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  • Mandelamania

    Grain de sel avec bordure.jpgLes drapeaux en berne sur nos édifices publics, des portraits géants sur Matignon, le ministère des affaires étrangères, l’hôtel de ville de Paris, des discours compassés et encenseurs dans tous les grands médias, trois avions de l’Etat affrétés pour les obsèques… Quelle mouche a donc encore piqué la France qui parle et qui pense pour nous ? Tout ce tintouin pour la mort du grand Nelson…

    Oubliés les attentats et sabotages commis par Saint Mandela qui fut à bonne école dans les camps du FLN algérien et constitua des groupes de combat se réclamant d’un communisme pur et dur ? Oubliés les « colliers de feu » inventés par son ex-épouse Winnie, distraction qui consistait à mettre un pneu autour du cou d’un homme aux mains attachées, noir de préférence, à verser de l’essence sur le pneu et à y mettre le feu ? Oubliés les 2000 fermiers blancs massacrés depuis 1994 ? Oubliée la paupérisation d’un pays à l’économie jadis florissante, désormais livré à la violence ?

    Oui, car comme toujours, comme pour l’éloge de Giap prononcé par Fabius au mépris de nos milliers de militaires torturés en Indochine, c’est une idéologie borgne qui anime ces gens-là, leur fait dire n’importe quoi et cacher la réalité.

    Au delà de l’apartheid, que l’on peut condamner, c’est le modèle intellectuellement reconstruit que l’on admire et promeut : celui de la société Arc-en-ciel, des immigrés africains terrassant les méchants blancs, du leader au poing levé appelant les esclaves à se libérer. Et cette imagerie ne peut que faire vibrer nos bobos décérébrés.

    L’élection du Miss France arc-en-ciel au moment de ce tintamarre mandelamaniaque n’est sans doute pas un hasard. La bonne nouvelle, c’est que les Français ne marchent plus et ne sont plus duppes de ces manipulations.

  • Des bretons sympas ? Ou une solidarité dévoyée ?

              Dans une petite ville, près de Rennes, il existe un abattoir, et dans cet abattoir, six Maliens travaillent depuis plusieurs mois, voire plusieurs années; or on vient de s'apercevoir qu'il s'agit en fait de hors la loi, qu'une partie de la gauche persiste à appeler sans-papiers.

              Devant la perspective d'une expulsion du territoire national, certains ont carrément manifesté leur soutien à ces Maliens: est ce bien raisonnable ? il ne faut pas laisser la solidarité être dévoyée par l'idéologie et l'aveuglement; il vaut mieux en revenir au simple bon sens et cesser de marcher sur la tête: quand on connaît les problèmes d'emploi en France, le nombre de chômeurs, il est aberrant de penser que la saine organisation de l'économie consiste à laisser des habitants de notre pays au chômage alors que l'on offre du travail à des hors la loi.          

              On ne peut organiser ni le monde, ni la France ainsi; un monde raisonnable, c'est un monde ou les Français trouvent du travail dans leur pays, et les Maliens dans le leur. "Optima corruptio pessima" disait-on à Rome, c'est à dire "la corruption des meilleurs est la pire"...

              Il est désolant de voir des gens probablement généreux se tromper à ce point et confondre générosité et idéologie: on sait depuis bien longtemps que les bons sentiments ne font pas forcément les bons films, et que l'enfer est pavé de bonnes intentions; cette attitude est suicidaire, elle ne peut que générer de l'inefficacité et  desservir la cause que l'on prétend justement favoriser; au lieu de faire reculer la pauvreté, une telle attitude, généralisée, affaiblirait l'économie de la France sans développer pour autant ni le Mali, ni aucun autre pays....

  • Propos de président amnésique....

              "Pour conforter la vocation touristique de la France, il faut mettre en valeur notre patrimoine culturel, puissant facteur d'attractivité et héritage essentiel". Bravo ! Ces propos sont fort justes, et nous les faisons nôtres, sauf que c'est un président de la République qui a dit cela, et c'est là que le bât blesse....

               On rappellera à ce monsieur qu'en 20 ans, entre 1793 et 1814, la Révolution a détruit entre le quart et le tiers de notre patrimoine artistique, et qu'il est donc gonflé de tenir des propos pareils. Du moins si -mais c'est son cas- il ne fait pas mention de ce crime contre la France et contre l'Humanité qu'a constitué cette destruction systématique des oeuvres d'art de notre héritage. 

