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Nos lecteurs ont la parole... - Page 4

  • la démocratie idéologique, c'est l'absurde et c’est l’art du mensonge

                Nous publions ci-dessous, in extenso, pour que tous nos visiteurs puissent les lire, deux commentaires d’Antiquus, excellents, comme ils le sont très souvent, parce que, sur chacun des deux sujets traités, ils nous ramènent à l’essentiel qui est bien notre critique de la démocratie idéologique.

     

                Même si le second commentaire conteste l’actualité de notre première réaction dans l’affaire de Tibehirine, nous ne pouvons qu’être d’accord avec l’analyse qu’il en donne et, naturellement, avec sa conclusion.

     

                Que ce soit en matière d’art, ou en matière de politique étrangère, la démocratie idéologique est bien le règne de l’absurde et du mensonge, qui, l’un et l’autre, détruisent notre nation et, par delà, notre civilisation.

     

                Voici donc ces deux commentaires :

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...": Une défense des Croisades, par Chateaubriand...(6/6)

    "Ce qui fait la complexité de l'Histoire c'est que les évènement sortent sans fin les uns des autres". Cette remarque de Jacques Bainville peut s'appliquer aussi, de toute évidence, aux idées, et notre débat ouvert à partir de la question d'Ariane en est une nouvelle preuve. Elle a suscité une telle réflexion, laquelle a nécessité à son tour de telles mises au point, que nous en sommes maintenant à la sixième note sur ce sujet et ses extensions ! 

    Nous allons donc - temporairement...  - conclure cette première série de réflexions, la réunir en un Pdf pour la commodité de la consultation, et livrer le tout au(x) lecteur(s)...

    Nous le ferons en donnant la parole à Chateaubriand, pour un texte qui semble écrit aujourd'hui, à d'infimes détails près, ce qui montre bien que les problématiques actuelles ne sont pas nouvelles, et que le(s) problème(s) que nous avons aujourd'hui date(nt) de fort longtemps...

    Nous en étions, dans notre prise de recul, au rappel des deux agressions militaires de l'Islam contre l'Europe (la première à partir de 711 par l'Espagne, et la seconde à partir de 1353 par la Grèce).

    Entre ces deux assauts s'intercalent ce que l'on peut considérer comme une contre attaque des Européens.

    C'est du moins ainsi que le voit Chateaubriand. Encore une fois, on croirait le texte écrit d'hier. A vos réactions.....

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...(5/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...

    Voyons maintenant la deuxième invasion militaire d'une partie de l'Europe par l'Islam. Il ne s'agit plus là de Berbères d'Afrique du Nord, mais de Turcs, venus d'Asie centrale; et l'attaque n'est plus par le sud-ouest, mais par le sud-est. 

    Dès 1353, la dynastie turque des Ottomans, fondée par Osman 1er, prit pied en Europe: c'est en effet cette année-là que, follement appelé à l'aide par l'usurpateur Jean Cantacuzène, et jouant pleinement des dissensions suicidaires des chrétiens de l'Empire byzantin, le successeur d'Osman fonda à Gallipoli le premier établissement turc en Europe.

    empire turc en europe 1.JPG
    Drapeau de la dynastie Ottomane (ci dessus) et de la flotte turque (ci dessous)
     
    empire turc en europe 2.JPG

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...(4/6) : Les rapports Islam/Europe depuis treize siècles...

    Arrivés à ce stade de notre réflexion, il n'est peut-être pas inutile de marquer une pause, afin de permettre à d'autres lecteurs de réagir et donc de nourrir le débat; mais afin, aussi, de prendre du recul et de réfléchir à ce que sont, au fond, les rapports entre l'Islam et l'Europe (la Chrétienté, l'Occident....) depuis treize siècles.

     

    On a souvent tendance, en effet, à s'imaginer que ce que l'on vit est inédit; que c'est la première fois que le problème se pose, et que l'on est la première génération à être confrontée à tel ou tel problème...

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?" (3/6) : Un exemple historique, l'expulsion des Morisques d'Espagne en 1609...

    Nous avons donc vu (première note) qu'il fallait d'abord savoir exactement ce que nous voulions faire, et quel avenir nous voulions (ou ne voulions pas...) pour notre pays; et conclu que, une fois la volonté politique arrêtée, les modalités techniques de mise en oeuvre restent, naturellement, à fixer, sans que, pour autant, les difficultés soient insurmontables. 

    Nous avons vu ensuite (deuxième note) où en était la législation actuelle (que l'on peut d'ailleurs modifier, dans le sens de l'adoucissement ou au contraire du durcissement...), et que les textes en vigueur prévoyaient déjà la possibilité d'une déchéance (et d'une expulsion). La conclusion, à la fin de notre deuxième note, étant, comme à la fin de la première : si un Etat de droit décide de déchoir et d'expulser, il en a la possibilité et les moyens; c'est avant tout une question de volonté politique.

