Chronique de la France qui souffre... Marseille, Poitiers, Bordeaux, Castres, re-Marseille...
Les "plastiques" ont fait très fort pendant la première quinzaine de septembre... C'est, évidemment, cette gendarme de Marseille qui a reçu une balle en pleine tête qui est l'évènement principal. Manuel Valls est une fois encore venu dans la cité phocéenne : il ferait mieux d'y prendre un hôtel et d'y rester en permanence, cela lui couteraît moins cher et lui ferait gagner du temps !
En tous cas, il a découvert l'eau tiède : nous savons maintenant, a-t-il déclaré en substance, que des individus sont lourdement armés et n'hésitent pas à tirer sur les forces de l'ordre...
Mais :
1. On le savait déjà, et depuis belle lurette !...
2. Qui sont ces charmantes personnes, et pourquoi le ministre ne les nomme-t-elles pas ? Là aussi, tout le monde sait très bien de qui il s'agit, et depuis belle lurette!...
Sinon, en vrac, la routine...
(Illustration : le guet-apens a eu lieu dans une cité du Parc Kallisté, dans le XVème arrondissement, qui fait partie des fameux "quartiers nord"; un de ces endroits où le candidat François Hollande a "capté" 93% des voix du "vote musulman"...)
1. A Poitiers deux enseignantes giflées à quelques jours d'intervalle, dans le second cas la mère gifleuse venant même avec son concubin, la fillette "punie" prenant part à la chose : on croit à la famille ou on n'y croit pas !...
2. A Bordeaux : le marocain frappeur n'a pas hésité à taper dur sur le prof, qui, curieusement, s'est contenté de dire que c'était "le coeur" qu'on lui avait cassé" : peut-être un crucifié entre ses choix immigrationnistes et la dure réalité ?...
3. A Marseille : Hadjedj, Nouioui et Marir sont des adeptes de la "piraterie de domicile" ("home jacking" en globish); très violents mais, surtout, "en récidive légale" (sic !) pour deux d'entre eux (on ne cesse de le dire : la France est devenue un immense foutoir, une gigantesque pétaudière...) : "tais-toi ou je tue ta fille", "tais-toi ou je mets une balle dans la tête de ton fils" font partie du vocabulaire le plus usuel des deux derniers; car le premier, Hadjedj, n'est même pas venu au Tribunal : comme il a bénéficié d'un contrôle judiciaire, il en a profité pour prendre la fuite ! Pas folle, la guêpe ! Quelle ingéniosité chez ces braves jeunes gens qui sont venus ici pour payer nos retraites, selon l'immortelle formule prononcée un jours par quelqu'un qui a, ce jour-là, perdu une bonne occasion de se taire...
4. A Castres, le 9 septembre, des militaires du 8e Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) ont été insultés et attaqués aux cris de "sales militaires" et "sales Français" par des "plastiques", après une fête locale. S'ensuivit une véritable bataille rangée entre une soixantaine de soldats et ces jeunes musulmans – ceux là même qui ont voté à 93% pour François Hollande...
Foutoir et pétaudière, que ce pays où des idéologues ont cru qu'on pouvait installer massivement des personnes de fait inintégrables et, à fortiori, inassimilables : on va dire toujours la même chose parce que c'est toujours la même chose; il n'y a qu'une seule solution : changement/durcissement de nos lois; déchéance; expulsion...
Commentaires
Une corporation qui voit passer la France qui souffre, les médecins, et les "invités" en voie d'intégration. Un commentateur de ce forum (DC) nous a expliqué qu'ils seront intégrés en deux générations; il n'a pas dit qui allait intégrer qui ...
___________________
Sujet : CHU Toulouse
Objet: Moment de grand bonheur en salle de naissance
> Accouchement de rêve.
> Refus de péridurale.
> Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu'un homme s'en occupe (bien que largement prévenu à l'avance.Document en cours de grossesse, explications orales.)
