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terreur - Page 3

  • Marina Petrella ne sera pas extradée : la grossière erreur de Nicolas Sarkozy…

               Nous ne sommes pas des charognards. Nous sommes chrétiens, et nous savons que le devoir d'oubli et que le pardon existent. Qu'ils sont justes et légitimes. Mais justement, devoir d'oubli et pardon s'appliquent sitôt que le fautif a reconnu sa faute, qu'il l'a rejetée avec horreur et qu'il la regrette sincèrement. Comment pardonner à un Battisti, à une Petrella, à un Rouillan, à une Ménigon ou une Aubry (décédée depuis...) qui ne demandent absolument pas à être pardonnés, et qui restent persuadés que ce qu'ils ont fait il fallait le faire (c'est la teneur exacte des répugnants propos tenus dans la presse, il y a peu, par Rouillan, et qui lui ont valu de retourner dans une prison dont il n'aurait jamais dû sortir....). Nous, on veut bien pardonner, oublier. On n'est pas des monstres. Les monstres ce sont eux. Ils ont fait le mal et ils en restent fiers.....

              Voilà pourquoi nous sommes révoltés, écoeurés, scandalisés de voir comment, soi-disant pour des raisons humanitaires ( il a bon dos, l’humanitaire…. ! ) Sarkozy a, en réalité, cédé aux cris, à l’agitation et aux pressions de tout ce que notre pays compte encore d’admirateurs de la violence révolutionnaire (dans laquelle ils retrouvent comme un lointain écho des origines de la république....)

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  • Fêtera-t-on le Tri-centenaire de la révolution ? Le Livre noir de la Révolution française fait son chemin... (1/3).

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               Ce vandalisme est également antimonarchique. Comment ne pas évoquer la profanation des tombes royales de Saint-Denis et la destruction des statues des rois sur la façade de Notre-Dame de Paris.

               Mercier ira jusqu’à demander la destruction du château de Versailles ! Ne parlons pas de l’exécution du grand chimiste Lavoisier, même si le mot « la République n’a pas besoin de savants » est probablement apocryphe.

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  • Le vrai problème que pose le fichier Edwige…

              Cette histoire est en train de devenir un mauvais feuilleton. Il serait grotesque et risible, abracadabrantesque comme dirait Chirac citant Dumas, s'il ne nous renvoyait en fait à quelque chose de beaucoup plus profond et, pour le coup, de beaucoup moins drôle; mais aussi, si l’on prend la peine d’y réfléchir quelques instants, très instructif….

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  • Fêtera-t-on le Tri-centenaire de la révolution ? Le livre noir de la Révolution française fait son chemin... (2/3)

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                     La peur peut être aussi à l’origine du comportement des terroristes. Elle explique les massacres de détenus dans les prisons de Paris en septembre 1792. Paris est alors menacé par le duc de Brunswick ; on craint l’arrivée des Prussiens. Il faut tuer tous les royalistes qui risqueraient de dénoncer les "patriotes". Du 2 au 6 septembre, plus de 1 300 prisonniers sans défense sont exécutés à l’arme blanche. Spontané à l’origine, le mouvement a été vite encadré par des meneurs. C’est souvent la fureur de la foule qui est à l’origine de violences, comme le meurtre du comte de Dampierre venu saluer la berline du roi au retour de Varennes, le 22 juin 1791.

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  • Fêtera-t-on le Tri-centenaire de la révolution ? Le Livre noir de la Révolution française fait son chemin... (1/3).

          couv7741g_260.jpg                                             Ce livre a d'ores et déja fait du bruit. Les ahurissants propos tenus par un Jean-Clément Martin, Professeur d'Histoire de la Révolution française à l'Université Paris I - Panthéon Sorbonne et directeur de l'Institut d'Histoire de la révolution farnçaise (CNRS) en témoignent. La roue tourne, elle a tourné, et c'est maintenant le camp d'en face qui est sur la défensive. Ses armes ? Mensonges et enormités, comme au bon vieux temps de la Révolution. Deux exemples, tirés du-dit Martin: la Terreur ? "Une invention pure et simple" ! ou: "La Terreur est une arme employée par l'Ancien Régime..."  A quoi "ils" en sont réduits !.....

                Voila pourquoi il faut lire, faire lire et donner un maximum de diffusion à cet ouvrage.

               Jean Tulard l'a brillamment présenté, dans "Valeurs Actuelles" (1), en contrepoint d'une "sorte d'histoire convenue de la Révolution qui négligeait le sang, les massacres, le génocide Vendéen". Et ce livre est écrit non par des polémistes, en vue d'alimenter simplement la polémique, mais bel et bien par des historiens, dans un souci avant tout d'objectivité et de vérité historique....

