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Histoire intime et politique de la famille COLLOMB – de GOMBERT après 1789 : Deux siècles au cœur de la Contre-Révolution (1)...

Introduction et chapitre 1er : Le lion face à l’Aigle Impérial

« La Contre-Révolution ne sera pas une
révolution en sens
contraire, mais le contraire de la
Révolution... »

Joseph de MAISTRE


« Les vivants ne peuvent rien apprendre
aux morts ; les morts, au contraire,
instruisent les vivants. »

François-René de CHATEAUBRIAND


« L’homme sans mythe est un déraciné,
sans relation véritable avec le passé ni
avec la vie des ancêtres (qui continue en
lui), ni même la société humaine
contemporaine. »

Carl Gustav JUNG

Des exemples.

Nous devons être des exemples.


La question n’est pas de se pavaner avec rubans, plumes et fanfreluches, mais d’honorer nos parents, nos ancêtres, en nous montrant dignes des armes qu’ils nous ont léguées. Notre œuvre s’appuie nécessairement et intégralement sur ce que nous incarnons : Ici se trouve notre pierre angulaire. Soit nous montrons l’exemple, soit nous ne sommes plus rien.


Il y a déjà cinq ans que j’avais griffonné ces quelques mots sur un coin de table, ne sachant nullement si cela servirait un jour mais en ayant la conviction profonde qu’il était important de l’écrire. Comme en musique, l’Introit est fondamental. C’est lui qui donne la « couleur », la « tonalité » ; une véritable synthèse de l’œuvre dans son ensemble sans toutefois dévoiler...


Ces quelques pages toucheront certains, en horrifieront d’autres ; c’est la loi de l’écriture. Et les faits sont ce qu’ils sont...


A tous mes amis, mes proches « d’Action française et d’au-delà de l’Action française », pour reprendre la célèbre formule de Charles Maurras lors de son discours d’entrée à l’Académie Française, qui me sont restés fidèles et qui m’honorent encore aujourd’hui de leur amitié car l’amitié est une notion très importante dans l’œuvre de Charles Maurras (1), l’on ne peut s’empêcher d’y voir une référence prise à Aristote tant la proximité du Maître de Martigues
avec la pensée grecque et romaine était importante comme à tous ceux qui, dans la rue, sur le terrain, au grand hôtel de l’Action française, ou même parfois dans un train, sont venus à moi pour me remercier, me témoigner leur estime, me dire que j’ai été un élément déclencheur dans leur volonté de s’engager à leur tour pour la France et pour le Roi...Un grand, un très grand merci...

Qu’ils sachent qu’ils ont, chacun d’entre eux, leur place dans l’Histoire familiale, qu’ils m’ont permis de rejoindre la tradition familiale, de payer l’impôt du sang. En me rendant digne de leur estime et de leur amitié, ils m’ont rendu digne de mes ancêtres.


C’est aussi le sens de cette histoire (intime et...) politique de la famille Collomb de Gombert :
On s’élève par le combat, dans l’honneur et dans le sang. Lorsque le sang n’est pas exigé, on s’élève par la droiture et une conduite irréprochable, digne des modèles, de l’Histoire et de la lignée dont on assume la responsabilité de dépositaire.


La famille Collomb de Gombert est le fruit de l’alliance entre Germain Collomb, (1899-1978), Avocat, Camelot du Roi, Ligueur d’Action française (section de Marseille) ;
et Gabrielle de Gombert, (1907-1993), fille du marquis Pierre Marie Laurent de Gombert, (1865-1941), Avocat, ancien Bâtonnier de Grasse devenu juge suppléant au Tribunal de Grasse après que l’honorariat d’Avocat lui fût accordé suite à son départ à la retraite.


Dans son édition du 23 juillet 1934, le journal de l’Action française dont le Rédacteur en Chef était à l’époque Maurice Pujo, les directeurs politiques étant Léon Daudet et Charles Maurras annonçait le mariage de mes grand-parents : « Nous sommes heureux d’apprendre le mariage de : (...) M. Germain Collomb, avocat et ligueur de Marseille, avec Mlle Gabrielle de Gombert, fille du marquis de Gombert, de Grasse. » (2).

 

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Le marquis dont il est question ici est l'arrière petit-fils de Jean-Joseph-Laurent de Gombert, dont on a parlé dans la note précédente, qui s'est opposé à Napoléon et l'arrière grand-père de notre camarade et ami Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en chef de lafautearousseau.

Pour un développement sur l'engagement d'Action française de la famille Collomb de Gombert, voir le chapitre 3 de l'Histoire intime et politique de cette famille...