              Des exemples ?: Versailles ne compte plus qu'environ 10% de ce qu'il contenait sous Louis XVI; Cluny, la plus grande abbaye de la Chrétienté, réduite à quasiment rien; pas une ville de France sans un ou plusieurs monuments démolis (à Marseille Saint Victor, les Accoules, Saint Férreol); églises (180 à Paris), cathédrales (Cambrai) et châteaux d'un intérêt architectural inestimable perdus pour toujours (Marly, Sceaux; Amboise démoli à 80%...); Saint Denis profanée et saccagée; meubles, objets et oeuvres d'art détruits, dispersés ou vendus...

              Elle a eu une drôle de façon, la Révolution dont ce président est l'héritier et le gardien, de "mettre en valeur notre patrimoine culturel" !

              Ah, au fait, qui a prononcé ces propos, admirables bien qu'amnésiques ? Jacques Chirac (6 janvier 2007)...

  • Hommage à Vauban...

              Pour le troisième centenaire de la disparation de Sébastien le Prestre de Vauban, Maréchal de France, La Poste a eu l'heureuse idée d'émettre un timbre à son effigie, avec le dessin du fort de Mont Dauphin.

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             Durant sa vie, Vauban aura construit 151 places fortes et villes fortifiées ! C'est que la défense de la France l'exigeait: n'écrivait-il pas à Louvois (1): "Sérieusement, Monseigneur, le Roi devrait un peu songer à faire son pré carré. Cette confusion de places amies et ennemies pêle mêlées ne me plaît point....Soit par traité, ou par une bonne guerre, si vous m'en croyez, prêchez toujours la quadrature, non pas du cercle, mais du pré; c'est une belle et bonne chose que de pouvoir tenir son fait des deux mains."

              Résultat: une France bien défendue et préservée des invasions pour longtemps. Mais aussi un époustouflant patrimoine architectural, d'une saisissante beauté, unique au monde par sa densité et par le génie qu'il révèle...

              Même cette mauvaise langue de Saint Simon rend hommage au Maréchal: "Jamais homme plus doux, plus compatissant, plus obligeant, mais respectueux sans nulle politesse, et le plus avare ménager de la vie des hommes, avec une valeur qui prenait tout sur soi, et donnait tout aux autres..."

               Tout est sympathique chez ce grand serviteur de la France et de la Royauté, qui écrivait:"Le Roi me tenant lieu de toutes choses, après Dieu, j'exécuterai toujours avec joie tout ce qu'il lui plaira de m'ordonner, quand je saurai même y devoir perdre la vie." (2)

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    Citadelle de Mont-Dauphin

    (1) Lettre de Vauban à Louvois, 20 Janvier 1673.

    (2) Lettre de Vauban à Chamillart, 1706.

  • Mieux vaut en rire ! : ne dites plus... mais dites...

    ane-qui-rit.jpgIls sont 85% dans les médias, les journalistes "de gauche et d'extrême gauche"; ils ont inventé leur sabir, leur nov'langue, alors, pour les comprendre, apprenez à parler (!) comme eux !

    On ne disait déjà plus "un aveugle " mais un mal voyant, un "sourd" mais un malentendant,  un "handicapé", mais une personne a mobilité réduire, une caissière, mais une hôtesse de caisse, un balayeur mais un technicien de surface etc...

    Mais maintenant...

    * Ne dites plus ... "clandestin" mais "candidat à l'immigration" (Figaro)

    * Ne dites plus ... "Gitans, rôdeurs, Monte en l'air", mais "gens du voyage" (Tous les médias)
    * Ne dites plus ... "clandestin, immigré illégal, ni même sans-papiers", mais "privés de papiers" (La Dépêche)
    * Ne dites plus ... "quartier à majorité immigrée" mais "quartier populaire" (Tous les médias)
    * Ne dites plus ... "crimes, agressions, violences" mais "actes de délinquance", "incivilités", "bêtises" (Le Parisien) ou "faux-pas" (France 2), et plus récemment "les inconduites" (CNRS)
    * Ne dites plus ... "émeutes" ou "guerre des gangs" mais "incidents" (Partout)
    * Ne dites plus ... "immigration" mais "mobilité européenne" (Frattini, commissaire européen)
    * Ne dites plus ... "bandes" mais "identités de quartier" (LCI.fr)
    * Ne dites plus ... "Des bandes de noirs et d'arabes" mais "Des jeunes qui se regroupent souvent sur des considérations ethniques"
    * Ne dites plus ... "enfants d'immigrés" mais "enfants issus de familles d'éducations éloignées"
    * Ne dites plus ... "attraper les voleurs" mais "lutter contre les délits d'appropriation" (Midi Libre)
    * Ne dites plus ... "des vauriens font des graffitis" mais des "graffeurs habillent la ville de couleurs"
    * Ne dites plus ... "un voyou notoire" mais "un individu défavorablement connu de la justice"
    * Ne dites plus ... "mosquée" mais "centre culturel et religieux"
    * Ne dites plus ... "fusillade" mais "bagarre par balles" (TF1)
    * Ne dites plus ... "invasion" mais "excès d'immigration" (Claude Guéant, notre ministre de l'intérieur)
    * MAIS SURTOUT, ne dites plus "un Français attaché à son Pays, à sa Culture, à ses Traditions et Fier de son Drapeau" ... mais dites " un RACISTE  " ...
    Et, si possible, avec un "sale", devant, ce sera encore plus apprécié chez les bobos/gauchos/trotskos....
  • Les vœux du prince Jean pour la nouvelle année....

