la France et les Français...
2. Trois "zones politiques" apparaissent, pour les prochaines Législatives, dans trois semaines (entre parenthèse, Macron aurait pu attendre la fin des JO : dissoudre, avec un calendrier aussi précipité, n’est-ce pas prendre un gros risque pour l’ordre public ?...) :
• à gauche et à l'extrême-gauche, guerre civile entre les plus "enragés" (LFI, les "revenants de la section des piques de 1793") qui veulent ramener à la vie leur Nupes terroriste et proposent riens moins qu'un Front populaire : on en a déjà eu un, en 36, on a déjà donné, et on a vu, justement, ce que cela a donné ! Alors, un nouveau Front popu ? Merci, mais... non merci ! Heureusement, beaucoup, là-bas, ne peuvent plus voir Mélenchon en peinture, si l'on nous passe l'expression...
• dans l'extrême-centre, ou l'extrême n'importe quoi, tant on ne sait plus comment nommer cette sorte de magma, cette "chose" qui est tout sauf "politique" et qui a tout en tête, sauf l'intérêt et la défense de la France et des Français, c'est "panique à bord" et "le bateau coule" : on voit très mal qui va pouvoir surnager (nous parlons d'élus) dans ce cataclysme et cette démoralisation générale de ce qui n'est même plus un "camp"...
• enfin, reste le camp des Patriotes, des souverainistes, de ceux qui raisonnent en terme de "Nation française" et pas d'Europe fédérale ou on ne sait trop quelle niaiserie aussi vaine que dangereuse et mortifère. Ce camp, les journaleux du "sévice public", la gauche, les terroristes et les bobos l'appellent, jouant à se faire peur, "l'extrême droite". Les pauvres... Laissons les à leur inculture, leur mauvaise foi et leur malhonnêteté indécrottables... Et revenons-en à ce que nous avons dit en commençant : si les Patriotes (Rassemblement national, Reconquête, Debout la France et autres) s'entendent et forment un Front de réaction à la chute accélérée du pays, on peut avoir une bonne Chambre, à la fin du mois, comme on a eu la bonne "Chambre bleu horizon", en 1919.
Ce sera, ce serait, évidemment, moins pire que ce que l'on a aujourd'hui. Mais n'oublions pas que la Chambre bleu horizon n'a eu qu'un temps, et que le Cartel des Gauches, qui l'a remplacé, à défait ce qu'elle avait fait...
Alors, souhaiter une victoire des patriotes/souverainistes pour dans trois semaines, oui, bien sûr. Mais sans la moindre illusion sur le fond des choses : ce dont la France est malade, et peut mourir, c'est du Système, de la République idéologique, et ce n'est pas un changement de Chambre qui la sauvera, mais un changement de Régime.
Donc, si les Patriotes/souverainistes ont la sagesse de s'entendre et de s'allier, nous les soutiendrons et voterons pour eux, mais, en parallèle, nous continuerons de mener la seule action qui vaille :
"étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..." (Léon Daudet)
Dans Boulevard Voltaire, l'interrogation de Gabrielle Cluzel sur le pari fait par Macron avec la dissolution :
"Macron dissout l’Assemblée ! Coup de Jarnac ou balle dans le pied ?..."
https://www.bvoltaire.fr/edito-macron-dissout-lassemblee-coup-de-jarnac-ou-balle-dans-le-pied/
À Martigues, le Rassemblement National, avec Jordan Bardella comme tête de liste, arrive en première position des élections européennes, recueillant 41,69% des suffrages. Il est suivi par Manon Aubry, de La France insoumise avec 11,93%, puis de Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) qui comptabilise 9,53% des voix.
Jordan Bardella (Rassemblement national) : 41,69%
Manon Aubry (La France insoumise) : 11,93%
Raphaël Glucksmann (PS - Place publique) : 9,53%
Valérie Hayer (Renaissance) : 8,97%
Léon Deffontaines (PCF - Gauche unie) : 7,22%
Marion Maréchal (Reconquête !) : 5,56%
Marie Toussaint (Les Écologistes) : 3,52%
François-Xavier Bellamy (Les Républicains) : 3,43%