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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 115

  • Éphéméride du 3 décembre

    Le pseudo-procès, gravure d'époque

     

     

    1792 : Ouverture du pseudo-procès de Louis XVI 

     

    En réalité, il n'y aura pas de procès, au sens vrai du terme, puisque le jugement est rendu d'avance, dicté par Robespierre lui-même : Il faut que Louis meure ! Car si Louis est innocent, alors ceux qui ont fait la révolution sont coupables !

    C'est le sens du discours stupéfiant que tient Robespierre à la Convention... : 

     

    GRANDS TEXTES (XVIII), ou ANTI GRAND TEXTE : Discours de Maximilien de Robespierre (première intervention, le 3 décembre 1792, au cours du pseudo procès de Louis XVI)

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1. Elle traite, en plus de tout le reste, du "chef d'oeuvre absolu" (le mot est de Jacques Bainville) que représentent les Traités de Westphalie, préparés par Richelieu et signés par Mazarin.

    La Royauté en avait "fini" avec l'envahisseur héréditaire venu d'Outre-Rhin; il n'y avait plus d'Allemagne mais "des" Allemagnes, une "République de princes", une "croix des géographes" : la France était en paix de ce côté d'où lui venait la guerre depuis les Cimbres et les Teutons, cent ans avant Jésus-Christ; elle allait pouvoir étendre ses frontières (Franche-Comté, Alsace, Lorraine, Artois, Flandres, Roussillon) et donc sa sécurité; elle allait assurer sa prééminence en Europe et vivre ses deux Grands siècles : les XVIIème et XVIIIème; elle allait devenir "la Grande Nation", car la Royauté travaillait dans le sens de l'intérêt général, du Bien commun.

    Les Encyclopédistes, pères de la Révolution, les Républiques et Empires, leurs fils, ont détruit ce chef d'oeuvre et mené la folle politique inverse d'unification allemande : ce sera Waterloo, 1870, 1914, 1939/40... la fin de "la Grande Nation" trahie par Encyclopédistes/révolutionnaires, républicains/impérialistes, tous travaillant contre les intérêts français, et en intelligence avec l'ennemi...

    2. Mais elle rend aussi hommage à ces grands royalistes sociaux que furent Frédéric Le Play, Albert de Mun, Alban de Villeneuve, Patrice de La Tour du Pin, tous honneur du royalisme français et vrais progressistes...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Toujours excellent, l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
     
    "...Y-aura-t-il des crèches à Noël ?...
    ...Effacer l'empreinte chrétienne de la France c'est faire le jeu de ceux qui, aujourd'hui, ont le plus la laïcité en horreur : les dévots de la guerre sainte que mènent les islamistes. Le petit santon de la crèche n'est donc pas une menace, mais un rempart..."
     
    Nous, nous accusons carrément la République idéologique, le Système, d'avoir affaibli et désarmé spirituellement la France en particulier, l'Europe en général, en menant contre l'Église catholique une lutte à mort, une "guerre d'extermination" comme l'a dit le député socialiste Viviani en 1906...
    Se prenant elle-même pour la Nouvelle Religion Républicaine, la Révolution et sa République idéologique n'ont eu de cesse de démolir le christianisme, autant qu'elles le pouvaient; sans y parvenir, toutefois, elles l'ont considérablement affaibli, et voilà qu'arrivent les masses musulmanes de la troisième invasion islamique de l'Europe, après les deux précédentes qui, elles, étaient militaires : celle de 711, par l'Espagne, et celle de 1453, par Constantinople...
     
    Le couple révolutionnaire LFI Garrido/Corbières, avec leur fille convertie à l'Islam, est la parfaite allégorie de cette guerre anti-chrétienne menée par la Révolution, la République idéologique, le Système, contre nos Racines chrétiennes, notre héritage judéo-chrétien, notre Être profond... et le grand remplacement spirituel qu'elle induit : "Ôtez le christianisme, vous aurez l'Islam", disait ce grand royaliste de Chateaubriand. Les révolutionnaires Garrido/Corbières ont leur fille convertie à l'Islam. Pour la Révolution, c'est : "Mission accomplie, chef !"...
     