 

Extrait de « L’Action française Organe du nationalisme intégral », édition du 23 juillet 1934, p. 3.
Source : Bibliothèque Nationale de France Gallica.
Permalien sur la page 3 de l’édition du 23 juillet 1934, via Gallica :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7656741/f3.image.r=%22marquis%20de%20gombert%22

 

Germain Collomb, mon grand-père, était le descendant d’une vieille famille de paysans des Hautes-Alpes. C’est au XIXème siècle que son grand-père, Jean-Baptiste, né à Aiguilles, s’installa à Briançon pour y faire fortune, devenir quelqu’un. Il réussît dans le négoce et fit l’acquisition de l’actuelle ferme familiale sise à Briançon. La Guisane y coule, le Prorel nous y fait face : Majestueux, silencieux, puissant, magnifique. C’est ici que cet homme pragmatique, les pieds dans la terre, son âme à Dieu et son cœur au Roi, décida de s’installer. Suite à cette réussite professionnelle, il était important que les enfants puissent exercer des professions reconnues, honorables, valorisantes, c’est-à-dire des professions de « notable » : Ingénieur agronome, Avocat, Administrateur de sociétés...L’éducation y était stricte, la vie austère, la foi catholique puissante, le travail y était érigé en valeur cardinale et la France en seconde religion.

 

Gabrielle de Gombert, ma grand-mère, était la fille du marquis Pierre-Marie-Laurent de Gombert, chef d’une des plus vieilles familles de la Noblesse de Provence : « Les généalogistes provençaux qui ont parlé de la Maison de Gombert, entre autres Nostradamus, Maynier, Artefeuil, Robert de Briançon, ont accordé un témoignage unanime à la haute ancienneté de cette famille et à la pureté de ses alliances. » (3). D’essence chevaleresque, la famille de Gombert dont l’histoire est millénaire et la filiation établie par actes authentiques depuis la fin du XIIIème siècle fut maintenue dans sa noblesse en 1667. Installée à Marseille sur le territoire de Château Gombert (auquel elle donna son nom) du début du XIème siècle à la fin du XIIIème siècle, la famille quitta Marseille pour s’enraciner au début du XIVème siècle non loin de Sisteron, à Saint-Geniez de Dromon, sur le Col de Fontbelle. Depuis l’imprenable forteresse de Dromon au-dessus de laquelle les aigles aiment à dominer les hauteurs, depuis le château de Saint-Geniez, entre l’église paroissiale Notre-Dame des Groseilles et la Chapelle Notre Dame de Dromon abritant une crypte d’époque paléochrétienne dédiée au culte de la Vierge Marie (4), c’est ici que l’arbre grandît...Mistral ne disait-il pas que ce sont les arbres aux racines profondes qui montent haut ? (5)

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« Il est des lieux où souffle l’esprit... » Maurice Barrès
Le Rocher de Dromon, au pied duquel se trouve la Chapelle Notre Dame de Dromon.
Haut lieu symbolique de la seigneurie de Saint-Geniès de Dromon, la population comme les visiteurs y sont encore aujourd’hui toujours attachés et y viennent nombreux en pèlerinage durant l’Eté.
Source : Archives familiales

 

Au XVème siècle, la famille se subdivisa en deux branches, respectivement incarnées par les deux fils du chevalier Jean Ier de Gombert de Saint-Geniès : La descendance du fils aîné fut celle des chevaliers, seigneurs de Saint-Geniès, Dromon et sa vallée, marquis de Gombert de Saint-Geniès en 1653 par acte de Pierre d’Hozier Juge d’Armes de France (la dite lignée fut définitivement éteinte en 1887) ; et celle du fils cadet, des écuyers, seigneurs de Verdaches : Ecuyers, Syndics, Juges Royaux, Consuls et Maires de Sisteron, qui fit acte de relief des titres de la branche aînée dans les années 1860 et en hérita en 1887 (6).


La présentation des familles, n’en formant désormais plus qu’une étant faite, venons-en maintenant au vif du sujet. L’engagement pour la France de Clovis, Fille Aînée de l’Eglise, comme pour son Roi :


Là encore, même question : Par où, par qui commencer ?

