Premier septembre 2012, Martigues, dans le Jardin de sa maison du Chemin de Paradis : tout l'Hommage à Charles Maurras, en un seul PDF
Voici, réuni en un seul PDF, l'ensemble de ce qui s'est passé à Martigues, le premier septembre 2012, lors de la Journée d'Hommage à Charles Maurras à l'occasion du soixantième anniversaire de son décès. Et qui fut, non pas un "devoir de mémoire", mais "un bonheur de mémoire", comme le disait Jean-Marc Varaut : Dominique Paoli avait eu, en effet, l'heureuse idée de faire commencer l'après-midi par l'écoute d'une bande sonore, dans laquelle Jean-Marc Varaut, en 2002, évoquait Maurras : très émouvantes, ces quelques minutes passées en compagnie de notre ami, ainsi présent parmi nous, par-delà le temps et l'espace, furent l'un des temps forts de cet après-midi.
Vous trouverez dans ce PDF :
1. D'abord, le récapitualtif des cinq "moments" de la Journée : à Roquevaire, pour commencer (devant le caveau familial des Maurras); puis à Martigues : la Messe, dans l'église de la Madeleine (la "cathédrale", comme on dit volontiers là-bas); le repas au bord de l'eau, quai Brescon, le quai natal de Charles Maurras; les interventions dans le jardin de la maison de Maurras, au Chemin de Paradis; enfin, clôturant cette magnifique journée, le verre de l'amitié, Villa Khariessa. (cette première partie intègre également notre Album Une visite chez Charles Maurras... , de 95 photos, pour l'instant).
2. Ensuite, la vidéo - d'excellente qualité - qui permet d'entendre et de voir les quatre intervenants réunis par Nicole Mauuras et Dominique Paoli - qui présentait - à partir de 15 heures, dans le Jardin qui s'est souvenu : Jacques Trémolet de Villers, Jean-Baptiste Donnier, Jean-François Mattéi et Hilaire de Crémiers.
3. Egalement, le texte intégral de l'intervention de Jean-François Mattéi, sobrement intitulé Le chemin de paradis, et illustré de trois aquarelles (parmi la vingtaine qu'il a réalisées pour l'occasion) peintes par Gernez pour l'édition de luxe des contes du Chemin de Paradis.
4. Enfin, un reportage photo de la journée : trente photos, comme il y a "trente beautés de Martigues", pour Maurras.
Bonne lecture !










Henri Houssaye, au moment où il est mort, mettait la dernière main à un livre qui devait être intitulé Iéna. Comme il sentait que la vie l'abandonnait, il dit un jour à notre confrère Louis Madelin ce joli mot mélancolique : "Je n'irai même pas jusqu'à Berlin !" Louis Madelin y est allé à sa place et tous ses lecteurs y vont de bon coeur avec lui, car Iéna, Auerstadt, l'anéantissement de la Prusse, ce sont quelques unes des meilleures pages de notre épopée nationale. De toutes les victoires françaises, Iéna est une de celles dont nous aimons le mieux nous souvenir, surtout depuis que nous avons eu Sedan.
