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république - Page 4

  • Florence Aubenas le raconte elle aussi, à sa façon: l'échec du merveilleux système.....

                Quand on écoute Florence Aubenas présenter son bouquin à la radio, et quand on le lit, ce bouquin, on est assez consterné du tableau qui nous est proposé. Et une question vient à l'esprit, lorsqu'on découvre avec la journaliste, ces horreurs qu'elle décrit de l'intérieur et par le menu: mais dans quelle société, dans quel système sommes-nous, qui ont accouché de situations pareilles ?

                 Si on se réfère aux promesses des origines, de la Grande Révolution de 1789, qui devait apporter -entre autres merveilles- "le bonheur", cette "idée neuve en Europe", qu'est-ce qui a foiré, pour qu'on en soit arrivé là, aujourd'hui, deux siècles après ?

                Et 130 ans après que la République idéologique, héritière évidemment directe de ces immortels principes, soit installée ? Et disposant, bien entendu, de tous les pouvoirs, pour appliquer ces fameux principes édictés par la Révolution libératrice et émancipatrice, principes parfaits nous assurait-on, puisque basés sur la Raison ?

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    Florence Aubenas décrit une réalité.
    Mais comment une telle réalité est-elle encore possible,
     si longtemps après qu'on ait edicté, puis appliqué, des principes aussi grandioses et aussi immortels que ceux de 89 ?....
    Tu jugeras de l'arbre à ses fruits:
    Soit la situation actuelle est le fruit -pourri- de l'arbre, et donc l'arbre est mauvais;
    soit l'arbre -les principes- est impuissant à changer les choses, mais alors que valent ces principes ?......

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  • Encore un livre qui détricote encore un peu plus le(s) mythe(s) fondateur(s)...

                Voici le note de lecture proposée par Stéphanie Poupard (1) sur les Mémoires de Charlotte Corday, fiction historique de Catherine Decours.

                Rien de fondamentalement nouveau, bien sûr, ni dans le livre, ni dans la note, mais une confirmation supplémentaire de ce que nous avons déjà noté plusieurs fois: la Vérité se fait enfin jour, de plus en plus et, dirait-on bien cette fois-ci, d'une façon irrésistible. Un processus qui ne pourra certainement pas, à terme, rester sans conséquence(s)...

                L'intérêt principal, pour nous, de l'ouvrage est donc là: non dans des nouveautés qu'il ne peut apporter sur un sujet archi-connu, mais en ceci qu'il détricote encore un peu plus le mythe de la Révolution, qu'il la fait bien apparaître pour l'horreur absolue qu'elle a été, qu'il rétablit la vérité "tuée ou travestie par nos livres d'Histoire" et qu'il est ainsi, lui aussi, dans son genre et à sa façon, le cri: "Le Roi est nu !"....

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    Plon, 528 pages, 21,90 euros

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  • La "polémique" à propos de L'Evasion de Varennes : Touchés ! Touchée ! Touché !...

                    Oui, touchés, les tenants du Système ! Touchée, l’idéologie totalitaire ! Et touché, le mythe fondateur !…..

                    Il n’y a qu’à lire leur(s) réaction(s), pour bien comprendre qu’en fait ils ont très bien compris, et qu’ils ont tout compris. Avec Louis XVI, l’évasion de Varennes -que vient de rediffuser France 5 (1)- avec la Vérité enfin dite, sans artifices, c’est leur Système, basé sur le mensonge, qui est touché au coeur. Et cela, ils ne peuvent le supporter. Et, de leur point de vue à eux, ils ont raison…..

                    Pour suivre la polémique, deux Blogs :

    http://clioweb.free.fr/debats/varennes.htm

    http://revolution-francaise.net/2009/01/11/295-lettre-ouverte-madame-inspecteurs-pedagogiques-regionaux-histoire-geographie-academie-paris

    et, regroupées en un seul PDF, les cinq notes que nous avons, pour l'instant, consacrées à ce sujet: L'évasion de Varennes.pdf

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  • Le Journal du Dimanche rend compte du séjour toulonnais du Prince Jean....

                A lafautearousseau, on l'a décidé une fois pour toutes: on se réjouit de tout le bon et de tout le positif dans ce qui arrive, même si, pour le reste, en notre for intérieur, on n'en pense pas moins... Cela nous vaut, régulièrement, d'être appelé blog optimiste, ce qui ne nous gêne pas, à cette nuance près -de taille, tout de même...- que nous préférons le terme d'Espérance, mais, bon...

