Les Eveilleurs communiquent...
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Belle et bonne manif (Les Normaux) devant Ouest France :
Laurent Neuveu, journaliste de la-dite feuille, a osé écrire - dans un article publié le 01/10/24 sur son site - "meurtrier", au lieu du seul terme qui convient : assassin; et, aggravant son cas, que ce vulgaire assassin était "normand" alors qu’il s’agit en réalité d’un algérien !
Le 8 décembre est la fête de l'Immaculée conception, célébrant la Vierge Marie.
• Même - et surtout ! - dans le Système qui se veut la Nouvelle Religion républicaine, pensée, voulue et imposée contre et en haine de la foi chrétienne traditionnelle de nos ancêtres, depuis 2.000 ans, sur cette vieille terre qui n'est pas un terrain vague"...
• Même - et surtout - si c'est l'actuel chef de cette Nouvelle Religion anti-chrétienne - "Robespierre en costard" - qui a décidé de cette date...
...il faudrait être singulièrement mal-voyant ou mal-comprenant pour ne pas voir la douce ironie venue d'En-Haut dans ce signe qu'est le retour des cloches dans notre Notre-Dame, Notre-Dame de Paris, Notre-Dame de tous les Français...
1666 : Début de la construction du Canal du Midi
1337 : Début de la Guerre de Cent Ans
À l'abbaye de Westminster, le roi d'Angleterre, Édouard III, revendique officiellement le Trône de France, le contestant à son cousin, Philippe VI de Valois.
Édouard III est le fils d'Isabelle (fille du roi de France Philippe le Bel) et du défunt roi d'Angleterre, Édouard II. Et les trois garçons du même Philippe le Bel viennent de régner, l'un après l'autre, sans postérité mâle : d'abord Louis X (le Hutin), puis Philippe V (le Long), en fin Charles IV (le Beau, comme son père).
Comme le dit Jacques Bainville ce fut la fin de "l'honorable famille capétienne" qui, pendant 340 avait régné "de père en fils" (voir l'Éphéméride du 1er février).
Mais c'est Philippe VI de Valois que les Grands du royaume ont choisi pour roi, en 1328, à la mort de Charles IV, et non le fils d'Isabelle, pourtant plus proche héritier de son grand-père que Philippe, un lointain cousin : les Français ne voulaient pas d'un roi Anglais, et là est la cause réelle et profonde de cette Guerre de Cent ans.
Le roi d'Angleterre aura, cependant, attendu presque dix ans avant de manifester publiquement sa contestation.
Les prétentions anglaises ne se concrétiseront finalement jamais, mais les choses semblèrent parfois désespérées pour la France, comme le montre la carte ci contre : au début de son règne, Charles VII Le Victorieux ou Le Bien Servi, qui devait justement mettre fin à cette Guerre, ne semblait vraiment pas en mesure de l'emporter.
C'est quoi, cette ministresse de la Santé qui nous fatigue avec son "Pas question de toucher à l'AME" ?
Nous, on a un accident ou un problème quelconque, on paye le médecin en partie et la franchise sur les boîtes de médicaments... Un envahisseur (baptisé "migrant") se blesse (pauvre chou !) ou veut se faire recoller les oreilles, ou demande "la totale" dentaire : pour lui, les soins sont gratuits !
SYSTÈME POURRI !
Quant à Geneviève Darrieussecq, la ministresse, si elle - et ceux qui pensent comme elle - veulent payer "sur leur cassette personnelle" les soins des envahisseurs, qu'elle le fasse ! On n'y voit aucun inconvénient !
Mais qu'elle cesse de nous casser les oreilles avec sa moraline à deux balles !...
A l’affiche : Belle enfant , un film de Jim, avec Marine Bohin (Emily), Baptiste Lecaplain (Gabin)
Belle enfant…Belle nullité, durant laquelle on s’ennuie à mourir, même si, quand la mort arrive on peut concéder de très belles photos et une bonne bande son.
L’ennui est d’ailleurs peut-être le véritable sujet du film… cette mère, célibataire, et ses trois filles dont le seul sujet de conversation porte sur leurs « aventures », que l’on ne peut même pas qualifier d’ « amoureuses ».
J’entends qu’il s’agit d’un premier long-métrage de Thierry Terrasson, à savoir Jim, un auteur de BD.
A part Tintin, évidemment, et Astérix, je ne lis pratiquement jamais de BD, et ce n’est pas cette Belle enfant qui va me convertir.