              Tant pis pour ceux que cela dérange dans leurs douillettes certitudes, tant pis pour le conformisme, et tant mieux pour ceux qui refusent le conformatage des esprits par une vérité officielle, quelle qu'elle soit. Coïncidence: ce livre collectif est sorti au moment même où l'on a ré-édité Jules Michelet. Mais Michelet c'est aussi précisément, au moins pour une bonne part, l'histoire officielle, telle qu'on l'a enseignée pendant si longtemps dans nos écoles, avec ses mensonges, ses omissions, ses travestissements de la Vérité. C'est un bon représentant de cette époque et de cette façon de voir les choses qui a fait dire à des historiens étrangers que l'Histoire de France semblait avoir été écrite par des ennemis de la France. La roue tourne: livres, films, émissions de télévision: on ne présente plus la Royauté comme on l'a fait si longtemps, on remet les choses à leur vraie place. En un mot la Vérité est en train de reprendre droit de cité, et toute sa place: ceci est un fait nouveau, majeur, et qui ne pourra pas rester sans conséquences...

    Place à Jean Tulard...

    (1): Le livre noir de la Révolution Française, Editions du Cerf (2008), 882 pages, 44 euros (poids: 1085 grammes !).

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  • Olivier Besancenot, ou le syndrome de l’écrevisse…

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               Lors d’une récente réunion de lancement de son NPA , Olivier Besancenot, n’a pas été gêné un seul instant d’exprimer des propos démentis par la chute des révolutions et des régimes directement issus d’elles : en Russie, ex URSS, et dans l’ex empire est-européen du « génial petit père des peuples » ; en Chine, où de toute évidence le marxisme-léninisme, même accomodé  à l’indigeste sauce mao , est parfaitement soluble dans le nationalisme chinois hérité de la Chine éternelle et (horresco referens) de la politique traditionnelle héritée des empereurs ;  et, demain, dans les derniers vestiges confettis d’un empire révolutionnaire appartenant  de fait au passé , comme le Viet Nam et Cuba, où seul l’épuisement des populations et la militarisation policière des régimes donne un répit et un semblant de force à des systèmes dont, en réalité, la seule et dernière force est la force d’inertie…..

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  • GRANDS TEXTES (1) : Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée.

    Nous inaugurons – avec ce discours d’Alexandre SOLJÉNITSYNE – une nouvelle catégorie de notes : celle de ce que nous nommerons les "Grands textes" parce qu’ils ouvrent la réflexion sur les perspectives de l’essentiel.

     

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    Dans ce discours, Soljénitsyne dit le mal qu'il faut penser de toute révolution. De la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationnalistes du bonheur du peuple"...

    On notera que tel est l'objet profond de nos analyses, sur ce quotidien lafautearousseau.

    Sur la réalité des révolutions, sur les horreurs qu'elles engendrent, sa pensée se "dédouble" dans une vision grandiose et universelle des maux que le monde a connus de leur fait, aux XIXème et XXème siècles. Il appelle de ses voeux le temps où seront érigés, en Russie, des monuments pour témoigner de cette barbarie et souhaite que les Français en fassent autant, non seulement comme objet de mémoire, mais aussi, mais surtout, comme condition d'une renaissance. 

    Soljénitsyne ouvre à notre réflexion de multiples "pistes" avec, à l'instar du pape Jean-Paul II, la force et l'autorité d'un témoin, d'une victime, en définitive victorieuse...

     

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  • Nous en reparlerons bien sûr, mais d’ores et déjà « QU'ON SE LE DISE !.....)

              L'infomation a été rendue publique lundi 4 août 2008 au soir : Ignat Soljenitsyne, fils d'Alexandre Soljenitsyne, disparu dans la nuit du dimanche  3 au lundi 4 août, donnera un récital de piano exceptionnel, normalement le 14 mars 2009, dans le grand hall de l'Historial de la Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, construit à l'emplacement où son père prononça un discours lors de sa venue avec sa femme Natalia (il résidait alors aux Etas-Unis), le 25 septembre 1993.

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  • Révolution : La roue tourne, elle a déjà beaucoup tourné ; la vague reflue, mais il faut encore pousser à la roue…

               On vient de voir que le régime chinois, encore officiellement marxiste léniniste à la sauce Grand Timmonier, n’a pas hésité à faire l’impasse absolue sur tout ce qui faisait les cinquante dernières années de l’histoire de la Chine, c'est-à-dire tout simplement la Révolution elle-même. Et à verser dans un Patriotisme et un Nationalisme dont certains, ici, n’auraient même pas l’idée. L’absorption du marxisme par la Chine éternelle est donc en bonne voie (à l’image du buvard qui boit l’encre….). La vague reflue donc là-bas, et ce serait un signe encourageant si cela était contagieux, si elle refluait aussi chez nous..... 