                 Le dimanche 31 janvier, le motif de satisfaction est venu de la bonne demie page que le Journal du Dimanche a consacrée au séjour toulonnais du Prince (la page 12, pour être précis). Certes, deux ou trois choses, dans l'article, sont ce qu'elles sont. Mais, appliquons notre principe, et ne boudons pas notre plaisir. Il est positif -et révélateur- que le JDD, sans qu'on lui demande rien, ait jugé que la visite du Prince à Toulon méritait qu'on l'évoquât, et qu'on en rendît compte. Et ce qui transparaît, dans cette demie-page, à côté d'un ton parfois moqueur, ironique ou condescendant, c'est que le Prince agit, travaille, va à la rencontre des gens; même modestes, même de ceux qui vivent dans des HLM; et qu'il parle aussi -et qu'il écoute: très important, l'écoute...- avec des animateurs socioculturels....

                Une chose malgré tout, pour Mathieu Deslandes, le journaliste qui a écrit l'article: Nous ne rêvons pas d'un "retour de la Monarchie". La Monarchie de Saint Louis, de François premier, d'Henri IV et de tous les autres rois, la Monarchie appartient à l'Histoire. De la France et de l'humanité. Ce à quoi nous rêvons -et travaillons...- c'est à une ré-instauration de la Monarchie. C'est radicalement différent. Pas de restauration, d'une chose qui est derrière nous; une instauration, ou ré-instauration, de ce qui apparaît de plus en plus comme le recours, quand on voit l'état désastreux dans lequel la république idéologique à mis la France.

                Et, là, la Monarchie n'est pas derrière nous, elle est devant nous. La république idéologique a vieilli, terriblement vieilli, et -surtout- terriblement mal vieilli. Il n'a pas tenu ses promesses, ce merveilleux système au nom duquel les Révolutionnaires ont causé la mort de 700.000 personnes, instauré le Totalitarisme et organisé le premier Génocide des temps modernes, matrice de ceux d'Hitler, de Staline, de Mao, de Pol Pot.... 

                Et c'est parce que nous constatons ce désastre; parce que nous voyons qu'on a fait tout ça, pour ça; que les Bastille se comptent maintenant par dizaines et par centaines; que les féodalités de tous ordres dictent leur loi à un "semble Etat", qui, de toutes façons, n'a plus guère de pouvoir; que les dettes et déficits colossaux du Système font précisément de ce Système un voleur... etc... etc... que nous voulons, non pas restaurer quelque chose d'hier, mais instaurer quelque chose de nouveau, pour aujourd'hui et pour demain.

                Le nouvel Ancien Régime, monsieur Deslandes, c'est aujourd'hui, et c'est cette république idéologique à bout de souffle.

                Comme le dit le Prince Jean , dans son livre, que vous citez: "La Monarchie est une idée neuve en Europe..." (page 214, chapitre XI, Institutions).

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    La belle jardinière, caricature de Forain

    (1) : Est-ce l'émotion: dans la version internet, pendant quelques heures, ce fut une photo du Prince Eude, avec son épouse Marie-Liesse, qui apparut, sous-titrée Jean d'Orléans ! Là aussi: mais, bon....

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  • Albert Camus dégage le sens profond de l'assassinat de Louis XVI...

    Il y a cinquante ans, Albert Camus se tuait dans un accident de voiture. Ce fils des rivages d’Afrique du Nord, malheureusement fort éloigné du christianisme, n’en avait pas moins saisi le sens profond de l’assassinat de Louis XVI, beaucoup mieux que la grande majorité des hommes politiques et même que certains hommes d’Eglise qui rêvent de “baptiser” la Révolution ::

     « Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

      Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme.

     Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau ».

     Albert Camus, L’homme révolté, La Pléiade, p. 528-529.

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  • GRANDS TEXTES (18), ou ANTI GRAND TEXTE : Discours de Maximilien de Robespierre (première intervention, le 3 décembre 1792, au cours du pseudo procès de Louis XVI).