> De garde, j'y vais quand même et m'impose.
> Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le pêre barbu qui donne les ordres à tout le monde.
> L'enfant se prénomme joyeusement Oussama ; juste à sa sortie , le père s'est prosterné et à fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu'il avait préalablement repérée).
> Puis des chants religieux aux oreilles de l'enfant, Ã droite, Ã gauche. Et la mère , il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur
> Ras le bol de cela.
> La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin.
> Dans la ville de Mohamed Merah, je m'interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet.
> Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d'un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d'un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient et meurtris des drapeaux algériens qui étaient seuls brandis sur la place du Capitole le jour de la victoire de François Hollande, ceux d'un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes.
> Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l'avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites.
> Amicalement
> Dr Jean Thévenot
> Gynécologue obstétricien
> Clinique Ambroise Paré
> 31082 Toulouse cedex 1
Une horreur ce truc!
Tout y est pour que ca pue!
Que vient faire Mohamed Merah avec Hollande le tout melé
à la religion qui viendrait en salle de naissance dans une clinique privée ?
Si ce docteur n'est pas rasciste c'est qu'un autre parle pour lui comme un trac de la gestapo!!!
Pourquoi s'inquiter de l'avenir des enfants à Thévénot et point de celui qui vient de naitre?
Quel est celui dont l'avenir est le plus menacé ?
Il écrit "je suis inquiet pour MES enfants"
Il a tout dit l'égocentrique! Et pour les autres enfants plus particulièrement pour celui qui vient de naitre point d'inquiétude?
Une hirondelle n'a jamais fait le printemps
Mais le fait d'hiver fait dans la froideur.
Je me fous que ce fait divers soit vrai ou faux!
Athée, grace aux religieux de tout bord,
Je suis francais de souche alsacienne et bretonne
Francais comme celui qui torturait les arabes chez eux
Francais comme ces politiquements corrects que l'on nommait brigade spéciale
Francais comme celui qui torturait en 40 des terroristes anti nazi aujourd'hui résistants
Francais comme ces collabos
Francais comme ceux qui savaient se taire et fermer les yeux devant l'horreur
Francais comme cette minorité de resistants devenus majorité a l'arivée du Général Leclerc
Francais minable qui avait tors et pourtant clame je vous l'avais bien dit!
bref
Francais comme ce veau couché que De Gaule dénonçait
Francais qui hurlent quand son confort semble se retracter
Parce que vous avez oublié que la France a été allemande, je vous vous rappelle la curée de 40!
Allez voir qui de droit pour la délation
quitte à user du mensonge ou à déformer quelque indignation laïc de bonne consience!
S'Il n'y a que peu de prétendant à la place d'Hitler, à voir la toile, du web il y a toujours autant d'imbéciles pour colporter ses idées.
Boris avait raison sans subalterne point d'hitler.
C'est quand que vous nous les déportés ces étrangers!!!
Allez hop comme en 40 dans des wagons blindés
En partance de France pour destination les fourneaux!!!
Navrant ce manque de mémoire et la vue du monde parle bout de la lorgnette!!!!
Je suis contre toute religion et autrement que pour une cause pseudo laïc mais voyez vous refaire une croisade comme vous la faites me fait dire que le moyen age est de retour avec cerise sur gateau l"etiquette de la laïcité pour religion!
Les religions rassemblent pour un communitarisme qui divise l'humanité et la division, au nom de l'humanité, veut l'intégrisme !
Comme certains passent de l'islam à l'intégrisme
d'autre massacrent la laïcité avec le même esprit!
Un taré ne fait pas la religion mais la religion fait toujours quelques tarés !
Faut-il tuer les religions à cause de ces tarés?
Je n'en suis pas certain aux vues du résultat des croisades!
Convaincre en parlant à la différence est mieux que de rassembler pour la combattre!
L'important n'est pas de dénoncer les Barbus mais d'expliquer à l'enfant qui vient de naitre la nature de l'homme. Plutard s'il décide de ne plus se raser Ce sera son choix pas celui des laïcs!!!
