Il trace son sillon: le Prince va à la rencontre des gens.... et cela finit par faire du monde !....

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Pour cette première fois, il est en provençal, ce texte dédié aux défunts, et tout plein de cette belle espérance que nous tirons de la religion du Dieu de nos pères. On le lira donc en pensant -plus particulièrement- aux maîtres provençaux de notre vie intellectuelle: Maurras, Daudet, Mistral....
Mais, l'année prochaine et les suivantes, pourquoi ne pas en publier un, chaque année, dans chacune de ces langues régionales qui sont une des richesses, et des racines, de notre France ? Si, donc, les bretons, mais aussi les catalans, les flamands, les corses, les alsaciens, les basques... veulent, à chaque jour des défunts, les honorer par une prière ou un poème dans leur langue, qu'ils nous envoient un texte, et nous le publierons bien volontiers.
Complaisamment exhibés par des journalistes plus gauchos-trotskos que professionnels, Rahmatullah et Ahmad -qui se sont complaisamment aussi prêtés au jeu- sont deux Afghans impayables. On veut bien admettre qu'ils sont malheureux, et on veut bien compatir à leur triste sort. On veut bien trouver qu'ils n'ont peut-être pas de chance d'être afghans. Mais, quand ils disent qu'ils sont ici, c'est-à-dire chez nous, et qu'ils s'énervent, en disant qu'ils ne partiront pas car "ce qu'ils veulent ce sont leurs droits", là, il y a de l'abus.
Car, qu'y pouvons-nous, nous, s'ils ont des problèmes dans leur pays ? Ce n'est pas en nous mettant en demeure -en quelque sorte- de régler leur(s) problème(s) qu'ils feront avancer les choses, tout simplement parce que la France n'a pas juridiction en Afghanistan, et n'a de toutes façons aucun moyen d'action dans ce pays; et ce n'est pas en venant comme clandestins, ici, qu'ils contribueront à résoudre les problèmes, là-bas....
Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.
Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.
C’est pourquoi nous publierons, ici, régulièrement, à compter d’aujourd’hui, et pendant un certain temps, différents extraits significatifs de cet ouvrage, dont, on l’aura compris, fût-ce pour le discuter, nous recommandons vivement la lecture.
Jean-François Mattéi est interrogé aujourd'hui, dimanche 1er novembre, sur la question de l'identité nationale dans l'émission de France Culture : "Les retours du dimanche", de 18 h à 19 h, avec Caroline BROUÉ
Il est né un premier novembre, il y a bien longtemps: en 1869, cela fait près d'un siècle et demi. Et pourtant, il illustre à merveille ce qui ne meurt pas : la Camargue que nous connaissons aujourd'hui, pour une très large part, c'est lui. Il l'a plus que sauvée : il l'a rêvée, d'abord, il l'a inventée, puis, avec courage, obstination et fermeté, il l'a imposée, le mot étant pris ici au bon sens du terme.
Voici, en ce jour anniversaire de sa naissance, une brève présentation du Marquis Folco de Baroncelli-Javon, qui se veut un acte de reconnaissance envers l'un de ceux dont nous sommes les héritiers, conscients du patrimoine et du trésor qu'il nous a légué...
Oui, Rémi Soulié a mille fois raison d'employer cette expression très heureuse, dans Le Figaro Magazine de ce jour, pour la présentation du dernier ouvrage de Jean-François Mattéi, "Le sens de la démesure".
"Essai : "La démangeaison de l'infini et de l'immense"
Ernst Jünger définissait notre temps comme celui du «retour des Titans». Jean-François Mattéi, philosophe à qui nous devons déjà une méditation sur la «barbarie intérieure», explore ici les différentes modalités de cette «démangeaison de l'infini et de l'immense» à travers le mythe, la tragédie ou la cité. Avec brio et érudition, il démontre combien «la démesure revendiquée du progrès, nouveau Moloch auquel il fallait à tout prix sacrifier» a entraîné des désastres humains, politiques et écologiques. Pour cette superbe réflexion, il ne faut pas mesurer son admiration."
Autre chose: Jean-François Mattéi sera interrogé demain dimanche 1er novembre sur la question de l'identité nationale dans l'émission de France Culture : "Les retours du dimanche", de 18 h à 19 h, avec Caroline BROUÉ.
Une émission à ne rater sous aucun prétexte, et dont nous rendrons compte, bien évidemment.
Patrice de Plunkett ( http://plunkett.hautetfort.com/ ) a bien fait d’attirer l’attention sur l’article de Jacques Sapir, Un an après… Ceux qui l'auraient laissé passer (dont nous faisions partie...) auaraient manqué quelque chose !