    Il y a 18 ans, le jeune Maximilien de Robespierre avait eu à féliciter le roi Louis XVI rentrant à Paris après son couronnement à Reims, le 15 juin 1775 (Maximilien avait alors 17 ans accomplis). C'était rue Saint-Jacques, devant le Collège Louis-le-Grand. Le professeur de rhétorique avait rédigé pour la cérémonie un compliment superbe en vers, que Robespierre fut chargé de dire, comme étant l'un des élèves les plus doués et les plus méritants. Il pleuvait à seaux ce jour-là, mais le jeune Maximilien était infiniment fier d'avoir eu «l'honneur» de saluer ce jeune roi qui incarnait aux yeux de la nation toute entière les espérance d'un avenir prometteur pour la France.

     

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    Robespierre, avant...

     

    Aujourd'hui, dix-huit ans plus tard, ce 3 décembre 1792, il prononce les mots terribles que l'on va lire ci-dessous, dans ce véritable discours fondateur de tous les Totalitarismes modernes. C'est à l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI : c'est toujours le même Robespierre et, pourtant il n'est plus le même : le jeune élève brillant et prometteur est devenu un idéologue endurci, sec et froid.

    C'est à lui que s'adressera quelques jours plus tard le courageux De Sèze: "Français, la révolution qui vous régénère a développé en vous de grandes vertus ; mais craignez, qu’elle n’ait affaibli dans vos âmes le sentiment de l’humanité, sans lequel il ne peut y en avoir que de fausses !".

    De Sèze a courageusement et intelligemment démasqué les idéologues, se voulant régénérateurs et purificateurs, persuadés d'oeuvrer pour l'Homme, mais n'ayant aucune forme de pitié ou de considération pour les hommes.

    Mais Robespierre et la Convention n'entendront évidemment pas le message. Comment Robespierre et ses affidés, un Saint Just par exemple, pourraient-il l'entendre, ce message, lorsque le même Saint Just osait proférer (toujours lors du pseudo-procès de Louis XVI): "Je ne juge pas, je tue... Une nation ne se régénère que sur des monceaux de cadavres"...

    C'est trop tard : Robespierre est mort, du moins le jeune et brillant élève qui recevait et complimentait le Roi lors de son retours de Reims. L'a remplacé un idéologue aveuglé par sa confiance en lui-même et en ses principes, qu'il croit supérieurs et qu'il veut appliquer à tout prix, ne se rendant absolument pas compte, absolument plus compte, qu'il est devenu la parfaite incarnation de la terrible prophétie de Frédéric II à Voltaire : « Nous avons connu le fanatisme de la foi. Peut-être connaîtrons-nous, mon cher Voltaire, le fanatisme de la raison, et ce sera bien pire »...

    Oui, c'est bien un fanatique, sec et froid, qui s'exprime d'une façon presque métallique, pourrait-on dire, ce 3 décembre, lors de l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI. Et qui prononce les paroles monstrueuses que l'on va lire, et que reprendront mot pour mot les Staline, Hitler, Mao, Pol Pot et autres monstres secs et froids des Totalitarismes modernes, qui ont tous pour père et modèle le même et unique Maximilien de Robespierre.

    Oui, l'on entend déjà, en lisant ce monstrueux discours et cette aberrante logique, ce que diront les enfants de Robespierre plus tard, bien plus tard, eux qui auront bien compris et bien assimilé cette infernale logique:

    A quoi bon juger ces Juifs, dira Hitler, la race aryenne ne saurait être soupçonnée d'erreur(s) dans ses pensées, ses jugements ou ses actes, puisqu'elle est "supérieure" (!). Ces juifs doivent donc mourir, sinon c'est admettre l'idée que la race aryenne a pu se tromper, ce qui est impossible... A quoi bon juger ces dissidents, dira Staline, la classe ouvrière est l'avant-garde consciente qui a reçu pour mission de faire éclore l'Histoire et de l'achever. Elle marche dans le sens de l'Histoire, et l'idée même de juger quelqu'un qui s'oppose à elle -et qui ne peut donc être qu'un traître ou un malade- serait admettre l'idée que la classe ouvrière pourrait se tromper, ce qui est impossible.....

    Donc, on ne juge pas, on tue, pour reprendre telle quelle la formule de Saint Just, ce grand ami de Robespierre, et l'un de ses alter ego...

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    ...Robespierre

               

    On le voit, le tout de la mécanique infernale est contenu dans le discours de Robespierre, qui est une vraie bombe, insuffisamment lu, insuffisamment étudié. Ce discours est bien l'acte fondateur, la parole fondatrice de tous les procès nazis ou staliniens de l'histoire, de tous les Totalitarismes, de tous les Génocides....

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  • Jeudi 21 Janvier, l'Anti Grand Texte....

