Immigration - Insécurité - Anti racisme - Page 142
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D'accord avec... : Michèle Tribalat et son "Immigration, le grand renoncement..."
http://www.bvoltaire.fr/micheletribalat/immigration-le-grand-renoncement,4121
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Chronique de la France qui souffre : "Dégage !..." : le slogan popularisé par "la rue" de Tunis ou du Caire ferait bien, ici aussi...
... Ce qui donnerait, par exemple (liste non limitative, bien entendu...): Ali (cogneur de prof), dégage ! Kamel (violeur en série), dégage ! Famille Merah, dégage !...
1. C'est dans La Provence du samedi 17 novembre 2012 : Ali "cogne" son prof parce que celui-ci aurait tenu des "propos anti-Islam; Ali dit qu'il va "faire une Shoah" ! : LA PROVENCE ALI COGNE SON PROF.JPG
2. Lu - entre autres... - sur le site du Midi Libre : "Le Gardois (!!!) Kamel Bousselat sortait de prison suite a une condamnation en 2009 pour une série d’agressions sexuelles. Selon son avocat de l'époque, le trentenaire "était conscient de sa dangerosité". Kamel Bousselat, 32 ans, le ravisseur présumé de Chloé retrouvée vivante vendredi en..."
3. La famille Merah ? Drôle de famille !... : la provence merah.JPG
Quand les Français en auront marre de tout "çà"; quand on aura changé et durci nos lois afin de déchoir d'une nationalité qu'ils ne méritent pas ces étrangers qu'on nous a imposés sans nous demander notre avis; et quand on les aura expulsés, eh bien, nous aurons encore des problèmes. Nous aurons encore des vols, des viols, des trafics en tous genre.
Mais moins. Beaucoup, beaucoup moins. Infiniment moins....
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Marseille : A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles : seules des déchéances massives de nationalité, suivies d'expulsions non moins massives éradiqueront les Mafias. Sinon, la France deviendra un immense Mezzogiorno, l'islamisme en plus...
Cela ne "recommence" pas : cela ne fait que continuer, simplement; et croître et embellir.
Il faut être singulièrement naïf et "angélique" pour penser que, lorsqu'on plante un arbre, il ne va pas pousser. "On" a follement greffé, sur le corps social français - qui ne le demandait pas et n'en avait pas besoin - des millions de gens venant d'Afrique noire et d'Afrique du Nord, à qui l'on n'avait rien de sérieux à proposer.
A part une petite minorité, qui se tient correctement, que font tant et tant d'autres ? "Il faut bien vivre", disent-ils, dans leur langage désarmant, et c'est l'argent facile obtenu par tous les trafics possibles et imaginables, de la prostitution au vol organisé, en passant apr les armes et la drogue, et le reste.
Bref, c'est l'installation tout à fait logique de mille Mafias, dont il fallait être totalement dénué du moindre bon sens pour penser qu'elles ne s'installerarient pas, après l'arrivée de quinze millions de personnes, et au rythme effréné de plus de 200.000 entrée par an (200.000 dites "régulières (!) et 30.000 régularisations).
Et "on" s'étonne ?
Sur le fil LCI du vendredi 2 novembre :
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Imam expulsé : micro-trottoir révélateur auprès de ses "fidèles" sur France info...
Traitant le sujet de l'expulsion de l'imam, le journaliste tend le micro à ceux qui fréquentent la mosquée, et à des habitants du quartier. Les réponses sont unanimes : en substance, pas du tout, l'imam n'est pas radical ni extrêmiste, il ne dit rien de mal, c'est vous (sous-entendu, les Français) qui êtes extrêmistes...
Au bout de cinq minutes d'un tel discours (!), on se dit qu'il est temps que le reportage se termine et que le micro-trottoir s'arrête : parce que, dans 30 secondes, à ce rythme-là, les "français de plastique" vont carrément demander notre expulsion à nous.
Demander ? Non, pardon, exiger...
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Marseille : une autre façon de préparer activement "Marseille 2013, Capitale Européenne de la Culture" ?
C'est dans La Provence du dimanche 28 octobre; l'auteur de l'entrefilet déclare qu'à Marseille il y a 250.000 musulmans; il y a peu, on disait 200.000; dans un an, dans cinq, dans dix, ce sera combien ?
Les Marseillais - qui payent des Taxes d'Habitation et Foncière à la limite du supportable - ont-ils été consultés, et ont-ils donné leur accord, à cette présence massive ? En vertu de l'antique adage, Qui paye commande ?Rappelons qu'au Maroc, pays musulman s'il en est, le roi sacrifie lui-même un mouton, symboliquement pour tout le peuple; ce qui évite ces torrents de sang partout que l'on voit ici chez nous, coutume nouvelle étrangère à nos moeurs, nos traditions, notre Culture, et qui en nous plaît pas, et ne nous convient pas.
