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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 89

  • Au cinéma : Un silence, par Guilhem de Tarlé

    Un silence - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Un silence,  un film belge de Joachim Lafosse, avec Daniel Auteuil et Emmanuelle Devos (M. et Mme François et Astrid Schaar), inspiré par l’affaire Hissel issue de l’affaire Dutroux -1996).

    Un silence… Après Les Chevaliers blancs, en 2016, L’Économie du couple, en 2017, et Continuer, en 2019, c’est le 4ème film que je vois de Joachim Lafosse, et le 4ème « bon film », même si ce n’est pas le meilleur.

    Ce silence, c’est un secret, c’est un « non-dit », quelque chose dont on ne parle pas – jamais - depuis 30 ans, et qui vous saute soudainement à la « gueule ».
    Le silence de Lafosse commence par la fin, quand l’histoire est finie, quand l’explosion a eu lieu, et le scénario mené à son terme. Le spectateur est perdu pendant une bonne demi-heure, ne comprenant rien à ces chuchotements, ces bribes de phrases et ce puzzle de scènes, ne sachant évidemment rien de ce qui, par définition, est tu.
    En l’absence d’une générique qui clôturerait l’introduction, on se retrouve ensuite sans le savoir dans un flashback qui dévoile lentement, progressivement, l’intrigue, jusqu’à son dénouement – précisément le début du film !

    Vous comprendrez que je fasse silence sur le scénario proprement dit, sauf à regretter quelques longueurs notamment en voiture et durant la danse étonnante d’Astrid avec son fils.

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  • Éphéméride du 18 février

     1921 : Premier vol en hélicoptère

     

     

     

    1800 : Louis de Frotté est fusillé  

     

    Au plus fort de ses succès, il avait réussi à entraîner une troupe de plus de dix mille hommes.

    Le Premier Consul - Bonaparte... - avait fait presque une affaire personnelle de l'élimination du "Général des royalistes de Normandie".

    Arrêté par traîtrise à Alençon, alors qu'on lui avait délivré un sauf-conduit pour aller négocier, il sera condamné par une commission militaire, sans avocat ni témoin. 

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    À la guerre de Vendée - "Guerre de Géants", pour citer Napoléon - ont succédé des guérillas de l'ombre, les chouanneries, qui, par landes et forêts, harcèlent les gouvernements de la République, de la Convention jusqu'au Consulat, de 1793 à 1800.

    Partout, pour Dieu et pour le Roi, l'Ouest se rebelle, au sud de la Loire, en Bretagne, dans le Maine et l'Anjou. La Normandie n'est pas en reste. Dès l'automne de 1793, des bandes s'y organisent : Louis de Frotté en prend le commandement en 1795.

    Il sera le dernier Général des Chouans, "ce Frotté à l'écharpe blanche, tué par le fusil des gendarmes, avec un sauf-conduit sur le cœur" qu'évoque Barbey d'Aurevilly dans L'Ensorcelée.            
     

    Dans notre album : Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerres de Géants" voir les deux photos, "Frotté" et "La stèle de Louis de Frotté" 

     

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  • Droit du sol ? : un référendum tout de suite !

    Lire sur le site de l'Action française

     

    Paris, le 13 février 2024

     

    Droit du sol ? : un référendum tout de suite !

     

    Exigeons la consultation des Français par voie référendaire sur une modification du code de la nationalité pour supprimer le droit du sol pour l'ensemble du territoire français, et non pour les seuls territoires d'outre-mer comme Mayotte, c'est possible et indispensable. C'est maintenant.

    Nous n’avons plus confiance dans les juges et le Conseil constitutionnel, plus confiance dans les Parlementaires. Seuls les Français doivent décider.

    Il y a urgence.

    Exigeons l'état d'urgence pour Mayotte.

    Exigeons de protéger la France et les Français, tout de suite.

    Macron, Attal, Darmanin, pour une fois, du courage ! Osez donner aux Français la parole. Tous ensemble, Restaurons la nation,

    Reprenons le contrôle, réarmons notre pays. Un référendum tout de suite !

    Vive la France !

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Vers une Irlande réunifiée, d'ici les dix prochaines années ?

    Oh, oui !