     

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    Le portail du Site du Prince, nouvelle version.

    Chers amis,

    Avançons ! Voilà ce que je veux affirmer au moment où s’ouvre devant nous l’an 2012. Les Français ont les yeux rivés sur l’élection présidentielle du mois de mai : elle est importante. Pourtant, en ce début d’année, c’est un autre évènement qui retient mon attention : il y a 600 ans, naissait Jeanne d’Arc. Elle allait mener un combat : conduire le roi de France à Reims. Ainsi a-t-elle défini notre destin pour plusieurs siècles. Y compris pour notre XXIe siècle, j’en suis convaincu, et dans les circonstances que nous vivons, pas forcément meilleures ou pires que celle de son temps.

    C’est pourquoi je compte faire en sorte que nous avancions… À partir de Dreux – où nous nous sommes installés avec la princesse Philoména, le prince Gaston et bientôt notre deuxième enfant – je vais continuer à développer mon activité. Face aux pauvretés matérielles et morales, je renforcerai l’action sociale amorcée en 2011. Face aux difficultés économiques et sociales, je parlerai partout où on me le demandera de ce que j’appelle le management capétien. Au cours de 2012, un grand pays d’Afrique s’apprête à accueillir le Sommet de la Francophonie : je me manifesterai à cette occasion.

    J’entends aussi améliorer l’efficacité des outils dont nous nous servons : La Lettre de Gens de France va renouveler sa formule et comme vous le voyez, j’ai pris des initiatives touchant au site Internet. D’autre part, j’ai décidé que, pour la première fois, l’assemblée générale de Gens de France se tiendra dans une grande ville de province.

    Le premier vœu que je forme pour vous tous, chers amis, c’est qu’en 2012, vous puissiez voir ces progrès se réaliser et vous en réjouir avec moi. Le second, c’est que se renouvelle en vous le profond désir de vous y associer : ce sera la meilleure récompense de mes efforts.

    Je vous souhaite également, comme à la France et à chaque Français, de voir apparaître, au-delà de ce qui nous attend, le renouveau dont nous ressentons si fortement la nécessité.

    La princesse Philoména, le prince Gaston et moi tenons enfin à vous souhaiter, chers amis, une bonne et heureuse année 2012 pour vous-mêmes, vos familles et vos proches.

    Jean de France

    Duc de Vendôme 

  • C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) ”la France” : Dans les Ephémérides, cette semaine....

    Pour "quoi", et dans quel esprit, nous "faisons mémoire"... :

    Charles Maurras : "...je mets quelque chose au-dessus d'elle (l'espérance) c'est la mémoire, la sainte et grande mémoire d'un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c'est avec lui que l'on fabrique un avenir solide, et des races vivaces"

    Jean de la Varende : "...le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon".

    Pourquoi des Ephémérides.pdf

    Table des Matières Ephémérides - Premier semestre.pdf

     Table des Matières Ephémérides - Second semestre.pdf

        Musique dans les Ephémérides.pdf

     

           Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides :       

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    · Dimanche : 1431 : Date de naissance possible de François Villon. 1632 : De Versailles à... Versailles : Louis XIII achète la seigneurie de Versailles à Jean-Paul de Gondi.

    · Lundi : 1533 : Mort de Rabelais. 1682 : Robert Cavelier de la Salle prend possession de la Louisiane. 1821 : Naissance de Baudelaire. 1860 : Scott de Martinville réalise le premier enregistrement du monde. 1968 : Premier lancement à Kourou.

    · Mardi : 1916 : Ordre mythique du général Pétain à Verdun : "On les aura !...".

    · Mercredi : Évocation : Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un  jour, la France..... 

    · Jeudi : 1229 : Fin de la Croisade des Albigeois. 1704 : Mort de Bossuet. 1912 : Mort d'Etienne Duchesne, précurseur de l'antibiothérapie.

    · Vendredi : 1598 : Henri IV signe l'Edit de Nantes. 1696 : Mort de La Fontaine.