Nous avons non seulement le droit mais le devoir de le dire....
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Immigration : cinq pays, cinq "signaux forts"...
1. Grande-Bretagne : "Les parlementaires Frank Field (travailliste) et Nicholas Soames (conservateur) en sont convaincus : les Britanniques pourront « dire au revoir à ce pays [qu'ils ont] connu » si l’immigration n’est pas réduite aux trois quarts. Les deux élus demandent au gouvernement de diminuer d’urgence le solde migratoire (c’est-à-dire la différence entre les entrées et les départs) sur le territoire à 50 000 par an contre 216 000 en 2011 et 252 000 en 2010. [...]
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Pains au chocolat, ramadan et "propos toxiques" : ou, le monde selon Baroin (et tant d'autres !...)
Dans une école, à la récré, un "minot" se fait piquer son pain au chocolat par d'autres, qui lui interdisent de manger pendant le Ramadan.
Copé dénonce la chose. Baroin réplique qu'il s'agit de "petites phrases toxiques, dangereuses... (qui) altèrent le pacte républicain..." Difficile, direz-vous, en si peu de mots, de dire autant de sottise(s) ? Eh, oui, mais, n'empêche, Baroin l'a fait....
On se fiche, ici, comme d'une guigne, de la situation et du "jeu" de Jean-François Copé dans ses Primaires de l'UMP. On notera simplement que, en l'occurrence, ce ne sont pas les propos de Copé qui sont "toxiques" (!), mais la mentalité et la tournure d'esprit de Baroin (grand ami de Chirac, tout s'explique...) qui sont "intoxiquées"...
Et, après, ils ne comprend pas pourquoi il perd toutes les élections !....
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François Hollande à Echirolles" comme un père" ? Comme ce serait touchant !...
On aimerait tant le croire, Manuel Valls ! Ce serait comme dans Le monde de Martine : il y aurait des gentils tout plein partout (les socialistes) qui iraient ici ou là dès que les méchants auraient fait quelque chose de mal; et ils viendraient, les gentils, "comme un père" : ce serait pas beau, ça ? On en pleurerait presque ! Quelle chance on aurait avec tous ces "moi, normal", tous ces "moi président" qui seraient autant de "moi papa", et qui viendraient près de nous, dès qu'on aurait un gros problème ...
Oui, mais, çà, c'est dans Le monde de Martine.
Et il y a des gens qui disent que, si "moi, normal" est allé à Echirolles, c'est surtout parcequ'il y a fait un score de 63,37 % (contre 36,63% à qui-vous-savez...) et que le quartier concerné par l'affaire qui a coûté la vie à deux "jeunes" fait partie de ces banlieues qui ont voté pour lui à 93%...
Les mêmes font remarquer que pour l'assassinat de deux femmes gendarmes en juin dernier, "moi, normal" n'était venu leur rendre hommage que deux mois après, le père de l'une d'elles refusant -avec raison - cet hommage tardif qu'il trouvait à juste titre scandaleux.
Les gens sont méchants...
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RESF : une Association - parmi tant d'autres... - à dissoudre de toute urgence...
La situation des clandestins - qu'ils appellent à tort "sans-papiers" - est intolérable, disent ces âmes qui se croient belles mais qui ne sont que mal-généreuses : il y a cinq millions de chômeurs en France, huit millions de pauvres, ce n'est pas "intolérable", "çà" ?
Et ils veulent en faire venir encore du monde entier, comme s'il n'y en avait pas assez ! Alors qu'on n'a rien à leur donner, et qu'on donne si peu à certains de nos retraités.
Ils se croient généreux, ils ne sont qu'insensés...
"Laissez-les grandir ici" ? Pour devenir quoi ? Chômeurs/squateurs d'un taudis misérable ? En ajoutant de la misère nouvelle à une misère déjà existante ? Bravo la mal-charité !
Dans La Provence du jeudi 27 septembre 2012...
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Court traité de l'Evolution (II)...
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Près de 5 millions de chômeurs, mais cela ne fait rien : plus tout va mal, plus "on" fait tout ce qu'il faut pour que cela aille encore plus mal !
("dernière heure", comme on dit dans la grande presse : hier, à Marseille, XVème arrondissement - les "quartiers nords" - les habitants eux-mêmes ont expulsé les Roms de leur "camp" (!) puis y ont mis le feu; cette fois, il n'y a pas de morts. Mais si les pouvoirs publics continuent à laisser pourrir une situation qu'ils ont eux-même déjà pourrie par une immigration insensée et un laxisme non moins insensé, "les gens" feront le ménage eux-mêmes, demain, du nord au sud et de l'est à l'ouest, et, là, il y aura des violences...)