    Ou : Quand, à la face du monde, Maximilien de Robespierre a posé les bases des Totalitarismes et des Génocides modernes. C'est dans sa Première intervention, le 3 décembre 1793, lors du procès (!) de Louis XVI, et ce sera, dans son intégralité, notre XVIIIème Grand Texte...

  • Des évènements auquels nul n'était préparé...

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  • Séguin, archétype des désanchantés du Système ?.....

                Un "semble État", disait Boutang. La chose publique, caricaturée et dénaturée en république idéologique (en démocratie idéologique) est en effet devenue comme un spectacle, confirme Zemmour, notamment dans sa dernière phrase: le spectacle continue !

                Voilà ce qu' "ils" en ont fait, de la chose publique. Et c'est pour cela que Séguin était déçu. Déçu ou, plus justement encore, désanchanté; Zemmour employant, pour sa part, le mot de "désespoir" et, pour ceux de la classe politique qui -lors des obsèques- ont senti cela, plus ou moins confusément, et dont le degré de sincérité peut varier beaucoup, celui de "remords".

                Tout à fait d'accord avec Zemmour: l'enterrement de Séguin n'était pas seulement l'enterrement de Séguin. Ou, dit d'une autre façon, en enterrant Séguin, c'est aussi la foi, l'espoir, les illusions de la nouvelle religion -déjà ancienne, maintenant- qu'on enterrait. Une nouvelle religion qui a vieilli, beaucoup vieilli, et surtout terriblement mal vieilli; qui n'a pas tenu ses promesses; et qui ne tient plus que par habitude, par la force d'inertie. Et qui est finalement devenue à son tour, maintenant, le nouvel ancien régime...

                Séguin était désanchanté de s'être rendu compte qu'on avait fait tout ça pour ça...

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  • Besson est-il scandaleux ? Désolant ? Ou simplement logique, et dans le vrai ?... Du moins le vrai pour lui, son vrai à lui, qui n’est, bien sûr, pas le nôtre…

                            Besson est-il scandaleux ? Désolant ? Ou simplement logique, et dans le vrai ?.... Du moins le vrai pour lui, son "vrai" à lui, qui n’est, bien sûr, pas le nôtre….

                       (Rappel des propos du Ministre: "la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage".)

     

                 Oui, au risque de choquer –du moins au début- disons que si les propos de Besson sont scandaleux, et qu’il mérite lui aussi la condamnation de Molière que nous adressions récemment à Alain Duhamel (« Ignorantus, ignoranta, ignorantum… »,en prononçant bien ignorant-t-homme); s'il mérite lui aussi ce titre que nous avions donné au commentaire consternant d'un ministre suédois à propos de la Turquie: "Ces ignorants qui nous gouvernent..."; Besson a malgré tout raison.

     

                 Et il a bien parlé, et il a dit le vrai –du moins le vrai dans le sens de la révolution de 89/93- car il est bien, lui Besson, dans la droite ligne des révolutionnaires de 93.

     

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    Eric Besson cherchant à voir quelque chose que, manifestement, il n'arrive pas bien à voir....
    Il éprouve la même difficulté à voir, à rencontrer "la France",
    dont il a décrété, au fond, l'inexistence, alors qu'elle existe évidemment bel et bien.
     Mais, pour la voir, pour la trouver, encore faudrait-il qu'il abandonnât ses préjugés, son idéologie,
     et qu'il rompît avec... la Rupture de 1789/1793.....(1)

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  • Le génocide vendéen par la république: une vidéo en deux parties de Stéphane Courtois et Reynald Sécher (2/2).

    "Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé". On pourrait croire que c'est du Goëring, en fait, non, c'est du Carrier....

    "...Le peuple pense mal, il faut tuer le peuple, il faut changer le peuple, c'est tout simple..." (Reynald Sécher).

     

    http://www.dailymotion.com/LeonXIV/video/x8bqex_le-genocide-vendeen-par-la-republiq_news

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    Liberté, Egalité, Fraternité ? Vraiment ?...
    ou
    Totalitarisme, Génocide, Mémoricide ?.....
      N'avaient- "ils" pas écrit, pourtant: "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."  (Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793) ?
                Leur gravure (ci dessous) est plus juste que leurs belles paroles: faites ce qu'on vous dit, "ou la mort": là au moins, c'est clair....
    Comme il est clair que les Vendéens, ces premiers Résistants au Totalitarisme, ont été les agressés, et la Convention l'agresseur; et que les Vendéens luttaient contre l'intrusion de l'Etat dans la sphère privée, alors que la Convention luttait pour l'imposer... (voir le Pdf: Vendée Résistance ! : Vendée Résistance !... , )
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  • Le génocide vendéen: une vidéo en deux parties de Stéphane Courtois et Reynald Sécher (1/2).