    Cette troisième note évoque un exemple historique : l'expulsion des Morisques d'Espagne, qui fut promulguée par Philippe III d'Espagne, le 22 septembre 1609. Et l'on verra que, sur deux points tout à fait majeurs, parler de l'Espagne de 1609 c'est parler de la France aujourd'hui, tant sont grandes, au point d'en être surprenantes, les ressemblances entre les deux situations (1). 

    morisques.jpg

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  • Nicolas II officiellement « réhabilité » : un jour, n’en doutons pas, ce sera le tour de Louis XVI…..

                Plusieurs messages sur maisaquilafaute, après (et à propos de) nos trois notes sur L'évasion de Louis XVI (1).

                Il est un peu délicat de répondre à plusieurs personnes en même temps, mais ces messages se référant tous au même sujet, ayant la même tonalité d'ensemble et, surtout, appelant tous la même réponse, nous avons jugé préférable de condenser et récapituler dans une même courte réflexion ce que chacun de ces messages nous a inspiré.

                Que chacun(e) d'entre vous continue à s'exprimer sur ce blog. Soit par des commentaires, qui ont l'avantage d'être imédiatement consultables par l'ensemble des lecteurs, et peuvent ainsi à leur tour susciter d'autres commentaires; soit par des messages sur maisaquilafaute (rubrique nous contacter, en haut à gauche de la page d'accueil), qui permettent de poser des questions plus précises sur tel ou tel point, et qui ne relèvent pas d'un commentaire stricto sensu.

                Dans un cas comme dans l'autre, ce blog est un espace de liberté et d'échange(s), et nous remercions toutes celles et tous ceux qui le font vivre et bouger avec leurs réflexions....

                Les messages reçus ont, tous, trait au processus de réhabilitation de la Famille Impériale de Russie; et ils posent, tous, la même question : cela se verra-t-il, à la fin des fins, en France ?.....

    LOUIS XVI.jpg

    (1) : Voir les trois notes "L'évasion de Louis XVI ? Quelle soirée sur France 2 !....." et les deux notes "L'évasion de Louis XVI" : Y aura-t-il un "avant" et un "après" ?....." dans la Catégorie "Révolution, République, Totalitarisme".

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?...(2/-6) : Peut-on être déchu de la nationalité française ? Que dit la Loi actuelle ?...

    Poursuivons maintenant notre débat motivé par la question d'Ariane "Les expulser, oui, mais pour où ?"

    Et consultons les textes de Lois en vigueur: nous verrons alors que la possibilité de déchoir existe bien, dès maintenant, dans les textes. Des textes que, de toutes façons, les députés peuvent faire évoluer, dans un sens ou dans l'autre (durcissement, ou adoucissement).

    On en revient donc bien à ce que nous disions: d'abord et avant tout se pose la question de la volonté politique. La situation actuelle nous satisfait-elle ? Quelle France voulons-nous, quelles lois voulons-nous, quelles modifications éventuelles des textes en vigueur sommes-nous prêts à proposer et à appuyer ?

    Voici ce que, pour l'instant, disent les textes (source: Nathalie BRUNETTI et Carine DIEBOLT - "Droit pour Tous" - 2007) :

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  • "Les expulser, oui, mais pour où ?"...(1/6): Début de réponse à une bonne question...

    Quand nous avons créé ce blog, c’était pour tout un ensemble de raisons, que nous n’allons pas récapituler ici; mais c’était aussi avec cette intention bien précise : créer un espace de liberté, de rencontre positive et d’enrichissement mutuel, naissant de la libre confrontation des points de vue, et permettant à chacun de toujours mieux préciser sa pensée, en la frottant à celle des autres, et à leurs objections.

    Un échange amical, donc, marchant dans les deux sens. Nous n’avons pas, en effet,  la prétention d’avoir la science infuse, et de tout savoir sur tous les sujets. Et nous ne somme pas là pour asséner des vérités définitives à des gens qui seraient obligés de les accepter en bloc, et surtout de les recevoir sans les discuter….

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  • A la base de ce que nous sommes ? D'abord et avant tout les Celtes !.....

                Oserons-nous dire que les grands esprits se rencontrent ? Antiquus a réagi à la première note (du 4 mars) sur les origines de la Famille de France et, dans son commentaire, il souhaite réhabiliter, en quelque sorte, les Celtes (1).

