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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 90

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Jean-Dominique Merchet - par ailleurs très intéressant à écouter, la plupart du temps - a perdu une bonne occasion de sa taire; ce qui lui a valu ce "pan sur le bec" bien mérité, asséné par une Gabrielle Cluzel très en forme... :

    1. le propos stupéfiant, et condamnable en tout point, de "jean-do" (parlant de notre magnifique École de Saint Cyr) :

    "J’ai été effaré de retrouver le même état d’esprit que celui que j’avais connu. C’est toujours la même société imprégnée d’ultra-catholicisme et de relents de droite extrême..." 

    2. "Tu l'as voulu, tu l'as eu !" Après ce propos inqualifiable (qu'est-ce qui lui  a pris ?) le tacle cinglant de Gabrielle Cluzel, qui tape vite, juste et fort :

    "Ah tiens, il y avait longtemps qu’on ne s’était pas attaqué à l’un des rares trucs qui fonctionnent encore dans notre pays. Après Stan, Saint-Cyr…"

    Saint-Cyr à l'épreuve des ruptures – Académie des Sciences Morales et  Politiques
     

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  • Guy Bertran de Balanda : quatre ans déjà, toujours présent !

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     "La" photo préférée, prise aux États-Unis, lors d'une de ses visites chez l'un de ses fils, Axel, qui vit et travaille là-bas...

    À l'occasion de ce quatrième anniversaire de l'entrée de Guy dans le vrai Royaume, nous lui dédions ce compte-rendu paru dans L'Action française du 21 Février 1910, (et en "Une", s'il-vous plaît, excusez du peu !...) de la magnifique réunion publique tenue la veille, à Perpignan (voir ci-dessous)...

    Comme chaque année, la famille de Guy organisera une Messe en la cathédrale d'Aix, suivie d'un repas familial, devenu une tradition maintenant. Je suis convié et, naturellement, je serai présent, comme les trois années précédentes, à l'invitation de Bénédicte et Florence (soeurs aînée et cadette de Guy) et de Pierre et Hugues (ses frères) à cette prochaine Messe en la Cathédrale Saint Sauveur d'Aix et au repas/réunion familiale qui s'ensuivra. Je serai accompagné par notre Rédacteur en chef Jean-Baptiste Collomb, qui a si bien connu Guy, et nous vous représenterons tous, vous qui avez connu et apprécié Guy mais ne pourrez être sur place ce jour-là...

    François Davin, Blogmestre

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    Dans la "Une" de L'Action française du Lundi 21 Février 1910 :

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  • Au cinéma : Coup de dés, par Guilhem de Tarlé

    Un coup de dés - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Un coup de dés,  un film français de Yvan Attal, avec Yvan Attal (Mathieu), Guillaume Canet, Maïwenn et Victor Belmondo (Vincent, Delphine et leur fils Alex).

    « Un coup de dés jamais n’abolira le hasard »… C’est cette formule, énigmatique, de Mallarmé qui inspira le titre du long-métrage, nous dit Attal, le réalisateur (et non pas le coq de Matignon qui se pavanait avant de se heurter aux fourches).
    Nous avons vu, l’an dernier, un film assez médiocre portant pourtant sur la question intéressante de jouer une décision aux dés… et j’avais regretté précisément que son titre, Le principal,  n’évoquât en rien ce lancer de dés.
    Permettez-moi de faire l’observation inverse pour ce nouveau long-métrage dont le réalisateur est obligé, en voix off, de justifier longuement son coup de dés tellement celui-ci est artificiel.

    Aller au cinéma, c’est toujours, malgré le réalisateur, les acteurs, les critiques et les « commentaires », un Coup de dés, une bonne ou mauvaise pioche. Malgré son titre, ce Coup de dés est un bon coup, et le scénario vaut le lancer qui porte sur la succession des faits, des événements, des hasards…
    Une très bonne comédie dramatique, en 2022, traitait du même sujet, Le tourbillon de la vie.
    Yvan Attal a choisi de nous raconter ce vent violent sous la forme d’un thriller haletant.

