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Immigration - Insécurité - Anti racisme - Page 141

  • "Sept ans" pour Ahmed ? NON ! DECHEANCE/EXPULSION ! et pareil pour Fathi, "le violeur au hachoir" !......

     avril 2013 .jpg

     ("La Provence", lundi 8 avril 2013)

    violeur au hachoir.jpg

    ("La Provence", mardi 23 avril 2013 : Fathi, c'est le charmant "jeune" homme, chance pour la France,  "violeur/hacheur", un prénom "bien d'chez nous" !...) 

     

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • L'exaspération populaire qui exaspère (et désespère) les bobos : salaud de peuple !...

    sondage anti musulman.JPG

     Pourquoi une méfiance "inquiétante" ? Il s'agit d'un sondage, et de rien de plus; qu'est-ce qui autoris le (ou la...) journaliste de Direct matin à décréter ce qui est "inquiétant" de ce qui ne l'est pas? Nous sommes assez grands pour nous faire notre opinion. Mais, à tous les coups, ce ou cette journaliste est très certainement "contre l'infaillibilité pontificale"... en étant, dans la pratique, un Vatican à lui ou à elle tout(e) seul(e) !

    C'est beau l'incohérence, c'est réjouissant... (on dit "incohérence" pour rester polis...)

  • Marseille/Violences/Immigration : Garo Hovsepian, maire socialiste des 13°/14° arrondissements (les "quartiers nord") condamne la politique menée depuis des décennies, droite et gauche confondue...

    violences marseille mars 2013.jpgSamedi matin. Les truands viennent encore de tuer puis calciner un autre truand, dans une de ces Cités votant à 93% pour un certain candidat. Sur I-Télé (mais il l'a dit aussi ailleurs...) Garo Hovsepian, sans bien se rendre compte, sans doute, de ce qu'il disait en réalité, déclare tout de go (dans un "français" encore moins châtié que les délinquants...) : "...Les quartiers nord... ici il y a 40% de chômeurs... et il n'y a pas d'infrastructure, pas de logements, pas de crèches..."

    Sic pour "les crèches", dont on se demande bien ce qu'elles viennent faire là ! En tout cas, il y a deux choses qui ne manquent pas, dans ces "quartiers nord" qui élisent des candidats d'un certain courant politique : ce sont, 1. les kalachnikov, et, 2. les truands pour s'en servir !...

    Mais trêve de plaisanterie : le seul intérêt de la réaction "indignée" (évidemment !...) de l'élu socialiste est de poser la vraie question : pourquoi fait-on entrer 250.000 étrangers par an en France (200.000 entrées, et 50.000 régularisations) si c'est pour avoir 40% de chômeurs (en fait, beaucoup plus...) et pas d'infrastructures pour les recevoir ?

    Allez, encore un effort, monsieur le député !...

  • Marseille : une nouvelle grève générale et un nouveau règlement de comptes...

    caricature marseille 1.JPG... viennent confirmer nos analyses, ce dont nous ne nous réjouissons pas...

    1. Le mardi 12, dans un bus, un "jeune" de 14 ans s'amuse; tous ceux qui parlent la langue du politiquement et du journalistiquement correct savent ce que veut dire "un jeune de 14 ans", et de qui il s'agit... Son jeu ? Appuyer, à chaque redémarrage du Bus, sur le bouton "Arrêt demandé", même si personne, et surtout pas lui, ne souhaite descendre; une fois, deux fois, ça passe encore; au-delà, évidemment, ce "jeu" crée un ralentissement sensible de la progression du Bus, et une gêne certaine pour tous. Le chauffeur demande au "jeune" de s'arrêter; une fois; deux fois; trois fois... sans résultat; le chauffeur devient insistant : le "jeune" sort un cutter et se jette sur lui, et lui taillade le visage. Charmant bambin !... Résultat concret : le chauffeur a la joue ouverte, et les Marseillais sont privés de Bus, Tram, Métro et tutti quanti le mercredi.

    Merci, le "jeune" !...

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  • AFRIQUE, QUAND TU NOUS TIENS … par Louis-Joseph Delanglade

    Au début du mois, un article du « Figaro » (reproduit, d'ailleurs, dans ce blog) révélait que le gouvernement de Londres n'avait pas hésité à déchoir de leur nationalité britannique des « binationaux » pour cause de lien avéré avec une entreprise terroriste islamique : il est apparu à l'exécutif qu'un tel engagement renvoyait ipso facto, et du coup de jure, le « bi » à ses seules origines ethniques. D'ailleurs, certains de ces déchus ont par la suite été tués dans des opérations militaires anti-terroristes en Somalie ou ailleurs, justifiant ainsi la décision londonienne.