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  • Terreur, Acte II : 16 Octobre 1793, Assassinat de Marie-Antoinette...

              Après l'Acte I, du 21 Janvier, qui constitue l'acte fondateur des Totalitarismes modernes, voici l'Acte II de la tragédie révolutionnaire, acte dans lequel on peut voir a la fois une barbarie inutile, et l'une des racines lointaines, mais profonde et essentielle, du Racisme moderne: après l'assassinat de Louis XVI, voici l'assassinat de Marie-Antoinette, deuxième personne de cette trilogie des martyrs, massacrée parce qu'elle était reine mais aussi parce qu'elle était autrichienne, étrangère (1); une trilogie qui ne sera complète dans l'horreur que le 8 (?) Juin 1795, avec la fin de la longue agonie (d'un an et demi...) d'un enfant de dix ans.
              En inventant un Homme abstrait, avec un "H" majuscule, qu'elle a idéalisé et divinisé, la révolution s'est ruée sur les hommes qui nous entouraient, et qui nous admiraient (car, à l'époque, tout le monde parlait français et "badait" devant la France... En parlant des "Droits de l'Homme", elle a foulé aux pieds les droits des hommes, nos voisins, qui n'étaient animés d'aucune mauvaise intention à notre égard, pour la très grande majorité d'entre eux: elle a semé la mort et la désolation en Europe pendant près de vingt ans, tuant les hommes de chair et d'os, et dévastant leurs terres, pour apporter soi-disant la liberté à un Homme abstrait et désincarné qui n'existe nulle part, et que nul n'a jamais rencontré. 2.300.000 français tués, et 500.000 séparés de la mère-patrie (soit 10% de la population !); 20 millions de morts en Europe; et un continent ravagé par cette effroyable guerre civile européenne dont la révolution porte seule la responsabilité, et qui est un crime imprescriptible contre l'espèce humaine.
              En parlant de Liberté, elle a attenté aux libertés les plus élémentaires des gens, instaurant la Terreur à l'intérieur, puis la dictature napoléonienne; et en imposant son ordre brutal à l'Europe (comme le feront plus tard ses héritiers directs Hitler et Staline). En parlant d'Égalité, elle a multiplié les injustices, les abus et les privilèges qu'elle dénonçait et qu'elle a prétendu combattre, nous faisant passer d'une Bastille quasi vide à des dizaines de Bastille qui font de nous des citoyens surveillés sans cesse par une bureaucratie tatillonne et omniprésente, et de notre société une société bloquée. En parlant de Fraternité, elle a massacré les Vendéens, accomplissant ainsi le premier génocide des temps modernes (dont se souviendront, là aussi, ses enfants naturels, Hitler, Robespierre, Pol Pot...)

    (1): on appréciera le fait que la république, qui a excité la populace contre une autrichienne (une étrangère...), donne la France aux étrangers deux cents ans après: deux habitants sur trois de la Seine Saint-Denis, aux portes de Paris donc, sont étrangers (noirs ou maghrébins pour la plupart): on aurait peut-être pu prévenir la-dite populace qu'on faisait tout "ça" (la révolution...), pour en arriver à "ça" (la France donnée aux étrangers...): il est vrai qu'il s'agit de noirs et de musulmans, pas d'autrichiens, européens et catholiques.....

  • "Criminels bienvenus" / "Si pas extrême gauche s'abstenir"...

              La république est vraiment accueillante pour les assassins et les criminels étrangers; à la seule condition, toutefois, qu'ils soient dûment estampillés "extrême gauche" et "révolutionnaires"...(sinon, la mansuétude ne joue pas...). On ne sait toujours pas comment va finir "l'affaire Battisti" ( cet assassin italien, coqueluche des bobos-trotskos, "invité" en France pendant plusieurs années par François Mitterand, et qui a fini par s'enfuir au Brésil....); on vient d'apprendre que Marina Petrella, ex brigadiste rouge italienne, qui a assassiné un commissaire de police et grièvement blessé son chauffeur, vivait elle aussi le plus légalement du monde à Argenteuil, et travaillait comme assistante sociale dans le Val d'Oise!

              On croit rêver !: est-il normal que la république française, et des organismes officiels et publics, fassent un si bon accueil à des assassins étrangers ? Leur trouvent un logement et du travail (beaucoup d'étudiants galèrent pour trouver un local exigu, à des prix exorbitants; et beaucoup de français sont au chômage: la république est-elle si riche en logements et en postes de travail ? qu'elle les procure donc aux français si elle en a tant en réserve...!).