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  • Éphéméride du 14 février

    Strasbourg, aujourd'hui...

     

    842 : Serments de Strasbourg 

    14 fevrier,serment de strasbourg,charles le chauve,louis le germanique,charlemagne,esclangon,francs,carolingiens,lothaire,lotharingie,partage de verdun,kerguelen,observatoire de parisDès la mort de Charlemagne, rien ne va plus dans son immense empire, gouverné par un fils faible : Louis "le débonnaire".

    Les trois fils de Louis se disputent l'héritage, avant même la mort de leur père, et cette lutte aboutira au funeste Traité de Verdun (ci contre), en 843.

    Avant d'en arriver à cet accord provisoire, Charles le chauve et Louis le Germanique, deux des trois petits-fils de Charlemagne, décident de s'unir et d'associer leurs forces contre le troisième petit-fils de l' empereur défunt, leur frère Lothaire, empereur d'Occident : c'est cette alliance qui est connue sous le nom de Serment de Strasbourg. 

     

    Charles et Louis, alliés, avaient déjà battu leur frère à la bataille de Puisaye, en juin 841, huit mois auparavant (voir l'Éphéméride du 25 juin)

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur la situation explosive dans laquelle se trouve Mayotte, d'accord avec Vincent Trémolet de Villers :

    "Mayotte est un département lanceur d'alerte sur l'immigration...
    ...Ceux qui crient au recul de l’Etat de droit à la première décision ferme sur l’immigration savent-ils qu'à Mayotte l’Etat est humilié à force de reculer ? Que les droits élémentaires sont piétinés ? On se protège seul. La France pour tous, ce sont des micros frontières partout..."

     

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  • Éphéméride du 13 février

    La célèbre salière de François 1er, oeuvre de Benvenuto Cellini

     

     

     

    1571 : Mort de Benvenuto Cellini 

     

    Natif de Florence, Cellini ne vécut que cinq années en France, de 1540 à 1545.

    Il fait partie de cette cohorte d'artistes italiens que François premier, ébloui par toutes les beautés qu'il avait vues lors de ses expéditions en Italie, fit venir en France afin d'y donner une impulsion définitive non pas à "la Renaissance", mais à la Renaissance française : car, comme plus tard Lully ou Le Bernin - italiens eux aussi - tous ces artistes travaillèrent, avec les artistes locaux, non à la simple importation d'un art extérieur, mais à la création d'une façon française de vivre et penser la Renaissance : Léonard de Vinci, bien sûr, mais aussi Andrea del Sarto - ancêtre direct de Maxime Real del Sarte, fondateur des Camelots du Roi en 1908 - Le Boccador, Luca Penni, Rosso, Le Primatice...

    Si Léonard de Vinci et Le Boccador travaillèrent à Chambord (et Le Boccador à l'Hôtel de ville de Paris), Benvenuto Cellini, avec Luca Penni, Rosso et Le Primatice, fut essentiellement actif à Fontainebleau, à tel point qu'on a pu parler de l'Italie à Fontainebleau, ou de l'École de Fontainebleau...

    Tout à la fois dessinateur, orfèvre, fondeur, médailleur, sculpteur, Cellini appliqua les techniques et la précision de l'orfèvrerie à son travail de sculpteur. On aura dans les trois liens suivants un aperçu de son travail à Fontainebleau :  

    • http://www.louvre.fr/oeuvre-notices/la-nymphe-de-fontainebleau 

    • http://www.panoramadelart.com/galerie-francois-1er-chateau-de-fontainebleau 

    • http://expositions.bnf.fr/renais/arret/4/index2.htm 

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    La nymphe de Fontainebleau, au Musée du Louvre

    Pour en savoir un peu plus sur le travail des Italiens au Château de Fontainebleau, voir notre Éphéméride du 7 août :