    En France, le sujet est tabou. Arc-boutée sur son idéologie immigrationniste et sur sa prétention à transformer les gens d'un coup de baguette « républicaine », l'ensemble du pays légal élimine toute allusion au problème par l'ostracisme intellectuel ou le légalisme aveugle. Il n'est certes plus besoin de prouver que l'incorporation massive dans le corps national, par naturalisation ou droit du sol, de centaines de milliers d'étrangers, a pour conséquence collatérale de « franciser » un nombre considérable de voyous : les noms de la majorité des délinquants parlent d'eux-mêmes... Mais c'est bien la tolérance à l'égard de la « binationalité » qui pose problème. Outre que, le plus souvent, la double nationalité ne correspond à aucune réalité juridique, elle permet à trop de gens de profiter de leur nationalité française pour servir des intérêts étrangers, voire hostiles à notre pays.

    On apprend ainsi que, si plusieurs Français ont été arrêtés à l'occasion des événements du Mali, tous, semble-t-il, sont des “franco-xxx” : « franco-congolais », « franco-malien », « franco-algérien », etc. M. Le Drian nous explique qu'il s'agit de « certains jeunes en quête d'un destin radical ». Nous savons lire : « jeunes » signifie dans la France d'aujourd'hui tout être humain de 15-35 ans ayant ce que certains appellent pudiquement « des origines ». Nous connaissons aussi le sens des mots : « radical » renvoie aux racines. Traduction de la phrase de M. Le Drian : « de prétendus Français engagés dans un combat identitaire islamiste ». Schizophrénie, dira-t-on. Peut-être, mais qui est schizophrène ? Sont-ce ces « jeunes » ? N'est-ce pas plutôt le ministre ?


    Creusons un peu. M. Ibrahim Aziz Ouattara est né il a vingt-cinq ans de parents maliens (il est donc malien), à Aubervilliers (il est donc français). En 2010, il est poursuivi et incarcéré pour projet d'attentat contre la mosquée de Paris. Il sort (évidemment) en 2012, l'affaire n'ayant pas encore été jugée, et se soustrait au contrôle judiciaire. Elevé dans les écoles de la République, c'est-à-dire aux frais du Gaulois de base, monsieur désire mourir en martyr (encore un mot qu'il faut traduire : le martyr est désormais un être violent cherchant à tuer) dans les zones de combat au Mali... donc là où se battent les soldats français. Projet terroriste, projet d'attaquer éventuellement des soldats français en guerre : c'est plus qu'il n'en faut, la cause est entendue. 

    Ou devrait l'être. Or, évoquant M. Ouattara et les autres, M. Hollande parle de « concitoyens perdus ». Cherchez l'erreur.

    DJIHADISTE FRANCAIS.jpg

    Français, ce "djihadiste français" ? Ah, que non !....

  • On est sauvés ! Les incompétents qui nous gouvernent ont trouvé "la" solution miracle pour stopper l'explosion exponentielle de la délinquance....

    Et elle est simple : dorénavant, la police sera "obligée" de vouvoyer les délinquants...

    Mais, comme il ne saurait être question de "discriminer" ou de "stigmatiser", il est clair que la mesure vaudra dans les deux sens : ainsi, "on" n'écrira plus sur les murs "Nique la police !" mais "Veuillez niquer la police, s'il vous plaît".

    Evidemment, ça change tout. Et la France est sauvée !...

  • Puisque c'est l'ouverture du Salon de l'agriculture, un clin d'oeil amusé s'impose : problèmes dans les banlieues ? Trop de paysans !

    violences trafic de drogue.JPGAh, bon ?

    Oui, trop de paysans dans nos Cités, nos banlieues, nos zones de non-droit, chez les "jeunes"...

    Chez "les jeunes", vraiment ?

    Oui, oui... Trop de gens qui vendent de l'herbe, et qui se font du blé....

    (Comme on l'écrit sur le générique des films : "Toute ressemblance avec...")

  • TOUJOURS PLUS ! par Louis-Joseph DELANGLADE

    immigrationLe ministère de l’Intérieur vient, tout récemment, de réaffirmer sa stratégie en matière d’immigration : privilégier la naturalisation sans pour autant renoncer à la régularisation. Dans le même temps, on apprend que, pour le gouvernement, le droit de vote aux immigrés (dans certaines conditions) reste une idée d’actualité. Tout cela est-il bien raisonnable ?

