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battisti

  • D'accord avec... Gilbert Collard et son coup de gueule, où il en "aligne" quelques uns....

             .....de Cesaro Battisti à Caroline Freud :

            "...Parce que tout ce qui est de gauche, même le crime, même le mensonge, bénéficie d’un passeport moral et médiatique qui permet de franchir les frontières de l’intolérable. Ils peuvent tout dire, ils sont dans le bien universel, dans la vérité, dans le cœur qui bat l’estrade. Avec eux, un terroriste de gauche, un fasciste, est un brave mec et ses morts des accidents de l’histoire… C’est tellement vrai que le procureur italien a parlé d’une «  formidable désinformation en France. » Que se passe-t-il dans la pensée française pour qu’il suffise de se déclarer de gauche pour avoir tous les droits à la suffisance doctrinale, à l’affirmation péremptoire, à la confiance, à l’impunité ?..."

            http://www.gilbertcollard-leblog.com/article-sainte-caroline-terrassant-la-vipere-76669681.html

            Ce coup de gueule salutaire nous ramène à cette étrange attirance/fascination pour la violence révolutionnaire de la part d'un certain nombre de personnes. Une attirance qui s'explique, en réalité, fort bien...

            Nous en avons déjà parlé, ici-même : c'était à propos de Max Frérot (dans notre note du 9 juin 2009 : max frérot.pdf ) : 

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  • Affaire Battisti : Y aurait-il un "droit à tuer", un "droit à la Terreur" ?...

            Lula a surpris tout son monde. Plutôt sympathique, en tant que personne; plutôt raisonnable, en tant que Chef d'Etat; et plutôt positif, dans son bilan (si l'on met à part la persistance de ces deux plaies endémiques que sont la violence et la misère, auxquelles il s'est malgré tout attaqué....), voilà quelqu'un qui partait pour ne laisser qu'un bon souvenir après son départ des affaires.

            C'est peu de dire que l' "affaire Battisti", c'est-à-dire sa décision controversée de ne pas extrader celui que l'Italie demande, pour le juger, a jeté une ombre sur ce tableau frisant l'idyllique..... 

    LulaBattisti.jpg

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  • "Criminels bienvenus" / "Si pas extrême gauche s'abstenir"...

              La république est vraiment accueillante pour les assassins et les criminels étrangers; à la seule condition, toutefois, qu'ils soient dûment estampillés "extrême gauche" et "révolutionnaires"...(sinon, la mansuétude ne joue pas...). On ne sait toujours pas comment va finir "l'affaire Battisti" ( cet assassin italien, coqueluche des bobos-trotskos, "invité" en France pendant plusieurs années par François Mitterand, et qui a fini par s'enfuir au Brésil....); on vient d'apprendre que Marina Petrella, ex brigadiste rouge italienne, qui a assassiné un commissaire de police et grièvement blessé son chauffeur, vivait elle aussi le plus légalement du monde à Argenteuil, et travaillait comme assistante sociale dans le Val d'Oise!

              On croit rêver !: est-il normal que la république française, et des organismes officiels et publics, fassent un si bon accueil à des assassins étrangers ? Leur trouvent un logement et du travail (beaucoup d'étudiants galèrent pour trouver un local exigu, à des prix exorbitants; et beaucoup de français sont au chômage: la république est-elle si riche en logements et en postes de travail ? qu'elle les procure donc aux français si elle en a tant en réserve...!).

               Que dirait-on, en France, si un assassin quittait le territoire national après son ou ses forfaits et partait vivre normalement ailleurs ? Quel (s) exemple (s) de vertus privées et publiques la république donne-t-elle en agissant ainsi ? La vérité est que, peu à peu mais d'une façon continue, le pays légal transforme la France en une vaste poubelle... Mais l'affaire se corse, si l'on peut dire: plutôt que de faire profil bas, l'intéréssée, c'est un comble !, a fait part à l'Humanité (évidemment !) de sa "rage" (ben voyons !); elle aurait dit quelque chose comme "c'est presque comme si ma vie allait s'arrêter...".

              Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd !: la vie du commissaire de police qu'elle a froidement et lâchement assassiné, sans jamais exprimer le moindre remords, ce n'est pas "comme si" elle allait s'arrêter: elle s'est arrêté pour de bon, et d'un coup, pour lui, pour sa femme et pour ses enfants; mais ça l'Humanité s'en fout: il n'était pas révolutionnaire !......