    Louis VII pose la première pierre du château de Fontainebleau 

     

    Et pour en savoir un peu plus sur l'École de Fontainebleau :

    http://www.italieaparis.net/ecolefontainebleau.php 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "Ça", un remaniement ? D'accord avec Philippe de Villiers :

    "Nicole Belloubet, en tant que garde des Sceaux, a libéré 12 000 prisonniers pendant le #Covid, alors que les Français étaient confinés. Le taux de criminalité a depuis bondi dans des proportions considérables. On a décroché le "polichinelle Pap Ndiaye" avec Nicole #Belloubet : elle est contre l’autorité, l’uniforme, les cours magistraux… On est mal barré !"

    (extrait vidéo 1'59)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1756366356428034286?s=20

    L'émission complète (44'13)

     

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  • Éphéméride du 12 février

    Le Louvre, Galerie d'Apollon, où se trouvent les Joyaux de la Couronne...

     

     

    13 mars,germain pilon,renaissance,francois premier,henri ii,saint denis,jean goujonIl y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".

    Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel  à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.

    Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :  

    1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)

    2. Splendeur et décadence : Les diamants de la Couronne... Ou : comment la Troisième République naissante, par haine du passé national, juste après avoir fait démolir les Tuileries (1883) dispersa les Joyaux de la Couronne (1887), amputant ainsi volontairement la France de deux pans majeurs de son Histoire (12 février)

    3. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. I : La cathédrale de Reims et la cérémonie du sacre du roi de France (15 février)

    4. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. II : La basilique de Saint-Denis, nécropole royale (19 février)

    5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française (13 mars)

    6. Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France... (11 avril)

    7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien (28 avril)

    8. Les Chambiges, père et fils (Martin et Pierre), constructeurs de cathédrales, élèvent à Beauvais (cathédrale Saint-Pierre) le choeur ogival le plus haut du monde : 46 mètres 77 ! (4 mai)

    9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile (28 mai)

    10.  Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650 (26 juillet)

    11. Le Mont Saint Michel (11 août)

    12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord (29 septembre)

    13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé (27 octobre) 

     

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    Aujourd'hui : Splendeur et décadence : Les diamants de la Couronne.

    Ou : Comment la Troisième République naissante, par haine du passé national, juste après avoir fait démolir les Tuileries (1883) dispersa les Joyaux de la Couronne (1887), amputant ainsi volontairement la France de deux pans majeurs de son Histoire

    12 fevrier,maurras,martigues,chemin de paradis,louis xiv,versailles,gerard tenque,ordre de malte"Du passé faisons table rase !"  

    Par haine de nos racines, la Révolution avait déjà fait disparaître entre le quart et le tiers de notre patrimoine.

    La Troisième République naissante poursuivra dans cette même voie : destruction des Tuileries (le "château de Paris") et dispersion des Joyaux de la Couronne (loi du 11 janvier 1887).

    Le peu qu'il nous reste de ce fabuleux trésor est exposé aujourd'hui dans la Galerie d'Apollon, au Louvre (ci contre et ci dessus)

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Marseille ?... "À jamais les premiers !"...
     
    Aujourd'hui, le monde entier, y compris le "machin" qu'on appelle ONU, et même François, au Vatican, oublie l'Arménie, que l'expansionnisme génocidaire des nazéris alliés aux turcs - non moins expansionnistes et génocidaires - veut effacer de la carte du monde, alors qu'elle est le premier État à s'être converti au christianisme.
     