                Nous sommes tout à fait d'accord avec lui sur la grandeur et la qualité de la culture celtique. En général, et aussi à l'époque où elle s'est trouvée être mise en contact avec Rome. Et si nous avons cité le paragraphe où Jacques Bainville fait l'éloge de la romanisation de la Gaule ce n'est nullement parce que nous penserions -ni Bainville, du reste...- que, pour faire court, les Romains ont tout apporté à un peuple qui ne savait rien, n'avait rien, n'était rien....

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  • Ephémérides : Merci, "arthur", et rendons à Jean II ce qui est à Jean II.....

                Deuxième étourderie de notre part (ou inattention, ou faute de frappe ou manque de re-lecture... comme on voudra...). Nous avions déjà laissé passer une faute de frappe dans l'Ephéméride du 31 Octobre consacré à Léonard de Vinci au Clos Lucé. Ce qui nous avait valu aussitôt l'amical message suivant d'"Olivier" : "Selon votre article, Léonard de Vinci serait né en 1542, et se serait installé au Clos Lucé en 1516... très fort ce Léonard! (Ceci dit, l'article m'a beaucoup plu)".

                Arrivés presque à la moitié de nos Ephémérides (puisque nous les avons commencées le premier septembre) voici que nous récidivons en commettant une deuxième faute de frappe, certes non tragique, en rétrogradant (si l'on peut dire...) Jean II le bon en Jean Ier. Très amicalement, comme Olivier en novembre, "arthur" nous le signale : "Chers amis, Permettez au modeste historien que je suis de rectifier une erreur de chiffre concernant le Roi Jean. Lorsqu'Etienne Marcel a fait son coup de force contre le Dauphin, le Roi n'était pas Jean 1er mais Jean II, dit Jean le Bon."

                Merci à nos deux lecteurs pour leur intérêt et leur attention, mais aussi pour leur bienveillance, puisqu'ils ne nous jettent pas la pierre, tout en nous rendant le service de nous permettre de corriger ce qui doit l'être.

                Encore six mois d'Ephémérides ! Et combien d'étourderies ? La réponse dans les prochains numéros. Mais tant qu'on aura des "Arthur" et des "Olivier" !.....

  • De ce que dit Sébasto à ce que fait Christophe Barbier....

                Nous voulions parler d'un récent édito/vidéo de Chritophe Barbier, dans l'Express : celui du 3 février, Un anti communisme stupide

                Et voilà que Sébasto envoie un commentaire qui, sur le fond, nous y amène directement :

                "Interdit sur certains sujets, le « révisionnisme » est en revanche admis sans problème lorsqu'il s'agit de relativiser les génocides vendéen et ukrainien, ou encore de discuter du chiffre des victimes du stalinisme.
                Après avoir reconnu que les guerres de Vendée ont donné lieu à des "atrocités injustifiables ", François Lebrun, dans son livre "Guerre de Vendée", pose ainsi la question : " Faut-il pour autant les utiliser aujourd'hui de façon manichéenne, afin de magnifier les victimes et de jeter l'exécration sur les bourreaux, vrais ou supposés ? "

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  • Dialogue avec les lecteurs..... Sébasto dit vrai....

              En guise de commentaire à la note sur l'ahurissant et pernicieux rapport de la Halde (note des 30 et 31 décembre), Sébasto écrit :

              "L'article 11 de la Déclaration des Droits de l'homme fait de « la libre communication des idées et des opinions un des droits les plus précieux de l'homme ».

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  • A propos de notre note sur le génocide arménien et « les turcs, ces nazis qui ont réussi… » (1) : réponse à Nag….

                  Il est vrai que nous nous sommes fait plaisir en nous défoulant un bon coup : "les turcs sont des nazis qui ont réussi" et "Hitler en a rêvé, les turcs l'ont fait". Nag se déclare « scandalisé » par ce qu’il appelle  nos « raccourcis et interprétations » et nous assène : « vous remettez l’Histoire en question ».

                  Suivent quatre lignes d’imprécation fourre-tout (2) d’où il semble ressortir que tout le monde a « génocidé » (ce qui n’est pas faux, et que nous n’avons aucun mal à accepter totalement) ; que notre "visison étroite" (?) de l'Histoire rejoint celle des nazis et que, en suivant notre raisonnement, il faudrait remettre en question l’attitude des principaux peuple européens : et là, pour nous, c’est du grand n’importe quoi, désolés Nag.

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  • Nos lecteurs ont du talent.....

              Nos lecteurs commentent de plus en plus les notes du blog, et c'est très bien ainsi; nous ne pouvons que les remercier et les encourager à commenter encore davantage, et toujours plus.

              Les remercier, car ils font ainsi vivre le blog, en le rendant plus dynamique; les encourager à continuer, aussi, car ils contribuent par là même à faire avancer notre réflexion, en nous obligeant à approfondir nos propos. Le débat s'enrichit ainsi de l'apport de plusieurs points de vue, ce qui permet au final de préciser, de compléter, d'étayer une position qui, devenant en quelque sorte commune, n'en acquiert que plus de consistance et -le plus important- de justesse.