    Mais le christianisme n'est pas mort et ne mourra pas...
     
    La France est chrétienne, et elle le restera... 
     
    Et, oui, il y aura des santons à Noël !
     
    En avant-première (puisqu'elle ne sera faite que demain, premier jour de l'Avent) la crèche de lafautearousseau :

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  • Éphéméride du 2 décembre

    L'Hospice de la Vieille Charité, à Marseille

     

     

    1694 : Mort de Pierre Puget 

     

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    Pierre Puget fut à la fois peintre, architecte et sculpteur, trois domaines dans lesquels il excella...

    Il naquit à Marseille ou dans ses environs immédiats, le 31 octobre 1622, dans une famille très modeste.

    Il partit en Italie, comme c'était l'usage à l'époque, pour parfaire sa formation, puis il y retourna régulièrement, mais revint toujours, tout aussi régulièrement, en France... 

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgEn plus de tout le reste, elle relate l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI, et donne accès à notre "anti Grand Texte" : le stupéfiant discours de Robespierre, qui explique pourquoi ce procès n'est pas fait pour "juger" le Roi mais pour le tuer !

    Car, juger signifie qu'une personne peut être acquittée, car reconnue innocente. Or, la Révolution ne peut avoir tort, sinon ce sont les révolutionnaires qui sont coupables (ce qui est d'ailleurs vrai...).

    Donc, Robespierre donne la marche à suivre aux soi-disant "juges" : IL FAUT QUE LOUIS MEURE !

    Hitler, Staline, Mao et les autres ne diront pas autre chose : "la race aryenne" pour l'un, "la classe ouvrière", pour le second, "le petit livre rouge" pour le troisième... toutes les horreurs du vingtième siècle, tous les totalitarismes et autres Goulags ou Lao Gaï, tous les criminels de masse comme Pol Pot ou Ho Chi Minh, tous les appareils répressifs comme les sinistres Guépéou/KGB, et autres Stasi ou Securitate tiendront le même discours...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Sur Europe 1, l'hommage de Gaspard Proust à Thomas :

    https://x.com/QueenFirmAction/status/1729826616975503658?s=20

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  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (54)...

     

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    1989 : René Sédillot vient présenter, dans notre local du 50, rue Pavillon "Le coût de la Révolution française"...

     

    1A.jpgComment mieux présenter cet exceptionnel ouvrage ? Voici un document d'archive, rare, voire exceptionnel : sa qualité technique est loin d'être fameuse, mais il date de 1989 ! C'est évidemment son fond qui en constitue l'intérêt, et nous demandons aux auditeurs de passer sur les imperfections techniques évidentes, pour aller à "la substantifique moelle...".

    Il s'agit ici d'une conférence prononcée à Marseille, au siège de la Fédération Royaliste Provençale, juste avant les célébrations du bi-centenaire de 1989, par un René Sédillot très en forme.

    On rappellera juste que René Sédillot fut, pendant de longues années, le directeur de La vie française, l'un des principaux journaux économiques de l'époque.

    Dans son Discours aux Lucs sur Boulogne (le premier de nos Grands Textes), Soljénitsyne explique la malfaisance de toute révolution, de la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationalistes du bonheur du peuple"....

    Il écrit, entre autres :

    1A.jpg"...C'est le XXème siècle qui a considérablement terni, aux yeux de l'humanité, l'auréole romantique qui entourait la révolution au XVIIIème. De demi-siècles en siècles, les hommes ont fini par se convaincre, à partir de leur propre malheur, de ce que les révolutions détruisent le caractère organique de la société, qu'elles ruinent le cours naturel de la vie, qu'elles annihilent les meilleurs éléments de la population, en donnant libre champ aux pires. Aucune révolution ne peut enrichir un pays, tout juste quelques débrouillards sans scrupules sont causes de mort innombrables, d'une paupérisation étendue et, dans les cas les plus graves, d'une dégradation durable de la population.