1789 : Sur Versailles habité par le roi régnant, le soleil se lève pour la dernière fois...
1682 : Louis XIV s'installe définitivement à Versailles, le Roi, la Cour et le gouvernement quittent le Louvre et Saint-Germain-en-Laye pour s'installer là où, pendant tout son règne, le Roi-Soleil, va faire de son château un triple poème humaniste, politique et chrétien...
Pendant un peu plus d'un siècle, jusqu'au 6 octobre 1789, Versailles abritera le roi régnant et sa famille, ne cessant d'être le siège du pouvoir que durant la courte éclipse de la Régence, de 1715 - date de la mort de Louis XIV - au 15 juin 1722 - date du retour de Louis XV dans le cher château de son enfance...
Le 6 octobre 1789, à 13h25, le cortège royal quittera Versailles pour Paris. Louis XVI demandera, en partant, à La Tour du Pin, ministre de la Guerre, de lui "préserver son pauvre Versailles"...
Pourtant, Chateaubriand l'a bien dit : "Le trône, si près de sa chute, semblait n’avoir jamais été plus solide."; et "Louis XVI a pu vingt fois sauver sa couronne et sa vie..." (Mémoires d'Outre-Tombe, Livre Quatrième).
Que s'est-il donc passé, ce 6 octobre 1789, pour que Louis XVI accepte de se laisser emmener de force hors de son palais, pour n'y plus jamais revenir, et connaître le destin que l'on sait ?
On serait tenté de répondre : presque rien.
Sauf que Louis XVI, dans son obsession rousseauiste à ne voir que des "hommes bons" partout, et dans son refus persistant de faire usage de la force légitime, se refusa, ce jour-là comme les autres, à agir en roi, faisant acte d'autorité, et laissa la place libre à l'émeute de quelques centaines seulement d'agitateurs, alors que le peuple de France, aux dires de l'historien Alain Decaux, était de "vingt-six millions de royalistes"...
En 1789, la France était la première puissance du monde et, bien que suivie de près par l'Angleterre, elle disposait de la prééminence absolue, dans les domaines démographiques et économiques, militaires, culturels. Elle était "la grande Nation", et démographiquement parlant, si l'on peut dire, "la Chine de l'Europe".
Cependant, la révolution industrielle venant tout juste de commencer, elle était encore, essentiellement, un pays agricole, et les masses étaient paysannes, donc très concernées par les aléas climatiques.
Or, l'année 1789 fut très mauvaise, de ce point de vue : un hiver très rigoureux, et, au printemps et durant l'été, de mauvaises récoltes. La disette régna donc à Paris (illustration : Louis XVI distribuant des aumônes aux pauvres de Versailles, hiver 1788).
Le 5 octobre, un groupe de femmes décida de se rendre à Versailles. Après quatre heures de marche, sous la pluie, les Parisiennes arrivèrent finalement sous les grilles du château. Un petit groupe se rendit à l’Assemblée constituante afin d’y faire une déclaration, et un premier affrontement se déroula à coup de pierres entre les femmes et les gardes de Versailles. Louis XVI, qui avait été prévenu alors qu’il chassait, rentra à Versailles en toute hâte. Le commandant des gardes du corps décida alors de laisser passer une délégation, composée de six femmes désarmées. Le roi, touché par la détresse des Parisiennes, accepta alors de distribuer de la farine dans la capitale. Les femmes se retirèrent soulagées, criant "Vive le roi !".
Mais le 6 octobre, alors que le calme semblait être rétabli, une foule de quelques centaines d'émeutiers arriva après minuit à Versailles; vers six heures du matin, ils décidèrent d’envahir le château. Alors que les émeutiers cherchaient la chambre de la reine, tuant deux serviteurs, Marie Antoinette, réveillée en sursaut, se réfugia dans les appartements du roi. Au même moment, la foule massée sous les murs du château acclamait - comme par hasard - le duc d’Orléans. On sait que le cousin du roi le détestait, souhaitait ouvertement le remplacer sur le trône, et fomentait des émeutes contre lui. Des témoins oculaires rapportent que des hommes, même, s'étaient grossièrement déguisés en femmes pour exciter la petite foule...
Insultant d'abord la reine, cette petite foule réclama que le roi se rendît à Paris. Le couple royal, accompagné par La Fayette, apparut alors au balcon de la Cour de marbre (ci contre), parvenant tant bien que mal à calmer les insurgés. Puis Louis XVI, après avoir longtemps hésité, et au lieu de réagir vigoureusement, accepta finalement de se rendre à Paris, où la famille royale arriva dans l'après-midi, après avoir quitté le palais à 13h25...