 

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La Citadelle de Sisteron, vue du ciel...
Source :
www.citadelledesisteron.fr

 

Peut-être par le premier ancêtre auquel je fus confronté dès mon plus jeune âge lorsque, étant alors un enfant, je visitai avec mes parents la Citadelle de Sisteron. Puissante, majestueuse, cette imprenable forteresse qui vit se succéder Bayard, François Ier, Henri IV, Bonaparte me propulsa et me projeta dans l’Histoire de France telle que la concevait Jacques Bainville (7). Cet ancêtre, c’était Jean-Joseph-Laurent de Gombert, le « Maire royaliste de Sisteron », c’était ainsi qu’il était connu au-delà des murs de sa cité. Fils de Jean-Baptiste Victor, lui-même Consul de Sisteron (8) et dernier seigneur de Verdaches (9), Jean-Joseph-Laurent épousa Marie-Anne de Samatan le 13 juin 1795. Les événements de la Révolution, somme toute peu suivis par la population sisteronnaise comme par les populations rurales de façon générale, furent vite oubliés pour refaire place à la ferveur royaliste. La population de Sisteron étant profondément royaliste, Jean-Joseph-Laurent étant l’héritier de la branche de Sisteron qui veilla pendant des siècles sur la ville comme sur ses habitants (10), la solution était toute trouvée : Il fut nommé Maire en 1808 et le resta jusqu’en 1820, ayant été démis de ses fonctions pendant les Cent Jours.

 

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Portrait de mon arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, Jean-Joseph-Laurent de Gombert.
Maire de Sisteron de 1808 à 1820 (Suspendu pendant les Cent Jours).
Source : Musée de la Citadelle de Sisteron.

 

C’est précisément au tout début du mois de mars de l’année 1815 que Jean-Joseph-Laurent s’illustra, écrivant l’une des plus belles pages de cette « Histoire intime et politique » au service de son Roi. Il fut en effet face à Napoléon Bonaparte, Empereur des Français, qui, fraîchement évadé de l’Ile d’Elbe, décida de reprendre son trône. Si Jean-Joseph-Laurent, qui avait prêté serment à Louis XVIII « d’arrêter l’usurpateur » avait réussi, c’est sans doute la face de l’Histoire de France qui en eût été changé. Il n’en fut rien, le dernier vol de l’Aigle Impérial put offrir à la postérité et à la France ce que le destin avait écrit pour lui : Un exceptionnel retour au pouvoir, une incroyable reconquête pour terminer dans une apothéose pleine de panache par le désastre de Waterloo. Beaucoup écrivirent au sujet de Jean-Joseph Laurent. Les uns en firent un faible qui se coucha devant Napoléon, les autres un bonapartiste fervent...Quant aux républicains, ils s’empressèrent d’enterrer son souvenir sauf pour rappeler dans une émission sur le service public que l’Empereur le fit mander pour l’admonester après s’être « régalé d’une omelette »...

 

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Plaque commémorative de la rencontre entre mon ancêtre et l’Empereur.
Source :
https://www.sisteron-buech.fr/fr/patrimoine-culturel/plaque-commemorative-napoleon

 

Vraiment, Jacques Bainville avait raison : « Ayant dit un nombre prodigieux de sottises, la Révolution en a fait dire encore plus. ».

Nous en parlâmes bien souvent avec François qui - avant d’être l’un des fondateurs de Lafautearousseau, est un Camarade, un ami, un parent me demanda de parler du souvenir de Jean-Joseph-Laurent... Alors par amitié, par amour également de la vérité (parce qu’un jour, il faut bien en finir avec les sottises), je décidai de laisser à LFAR le témoignage de mon ancêtre, Jean-Joseph-Laurent de Gombert (11), que les lecteurs retrouveront sous le lien suivant :


http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2021/08/03/memoires-de-royalistes- 6329795.html#more

 

Je redonnerai simplement au lecteur un extrait de l’avant-propos au témoignage de mon ancêtre :


Il faut savoir qu’à l’origine, Jean-Joseph-Laurent avait rédigé ce manuscrit, ces « mémoires » des Cent Jours à Sisteron pour que les générations futures sachent vraiment ce qu’il s’était passé et déterminer quelle attitude adopter si, confrontés à une situation similaire, nous devions prendre des décisions terribles pour nous comme pour les Sisteronnais. La réponse était en fait très simple : La voix à suivre était celle du Salut National, celle de la responsabilité, du Bien Commun.

De nombreuses années après les évènements de 1815, presque 30 ans plus tard, les responsables de la revue scientifique des « Annales des Basses-Alpes » demandèrent à mon ancêtre de publier son témoignage. C’est ce qu’il autorisa, en 1843. Un hommage lui est rendu, à lui pour sa remarquable conduite comme à sa décision de publier son témoignage, dans l’édition de 1918 de cette même revue des « Annales des Basses-Alpes » (cf. Annales des Basses-Alpes : Bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes de Haute Provence, 1er janvier 1918, pp. 303-327). Je terminerai par cette recommandation faite par le Préfet des Basses-Alpes à Sa Majesté Louis XVIII en 1816 sur l’attitude de mon ancêtre en 1815 face à Napoléon : « M. de Gombert est un des sujets les plus noblement dévoués au Roi, héritier de la probité, des vertus et de la loyauté de ses ancêtres ; pour lui, l’honneur n’est pas un vain mot. » (cf. Annales des Basses-Alpes, op. cit., p. 304, note n°2). Puisse le lecteur voyager comme l’enfant que j’étais a voyagé dans l’Histoire en lisant ce témoignage...