    · Samedi : 1883 : Création de Lakmé (musique: Arielle Dombasle chante le Duo des fleurs). 1900 : Inauguration de l'Exposition Universelle de Paris. 1931 : Première émission de télévision publique. 2009 : Mort de Maurice Druon.

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  • Delannoë sera-t-il aussi ”ouvert” avec un abbé qu'avec un imam ?....

            A la suite de la manifestation organisée par le Maire de Paris pour la fin du ramadan, un abbé - en tant que citoyen - a demandé une manifestation identique pour la fin du carême.
            Voici la lettre qu'il a fait parvenir à la Mairie de Paris, à l'attention de M. Bertrand Delanoë :

    Monsieur le Maire de Paris,


            Vous avez défendu auprès de M. le Préfet d'Île de France la fête de rupture du jeûne du ramadan organisée par vos soins le 24 août en lui disant qu'elle n'était « pas une manifestation cultuelle (.) ne correspondant à aucune fête religieuse musulmane (.) n'avait pas de caractère rituel (.) ne comportait aucune prière ou prêche religieux (.), s'agissant d'une manifestation à caractère artistique et festif » (d'après le journal Le Monde du 24 août).
            Eh bien, au nom du principe de l'égalité républicaine, je suis heureux de vous demander en tant que citoyen, la tenue par vos soins d'une semblable fête dans la semaine du 9 au 14 avril prochain pour fêter la fin du Carême. Vous pourrez pareillement alors vous défendre de fêter ce qui n'est « pas une manifestation cultuelle (.) ne correspond à aucune fête religieuse chrétienne (.) n'a pas de caractère rituel (.) et ne peut comporter aucune prière ou prêche religieux (.) s'agissant d'une manifestation à caractère artistique et festif ».
            Confiant que vous saurez allouer une somme équivalente à celle que vous avez su débourser pour fêter la fin du ramadan, promouvoir cet événement par une soirée télévisée au même titre que le programme « La nuit du ramadan » diffusé le 24 août 2011 sur France 2 à 23 heures 35, et vous n'oublierez plus désormais de souhaiter un joyeux carême aux Parisiens sur les panneaux lumineux de leur ville comme vous le faites pour leur souhaiter un joyeux ramadan, de sorte que je n'aie pas à saisir l'Autorité compétente de lutte contre les discriminations et pour l'égalité, par avance, je vous remercie.
     
    Abbé Pagès, abbepages@gmail.com

            On attend, avec curiosité, la réponse.....

  • Voilà un constat qui va déranger ? Pas du tout ! Il va juste remettre les choses au point, et montrer la vérité telle qu

            Luc Bronner signe, dans Le Monde du 4 octobre, un article sur la place croissante de l'Islam en banlieue, intitulé Banlieues, islam : l'enquête qui dérange et qui commence par cette phrase : "Voilà un constat qui va déranger". 

             Et pourquoi, "déranger" ? Nous pensons simplement qu'il dit les choses comme elles sont, et qu'il montre la réalité telle qu'elle est; Il y a belle lurette qu'on le sait : la Nature a horreur du vide... Le Système est en pleine faillite, partout, il a échoué, et ne se maintient que parce qu'il a la chance d'être installé; se seule force, sa dernière, c'est la force d'inertie.... Mais il s'efface, il disparaît, il tombe en poussière - c'est l'aticle qui en fait la constatation : et, malgré les incantations pathétiques à "la République", comme un vieux meuble tout vermoulu, rongé par de l'intérieur par les xylophages, il s'effrite et tombe peu à peu en poussière.

            Et lorsque cela se passe dans ces banlieures, ces zones de non-droit, où le Système lui-même a follement délocalisé des masses impressionantes des populations venues d'ailleurs, trop éloignées de nos moeurs et coutumes, de nos traditions - entre autres religieuses - il n'est pas étonnant que la place laissée libre par un Système déliquescent soit occupée : seuls des naïfs pourraient s'en étonner.     

            Voilà pourquoi il faut lire, et faire lire, cet article : bien loin de "déranger", il ne peut que contribuer, il faut l'espérer, à ce qu'il fasse prendre conscience de la gravité de la situation à ceux qui, jusqu'ici, n'ont voulu ni voir ni entendre. Auquel cas, ce type d'article - qui, du reste, se multiplie... - serait salubre...

            Mais, in fine, on ne nous empêchera pas de croire qu'il donne raison au perroquet de Jacques Bainville : "Ca finira mal !..."

              Qu'on en juge ! :

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    Prière à la grande mosquée de Villeneuve-d'Ascq, en août.