Mais qui donc est de taille à pouvoir les arrêter?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été,
Je twisterais les mots s'il fallait les twister
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Allez Manger votre poule au pot avec du coucous
Et cessez de jouer Ravaillac qui assasine le droit a la différence ou non de l'intolérance!
Le politiquement correct, le soucis d'équité, le refus de hierarchisation-en un mot le libéralisme-agissent comme un sédatif, empêchant les représentants de notre société de dire "qui à tort et qui a raison" et conduisent aux dérives que nous constatons à longueur de semaines.
Ci-dessous un texte de Charles MAURRAS paru en 1905 dans la Gazette de Genève sur les dérives du libéralisme.
...."Barrès, a publié dans la Revue des deux mondes (15 novembre 1905) un Voyage à Sparte où se trouve indiqué l'état d'inertie auquel nous accule inévitablement la doctrine individualiste tolérante de tout, parce qu'elle établit, d'une balance égale, échec bilatéral et annulation réciproque des droits antagonistes. L'exemple fourni par Barrès est admirablement clair. Un antiquaire et un archéologue disputent. L'antiquaire regrette que l'on ait démoli la tour franque de l'Acropole ; l'archéologue soutient que ce fut bien fait. Alors l'antiquaire s'écrie, ou à peu près : « Vous gênez, avec vos études et vos piétés que je respecte, mes études et mes piétés qu'il faut également respecter. » Qu'est-ce à dire ? Si l'archéologue s'arrête et, respectueux des piétés de l'antiquaire, s'il retient le pic et les démolisseurs, voilà que ses propres études vont souffrir à leur tour et pouvoir se dire « gênées ». Ce voisin qui l'oblige à se croiser les bras lui transmet le même désagrément qu'il veut s'épargner. L'action négative imposée à l'archéologue au nom des études et des piétés de l'antiquaire constitue elle-même une entreprise, une violence contre ses études et ses piétés archéologiques. Il est prié de mortifier son désir dans la crainte de mortifier celui du prochain. Démolir devait gêner l'un. Ne pas démolir gêne également l'autre. La thèse de l'égal respect n'établit même point des deux parts l'absence de gêne. L'action oppressive subsiste. Il n'est de changé que les rôles. L'oppresseur devient opprimé, l'opprimé oppresseur jusqu'au prochain tour de la roue. Cela est bien la vie. On ne peut éviter d'agir ni d'être agi, de gêner ni d'être gêné. S'abstenir n'est qu'agir sur soi et contre soi… Mais en pratique, lorsque deux esprits se trouvent animés de ce grand respect mutuel, cela doit finir par des coups. Le bâton ou la courte paille, solutions qui départagent ! Or, nous disons : une doctrine supérieure serait en état de fixer entre les deux actes possibles ce qui est le meilleur. En théorie, cette doctrine supérieure n'est qu'un possible objet d'un vœu plus ou moins discret de la pensée. Mais dans la pratique, elle est avidement réclamée. Sans le froment substantiel de ce critère, toute la vie active s'engourdit et s'éteint. Les principes négatifs suffisent bien tant qu'on n'a pas de décision à prendre, tant que l'action ne s'impose pas ; au delà, se manifeste leur faiblesse. L'esprit humain se meut. Il ne supporte pas l'équilibration des cristaux. Son élan le jette au travail. Que veut-il ? œuvre de dieu, changer, transformer, la face du monde. Il n'écoute point le bouddhiste, ni Schopenhauer, ni Tolstoï. Dans quel sens agir, dans quelle direction, dans quelle mesure ? Il se le demande sans cesse, de même que la vie naturelle consiste à se poser infatigablement la question : « Qui l'emporte ? Qui prime ? Qui sera le plus fort ? », car les contrats d'entraide et les pactes fédératifs sont eux-mêmes dans tous les cas importants, l'action, ou la réaction d'une hégémonie. On se fédère autour de quelqu'un ou contre quelqu'un. Ainsi, la vie intellectuelle répète : « Qui a tort ? qui a raison ? » Un esprit dit cela comme un cœur se contracte et se détend, c'est pourquoi nul libéralisme ne le satisfera (1905)."