    (Source : France info)

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/mes-parents-et-grands-parents-n-auraient-jamais-imagine-cela-les-defis-de-michelle-o-neill-premiere-ministre-catholique-et-republicaine-de-l-irlande-du-nord_6339967.html

    Michèlle O'Neill est membre du Sinn Fein, le parti qui veut - à juste titre - la réunification de l'Irlande, par le retour des quatre comtés occupés par le Royaume désuni; elle vient d'être élue Premier Ministre de l'Irlande du Nord, où :

    1. Le Sinn Fein a gagné les dernières élections, pour la première fois;

    2. Les "catholiques" sont devenus (démographiquement) majoritaires...

    Ces deux évènement rendent inéluctable, à terme, la réunification de l'île, et la fin du colonialisme périmé et condamné de l'Angleterre.

    Michèlle O'Neill ne se présente d'ailleurs pas comme "premier ministre de l'Irlande du Nord", mais "du nord de l'Irlande", en attendant la réunification : la nuance est... colossale !

    Michelle O'Neill, première ministre de l'Irlande du nord, le 8 février 2024. (BEN STANSALL / AFP)

     

    VIVE L'IRLANDE LIBRE

     

    ET RÉUNIFIÉE !

     

     

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  • Éphéméride du 17 Février

    1596 : La ville de Marseille se replace sous l'autorité d'Henri IV 

     

    La ville était, alors, dominée par Charles de Casaulx, consul, et par Louis d'Aix, viguier, qui avaient profité des troubles politico-religieux pour s'emparer du pouvoir dans la ville.

    Ils s'apprêtaient à la livrer aux Espagnols lorsque Pierre de Libertat retourna la situation : Casaulx fut tué, Louis d'Aix parvint à s'évader, et la ville fit sa soumission à Henri IV. 

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    Devenu premier consul grâce à la Ligue, Casaulx rêve de faire de Marseille une république catholique indépendante et la gère en despote.
     
    Il est assassiné, le 17 février 1596, par le Corse Pierre de Libertat, alors qu'une escadre espagnole vient le secourir... 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le dossier choc de Valeurs sur cette question tabou des viols commis par les clandestins : avec notamment le courageux et utile témoignage de Claire violée par un OQTF...

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir et pouvoir lire le texte :

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour... : le "Ralliement" ordonné par Léon XIII, c'est l'Église qui capitule devant la Nouvelle Religion républicaine...

    1892 : Léon XIII prône le Ralliement dans son encyclique Inter innumeras sollicitudines...

     
     
    Le souhait de Léon XIII n'était évidemment pas de se rallier lui-même à "la République", ni de pousser les catholiques français à se rallier aux idéaux révolutionnaires en tant que tels. Il s'agissait simplement, dans l'esprit du pape, après l'échec de la restauration monarchique en France, et alors que la jeune république se montrait très agressive envers le catholicisme, de renoncer à une opposition systématique au régime en place, et même d'accepter la Constitution pour combattre "par tous les moyens honnêtes et légaux" les lois anti-chrétiennes, en permettant aux catholiques de peser de tout leur poids sur les nouvelles institutions...
     
    Le pape - ingénument - pensait que, les catholiques étant majoritaires en France, cela suffirait à leur faire gagner les élections, et donc à diriger ou - si l'on peut dire... - cornaquer le16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologies gouvernements :
     
    "Accepter la constitution, fait accompli, mais pas la législation, fait réformable, et pour cela, par les élections sous étiquette républicaine, s'insérer dans le régime républicain et y faire de bonnes lois." disait le pape...

    Trois mois après l'encyclique, le Pape s'adressait aux cardinaux français : "Acceptez la République, c'est-à-dire le pouvoir constitué... respectez-le, soyez-lui soumis, comme représentant le pouvoir venu de Dieu... Inutile de rappeler que tous les individus sont tenus d'accepter ces gouvernements et de ne rien tenter pour les renverser ou pour en changer la forme."

    S'adressant au Baron de Montagnac, qui refusait le Ralliement, Léon XIII s'exclama : "Faites-vous républicain d'une bonne république. Vous comprenez ? Je veux que tous les catholiques entrent, comme une cohue dans la République... Les traditions doivent céder pour un moment... vous les retrouverez après l'œuvre accomplie...  il faut abandonner les traditions pour le moment, un petit moment seulement."