    Voilà un constat qui va déranger. Dans les tours de Clichy-sous-Bois et de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), les deux villes emblématiques de la crise des banlieues depuis les émeutes de l'automne 2005, la République, ce principe collectif censé organiser la vie sociale, est un concept lointain. Ce qui "fait société" ? L'islam d'abord. Un islam du quotidien, familial, banal le plus souvent, qui fournit repères collectifs, morale individuelle, lien social, là où la République a multiplié les promesses sans les tenir.

    La croyance religieuse plus structurante que la croyance républicaine, donc. Vingt-cinq ans après avoir publié une enquête référence sur la naissance de l'islam en France - intitulée Les Banlieues de l'islam (Seuil) -, le politologue Gilles Kepel, accompagné de cinq chercheurs, est retourné dans les cités populaires de Seine-Saint-Denis pour comprendre la crise des quartiers. Six ans après les émeutes causées par la mort de deux adolescents, en octobre 2005, son équipe a partagé le thé dans les appartements des deux villes, accompagné les mères de famille à la sortie des écoles, rencontré les chefs d'entreprise, les enseignants, les élus, pour raconter le destin de cette "Banlieue de la République" - c'est le titre de l'enquête, complexe et passionnante, publiée par l'Institut Montaigne.

    Le sentiment de mise à l'écart a favorisé une "intensification" des pratiques religieuses, constate Gilles Kepel. Les indices en sont multiples. Une fréquentation des mosquées beaucoup plus régulière - les deux villes (60 000 habitants au total) comptent une dizaine de mosquées, aux profils extrêmement variés, pouvant accueillir jusqu'à 12 000 fidèles. Une pratique du ramadan presque systématique pour les hommes. Une conception extensible du halal, enfin, qui instaure une frontière morale entre ce qui est interdit et ce qui est autorisé, ligne de fracture valable pour les choix les plus intimes jusqu'à la vie sociale.

    Les chercheurs prennent l'exemple des cantines scolaires, très peu fréquentées à Clichy en particulier. Un problème de coût évidemment pour les familles les plus pauvres. Mais la raison fondamentale tient au respect du halal. Les premières générations d'immigrés y avaient inscrit leurs enfants, leur demandant simplement de ne pas manger de porc. Une partie de leurs enfants, devenus parents à leur tour, préfère éviter les cantines pour leur propre descendance parce que celles-ci ne proposent pas de halal. Un facteur d'éloignement préoccupant pour Gilles Kepel : "Apprendre à manger, ensemble, à la table de l'école est l'un des modes d'apprentissage de la convivialité future à la table de la République."

    Car le mouvement de "réislamisation culturelle" de la fin des années 1990 a été particulièrement marqué à Clichy et à Montfermeil. Sur les ruines causées par les trafics de drogue dure, dans un contexte d'effondrement du communisme municipal, face à la multiplication des incivilités et des violences, les missionnaires du Tabligh (le plus important mouvement piétiste de l'islam), en particulier, ont contribué à redonner un cadre collectif. Et participé à la lutte contre l'héroïne, dans les années 1990, là où la police avait échoué. Ce combat contre les drogues dures - remplacées en partie par les trafics de cannabis - a offert une "légitimité sociale, spirituelle et rédemptrice" à l'islam - même si la victoire contre l'héroïne est, en réalité, largement venue des politiques sanitaires.

    L'islam a aussi et surtout fourni une "compensation" au sentiment d'indignité sociale, politique et économique. C'est la thèse centrale de Gilles Kepel, convaincu que cette "piété exacerbée" est un symptôme de la crise des banlieues, pas sa cause. Comme si l'islam s'était développé en l'absence de la République, plus qu'en opposition. Comme si les valeurs de l'islam avaient rempli le vide laissé par les valeurs républicaines. Comment croire encore, en effet, en la République ? Plus qu'une recherche sur l'islam, l'étude de Gilles Kepel est une plongée dans les interstices et les failles des politiques publiques en direction des quartiers sensibles... Avec un bilan médiocre : le territoire souffre toujours d'une mise à l'écart durable, illustrée ces dernières semaines par l'épidémie de tuberculose, maladie d'un autre siècle, dans le quartier du Chêne-Pointu, à Clichy, ghetto de pauvres et d'immigrés face auquel les pouvoirs publics restent désarmés (Le Monde du 29 septembre). Illustrée depuis des années par un taux de chômage très élevé, un niveau de pauvreté sans équivalent en Ile-de-France et un échec scolaire massif.

    Clichy-Montfermeil forme une société fragile, fragmentée, déstructurée. Où l'on compte des réussites individuelles parfois brillantes et des parcours de résilience exemplaires, mais où l'échec scolaire et l'orientation précoce vers l'enseignement professionnel sont la norme. "Porteuse d'espoirs immenses, l'école est pourtant aussi l'objet des ressentiments les plus profonds", constatent les chercheurs. Au point que "la figure la plus détestée par bon nombre de jeunes est celle de la conseillère d'orientation à la fin du collège - loin devant les policiers".