    "Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé". On pourrait croire que c'est du Goëring, en fait, non, c'est du Carrier....

    "...Le peuple pense mal, il faut tuer le peuple, il faut changer le peuple, c'est tout simple..." (Reynald Sécher).

    http://www.dailymotion.com/video/x8bqhz_le-genocide-vendeen-par-la-republiq_news

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    Liberté, Egalité, Fraternité ? Vraiment ?...
    ou
    Totalitarisme, Génocide, Mémoricide ?.....
                N'avaient- "ils" pas écrit, pourtant: "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."  (Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793) ?
                Leur gravure (ci dessous) est plus juste que leurs belles paroles: faites ce qu'on vous dit, "ou la mort": là au moins, c'est clair....
    Comme il est clair que les Vendéens, ces premiers Résistants au Totalitarisme, ont été les agressés, et la Convention l'agresseur; et que les Vendéens luttaient contre l'intrusion de l'Etat dans la sphère privée, alors que la Convention luttait pour l'imposer... (voir le Pdf: Vendée Résistance ! : Vendée Résistance !... )
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  • Argent-Dieu, Argent-Roi: les mots peuvent changer, pas la chose...

    Dans un entretien accordé au Progrès, Mgr Brincard, évêque du Puy-en-Velay, s'est exprimé sur le travail dominical. Et il ne mâche pas ses mots (il a bien raison...) :  le travail dominical c'est "le triomphe de l'Argent devenu Dieu".

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    Bain de foule pour l'évêque du Puy

                Il est normal qu'un Prince de l'Église emploie un vocabulaire religieux ("Argent-Dieu"), là où un Blog politique, comme le nôtre, emploiera plus spontanément un vocabulaire profane ("Argent-Roi"). Cette différence d’angle de vue, pour importante qu’elle soit, n’empêche pas que la conclusion soit la même. On le sait : la recherche de convergences, chaque fois qu’elles sont possibles, qu’elles sont réelles, est une règle que nous nous sommes donnée.

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  • Sans humanité, les idéologues et les purs deviennent des totalitaires.....

                "...la révolution qui vous régénère a développé en vous de grandes vertus ; mais craignez, qu’elle n’ait affaibli dans vos âmes le sentiment de l’humanité, sans lequel il ne peut y en avoir que de fausses !..."

                1793 : Romain De Sèze, défenseur de Louis XVI devant la Convention, vient -peut-être le premier, en tous cas l'un des tous premiers...- de pointer, devant les Hommes et pour l'Histoire, le défaut de la cuirasse des "bourreaux barbouilleurs de lois", comme les appelait un autre de ceux qu"ils ont guillotiné, André Chénier : à savoir, l'absence totale d'humanité chez ces gens qui se proclament vertueux et régénérateurs.

                 Après eux viendront les Staline, les Hitler, les Pol Pot, les Mao...: tous aussi ardents régénérateurs, et tous aussi prétendument purs, que leur pureté soit celle de la race aryenne ou celle de la classe ouvrière. Or, sans l'humanité, les grandes vertus dont on se prévaut ne sauraient être que fausses. De Sèze a réalisé, là, une magistrale analyse pour l'éternité. Et il a eu le courage de la prononcer devant "eux", de se rire d' "eux" au milieu d' "eux" !...

                "Son éternel honneur sera d'avoir été associé à l'évènement le plus terriblement religieux de notre Révolution" (Prosper de Barante).
                 (voir l'éphéméride de samedi prochain, 26 décembre...)
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  • Michel Vauzelle, et ces "valeurs " de la République, qui conduisent aux horreurs...

                En page 21, dans La Provence du 5 décembre, Florent PROVANSAL rapporte ainsi les stupéfiants propos de Michel Vauzelle, président PS de la Région, à propos du débat sur l'Identité nationale: 

                "Sarkozy est brouillon. Après l'affaire Jean Sarkozy, il a voulu reconquérir son électorat de droite avec des vieilles recettes. Voyant qu'au contraire il faisait le jeu du FN, il a tendance à revenir en arrière."

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