    Le mot révolution lui-même, du latin revolvere, signifie rouler en arrière, revenir, éprouver à nouveau, rallumer. Dans le meilleur des cas, mettre sens dessus dessous. Bref, une kyrielle de significations peu enviables. De nos jours, si de par le monde on accole au mot révolution l'épithète de "grande", on ne le fait plus qu'avec circonspection et, bien souvent, avec beaucoup d'amertume.

    Désormais, nous comprenons toujours mieux que l'effet social que nous désirons si ardemment peut être obtenu par le biais d'un développement évolutif normal, avec infiniment moins de pertes, sans sauvagerie généralisée. II faut savoir améliorer avec patience ce que nous offre chaque aujourd'hui. II serait bien vain d'espérer que la révolution puisse régénérer la nature humaine...."

     

    Comme en écho à ces propos, René Sédillot se penche, lui, justement, sur le coût de la révolution.  Le mot "coût" ne devant bien évidemment pas être pris dans sa seule acception économique...

    René Sedillot est "présenté" par Pierre Chauvet, Président de l'Union Royaliste Provençale (à droite, sur l'écran) et par François Davin (à gauche)

    (Conférence tenue dans les locaux l'Action Française de Marseille en 1989, dans le contexte des célébrations du bicentetaire de la Révolution française)

  • Au cinéma : The old oak, par Guilhem de Tarlé

    The Old Oak - film 2023 - AlloCiné

    Cannes 2023 : The old oak, un film anglais de Ken Loach, avec Dave Turner (TJ Ballantyne, propriétaire du pub, The old oak) et Ebla Mari (Yara, migrante syrienne).


    Contre le feu, je ne manifeste pas avec les pyromanes...
    Et ceux-ci d'ailleurs manifestent pour ne pas agir.
    C'est donc sans aucun complexe que, ce dimanche 12 novembre, nous sommes allés au cinéma, nous abriter de la pluie sous un vieux chêne.
    Hélas le vieux chêne de Ken Loach n'est pas celui de Vincennes au pied duquel St Louis rendait la justice .
    .
    The old oak est le 3ème opus d'une sorte de trilogie filmée dans le Nord-est de l'Angleterre qui fut le théâtre d'une grande grève des mineurs sous Margareth Thatcher en 1984.
    Dans MoiDaniel Blake le réalisateur dénonce une bureaucratie incapable de se mettre à la place d'un malheureux artisan qui a travaillé toute sa vie et se retrouve au chômage à la suite d'une maladie.
    Dans Sorry, we missed you, il dénonce l' « uberisation » c'est-à-dire l'exploitation de travailleurs que l'on qualifie d'indépendants alors que, sans aucune protection sociale et avec des revenus misérables, ils sont soumis à des cadences infernales imposées par des employeurs sans foi ni loi.

    Ken Loach est évidemment un militant de gauche, très à gauche, un anglais opposé aux gouvernements conservateurs  des Tories, ou social-démocrate de Tony Blair. Il n'empêche que ses deux premiers films, décevants par ailleurs, mènent des bons combats... ce n'est pas le cas du troisième qui n'est qu'un prospectus cinématographique manichéen pour l'accueil des migrants. Sylvie Binet, Secrétaire général de la CGT, en a d’ailleurs fait l’éloge – « un film comme ça, ça vaut 100 000 tracts » -, ce que confirme « le journal des curés de gauche » (de Gaulle),  La Croix, qui lui attribue 4 étoiles (« chef-d’œuvre »).

    A vous de juger.

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  • Éphéméride du 1er décembre

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    2001 : professionnalisation totale de l'Armée française

     

     

     

    660 : Mort de Saint Éloi 

     

    Né en 588 près de Limoges, Éloi est un orfèvre au service du roi qui entre dans les ordres et devient à la fois évêque de Noyon et Ministre des Finances du "bon roi Dagobert" 1er.

    Intègre, travailleur et grand organisateur, le roi le charge d’importantes négociations et l’envoie en 636 auprès du Duc de Bretagne, Judicaël, qui s’est révolté et a pris le titre de roi : Éloi l’amène à faire sa soumission...

    Doué pour les arts, attentif aux besoins des pauvres comme au service de l’État, alors balbutiant, Éloi a été choisi comme saint patron par les mécaniciens, par les orfèvres et par ceux qui travaillent le fer...  