    Et pourtant, les pouvoirs publics n'ont pas ménagé leurs efforts. Des centaines de millions d'euros investis dans la rénovation urbaine pour détruire les tours les plus anciennes et reconstruire des quartiers entiers. Depuis deux ans, les grues ont poussé un peu partout et les chantiers se sont multipliés - invalidant les discours trop faciles sur l'abandon de l'Etat. Ici, une école reconstruite, là, un immeuble dégradé transformé en résidence. Un commissariat neuf, aussi, dont la construction a été plébiscitée par les habitants - parce qu'il incarnait l'espoir d'une politique de sécurité de proximité.

    Le problème, montre Gilles Kepel, c'est que l'Etat bâtisseur ne suffit pas. Les tours ont été rasées pour certaines, rénovées pour d'autres, mais l'Etat social, lui, reste insuffisant. La politique de l'emploi, incohérente, ne permet pas de raccrocher les wagons de chômeurs. Les transports publics restent notoirement insuffisants et empêchent la jeunesse des deux villes de profiter de la dynamique économique du reste de la Seine-Saint-Denis. Plus délicat encore, la prise en charge des jeunes enfants n'est pas adaptée, en particulier pour les familles débarquant d'Afrique subsaharienne et élevés avec des modèles culturels très éloignés des pratiques occidentales.

    Que faire alors ? Réorienter les politiques publiques vers l'éducation, la petite enfance, d'abord, pour donner à la jeunesse de quoi s'intégrer économiquement et socialement. Faire confiance, ensuite, aux élites locales de la diversité en leur permettant d'accéder aux responsabilités pour avoir, demain, des maires, des députés, des hauts fonctionnaires musulmans et républicains. Car, dans ce tableau sombre, le chercheur perçoit l'éveil d'une classe moyenne, de chefs d'entreprise, de jeunes diplômés, de militants associatifs, désireuse de peser dans la vie publique, soucieuse de concilier identité musulmane et appartenance républicaine.

    Luc Bronner

  • 26 maires ont signé un appel pour le droit de vote des étrangers...

            Idéologues sur ce point - comme sur beaucoup d'autres... - les maires de vingt-six villes ont jugé utile, à un an de l'élection présidentielle, de relancer le débat sur le droit de vote des étrangers aux élections locales :

            "Nous lançons un appel solennel et prenons l'engagement de tout mettre en oeuvre pour que le droit de vote et d'éligibilité des résidents étrangers aux élections locales soit reconnu", ont écrit ces maires, réunis au Sénat à l'initiative du premier magistrat de Strasbourg, Roland Ries (PS). 

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            "Aujourd'hui, les résidents étrangers doivent être considérés comme des citoyens à part entière",ont-ils même ajouté, car, pensent-ils, l'opinion publique est favorable à l'évolution d'une citoyenneté attachée à la résidence et non pas seulement à la nationalité....

            C'est plus facile à affirmer qu'à vérifier ! Pourquoi pas demander son avis au peuple souverain ?

             Rappelant que "le concept de citoyenneté contient le droit pour toute personne de participer aux prises de décision qui la concernent", ces maires ont également souligné que "son extension a déjà eu lieu pour une partie des étrangers résidents, ressortissants de l'UE, qui peuvent voter aux élections municipales et européennes... Il s'agit maintenant de donner les mêmes droits à tous les étrangers résidents".

             Dans la catégorie la France bradée, en voilà 26 qui se posent là !....

             Ce sont les maires : d'Angers, Aubervilliers, Bègles, Besançon, Caen, Chelles, Clichy-la-Garenne, Creil, Erstein, Grenoble, Illkirch-Graffenstaden, Les Ulis, Lille, Metz, Montbéliard, Nantes, Paris, Pau, Périgueux, Quimper, Reims, Rennes, Rouen, Saint-Denis, Strasbourg et Toulouse.

  • La laïcité selon Martine Aubry : Talisman ? Elle a bien dit ”talisman” ?....

                Ainsi donc, Martine Aubry a parlé de la laïcité comme "du" talisman, "du" joyau que la France pourrait offrir au monde (1) !

                Mais, a-t-elle bien pesé ses mots, Martine Aubry ? Et, en l'occurrence, son mot ? Sait-elle bien ce que c'est qu'un talisman ?

                Voici, pêle-mêle, ce qu'on trouve dans les dicos :

    - gri-gri, talisman, fétiche porté autour du cou et sensé porter chance et/ou écarter les mauvaises influences de tous ordre...