Le roi fut - bien - accueilli par le maire, Bailly, qui lui remit les clefs de la ville sous les acclamations des Parisiens, et s’installa avec sa famille aux Tuileries. Mais il y était, de fait, prisonnier, même si, à de multiples occasions, il aurait pu, par la suite, se sortir du mauvais pas où l'avait placé sa trop grande confiance en la bonté humaine ...
Mieux que de longs discours, la lecture des deux courts textes suivants de Jacques Bainville éclairera - comme d'habitude avec cet immense historien - sur les raisons profondes de la catastrophe finale que fut la Révolution :
1. L'erreur intériorisé de Louis XVI : ne pas croire au mal, croire que "l'homme nait bon", être, en somme, non pas "rousseauiste" - puisque Rousseau n'a jamais formulé de théorie philosophique ou politique - mais, si l'on peut dire, "rousseauisé" :
2. Louis XVI, auteur de la Révolution : tel est le titre du chapitre VI du dernier livre de Jacques Bainville, Les moments décisifs de l'Histoire de France :
Louis XVI auteur de la Révolution (I)
Louis XVI auteur de la Révolution (II)
Louis XVI auteur de la Révolution (III)
À ces deux textes de Bainville, on pourra jouter, avec profit, la lecture du chapitre "Louis XVI" du court ouvrage écrit par Balzac en 1837, Rois de France :
1773 : Naissance du futur Louis-Philippe (ici, le roi entouré de ses cinq fils sortant par la grille d’honneur du château de Versailles, Horace Vernet, 1846)
105 Avant Jésus-Christ : les Cimbres et les Teutons détruisent deux armées romaines à Orange...
L'année 113 avant Jésus-Christ, de graves désordres climatiques se produisirent dans toute la région de l'actuel Jutland, entendue dans un sens très large, tout autour des régions sud de la mer Baltique.
Les populations de ces contrées, où la vie était déjà très difficile, décidèrent, alors, de les quitter pour toujours, et de migrer vers le sud, pour s'installer sous des cieux plus cléments, des climats moins rigoureux, dont les marchands, venus précisément du sud, avec leurs caravanes, leur avaient parlé...
Dès leur retour, ces marchands et les espions/informateurs qui les accompagnaient avaient bien informé le Sénat romain de cette formidable et inédite migration de population (on parle d'un million deux cent mille personnes au total, dont 3 à 400.000 combattants...), mais personne ne les prit au sérieux, et, d'une façon insensée, on laissa cette masse immense descendre, certes très lentement, vers le sud, et cela pendant plusieurs années...
Ce n'est qu'en 105 - huit ans de perdus !... - et lorsque cette masse arriva près d'Orange (alors appelée Arausio), après avoir massacré trois légions romaines déjà, que le Sénat et le peuple se rendirent enfin compte du danger mortel encouru par Rome...
C’est la rentrée, les Éveilleurs sont de retour et vous préparent de nouveaux événements pour cette année !
Afin de bien la commencer, nous vous donnons rendez-vous le 15 octobre au théâtre Montansier à Versailles ! Nous y recevrons Marguerite Stern qui viendra nous présenter son ouvrage Transmania sur les dérives de l'idéologie transgenre. Parue en avril dernier, cette enquête menée avec Dora Moutot suscite toujours de vives polémiques. L’extrême-gauche tente d’intimider ceux qui voudraient venir écouter ces deux femmes courageuses par des menaces et des violences, comme les attaques subies récemment par l’ISSEP. Les Eveilleurs sont heureux de donner la parole à Marguerite Stern, féministe au parcours atypique, qui saura nous éclairer sur les dangers du transgenrisme pour la société tout entière.
Alors n’hésitez pas, prenez vos places :
Je prends ma place |
L'avis d'Alexandre del Valle sur l'affrontement Iran/Israël :
Pour nous, c'est clair, aucune hésitation :
la destruction par Israël de l'arsenal pré-atomique et des forces militaires de la mollarchie terroriste d'Iran, serait la meilleure des choses;
un service rendu à l'humanité;
en même temps qu'un grand coup de main à la libération du grand peuple Perse, qui gémit sous cette dictature sanguinaire et qui ne mérite pas cette mollarchie obscurantiste, la Perse étant l'une des grandes civilisations de l'Humanité, depuis la nuit des temps...