 

NOTES

1. Pour un ouvrage biographique complet, pour voir l’homme dans sa plénitude avec ses parts d’ombre et de lumière, voir GIOCANTI, Stéphane, Maurras Le chaos et l’ordre, Flammarion, Paris, 2008.

2. L’Action française Organe du nationalisme intégral, édition du 23 juillet 1934, p. 3.

3. BOREL d’HAUTERIVE, André, « Notice historique sur la Maison de GOMBERT, seigneurs de Château-Gombert, de Brianson, de Belle-Affaire, d’Authon, d’Entrepierres... », in Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines de l’Europe, édition de 1859, Henri plon, Paris, p. 234.

4. Pour un ouvrage complet sur la question de Notre Dame de Dromon, voir en ce sens RAMUS, Marilena et TERUGGI, Francesco, Le Fil du Ciel Dromon, Chardavon et l’énigme de THEOPOLI, Giuliano Ladolfi Editore, Borgomanero, 2019.

5. Pour un ouvrage exhaustif sur Saint-Geniez de Dromon, son histoire, comme sur l’histoire de la famille, se reporter à la deuxième édition d’Histoire de Saint-Geniez de Dromon, dont l’écriture est en cours.

6. Tous les développements sur cette question seront également publiés dans Histoire de Saint-Geniez de Dromon, deuxième édition.

7. Voir BAINVILLE, Jacques, Histoire de France, Tallandier, collection « Texto », Paris, 2007. Du même auteur, on notera avec intérêt son livre sur Napoléon.

8. La fonction de Consul, en Provence, directement inspiré du modèle italien des Consuls de Venise, Florence etc...existait déjà en Provence dès le XIIème siècle pour se généraliser au siècle suivant. Sisteron se dota d’un Consul assez tôt (en plus d’un Syndic, qui fut ensuite absorbé par le Consul) et compta nombre de mes ancêtres au rang desquels : Bertrand de Gombert, (1422-1489), seigneur de Dromon, Syndic de Sisteron ; son fils François de Gombert, (1465-1529), premier seigneur de Verdaches, Premier Consul de Sisteron ; puis François de Gombert, (1520-1591), fils du précédent, seigneur de Verdaches, Consul de Sisteron ; Joseph de Gombert, (1633-1719), arrière-petit-fils du précédent, seigneur de Verdaches, maintenu dans sa noblesse en 1667, Premier Consul de Sisteron ; Jean-Pierre de Gombert, (1704-1776), petit-fils du précédent, seigneur de Verdaches, Consul de Sisteron et enfin Jean-Baptiste Victor de Gombert, (1728-1796), fils du précédent, seigneur de Verdaches, Consul de Sisteron.

9. Cette seigneurie fut une possession familiale à partir de l’an 1500 jusqu’à la Révolution. Elle fut offerte à mon ancêtre François de Gombert pour son mariage avec Marguerite de Castelan. Le père de la mariée, Maître d’Hôtel du Roi Louis XII de France, offrit à son gendre la seigneurie de Verdaches.

10. Outre les fonctions de Syndic et de Consul, mes ancêtres occupèrent celle d’Ecuyer de Sisteron, en voici une liste exhaustive : François de Gombert, (1520-1591), seigneur de Verdaches, Consul de Sisteron ; Pierre de Gombert, (1555-1612), fils du précédent, seigneur de Verdaches, Juge Royal de Sisteron ; Joseph de Gombert, (1633-1719), petit-fils du précédent, seigneur de Verdaches, maintenu dans sa noblesse en 1667, Premier Consul de Sisteron ; Blaise-Joseph de Gombert, (1664-1718), fils du précédent, Cadet du Régiment de Navarre puis Lieutenant du Régiment des Milices de Provence ; et enfin Jean-Pierre de Gombert, (1704-1776), fils du précédent, seigneur de Verdaches, Consul de Sisteron.

11. « Napoléon à Sisteron », témoignage de Jean-Joseph-Laurent de GOMBERT sur l’arrivée de l’Empereur, leur rencontre, entretien, à Sisteron pendant les Cent Jours, archives familiales. Une reproduction in extenso du dit témoignage existe dans les « Annales historiques des Basses-Alpes », édition de 1843, soulignée et reprise en référence par M. le Professeur Régis BERTRAND in « De l’itinéraire de Buonaparte à la route Napoléon :
Mémoire écrite et monuments commémoratifs ». Un résumé de ce témoignage existe dans la « Revue du Lyonnais », 1844, pp. 263-268.

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