    Le pape avait "simplement" oublié les paroles de Saint Cyprien, au IIIème siècle : "Il existe un mal pire et plus meurtrier que la persécution, c'est l'empoisonnement perfide de la mentalité."
     
    Sa vision, purement théorique, était une grave erreur au plan des principes, comme au plan de la tactique : descendre sur le terrain de l'adversaire en utilisant sa doctrine et ses pratiques, cela relevait d'un angélisme profond, qui, pour être sincère, n'en témoignait pas moins d'une incompré16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologiehension fondamentale de ce qu'était la république idéologique française, fondée sur les dogmes de la Révolution : cette république, cette Révolution, ces dogmes étaient - et restent - une nouvelle religion, dont le but premier et essentiel est de remplacer l'autre, la chrétienne, la traditionnelle, et de la détruire, par tous les moyens; en détruisant également toutes les racines historiques et culturelles d'un pays millénaire, l'expression "l'an 1 de la République" étant - à cet égard - parfaitement révélatrice de cette nouvelle France, de cette nouvelle société que la république idéologique - comme l'a si justement dit Jules Ferry - voulait bâtir "sans roi et sans dieu".
     
    Méconnaître cette haine destructrice et cette volonté farouche d'effacer tout ce qui a fait une Nation pendant mille ans - y compris et surtout ses racines chrétiennes - témoignait d'une incompréhension politique dramatique à ce niveau. La rupture avec un siècle d'opposition aux thèses révolutionnaires était brutale, et l'Église renonçait à combattre son ennemi mortel : le Ralliement fut à la fois un stupéfiant marché de dupes - comme les choses devaient très vite le montrer - et une non moins stupéfiante capitulation idéologique en rase campagne, pourrait-on dire...
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieLe cardinal français Pitra, qui s'opposait fermement à cette rupture dans la politique vaticane, se vit réprimander par Léon XIII lors d'une audience très pénible de trois quart d'heure, durant laquelle, debout et tête nue, il reçut les plus aigres reproches d'un Léon XIII en l'occurrence fort peu compréhensif. Le cardinal accepta, par obéissance, de ne plus s'opposer au pape, et se retira dans une abbaye, où il mourut en 1889, soit trois ans avant la publication de l'encyclique : il se contenta de déclarer "Hora est potestas tenebrarum", reprenant les paroles du Christ à ceux qui venaient l'arrêter (citées par Luc - 22) : "Haec est hora vostra et potestas tenebrarum" ("C'est ici votre heure et la puissance des ténèbres")...
     
    Le Ralliement fut peu suivi par les catholiques français, à de rares exceptions près, notamment celle de ce grand royaliste social que fut le comte Albert de Mun - qui ne tarda pas à le regretter amèrement. Mais, comme le note Michel Mourre", "se heurtant à la majorité des catholiques et du clergé français... c'est cependant dans la ligne du ralliement que put commencer à se développer, au début du XXème siècle, le mouvement de démocratie chrétienne."
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieEt, surtout, 34 ans après, les sanctions vaticanes contre l'Action française orientèrent définitivement la structure et la mentalité même de l'Église-institution, en la vassalisant au pouvoir républicain, qu'elle reconnaissait, de fait, comme la norme suprême, le cadre obligé dans lequel toute organisation - y compris elle-même, l'Église - devait agir; mais à la condition de reconnaître les lois et règles de la république idéologique comme la loi et la norme supérieure, s'imposant à tous. Et bien sûr, a fortiori, en s'interdisant de les combattre en tant que tels.
     
    C'est à ce marché de dupe, à cette capitulation en rase campagne qu'il faut sans cesse revenir; et à partir desquels on peut marquer, dater l'origine profonde et essentielle des destructions méthodiques et continues de tout ce qui faisait l'essence même de la société française...