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  • Réponse à une réponse...

              Un lecteur attentif me fait l'amitié de rédiger un commentaire sur mon billet traitant du Kosovo et de la Serbie; dans une démonstration argumentée et rigoureuse -où pointe l'érudition...- il me fait pas moins de sept remarques, toutes basées sur des faits historiques indéniables; je lui donne acte bien volontiers de tout ce qu'il me dit, d'autant plus que, n'étant pas historien, et n'en ayant pas les compétences, mon propos n'était pas d'écrire un article "historique" ni d'épuiser le sujet ( après le lecteur?...). Tout le monde sait bien que, dans les Balkans compliqués, la situation est depuis fort longtemps proche de l'inextricable.... ; et je connais mieux les mondes ibériques, issus de l'Espagne et du Portugal, que ceux de l'Europe centrale et orientale; à défaut de bien les connaître, j'ai pour ceux-ci l'estime et l'intérêt que l'on peut porter à de vieilles Nations, où la France a toujours été perçue -et l'est encore- avec amitié... Mon but était et reste tout autre: je m'intéresse au "mental" de l'Europe, et je raisonne du point de vue de notre mémoire commune, de notre inconscient collectif commun.

              Aujourd'hui, où d'une certaine façon la menace musulmane contre l'Europe peut paraître reprendre quelque consistance, je faisais référence aux deux époques où l'Islam a attaqué militairement notre Europe chrétienne. La première attaque , par l'Ouest en 711, fut immédiatement repoussée par les Francs de Charles Martel et, plus difficilement (il leur fallut huit siècles!) par les espagnols et les portugais, qui ont trouvé dans cette lutte séculaire l'occasion de refonder leur nationalité; la deuxième attaque eut lieu à l'Est, à partir de la conquête de Constantinople en 1453; elle devait mener les musulmans aux portes de Vienne, où elle ne fut définitivement stoppée qu'en 1683: mais pendant ces deux cent trente années, les peuples européens conquis ont fait tout ce qu'ils ont pu pour résister, ne pas renier leur Foi ni se renier eux-mêmes; certains ont cédé, mais dans l'ensemble la majorité est restée fidèle face aux envahisseurs, et c'est à cet héroïsme que j'ai voulu rendre hommage; c'est pour cet immense service rendu à l'Europe et à sa Liberté -donc à nous aussi...- que j'ai voulu témoigner la gratitude de tout européen lucide, heureux de n'être pas tombé dans la situation des égyptiens d'aujourd'hui (étrangers dans leur propre pays) ou des chrétiens en terre d'Islam, qui n'ont le chois qu'entre trois possibilités: la conversion forcée à l'Islam, l'exil, ou la "dhimmitude", c'est à dire un statut inférieur, une vie "bouchée"...

              On ne peut que constater qu'aujourd'hui, à Constantinople, il n'y a plus de chrétiens, alors que ceux-ci représentaient 100% de la population lors de la conquête musulmane; osons la formule: les Turcs, c'est Hitler qui a réussi! Peut-être qu'après avoir rendu ce service immense à l'Europe, les Serbes (et les Autrichiens, et d'autres...) ont commis des erreurs et des horreurs; c'est même probable; qui n'en a pas commis? héritier et dépositaire de la révolution et de ses abominations, le président français était peu fondé à donner des leçons de morale aux serbes sur le Kosovo, et à approuver une monstrueuse punition collective!

              On voit donc bien que je ne me place pas du tout du strict point de vue "historique" et du genre "qui a tort/qui a raison?", mais du point de vue d'un simple citoyen de l'Europe, restée libre de l'asservissement dans lequel sont tombées ces grandes cultures antiques: la Perse, la Syrie, l'Egypte, la Phénicie, l'Assyrie...; on voit ce qu'elles sont devenues, sous l'éteignoir de l'Islam! J'ai conscience que ce point de vue et ce jugement sont partiels, et donc forcément excessifs et, en partie, partiaux; et qu'ils ne peuvent prétendre (c'est pourquoi ils n'y prétendent pas) à la rigueur scientifique. Il n'en demeure pas moins qu'ils ne peuvent pas être dénués d'une part de justesse et de vérité, et je maintiens donc qu'aux Serbes, qui nous ont tant aidé, on ne pouvait pas "faire ça": pas "çà", pas "comme ça"!......Le mot de la fin reviendra d'ailleurs à mon interlocuteur, puisqu'aussi bien il nous met tous d'accord de ce point de vue là en concluant son intervention (c'en sont les derniers mots) en évoquant, à propos du peuple serbe, "la hauteur de son héroïsme"...