Les deux commentaires ci-dessus sont remarquablement intéressants.
Le premier parce que ses implications sociales et politiques, sur un sujet devenu de toute première importance, d'importance même vitale pour la France, sortent d'une expérience concrète et vécue. Malheureusement renouvelée des milliers d'autres fois en France et en Europe.
Le second parce qu'il reprend un texte lumineux de Maurras. L'un de ces textes par lesquels la force du raisonnement apporte, sur le sujet traité, un éclairage qui suscite une adhésion immédiate, profonde et durable. Contrairement à certaines de ses oeuvres littéraires, où il se plait à forger "d'ingénieuses fables", tissées de mystères et de symboles, que le lecteur doit tenter de décoder, dans son oeuvre politique, Maurras va toujours droit au but. Jamais il ne dissimule sa pensée; jamais il n'avance masqué. Larvatus prodeo n'est pas sa devise. Et c'est ce qui lui donne cette puissance, ce charme, qui, en son temps, a séduit tant d'esprits. Et encore au nôtre, d'ailleurs. En politique, comme dans le domaine des idées, comme pour ceux dont c'est la profession, les esprits dissimulés font une carrière. Mais ils ne séduisent pas longtemps. ("La renomée, disait Thibon, a des ailes rapides, mais elle vole bas").
Pour répondre à Jean Louis FAURE, l'intégration suppose que
l'on soit à l'extérieur, mais à l'extérieur de quoi ?
Un étranger (par définition, hors la nation française) doit
autant que possible s'intégrer à la vie française pour vivre en
France.
Mais un Français né en France, d'origine étrangère, n'est pas
concerné par l'intégration. Il est censé partager, comme tout
Français, ce qui fait la France; cela passe par l'éducation et la
culture.
Quant à la religion, la France est certes essentiellement un
pays chrétien. Pour les Français, de confession musulmane, ils
sont avant tout, Français. Le problème se pose si l'Islam, en
tant que religion veut s'imposer à la loi, donc à la France, et
nier le principe de laïcité qui régit précisément notre
législation.
Il ne s'agit plus alors de problème d'intégration, mais tout
simplement de situation de hors la loi, qui doit être
condamnée comme il se doit, ni plus ni moins.
Ce ne sont pas aux islamistes, ni aux religions en général, de
faire la loi en France; c'est à l'Etat, de se donner les moyens
de se faire respecter sans faiblesse.
@DC
Une fois de plus vous inversez les temes de votre raisonnement, au détriment d'un minimum de logique.
Une partie de ce que vous dites est juste: on leur a donné la nationalité française. Hélas sans aucune condition. Et aujourd'hui dans un contexte devenu irrespirable, la question se pose de les intégrer, alors qu'ils n'en ont nullement l'intention. Et on est en train de franchir un cap, celui de l'agression permanente contre ce qu'ils appellent les Français. Marseille le vit chaque jour (sauf Gaudin qui ne voit aucun problème à Marseille ...)
Cher Jean Louis FAURE,
Il ne s'agit pas de nier les problèmes que vous dénoncez à
juste titre et qui empoisonnent la vie de nombre de nos
concitoyens.
Mais il ne faut pas non plus généraliser et porter un regard
négatif sur l'ensemble des Français d'origine étrangère.
Sur la dizaine de millions, si l'on veut faire ample, combien
sont-ils à vivre de trafics, dans la délinquance etc
...probablement, une minorité, certes importante, mais qui
salit l'autre partie, intégrée, et qui crée une opposition avec
les Français "de souche". dont les conséquences peuvent être
néfastes.