               Que dirait-on, en France, si un assassin quittait le territoire national après son ou ses forfaits et partait vivre normalement ailleurs ? Quel (s) exemple (s) de vertus privées et publiques la république donne-t-elle en agissant ainsi ? La vérité est que, peu à peu mais d'une façon continue, le pays légal transforme la France en une vaste poubelle... Mais l'affaire se corse, si l'on peut dire: plutôt que de faire profil bas, l'intéréssée, c'est un comble !, a fait part à l'Humanité (évidemment !) de sa "rage" (ben voyons !); elle aurait dit quelque chose comme "c'est presque comme si ma vie allait s'arrêter...".

              Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd !: la vie du commissaire de police qu'elle a froidement et lâchement assassiné, sans jamais exprimer le moindre remords, ce n'est pas "comme si" elle allait s'arrêter: elle s'est arrêté pour de bon, et d'un coup, pour lui, pour sa femme et pour ses enfants; mais ça l'Humanité s'en fout: il n'était pas révolutionnaire !......

  • Le premier Résistant de France...

    Contrairement à ce que pensent certains, la révolution française ne fut pas seulement, et peut être d'ailleurs pas essentiellement, anti royale: elle fut également, et au moins autant, anti-chrétienne, anti-catholique: Louis XVI avait accepté, et était prêt à accepter, beaucoup de réformes; et les partisans de ces réformes (Mirabeau par exemple...) n'imaginaient pas un instant les horreurs qui allaient suivre; une Royauté constitutionnelle, avec un Roi (Louis XVI en l'occurence) ayant de grands pouvoirs, mais présidant une Assemblée Nationale qui aurait, elle aussi son rôle -nouveau- à jouer: tel était le destin tout tracé, semblait-il, du "grand mouvement de 1789". Mais ce qui, au fond, intéressait le plus les idéologues, ces durs petits esprits, tout enivrés de leurs soi disant Lumières, c'était la mise à bas d'un ordre qui, dans ses fondements même, reposait sur la Transcendance, puisqu'il admettait et acceptait l'existence de Dieu, le Dieu du Décalogue, donnant des Lois aux hommes et intervenant donc dans la vie concrète des gens; et représenté sur terre par son "Lieu-Tenant", le Roi.

    Bien avant de penser à la mort du Roi, les révolutionnaires cherchèrent à proclamer et à organiser "la mort de Dieu": on eut très vite la preuve de cela, lorsque -après que Louis XVI eut accepté maints changements de taille- les révolutionnaires s'assignèrent comme tâche ce qui n'était en fait rien d'autre que le viol des consciences: sous prétexte de réorganiser les "affaires religieuses", on en arriva à imposer la Constitution Civile du Clergé, finalement condamnée par le Pape, et que Talleyrand lui même -qui, pourtant siégeait à l'Assemblée Constituante- devait appeler "la plus grande faute politique de l'Assemblée": elle divisait irrémédiablement, en effet, l'Église de France; elle était rejetée par une très large part de l'opinion publique; enfin, elle ouvrait la voie à une coupure définitive entre Louis XVI et l'Assemblée: l'obligation de "prêter serment", véritable machine de guerre , véritable bombe destinée à "casser" l'Eglise fut ce par quoi le nouveau venu, Danton, piégea Louis XVI, en cherchant à l'obliger à prendre parti pour la Constitution Civile, donc pour les Jureurs contre les Réfractaires; et c'est par là, en effet, que Louis XVI perdit vraiment et définitivement son trône, puis sa vie et celles des siens, car dès lors il cessa d'accepter: il eut conscience que, à partir de ce moment là, et dans ce domaine là, il n'y avait plus de concessions, mais des compromissions: alors il résista...

    Il résista puisqu'il n'était plus libre de ses opinions; il résista à cette Assemblée qui cherchait à lui dicter ses opinions, alors qu'elle proclamait la "Liberté"; il résista à ces idéologues durs et froids, qui voulaient régenter les consciences, comme le firent plus tard leurs "dignes" successeurs, Hitler et Staline, chacun dans son style, chacun dans ses camps, mais tous deux deux cherchant soit à ré-éduquer soit à anéantir celles et ceux qui osaient refuser le paradis sur terre que l'état nazi ou communiste avaient imaginé pour eux ("le Reich pour mille ans" ou "la société sans classe, si belle que nul ne peut l'imaginer"). Oui, l'assassinat de Louis XVI fut bien l'acte fondateur des Totalitarismes modernes, dont la France, le Monde et la Civilisation ont payé le prix fort; mais cet acte fondateur fut précédé par l'acte courageux et lucide de celui qui le premier osa se lever contre la barbarie, en sachant qu'il perdrait tout dans ce combat: mais, comme les martyrs des Camps nazis ou des camps du Goulag, c'est dans cette apparente défaite  humaine que se trouve la victoire de l'Esprit contre le Mal...