C’est un cinquantenaire douloureux. Le 20 juillet 1974, des milliers de parachutistes turcs furent largués sur l’île de Chypre au mépris de sa souveraineté. Appuyés par l’aviation et la marine, les parachutistes remportèrent la victoire et les autorités turques décidèrent d’occuper, à l’Est de l’île, un tiers de son territoire. La partition dure toujours et on ne voit nullement ce qui pourrait y mettre un terme.
Deux faits majeurs sont à l’origine de cette guerre. Tout d’abord le traité de 1960 qui permit à Chypre d’accéder à l’indépendance. Il fut tripartite et signé par la Grande-Bretagne, Chypre et la Turquie. Par ce traité, la Grande-Bretagne reconnut l’indépendance de l’ile mais conservait des bases militaires. Chypre accéda à l’indépendance, accepta la présence de militaires britanniques sur son sol en zone extraterritoriale et s’engagea à respecter les droits de la population d’origine turque qui représentait entre 15 et 20% de la population totale. De son côté la Turquie se vit octroyer un droit de regard sur le respect de l’ordre constitutionnel et la sauvegarde de la communauté turque.
1896 : le Tsar Nicolas II est à Paris; il pose la première pierre du Pont Alexandre III (son père)
1285 : La paroisse Saint-Matthieu l'ancienne, de Perpignan, reçoit quatre épines de la couronne du Christ
C'est à sa mort, dans le Palais des rois de Majorque, à Perpignan, que Philippe le Hardi, qui les tenait de son père Louis IX (Saint Louis) confie ces reliques à la paroisse Saint-Matthieu, alors la plus proche du Palais. On l'appelle maintenant Saint-Matthieu l'ancienne car, en 1639, la ville étant assiégée par les troupes de Louis XIV, les Espagnols firent raser le monument et les maisons environnantes, afin que leur artillerie puisse atteindre les troupes françaises.
La nouvelle église de Saint-Mathieu (aujourd'hui, avec un seul "t") se trouve, maintenant, sur la rive gauche de la Basse, à Perpignan, et c'est elle qui conserve ces épines, que le roi Philippe III portait, auparavant, dans le pommeau de son épée.
La Couronne d'épines, conservée à Notre-Dame de Paris, ne conserve en effet plus que les joncs tressés de la couronne : toutes les épines furent confiées, au fur et à mesure, par Saint louis à diverses Institutions ou personnes privées, comme, en l'occurrence, son fils Philippe le Hardi.
Le reliquaire des quatre épines
http://histoireduroussillon.free.fr/Villages/Histoire/StMatthieu.php
Sur Versailles, habité par le roi régnant, le soleil se lève pour la dernière fois...
L' "entrée" vous donne les liens permettant de lire plusieurs excellents textes de notre ami Péroncel-Hugoz consacrés à cette époque.
Mais on y parle aussi de Bainville, expliquant l'erreur fatale de Louis-Philippe qui n'instaura pas le suffrage universel; et aussi du magnifique mouvement des royalistes sociaux au XIXème siècle, à l'occasion de la mort d'Albert de Mun : Villeneuve Bargemon, La Tour du Pin, Le Play... : un héritage dont nous pouvons légitimement être fiers...
Et vous y trouverez bien d'autres choses encore...
lafautearousseau
Des actes ! Des actes ! dit - avec raison - David Lisnard...
Qui ajoute :
"Ce dont le pays a besoin, c’est de la révolution libérale qui n’a jamais eu lieu en France", alors que le Système fait replonger le pays dans ce sado-fiscalisme mortifère qui la fait décrocher économiquement...
Tout ce que dit David Lisnard est bel et bon, mais pourquoi ne se rend-il pas compte que ce ce n'est pas ce qu'il appelle la "révolution libérale" dont la France a bien besoin; ou, alors, que ce qu'il appelle la "révolution libérale" c'est la "révolution des libertés", qui ne peut être que la "révolution royale" :
• la vraie démocratie par la pratique, "en bas", des libertés concrètes;
• et la vraie république, par ces 36.000 républiques françaises, protégées, "en haut" par la Royauté absolument indépendante de tout (Argent, Parti, Étranger, Groupes de Pression...).
En bas, les Libertés, en haut l'Autorité : voilà ce qu'il nous faut...
Cela s'appelle la Royauté, celle qui a fait la France et qui en a fait la première puissance du monde sous Louis XVI...
https://www.lopinion.fr/politique/des-actes-des-actes-par-david-lisnard
...ni "boire un vin chaud" ensuite...