    Faisons donc "du bruit pour l'Arménie", par exemple en rappelant qu'aujourd'hui, 11 février, on célèbre l'inauguration à Marseille, en 1973, du premier monument commémoratif du Génocide arménien de 1915
     
     Dès 1969, un projet de plaque commémorative avait été lancé, mais le préfet de l'époque s'opposa à son inauguration.
    Joseph Comiti, alors ministre, ami de la cause arménienne, se saisit du dossier, qu'il porta à la connaissance du président Pompidou : l'affaire provoqua de vives tensions au gouvernement, car Robert Schumann - ministre des Affaires étrangères - ne voulait pas froisser la Turquie.
    Finalement, Pompidou arbitra en faveur de Joseph Comiti, et celui-ci put inaugurer le monument, visible dans l'enceinte de la cathédrale apostolique arménienne de l'avenue du Prado.
    Immédiatement, l'ambassadeur de Turquie fut rappelé à Ankara...

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    Dans le Jardin de la cathédrale arménienne du Prado, située... à quelques dizaines de mètres à peine du... consulat de Turquie ! :

    "À la mémoire des 1.500.000 Arméniens victimes du génocide ordonné par les dirigeants turcs de 1915" 

     

    VIVE L'ARMÉNIE !

     

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  • Comme on se retrouve !...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgVoilà, nous venons donc de terminer (hier) la publication de cette longue série de "Grandes "Une"..." consacrée à la belle et noble action des tous jeunes Camelots de la toute jeune Action française, dans le Paris tragique de l'inondation catastrophique de 1910...

    Cette publication faisait suite à celle concernant la Croisère du Campana (en 34); celle concernant la semaine tragique, qui vit la mort de Bainville et la misérable machination de Blum, aboutissant à la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi (en 36); et celle concernant les douze premiers jours de la Guerre civile espagnole, lorsque la Tradition se souleva contre la Révolution, en un formidable combat, titanesque, qui devait s'achever par la victoire pleine et entière de la Civilisation sur la barbarie révolutionnaire... (en 36 également).

    Notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française" compte donc, maintenant, 117 notes, mais bondira vite dans les semaines et mois qui viennent; tout comme notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'Union Royaliste Provençale", qui en compte actuellement 63 mais bondira très vite, elle aussi, ces prochains mois...

    Nous allons arriver, maintenant, dans la période de notre anniversaire : dix-sept1A.jpg ans !

    Nous le célèbrerons cette année en publiant, dès le Mercredi 28, jour de cet anniversaire, notre feuilleton "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !" : Léon Daudet", qui prendra pas mal de temps (environ trois mois). Au préalable, nous aurons donné notre 50ème Grand Texte et publié encore une "grande "Une"..." (sur la mort de Péguy, salué par Maurras et Bainville, en pleine période de désorganisation totale du Pays et du mouvement, à cause de l'avancée des troupes allemandes vers Paris et du départ du Gouvernement vers Bordeaux...).

    Dès que ce feuilleton aura pris sa vitesse de croisière (mi mars/fin mars) nous passerons à la publication des comptes-rendus de tous les Rassemblements Royalistes tenus en Provence (Roquemartine, Barbentane...).

    Cette plongée dans nos Racines et notre Histoire, afin d'en mettre à la portée du plus grand nombre possible la "substantifique moelle", se fera, bien entendu, en poursuivant notre regard quotidien sur l'actualité de nos compatriotes, avec notre Revue de presse et d'actualité quotidienne (à notre connaissance, unique dans la presse royaliste).

    Car c'est bien cela que nous souhaitons : avoir un pieds dans l'actualité la plus immédiate et l'autre dans ce que le mouvement nous a apporté - qui fonde notre originalité et la spécificité de notre École de pensée - et que nous souhaitons (nous l'avons dit) mettre à disposition de tous, sous une forme commode, et facile de consultation...

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    Je terminerai juste ces quelques précisons en notant que cette plongée dans nos archives à tous nous a permis de retrouver (pour trois d'entre nous, pour l'instant) nos patronymes dans le quotidien, et donc la trace de notre enracinement personnel dans l'histoire du mouvement, à travers de membres de nos familles citées dans la Chronique quotidienne "Ligue d'Action française" : je veux parler de Jean-Baptiste (le premier a avoir trouvé le nom de ses grands-parents dans le journal) de Guy (Bertran de Balanda) et de votre serviteur : mais nous en reparlerons très vite...