Intelligemment illustré par cinq graphiques et trois tables, l’article commence ainsi :
« Aujourd'hui, la crise commencée au début de 2007 connaît donc une accalmie. A voir comment les banques ont reconstitué leurs profits, et les banquiers leur appétit illimité, on pourrait même croire qu'elle est terminée. Il n'en est rien, et la stabilisation actuelle risque d'être provisoire. Les problèmes posés par cette crise n'ont en rien été résolus par les mesures prises depuis un an.
Un nouvel Album (24 photos) est à votre disposition, dans la série Racines: voici le Mont Saint Michel, haut lieu s'il en est. Il résume et récapitule tout en lui: spiritualité, art, histoire, culture et civilisation.... Les lecteurs de ce blog savent l'importance que nous accordons à ce thème des Racines et du Patrimoine: "...Le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon" (Jean de la Varende). Et si le patrimoine est bien, comme nous le disons souvent, l'une des visibilités de notre Être profond, voilà un monument qui donne bien la France à voir, à connaître, à aimer.....
Beaucoup d'autres albums suivront: les deux prochains seront Versailles (le palais temple du soleil) et le vitrail du XIIIème siècle du Miracle de Théophile, de la cathédrale de Beauvais.
Dans cette même logique des Racines et du Patrimoine, le 4 novembre, jour de sa mort, vous pourrez écouter dans les Ephémérides le Sanctus du Requiem de Fauré.....
Voici ce que vous trouverez à partir de dimanche sur le blog (sauf modifications de dernière minute imposées par l'actualité...)
( Communiqué )
Nos amis de Marseille nous ont demandé de passer l'info suivante:
13 novembre: la soirée de présentation d' Un Prince français sous la présidence effective de Christian Atias.
Nous avons attendus que cela soit parfaitement sûr: nous sommes maintenant en mesure de vous confirmer la présence de Christian Atias à la soirée de présentation du livre du Prince. Le professeur Atias a, du reste, accepté de prendre la présidence effective de la réunion. C'est évidemment une bonne nouvelle, qui ne peut qu'augmenter encore l'intérêt de cette rencontre aux Arcenaulx.
Ce n'est pas la première fois que Christian Atias nous fait l'amitié d'être au milieu de nous. Celles et ceux qui ne l'auraient pas visionnée peuvent regarder la vidéo de son allocution du 21 janvier 2008, à Marseille, où il avait pris la parole avec Hilaire de Crémiers et Jean-François Mattéi:
http://www.dailymotion.com/video/x47dr9_le-roi-est-mort-vive-le-roi_politics
(Lu dans le blog de Benoît de Sagazan ( http://patrimoine.blog.pelerin.info/ ) : Une redécouverte inédite : une table des collections de Louis XIV au château de Marly (1682/1683) vient d'être identifiée par l'Inspection du Mobilier national.
Ce meuble illustre, à l’historique jusqu’ici inconnu, a été présenté pour la première fois au public à l’occasion de l’exposition Fastes royaux -la collection des tapisseries de Louis XIV, le dimanche 20 septembre 2009, à la Galerie des Gobelins, dans le cadre des Journées du patrimoine.
Pied de table en chêne sculpté et doré avec une table en vert de mer.
Immigrés, clandestins/hors la loi, sans-papiers... quel que soit le nom dont on les désigne, ces personnes restent des êtres humains, dimension que l'on oublie le plus souvent lorsqu'on entre dans l'arène....
Et si l'on faisait un petit retour en arrière, à cette époque où José Bové -et les siens avec lui...- ont popularisé ce slogan : Vivre et travailler au pays ? A l'époque, même si la revendication comportait certains éléments postifs, il s'agissait aussi d'anti-militarisme assez primaire au Larzac, et là comme ailleurs, le bon grain cotoyait l'ivraie (Gardarem lo Larzac / Volem viure al pais...).
Oui, la drôle d'idée d'Eric Besson ne fait-elle pas penser, irrésistiblement même, à ce refrain -déjà fort ancien- de Juliette Gréco: "Si tu t'imagines, fillette, fillette.... qu'est-ce que tu te goures, qu'est-ce que tu te goures !...". Ce qui donnerait, adapté à la nouvelle situation des "jeunes" des cités quelque chose comme: s'il s'imagine, le ministre, que c'est en leur faisant chanter une fois par an un hymne raciste qu'ils vont devenir de bons petits français, qu'est-ce qu'il se goure !.....