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    Missel de Saint Éloi (IXème siècle) - très antique Missel originaire de Corbie (Bibl. Nat., lat. 12051) 
     

     

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  • Éphémérides du mois de décembre : Table des matières...

    1A.jpg1 : 660 : Mort de Saint Éloi. 1420 : Entrée d'Henri V, roi d'Angleterre, dans Paris. 1684 : Création du Régiment de Béarn. 1760 : Naissance de Marie Tussaud. 1916 : Assassinat de Charles de Foucauld. 1931 : Ouverture du premier Prisunic. 1986 : Inauguration du Musée d'Orsay. 1986 : René Sédillot publie Le coût de la Révolution française... 1990 : Première jonction entre français et britanniques dans le Tunnel sous la Manche. 2001 : Professionnalisation totale de l'Armée française.
    2 : 1694 : Mort de Pierre Puget. 1804 : Sacre de Napoléon. 1805 : Victoire d'Austerlitz. 1845 : Fondation de la S.P.A. 1877 : Louis-Paul Cailletet réussit à condenser l'oxygène. 1883 : Début du premier séjour de Frédéric Nietzsche à Èzes. 1959 : Catastrophe de Malpasset.
    3 : 1792 : Ouverture du pseudo-procès de Louis XVI. 1895 : Naissance de Jacques Jaujard. 1896 : Naissance de Jérôme Pichon, qui publia en 1846 le premier livre de cuisine français, écrit en 1393 !... 1910 : Georges Claude présente sa Lampe à néon. 1919 : Décret prescrivant l'édification de l'Ossuaire de Douaumont. 1995 : Mort de Jules Monnerot. 1995 : Canonisation d'Eugène de Mazenod.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le très mauvais esprit (irrécupérable ?) de Patrick Cohen a révolté tout le monde et a été, fort logiquement, épinglé par tout le monde : de Marc Menant et Charlotte d'Ornellas (sur CNews) à Front Populaire (ci-dessous, extrait) :

    "Mort de Thomas : le service public s’embourbe dans l’inversion accusatoire

    ARTICLE. Hier soir dans l'émission C à vous sur France 5, l'éditorialiste Patrick Cohen est revenu sur les événements survenus le soir du drame à Crépol. Avec un parti pris effrayant : seule la version des assaillants a composé la majorité de son narratif. Et le tout sur le service public.

    C’est une inversion accusatoire comme le service public en a le secret. En quelques jours, l’agressé devient l’agresseur, la victime le coupable. Dans son édito du lundi 28 novembre dans l’émission C à vous, Patrick Cohen est revenu sur le déroulement de la soirée lors de l’attaque dans le petit village dans la Drôme, dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre. Intitulée « Crépol : la mécanique de la haine et du mensonge », sa chronique est elle-même un tissu de témoignages mono-sourcés ponctués de raccourcis idéologiques..."

    "Avec sa crânerie somme toute habituelle", dit la Rédaction de Front populaire : comme Goldnadel a raison de parler de radio/télé

    "DE SÉVICE PUBLIC" !

    Goldnadel qui déclare, au sujet des propos intolérables de Patrick Cohen :

    "...Le reportage de Patrick Cohen, c’est le déni dédaigneux des dandys, l’univers du service public. Il prend pour argent comptant les déclarations des mis en cause mais la question du racisme anti blanc ne doit surtout pas être posée..."

     

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  • Documents pour servir à une Histoire de l'URP (53) : Quelques informations sur Le Commandant Dromard, premier Président de l'Union Royaliste Provençale...

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)

     

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    Ci-dessus, photo du Commandant Dromard, parue dans L'Almanach d'Action française pour l'année 1928 (page 347)

     

    On n'a malheureusement pas autant d'informations qu'on le souhaiterait sur le Commandant Dromard, qui fut le premier Président de notre Union Royaliste Provençale.