    François Davin, Blogmestre;

    Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en Chef...

    P.S. : absolument rien à voir, mais, au moment de commencer à "partager" dans les groupes privés auxquels nous appartenons, nous recevons une nouvelle invitation, et pour la première fois d'un groupe "étranger" : des États-Unis ! (qui regroupe 2K6 de membres). Bien entendu, nous acceptons l'invitation, et puis... on verra bien !

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  • Au cinéma : Boîte noire, par Guilhem de Tarlé

     

    Boîte noire en Blu Ray : Boîte Noire - AlloCiné
     

    César 2022 du Meilleur Son : Boîte noire,  un film français de Yann Gozlan, avec Pierre Niney et Lou de Laâge (Mathieu Vasseur, agent du BEA, et son épouse, Noémie), Olivier Rabourdin (Victor Pollock, supérieur hiérarchique de Mathieu Vasseur), et André Dussolier (Philippe Rénier, directeur du BEA).

    Boîte noire… Je ne crois pas avoir, jusqu’à ce jour, entendu parler de ce docufiction pourtant sorti  il y a plus de deux ans, en septembre 2021 !
    Une fiction, en effet, car l’histoire est totalement inventée de ce crash, dans le massif alpin, d’un avion Atrian-800, de la compagnie European Airlines, assurant une ligne Dubaï-Paris.
    Un documentaire, aussi, qui nous enferme dans la Boîte noire et l’univers du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) pour la sécurité de l’aviation civile, situé au Bourget.

    Le film ne le précise pas, mais l’invention de la Boîte noire est française due au Colonel François Hussenot qui, à la veille de la guerre, a conçu un enregistreur de données de vol à partir de photographies, dans une boite étanche à la lumière – noire.
    Près d’un siècle plus tard, le nom est resté, même si les enregistrements ont évolué et si les boites ont la couleur orange pour être plus facilement repérables. Elles sont, en outre, de deux sortes, à savoir le FDR (Flight Data Recorder) qui enregistre les données de vol (stabilité de l’avion), et le CVR (Cockpit Voice Recorder) qui reproduit les conversations et autres bruits de la cabine de pilotage.

    Mathieu Vasseur est un agent acousticien dont la mission est précisément d’écouter, d’analyser et d’interpréter ces enregistrements phoniques pour essayer d’y trouver des indices explicatifs du crash.
    C’est ainsi que la bande son devient l’acteur principal du long-métrage, d’où son César, et sa présentation dans le cadre de La 21ème Semaine du Son de l’UNESCO, du 15 au 28 janvier 2024 !  (Eh Oui ! ça existe !)
    Si on peut se réjouir de ce que cette Semaine du Son – « Vers une écologie sonore » - fasse finalement peu de bruit, on peut en revanche s’inquiéter de notre difficulté à entendre cette Boîte noire, ce CVR, qui nous alerte sur les dangers combinés de la puissance des lobbies (le marché et le busines d’abord !), de la corruption, du piratage informatique et l’Intelligence Artificielle capables de prendre véritablement le contrôle de nos vies.

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  • Éphéméride du 11 février

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    1250 : Louis IX, premier roi de France à être fait prisonnier 

     

    11 fevrier,descartes,franz hals,bernadette soubirous,massabielle,lourdes,daumier,foucault,pendule de foucault,prusse,marseille,fort saint nicolas,louis xivLa Septième Croisade avait pourtant bien commencé...

    Le roi de France, non sans raison, jugeait que l'Égypte était, de fait, le centre de la puissance musulmane, et qu'en s'assurant d'elle, on s'assurerait définitivement de la Terre sainte.

    Partis d'Aigues-Mortes, le futur Saint Louis et son armée étaient parvenus à prendre la ville de Damiette; encouragés par cette victoire, ils avaient alors imprudemment poursuivi leur route, s'enfonçant à l'intérieur des terres, dans le but de s'emparer du Caire. Ils se heurtèrent alors aux mamelouks - parfaitement à l'aise sur leur terrain - devant Mansourah, seule protection de la ville du Caire.