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    Quatre de nos Éphémérides traitent des rapports entre l'Église et la République idéologique française, en général, et des rapports entre l'Église et l'Action française en particulier :

    pour les rapports entre l'Église et la République idéologique française, en plus de celle-ci sur le "Ralliement", voir notre Éphéméride du 18 novembre - sur le "toast d'Alger", qui préparait les esprits à ce "ralliement";

    pour les rapports entre l'Église et l'Action française, voir notre Éphéméride du 29 décembre, sur les sanctions vaticanes contre l'Action française, et notre Éphéméride du 10 juillet, sur la levée de ces sanctions par Pie XII...
     
  • Solidarité Kosovo ! RENCONTRE AVEC PHILIPPE MANGEARD, CONSUL HONORAIRE...

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

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  • Éphéméride du 16 février

    1892 : Léon XIII, pape du Ralliement...

     

     

     

     

    1608 : Mort de Nicolas Rapin

    Dans la France troublée des Guerres de religion, Nicolas Rapin se signale par son action politique, "royaliste" au sens le plus profond et le plus politique du terme.

    Aux États généraux de Blois (1588), il défend avec vigueur la Royauté; et il s'oppose à la Ligue, par la plume, en dressant l'épitaphe du duc de Joyeuse et par ses poèmes sur les victoires de l'armée royale.

    Lors de la Journée des barricades (voir l'Éphéméride du 12 mai), il est contraint de fuir Paris, et rallie le camp d'Henri III; puis il fait partie de ceux qui, avec Jacques-Auguste de Thou réclame à Henri de Navarre de venir au secours d'Henri III.

    Après l'assassinat du Roi, Rapin participe à la bataille d'Arques : remarqué sur les champs de bataille, comme à Ivry, sa fidélité lui vaut d'être anobli en octobre 1590 par Henri IV.

    Rapin a directement participé à la rédaction de La Satyre Menippée, pamphlet dirigé contre la Ligue, écrit en collaboration avec Pierre Pithou et Jean Passerat (voir l'Éphéméride du 1er novembre).

    On peut toujours admirer son très beau château de Terre-Neuve, en Vendée :

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    https://chateau-terreneuve.com/

    De Chambord proviennent différents panneaux du XVIème siècle à motifs de salamandres et du monogramme de François 1er, mais également les 13 soleils en bois doré contemporains des aménagements commandés par Louis XIV. Ces éléments de décors furent enlevés par le maréchal de Saxe - à qui le château fut offert par Louis XV, en guise de récompense, après le triomphe de Fontenoy... - qui les remplaça par d'autres boiseries; et aussi le probable fronton de scène de la première représentation du Bourgeois Gentilhomme, donnée à Chambord le 14 octobre 1670...

     

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  • Reçu du Centre Lesdiguières...

    ...l'annonce de la disponibilité de la conférence de Richard de Sèze... :

    (1'05'32)

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le Figaro a publié sur tweeter cette bonne vidéo sur Soljénitsyne (2'27), accompagnée du court commentaire suivant :

    "Le 13 février 1974, l’écrivain russe Alexandre Soljenitsyne était accueilli à Francfort, en Allemagne de l’ouest, après son expulsion d’URSS. Son tort ? La publication de «L’Archipel du Goulag», un livre écrit en secret qui révéla l’ampleur des horreurs du Goulag."

    https://x.com/Le_Figaro/status/1757353672466469053?s=20

    La vidéo est bonne, on vient de le dire : il y manque pourtant quelque chose d'essentiel : le rappel de la venue de Soljénitsyne en Vendée, il y a 30 ans (le 25 septembre 1993) Alexandre Soljenitsyne, de retour de 20 années d'exil, pour inaugurer le Mémorial de Vendée aux Lucs-sur-Boulogne. Il prononça alors un discours mémorable, établissant la filiation directe entre l'horrible révolution bolchévique et son origine : la révolution française, dont la révolution bolchévique se voulut, tout simplement, la quintessence, l'aboutissement final et parfait (!)...

    Dans ce discours, Soljénitsyne dit le mal qu'il faut penser de toute révolution. De la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationnalistes du bonheur du peuple"...

    Lisez-le ici :

    GRANDS TEXTES (1) : Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée.

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  • Grandes "Une" de L'Action française : sur Charles Péguy, "tombé les armes à la main, face à l'ennemi", ainsi "entré parmi les héros de la pensée française"...

     

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

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    Charles Péguy est mort 5 Septembre 1914, le premier jour de la première bataille de l'Ourcq, à Villeroy.