    Pourtant, son nom fut écrit des dizaines de fois dans L'Action française, lors des compte-rendus des grands Rassemblements royalistes (de Barbentane, le 29 mai 1927 ou de Roquemartine, le 5 août 1934, ci-dessus) ou des autres manifestations marseillaises et provençales, comme la double inauguration de la statue de Jeanne d'Arc, en haut de La Canebière, en 1942 et 1943 (voir ici, pour 1942, et ici, pour 1943).

    J'avais demandé à Pierre Chauvet - qui lui succéda à la tête de l'URP - et à Jean Lavoëgie - qui fut Chef des Camelots dans la "Dixième zone", la nôtre... - de me parler de lui; ainsi, bien entendu, qu'à mon père, Camelot marseillais de toujours : tous les trois, avec leurs mots à eux, différents mais se rejoignant sur le fond, me firent la même réponse : Dromard fut un serviteur fidèle et zélé de notre Cause, un Président actif et infatigable, toujours assidu à sa tâche, mais sans jamais d'accroc ni de dispute ou problèmes d'aucune sorte, ni de pas de côté, ni d'action(s) ou de décision(s) controversée(s). Tout entier donné à sa Cause, il ne vivait que pour servir : les gens heureux n'ont pas d'histoire, dit le dicton...

    Finalement, n'est-ce pas le plus beau des éloges que l'on puisse faire d'un Président de Fédération ? Pendant trente ans, du lendemain de la Guerre à sa mort, le premier mai 1950, il a servi, fidèlement, infatigablement, toujours là, toujours présent et actif, et le rappeler suffit pour lui rendre hommage, même si manquent photos et documents...

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    (cliquez sur le document pour l'agrandir)

    Louis, Francois, Marie Joseph Dromard fut nommé Chevalier de la Légion d'Honneur le 2 août 1920; puis promu Officier le 30 juin 1939...

    Il mourut le premier Mai 1950, à Marseille, où il demeurait (au 64, Boulevard Rabatau)

    (comme pour notre précédente livraison, traitant de L'Ordre Provençal, nous mettons en fin de cette note deux liens intéressants, en ceci qu'ils fournissent un grand nombre de noms, dates et lieux, personnalités; le tout mêlé dans un ensemble parfois un peu long, ennuyeux, voire "poussiéreux" : le lecteur en usera comme bon lui semble; pour notre part, nous en avons extrait certains des renseignements suivants...)

    C'est le Samedi 30 Mars qu'apparaît pour la première fois le nom de "Louis Dromard", dans L'Action française (en page deux) : Louis Dromard envoie 11 francs à la souscription permanente "pour la propagande du journal".

    Voilà comment est entré dans le quotidien, assez modestement, le nom de celui qui deviendra notre premier Président. Né le 15 Juin 1878, "le commandant Dromard" avait, alors, 34 ans, et - franc-comtois d'origine - il travaillait depuis une dizaine d'années à Marseille,  comme courtier en graines oléagineuses...

    Il y aura d'autres parutions sur Louis Dromard dans le quotidien, notamment pendant la Grande guerre :

    • en "Une" du numéro du Samedi 22 Juillet 1916 :

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    • en "Une" du numéro du Mercredi 7 Novembre 1917 :

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    • dans le numéro, du Mercredi Premier Octobre 1919 (page deux) : nous avions laissé Louis Dromard capitaine; le voici commandant; et Président de la Section de Marseille reconstituée...

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    • en "Une" du  numéro du Lundi 16 Août 1920 :

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    François Davin

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  • À la découverte du fonds lafautearousseau (68) : Folco de Baroncelli, aux origines de la Camargue moderne...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

     

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Folco de Baroncelli, aux origine sde la Camargue moderne...

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    À la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

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  • Éphéméride du 30 novembre

    Tréguier, aujourd'hui...

     

     

    563 : Mort de Saint Tugdual, à Tréguier  

     

    Originaire du Pays de Galles, Tugdual vint avec 72 religieux évangéliser la petite Bretagne, débarquant à Trébabu dans le Léon. Il fut évêque de Tréguier et est considéré comme l'un des sept saints fondateurs de la Bretagne.

    La ville de Tréguier est une étape du pèlerinage médiéval des sept saints de Bretagne appelé Tro Breizh (Tour de Bretagne) : 

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