    Touchée par la peste (déjà ! : on sait que le roi mourra de la peste, devant Tunis, lors de la Croisade suivante...) l'armée royale dût finalement rendre les armes.

    Il fallut payer au sultan Turanshâh une rançon  de 400.000 livres (ou un million de dinars), rendre Damiette et s'engager à quitter complètement le pays (ce qui fut fait dès la fin mai). Le roi sera délivré le 6 mai, après avoir donc passé près de trois mois en captivité (image ci-dessus). 

    Après Louis IX, deux autres rois seront faits prisonniers sur le champ de bataille : Jean II le Bon, et François premier; un autre, Louis XI, sera prisonnier de fait du duc de Bourgogne pendant près de trois semaines; enfin, si l'on parle de souverains ayant régné effectivement sur la France, il faut ajouter Napoléon III à cette liste des "souverains capturés".

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  • L'action de nos camarades et amis mulhousiens a horrifié les descendants de la "Sections des piques" locale... et c'est tant mieux ! Bravo à eux !

    (cliquez sur l'image pour l'agrandir et pouvoir lire le texte)

    La République idéologique qui nous accuse de "vandalisme", elle qui a  détruit entre le quart et le tiers de notre Patrimoine, il fallait oser le dire : "ils" l'ont osé !!!!!

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    Cet immortel "poulet" (en langage journalistique...) fait suite à l'action de nos amis mulhousiens, que nous avons rapportée ici-même mercredi dernier :

    L'Action française Mulhouse a célébré le 6 février 34...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     
    C'est donc un Amazone, un Himalaya d'éloges ("ad nauseam"...) qui nous est infligé et nous submerge depuis la mort de Robert Badinter, essentiellement au motif qu'il a porté la loi sur l'abolition de la peine de mort...
     
    Trois remarques, pour démarquer les anti-conformistes et révolutionnaires que nous sommes de cet idyllique tableau, évidemment à sens unique :
     
    1. Nous l'avons déjà dit ici-même : la peine de mort n'a jamais été abolie en France, et il y a gros à parier qu'elle ne le sera jamais. C'est uniquement la Société qui s'est privée d'une arme pour lutter contre la criminalité, et c'est une décision "à sens unique" : les criminels, eux, se sont bien gardés d'abolir cette peine de mort ! Ils la prononcent et l'appliquent au contraire par dizaines et par centaines de fois chaque année : en 2023, rien que pour Marseille et les Bouches-du-Rhône, ils l'ont appliquée, immédiatement et parfois avec la plus extrême cruauté, 49 fois ! Les trémolos des journaleux et des intervenants, tous dans la surenchère, à chaque fois, par rapport au précédent, se situent donc quelque part entre "le grand n'importe quoi" et la  schizophrénie : à eux de choisir et de se situer, mais on serait heureux qu'ils nous épargnent leurs larmes de crocodiles...
     
    2. Il est indécent, et c'est une insanité, d'entendre (là aussi, "ad nauseam"...) les bandes sonores où Badinter explique l'horreur de la guillotine : un corps vivant coupé en deux. Mais qu'a fait l'immonde révolution avec Louis XVI, l'homme animé des meilleures intentions dans "son Europe de carnassiers" (le mot est de Jacques Bainville) ? Et avec Marie-Antoinette, arrachée à ses enfants par une bande se soudards ayant perdu depuis longtemps toute humanité ? Et les terroriste révolutionnaires avec leur Génocide vendéen, où la guillotine fut absente, certes, mais où l'on commença par fusiller et canonner à tout va, puis, lorsque les balles et obus manquèrent, car on assassinait, trop, se contentèrent de noyer, dans les puits ou dans la Loire ? Un Système fondé sur "les principes de 1789" (comme le dit le Préambule - à supprimer et remplacer - de la Constitution) devrait avoir un peu plus de décence : pleurez Badinter, si cela vous paraît la chose à faire, mais commencez donc par balayer devant votre porte ! Là-aussi, les tenants du Système sont quelque part entre "le grand n'importe quoi" et la schizophrénie...
     