    - objet auquel une bénédiction ou une magie confère de prétendus pouvoirs de protection

                  Et dans le Littré :

    - figure magique, horoscope ; le mot arabe vient du grec, proprement choses consacrées, puis nom donné aux statues des divinités païennes dans le Bas-Empire qui furent considérées comme malfaisantes. Nom qu'on donne à certaines figures ou caractères gravés sur la pierre, ou sur le métal, auxquels on attribue des relations avec les astres, et des vertus extraordinaires, suivant la constellation sous laquelle ils ont été gravés.

                Ouf !

                Le christianisme a deux mille ans, et malgré les bourrasques, il reste - selon le mot fort juste de Maurras - "la seule Internationale qui tienne...". La nouvelle religion républicaine n'a guère plus de deux cents ans, et elle a déjà sombré dans le fétichisme, la magie et tout ce genre de choses : sic transit !.....

    (1) : rappelons juste que, en fait de laïcité, dans sa bonne ville de Lille, Martine Aubry a concedé des horaires reservés dans les piscines aux femmes musulmanes ! Dans le genre contradiction assumée, on peut difficilement faire mieux ! A moins que ce ne soit - plus vraisemblablement - Georges Frèche qui ait raison, une fois de plus, lorsqu'il traite Martine Aubry de  "faux-cul"....

  • La nouvelle pierre de Maurras.net

           "Adusés vosto clapo per mounta lou clapié !" disait Mistral (apportez votre propre pierre pour que le mur s'élève...).

            C'est ce que fait, avec une belle persévérance et une belle régularité le site Maurras.net.

            La pierre du jour qu'il apporte, ce premier février, est un texte intitulé La monarchie fédérale. Il n'est pas très long, mais on y retrouve du bon, du solide, de l'utile; comme on l'aime (extraits) :

    - En travaillant à la reconstruction de la ville ou de la province, on travaille à reconstituer la nation. Le provençal ne fait aucun obstacle à l'épuration et à l'illustration de la langue française, et bien au contraire il y aide. Le patriotisme français nourri et rafraîchi à ses vives sources locales est peut-être un peu plus compliqué à concevoir et à régler que le patriotisme unificateur, simpliste, administratif et abstrait de la tradition révolutionnaire et napoléonienne. Mais comme il est plus fort ! Et surtout, comme il est plus sûr ! À la place d'un simple total de milliers de fiches contenues dans un carton vert, voici la plante naturelle qui boit la sève de son sol.

    - Tout ce qu'on dit contre la province vaut contre la nation. Tout ce qu'on dit contre la nation est utilisé contre la province.

    - L'Unité française a pu gêner parfois ; elle aura surtout protégé.

    - On ne le dit jamais, on ne le sait pas assez. Il est des chances éternelles en faveur d'une nation maîtresse d'un territoire comme le nôtre, héritière d'un tel passé. Je ne crois pas aux grands empires modernes. L'Allemagne peut et doit se briser. L'empire anglais en court le risque. L'unité de l'Islam est possible ? Peut-être. Mais l'empire ottoman se défait. La Suède et la Norvège se sont séparées. Le mouvement de décomposition n'aurait qu'à se continuer un peu du côté des Amériques, et voici que notre pays, d'étendue moyenne, fermement uni sous son Roi, assez décentralisé pour n'être pas troublé de secousses intérieures, reprendrait son antique magistrature en Europe. Nous serions les plus forts, les plus libres, les plus cultivés, les plus généreux, les plus sains. Nous serions… Mais nous sommes en République démocratique et centralisée !

  • ”...Une cité sous contrôle...” ! Ou : les Mafias se sont bien implantées et prospèrent, merci pour elles !.....

            Voici la Une de La Provence du mercredi 29 juin, et le PDF de l'article qui l'accompagne, en page 3 : Marseille trafic.pdf ("La Castellane" est l'une des nombreuses "cités" des "quartiers nords" de la ville...)

    LA PROVENCE JUIN 2011.jpg

            Or, à moins que l'on ne croie à la "génération spontanée", il y a forcément des causes à cette situation que nous connaissons bien, dans toutes ces zones et cités de non-droit, et que rapporte aujourd'hui La Provence (mais tant d'autres aussi, hier, aujourd'hui et, malheureusement, selon toute vraisemblance, demain...).

            Et on connaît bien l'une des causes majeures, sinon unique, de cette explosion exponentielle des trafics, et du renforcement continu des Mafias, qui se sont d'ores et déjà appropriées des portions entières du territoire national : c'est cette politique (?) insensée de délocalisation de populations menée par un Pays Légal irresponsable qui, peu ou prou, octroie chaque année la nationalité française à 200.000 personnes. Or, à un très grand nombre de ces personnes on n'a, de toutes façons, aucun avenir sérieux à proposer chez nous; et, dans cette masse, s'en trouvent forcément - on pourrait dire, mécaniquement, statistiquement... -  qui constituent, de fait, un vivier pour les délinquances, trafics et Mafias en tous genres....