     

    Les motivations, à gauche, sont de deux ordres. D’abord, de principe : on connaît l’antienne multiculturaliste qui va jusqu’à faire du métissage une sorte de panacée sociétale ; c’est l’aboutissement logique, au mépris des évidences les plus élémentaires, de la confusion sciemment entretenue entre le pays réel et la république au sens idéologique du terme. Ensuite, d’efficacité immédiate : on sait (et on comprend bien pourquoi) que la majorité de cette population immigrée apporte(rait) ses suffrages à la gauche. La droite parlementaire partage en fait, sur la question, les mêmes valeurs dites républicaines. D’ailleurs, c’est bien elle qui a été l’initiatrice dans les années soixante puis soixante-dix de l’immigration de masse, devenue immigration de peuplement, à la demande d’un patronat rien moins que patriote sur le plan socio-économique.

     

    Pis : il existe un véritable acharnement immigrationniste qui, depuis l’Eglise de France jusqu’aux « associations », défend les immigrés au nom de la charité ou des droits de l’homme. Ainsi nous impose-t-on d’être charitables avec ces Européens de l’Est, atteints de tuberculose, qui se font soigner à Lyon à nos frais et périls ou ces Roms qui, dans le meilleur des cas, mendient à nos carrefours. Ainsi reconnaît-on à trop d’Africains le droit de s’entasser dans des immeubles insalubres, de manger dans des restaurants caritatifs, de plomber l’Education nationale par la scolarisation de leurs nombreux enfants, de bénéficier de la C.M.U. et d’autres aides « sociales ». L’intérêt du pays n’a rien de commun avec les exigences morales des uns et des autres : la France n’est pas l’Eglise et les « associations » ne sont pas la France.

     

    Quant à l’argument le plus souvent avancé, selon lequel le peuple de France est le produit d’un long et constant métissage, il est controuvé et fallacieux. On sait désormais que les premières vagues migratoires de l’époque moderne sont très récentes. On sait surtout qu’elles ont été quantitativement limitées et que, malgré la proximité ethno-culturelle et/ou religieuse des arrivants (Polonais, Italiens, Arméniens,…) leur intégration dans le corps national ne s’est pas faite sans heurts ni difficultés. Or, aujourd’hui, l’immigration est quantitativement considérable et, dans son essence, le plus souvent très étrangère à la réalité nationale. Les chances d’une intégration (de la part des migrants) et d’une acceptation (de la part des autochtones) paraissent donc bien minces.

     

    Si le fait même de l’immigration est difficilement contestable, il ne peut, donc il ne doit, s’agir que d’une immigration bénéfique pour le pays c’est-à-dire choisie, modérée et régulée.

     

    immigration

     

  • De Finkielkraut, dans Le Figaro

    finki 1.JPG"...Il existe aujourd'hui, il faut le dire, un sentiment antifrançais en France. Des gens nés sur notre territoire, français eux-mêmes, désignent leurs compatriotes comme des «Gaulois», des «Babtous», des «faces de craie». Cette haine montante plonge beaucoup de commentateurs dans l'embarras car elle contredit leur vision du monde. Ils lui opposent donc une fin de non-recevoir en dénonçant la «droitisation» du débat public. Pour n'être pas contraints de penser à nouveaux frais par la mauvaise nouvelle idéologique, ils marquent d'infamie ceux qui la propagent.

    Assiste-t-on, comme on dit, à une «droitisation» croissante du débat politique?

    On accuse ceux qui s'inquiètent de la montée de sentiments antifrançais en France de «droitiser» le débat. Ils parlent, dit-on, comme le Front national. On reproduit ainsi la logique qui avait cours dans les années 1950 à propos du goulag. Dénoncer l'oppression stalinienne, c'était tenir le même langage que les réactionnaires et c'était affaiblir, du même coup, le camp du progrès..."

  • D’accord avec Ahmed, de Marseille. Ou : on a trouvé quelqu'un qui ferait un archi/super/bon Ministre de l'Intérieur !...

            C’est dans La Provence, et « ça vaut le détour »…..

            Lisez donc ce que dit Ahmed, de la Porte d’Afrique (pardon, de la Porte d’Aix..), à Marseille : «…Ce n’est pas compliqué, pourtant. On les voit tous les jours ces clandos. Qu’on les prenne et qu’on les renvoie chez eux… ».

            Texto ! En voilà un qui ferait un bon Ministre de l’Intérieur ! Lui, il ne s'embarrasse pas des scrupules et autres contorsions mentales des bobos/gauchos/trostskos...

            Question : et si on laissait les immigrés « qui se tiennent bien » régler le problème des « immigrés qui se tiennent mal » ?

            Nous avons pleinement conscience que la question est politiquement très, très, très incorrecte, mais, posons-là, quand même, justement, pour voir…..