Les Roms s'étaient installés en début de semaine sur un terrain vague de la cité des Créneaux, au nord de Marseille.
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Chronique de la France qui souffre... Marseille, Poitiers, Bordeaux, Castres, re-Marseille...
Les "plastiques" ont fait très fort pendant la première quinzaine de septembre... C'est, évidemment, cette gendarme de Marseille qui a reçu une balle en pleine tête qui est l'évènement principal. Manuel Valls est une fois encore venu dans la cité phocéenne : il ferait mieux d'y prendre un hôtel et d'y rester en permanence, cela lui couteraît moins cher et lui ferait gagner du temps !
En tous cas, il a découvert l'eau tiède : nous savons maintenant, a-t-il déclaré en substance, que des individus sont lourdement armés et n'hésitent pas à tirer sur les forces de l'ordre...
Mais :
1. On le savait déjà, et depuis belle lurette !...
2. Qui sont ces charmantes personnes, et pourquoi le ministre ne les nomme-t-elles pas ? Là aussi, tout le monde sait très bien de qui il s'agit, et depuis belle lurette!...
Sinon, en vrac, la routine...
(Illustration : le guet-apens a eu lieu dans une cité du Parc Kallisté, dans le XVème arrondissement, qui fait partie des fameux "quartiers nord"; un de ces endroits où le candidat François Hollande a "capté" 93% des voix du "vote musulman"...)
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Trois morts dans l'incendie du squat de Saint Denis : tous responsables et tous coupables
Cette fois, si l'on osait, on dirait qu'il n'y a "que" trois morts, mais ce sont toujours trois morts de trop. Après les deux morts dans un immeuble dégradé de Saint-Ouen, les six morts dans l'incendie d'un immeuble de Pantin squatté par des migrants, et tous les précédents, combien d'atrocités faudra-t-il encore, combien de pauvres malheureux brûlés vifs pour que l'on comprenne combien il est criminel de laisser croire à ces pauvres gens que la solution c'est de venir en France, où il n'y a rien pour eux, où ils ne trouveront rien.
Quand les gouvernements successifs, les associations genre RESF, les immigrationnistes à tout-va, les mal-généreux de tout poil et tutti quanti comprendront-ils cette évidence, probablement trop évidente pour eux : ces pauvres gens, qui viennent en France par centaines de milliers depuis des années, parce qu'ils croient - et qu'on leur laisse croire - à un mirage, ce n'est pas à Neuilly qu'ils s'installent; ni à Juan-les-Pins, ni au Touquet, ni à Deauville... Et ce n'est pas l'Eldorado qu'ils trouvent, dans leurs majorité, mais le squat, la misère et tout ce qui l'accompagne.
Il n'y a pas de quoi être fier de la situation !
En Seine-Saint-Denis : qui peut affirmer, sérieusement, qu'il y a en France des perspectives d'avenir et d'épanouissement dignes de ce nom pour 200.000 entrées "régulières" - plus 30.000 régularisations - par an ? Et les infrastructures qui vont avec : logements, places en écoles et en crèche, postes de travail, transports... ?
La réponse est évidemment, et doublement, Non. Dans ces conditions, ceux qui "militent pour" et ceux qui "laissent faire" cette chose insensée qu'est l'arrivée continue de tant de gens depuis des décennies sont également responsables, et coupables.
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On connnaissait "Paris brûle-t-il ?", voilà qu'on voudrait nous jouer "Marseille coule-t-elle ?"
...une autre politique "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du Régime"... (Léon Daudet)
Pendant plusieurs jours "on" nous a bassiné avec "l'info" (!) : Marseille coule ! En boucle, sur les télés permanentes, en gros titres sur les Une de divers journaux, on y a eu droit jusqu'à saturation : le naufrage était sûr, aussi sûr que celui du Titanic, Marseille coulait !
Même le Premier ministre s'y est mis : dans la (très) mauvaise série, Plus gesticulateur que moi, tu meurs, apellée aussi Plus je brasse de l'air et plus on croira peut-être que j'existe, il est venu vivre deux jours à la Préfecture ! Alphonse Daudet, dans la veine de Le sous-préfet aux champs, en aurait probablement tiré un conte savoureux, genre Le Premier ministre au bord de l'eau, ou "à la plage", ou quelque chose dans ce style : mais Alphonse Daudet n'est plus là, et la littératue française a perdu quelque chose !
Bon.
Mais, si on redevenait sérieux ?
(Illustration : le Une du quotidien La Provence du samedi 12 mai 2012)