    3. Enfin, et là on sombre dans le "hors sol" complet, on est dans une autre galaxie, on est où on veut mais certainement pas, certainement plus, "sur terre" : Badinter voulait étendre l'interdiction de la peine de mort au monde entier ? Mais, allez donc dire cela aux mollahs barbus sous la dictature desquels gémit la grande, l'immense Perse où l'on pend les homosexuels, livrés en spectacle aux passants, mais qui n'ont pas de François Villon ou de Michel Berger "pour chanter pour ceux...". Allez donc dire cela aux Houthis du Yémen : France 2 nous a montré avant-hier un reportage horrible d'une pendaison de masse d'homosexuels, spectacle en plein air pour une foule dont on se demande bien ce qu'elle a dans la tête, à l'instar de ses "dirigeants" (?). Et l'on s'arrêtera là, car la liste serait trop longue... Au fait, pour finir sur un trait d'humour, malgré tout, ce petit conseil aux thuriféraires trop zélés : attention à... l'islamophobie !
     
    P.S. : le lecteur appréciera, nous l'espérons, que - par pure charité chrétienne - nous n'ayons pas trop insisté sur le paradoxe et la tartufferie de ces gens qui se proclament "démocrates" (= pouvoir donné à "la majorité") tout en sachant pertinemment qu'ils s'asseyent sur la démocratie, puisque la majorité des Français est favorable à la peine de mort...
     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : Janvier/Février 1910, dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés... (22)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

    Voici donc, pour achever cette longue série - commencée ave le numéro du 20 Janvier ! - la "Une" du Lundi 21 février 1910, suivie de ce que donnera le journal dans ses numéros du 22 et 23 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k756819h/f1.item.zoom

    Comme nous l'avons dit hier, nous pensons avoir maintenant suffisamment présenté au public, et exalté, la noble action des tous jeunes Camelots du Roi, d'autant plus généreuse et admirable qu'elle était réellement dépourvue de toute arrière-pensée de "récupération" politique.

    Le journal parlera encore pendant plusieurs jours du désastre (même encore en mars) mais ce sera en quelque sorte - comme nous l'avons également dit hier - sous une forme de "queue de comète", avec une intensité et une dramaturgie évidemment bien moindre...

    Ce qui nous importait était de montrer la jeunesse - à tous les sens du terme - de cette "première Action française", qui devait renouveler son état d'esprit de total engagement et dévouement au bien public quatre ans et demi plus tard, en août 14, lorsque ces mêmes jeunes gens dont nous venons de parler partiront pour un autre combat, une autre action : défendre la Patrie : mais, cette fois, la moitié n'en reviendra pas...

    En mettant à disposition du lecteur - sous une forme commode et facilement consultable - l'action héroïque de nos aînés, nos anciens, nos "premiers de cordée"; en donnant à voir ce qu'ils ont fait et en les proposant comme exemple aux nouvelles générations, nous espérons avoir contribué à donner des modèles aux Français d'aujourd'hui et - en pensant à la France - à faire vivre "le trésor de sublimes espérances que lui a rassemblé cette belle jeunesse" (comme l'écrit Criton, dans sa Revue de Presse du 22).

    Oui, comme le disait Léon Daudet (c'était sa devise personnelle) :

    "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu..."

    • Voici donc l'un des derniers articles de Pujo, en "Une" mais juste un peu (tout en bas de la sixième colonne, il se prolongera sur la quasi totalité de la première colonne de la page deux); et il n'y a rien d'autre de notable sur le sujet dans ce numéro :

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    et la (longue) "suite et fin" en page deux, première colonne :

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