    LA PROVENCE AHMED MINISTRE.jpg

     

  • "La maison est à moi, c'est à vous d'en sortir !..." (Tartuffe, Acte IV, Scène VII)

     Citation exacte, Le Tartuffe ou l'Imposteur :

    "..C'est à vous d'en sortir, vous qui parlez en maître :

    La maison m'appartient, je le ferai connaître.." 

    immigration manif.JPG

  • Chronique de la France qui souffre... : déchoir, expulser, la seule solution...

    immigration dehors.jpgIl ne s'agit bien sûr pas, pour nous, d 'accuser "tous" les étrangers de tous les maux de la terre : viols, meurtres, crimes, horreurs diverses et variées ont toujours existées, en France et en Europe.
    Nous disons simplement que nous sommes contre les délocalisations, qu'elles soient économiques ou qu'il s'agisse de délocaliser la misère : car, déplacer un problème, cela n'a jamais été le résoudre, mais ajouter, pour tous ces déplacés, un problème supplémentaire : celui, précisément de leur arrachement de leur terre d'origine...

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  • Les donneurs de leçons

    valls,dufflot,depardieuAu début de ce mois, Mme Cécile Duflot a rappelé à l’ordre l’Eglise de France au sujet des sans-abri. La semaine dernière, M. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, a qualifié de « minable » l’attitude de Gérard Depardieu. La gauche nous ferait-elle une petite crise de moraline aiguë ? Pas du tout, elle est elle-même, plus soucieuse de ses prétendues « valeurs » que de ses devoirs politiques. En effet, ce que ne dit pas Mme Cécile Duflot, c’est que, pour l’essentiel, des logements font défaut à cause de l’immigration sauvage et incontrôlée qu’elle-même encourage par ailleurs. Ce que ne dit pas M. Jean-Marc Ayrault, c’est qu’un exil « fiscal » est toujours la conséquence (prévisible puisque possible) de mesures gouvernementales inconsidérées dans le cadre de notre actuelle législation.

    Les médias ne sont pas en reste. Il aura suffi d’une énième « tuerie » aux Etats-Unis pour que, d’une même voix, tous – absolument tous - reprennent l’antienne du deuxième amendement de la constitution états-unienne relatif à la possession des armes à feu. Nouveau tour de piste pour la moraline : oh, les vilains Américains ! Le fait divers de Newtown est certes tragique, mais il n’autorise en aucune manière nos journaleux à décider ce qui est le bien ou le mal pour un pays étranger, sauf à être ridicules. Commençons plutôt par régler, sans états d’âme, notre propre problème avec les armes dont on sait qu’elles circulent, en grande quantité, dans les « cités ».

    D’ailleurs, quel crédit accorder à des gens qui s’indignent à sens unique ? Les a-t-on entendus, tous tant qu’ils sont, politiciens et journalistes (pour l’essentiel de gauche), réagir dans un registre identique à l’occasion de l’un des innombrables actes de violence, ayant entraîné la mort, perpétrés sur le territoire français au cours de 2012 ? Rappelez-vous : ces deux femmes gendarmes froidement abattues, ce policier délibérément écrasé par une voiture volée, cet adolescent à scooter mortellement percuté par une autre voiture volée, ce commerçant détroussé et laissé mort pour trois fois rien… La liste est longue !

    Par charité, nous ne chercherons pas à savoir si les auteurs de ces assassinats ont en commun « des origines » pour parler comme Miss France 2010 : si cela était avéré, ce pourrait peut-être expliquer certains silences… Des origines, justement, ils en ont, ces deux lycéens expulsés mercredi dernier : un Tunisien et un Marocain, tous deux délinquants violents et récidivistes, et…sans papiers. Alors, dira-t-on, M. Manuel Valls fait donc son travail. En l’occurrence, oui, et c’est la moindre des choses, après tout. Mais on a quand même, et bien évidemment, entendu les hurlements d’indignation d’une de ces  « associations » financées sur fonds publics, RESF (« Réseau Education sans frontières ») qui semble ainsi trouver normal que le contribuable français paye la scolarité de deux petits voyous étrangers.

    Moralité : selon que vous serez tel ou tel (prudence, Harlem veille), les jugements « moraux » vous rendront blanc ou noir.

    Lafautearousseau

  • Ce n'est pas "bon à savoir", puisqu'on le savait déjà; c'est la confirmation du ministre dans Le Parisien qui est "bonne à montrer à tout le monde" !...

    http://www.leparisien.fr/politique/valls-il-y-a-sans-doute-des-dizaines-de-mohamed-merah-en-france-06-12-2012-2385787.php 

    valls,merah

    "Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? Qu'est-ce qu'on attend pour faire la fête ?..." dit la chanson. Qu'est-ce qu'on attend pour changer nos lois, pour déchoir et expulser, en masse (et pas que "des imams") ? répond en écho le bon sens le plus élémentaire... Que ces "dizaines de mohamed merah" (qui sont surement plutôt des centaines, des milliers, voire plus...) passent tous à l'acte ?...