Quant à la nationalité, ils sont nés en France, il n'y a pas
d'autres conditions, ou bien il ne fallait pas autoriser le
regroupement familial. La France l'a décidé, nous devons en
assumer les conséquences, à savoir, les enfants nés en
France, quelque soit leur origine, sont Français un point c'est
tout.
@DC
Votre chiffre de 10 millions est une sordide plaisanterie puisque vous visez à agréger des communautés sans aucun rapport. Quand on parle de groupes impossibles à intégrer, on parle des seuls musulmans. Consternant qu’il faille le préciser … Pour la raison que l’on a déjà cent fois donné, à savoir que le séculier et le religieux ne font qu’un dans l’islam. Et qu’ils n’ont donc rien à faire du code civil. Les musulmans sont estimés à 5 à 6 millions selon le Ministère de l’Intérieur. Vous nous servez le discours de tous les media, journaux, magazines, radios, télés qui évacuent la spécificité de l’islam. Donc dialogue inutile.
Ce matin sur France Inter, l’officiant conversait avec Marine Le Pen, et faisait comme vous. Elle a bien tenté d’expliquer que le religieux et le séculier étaient deux domaines différents, mais elle s’est heurtée à une borne.
Jean Louis FAURE, le séculier et le religieux ne font qu'un dans
certains pays islamiques, et moins dans d'autres (ex : Maroc,
même si le Roi est le commandeur des croyants), mais en
France, les personnes musulmanes ne pratiquent pas l'islam
nécessairement de cette façon. Avez-vous vu les musulmans
de France pratiquer dans leur majorité, la charia, à l'encontre
de nos lois ? Cela se saurait, avec 6 millions de personnes
concernées, si l'on prend vos chiffres.
En réalité, comme pour les chrétiens fut un temps, il y a
toujours des extrémistes pour interpréter les textes à leur
manière. Je ne suis pas un spécialiste du Coran, mais
admettons que l'islam ne distingue pas le séculier du
religieux, alors il faudrait interdire la pratique de ce culte sur
notre territoire au nom de la laïcité. Comme ce n'est pas le
cas, je pense que cela relève davantage de pratiques
extrémistes et fanatiques.
@DC
Vous affirmez beaucoup de choses inexactes. Dans tout le monde arabo musulman, la religion imprègne totalement le mode vie, sans discrimination. Il n’y a pas à réécrire ce qu’est l’islam. Quand vous êtes en réunion de travail avec des douaniers à Port Saïd, on vous plante à l’appel du muezzin, aux heures réglées de la journée où il faut dérouler le tapis. Le ramadan ne se discute pas … etc. De toute évidence vous n’y avez jamais vécu. Quant à ce qui s’installe en France, allons demander aux médecins ce qu’ils vivent tous les jours. Une ville comme Marseille est un parfait observatoire ; pas une consultation d’une femme qui se fait désormais sans la présence du mari, ou du fils ainé. A quoi cela vous sert il de cultiver un déni de réalité ? Personne ne vous croit.
Je n'y ai peut être pas vécu mais j'ai souvent été en Tunisie et
au Maroc et pas seulement à l'hôtel. Il est vrai que le temps et
la vie quotidienne y sont essentiellement réglés par la religion et
ses pratiques, mais vous ne voyez pas non plus les gens
s'agenouiller dans les rues en direction de la Mecque à l'appel
du muezzin.
Ce qui se passe à Marseille est sans doute significatif, mais la
seule réponse à ce que vous évoquez, est de faire respecter nos
lois.
@sur l'éructation de l'Hopital
C'est un des intérêts de l'internet et des forums, de savoir que ce genre de personnage existe ... On ne sait pas si cela fut écrit au troisième calva après l'expresso du matin, mais il se trouve que c'est certainement quelqu'un qui va voter. S'il avait 15 ans en 40, il en a 90 aujourd'hui. Ils ne l'ont pas pris à charlie hebdo?