    En plus des désordres, lenteurs et désorganisations diverses dues à la guerre, le gouvernement français s'est replié sur Bordeaux, face à l'avancée ennemie : dans L'Action française du 8 Février on a cette information capitale :

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    • la "blessure" concernant Léon Daudet, dont il est question ici, provient d'un accident de la route le concernant, qui eut lieu le premier Août précédent (jour de la Mobilisation générale) : c'est encore Daudet qui en parle le mieux :

    accident de La Roche

    • Le trio Bainville/Daudet/Maurras est donc séparé, ce qui ajoute encore à la désorganisation générale et à la lenteur de la circulation des informations; ce n'est donc que treize jours après la mort glorieuse de Péguy que L'Action française lui rendra l'hommage qu'il méritait, sous la plume élogieuse de Maurras, dans le beau troisième paragraphe de sa "Politique" (colonnes trois et quatre), sobrement intitulé "III. Charles Péguy"...

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    • Bainville, lui, qui tient son Journal (et spécialement un Journal année 1914), ne rédigera sa note (qu'on lira plus bas) que le 20 septembre...

    Voici la "Une" du Vendredi 18 Septembre 1914 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k758482k

    • Voici ce troisième paragraphe, débutant en partie inférieure de la troisième colonne...:

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  • Éphéméride du 15 février

    30 juillet,sacre des rois de france,couronnement,reims,cathédrale du sacre,roi de france,sacre de reims,regalia,saint denis,louvre,sainte ampoule,galerie d'apollonIl y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée" .

    Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel  à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.

    Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :  

    1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)

    • 2. Splendeur et décadence : Les diamants de la Couronne... Ou : comment la Troisième République naissante, par haine du passé national, juste après avoir fait démolir les Tuileries (1883) dispersa les Joyaux de la Couronne (1887), amputant ainsi volontairement la France de deux pans majeurs de son Histoire (12 février)

     3. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. I : La cathédrale de Reims et la cérémonie du sacre du roi de France (15 février)

    • 4. Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale. II : La basilique de Saint-Denis, nécropole royale (19 février)

     5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française (13 mars)

     6. Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France (11 avril)

     7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien (28 avril)

     8. Les Chambiges, père et fils (Martin et Pierre), constructeurs de cathédrales, élèvent à Beauvais (cathédrale Saint-Pierre) le choeur ogival le plus haut du monde : 46 mètres 77 ! (4 mai)

     9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile (28 mai)

     10.  Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650 (26 juillet)

     11. Le Mont Saint Michel (11 août)

     12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord (29 septembre)

     13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé (27 octobre)  

     

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    Aujourd'hui : 

    Les deux hauts lieux indissociables de la Monarchie française : la cathédrale Notre-Dame de Reims, cathédrale du Sacre, et la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale.

    I : La cathédrale de Reims et la cérémonie du sacre du roi de France... (suivant : Éphéméride du 19  février, Basilique de Saint-Denis) 

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    Voir aussi notre album (40 photos) : Reims, cathédrale du Sacre

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1892 : Léon XIII impose le "Ralliement" à la République, premier acte de la capitulation en rase campagne de l'Église catholique face à la Nouvelle Religion Républicaine.

    Trente quatre ans plus tard, un autre Pape, Pie XI, "sanctionnera" l'Action française, qui menait la croisade contre le nazisme montant en Allemagne, et qui était alors en pleine "phase ascendante"...

    Dans un cas comme dans l'autre, l'Église "légale" aura bien servi la Révolution, dont l'oeuvre et le but essentiel est, justement, la destruction de l'Église catholique autant que de la Royauté traditionnelle; conscient, "mais un peu tard" (comme le dirait La Fontaine), Léon XIII déclara à ses intimes : "Ils nous ont bien eu !..." Certes, mais, à qui la faute ?

    De même, Pie XI prit en 1926 les écoeurantes "sanctions vaticanes" contre l'Action française : ses injustes et cruelles sanctions seront levées en 1939 par le nouveau Pape, Pie XII, dont ce fut le premier acte pontifical. La mesure était bonne, certes, mais elle arrivait trop tard, le mal était fait, irrémédiablement...

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