            Alors faut-il venir s'étonner, après, de récolter les conséquences de ce que l'on a - follement - semé ?...

    PS : pour qui l'ignorerait, La Provence apporte, fidèlement, son appui au politiquement correct ambiant, en ce qui concerne l'immigration, et ne manque jamais de hurler avec les loups lorsqu'il s'agit de sombrer dans la pire des démagogies ambiantes dès qu'il s'agit de n'importe quel "multi"....

  • Reims, haut lieu de la Royauté française : le huit centième anniversaire de la cathédrale a débuté ce 6 mai ....

            L'Union propose sur son site une évocation du spectacle Son et lumières Rêve de couleurs, qui a été projeté pour l'ouverture des cérémonies marquant le 800ème anniversaire de la construction de la cathédrale:

            http://www.lunion.presse.fr/diaporama/la-cathedrale-de-reims-reve-en-couleurs

            Voici par ailleurs le dossier proposé par Herodote.net, auquel nous ajoutons notre Album et nos Ephémérides consacrées à Suger et à l'Art ogival, afin que vous puissiez disposer d'une présentation la plus complète possible sur ce haut lieu de la Royauté française et de notre Histoire..... 

    reims,sacre,herodote.net 

    I : Le dossier proposé par Herodote.net :

    I : Notre-Dame de Reims :

    http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=12110506

     

    II : Art gothique ? Disons plutôt Art français :

    http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=306

     

    III : Reims, la ville des sacres… :

    http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=603

     

    IV : Le sacre et la royauté :

    http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=231

     

     

     reims,sacre,herodote.netreims,sacre,herodote.net

     

     Sur le portrail Nord, Le beau Dieu (à gauche), et L'Ange au sourire (à droite) : le beau treizième siècle.....

     

     

     

     

     

    II : Notre Album :

    Reims, cathédrale du Sacre...

     

    reims,sacre,herodote.net

     

     

     

    III : Nos Ephémérides consacrées à la cathédrale, à l'art ogival, à Suger... : 

     

    I : Ephéméride du 12 Août. (Le beau treizième siècle).

    II : Ephéméride du 13 Janvier. (Mort de Suger, initiateur de l'art ogival).

     

    reims,sacre,herodote.net 

  • Le roman des rois, de Max Gallo

                Max Gallo a publié en automne 2009 Le roman des rois : les Grands Capétiens, qui traite précisément des portraits et des règnes de Philippe II Auguste (1180-1223), Saint-Louis (1226-1270) et Philippe IV le Bel (1285-1314).

     

                Il s’entretient ici avec Jacques Paugam de ce livre mais, plus généralement, de l’histoire et du rôle de l’historien en pointant la naissance d’un moment essentiel : le surgissement d’une identité nationale.

     

                http://www.canalacademie.com/Le-roman-des-rois-de-Max-Gallo-de.html

     

    GALLO ROMAN DES ROIS.jpg

     Fayard, 504 Pages, 22 euros

     

    Quatrième de couverture

    Qui sont-ils Philippe auguste le conquérant, saint Louis le croisé, Philippe le bel l'énigmatique ?
    Fondateurs du royaume de France, ces grands capétiens ont composé les premières pages illustres de notre histoire en peuplant notre mémoire de légendes, de gloire et de crimes.
    Les croisades contre les infidèles, mais aussi contre les albigeois et les cathares ? l'inquisition, les persécutions, les gibets et les bûchers ? la lutte contre le pape ? les batailles où se forge le sentiment national ? ce sont eux !  

    A leur côté, Max Gallo fait revivre la lignée des Villeneuve de thorenc qui les suivent pas à pas : ils sont sur le champ de la bataille de Bouvines aux côtés de Philippe auguste, avec saint Louis agonisant à tunis, et proches de Philippe le bel quand commence le procès des templiers. ils nous ont légué, parmi les monuments innombrables qui constituent notre patrimoine,l'abbaye du Mont-Saint-Michel, la cathédrale de Chartres, la Sainte-Chapelle, le Louvre... et Paris, la plus grande ville de ce XIIeme siècle, le grand siècle du Moyen Âge.

    Max gallo raconte tout : la gloire et les turpitudes. la foi et le fanatisme. la compassion, la haine et l'injustice.
    Le roman des rois est l'histoire vivante de ces grands capétiens qui ont modelé leur siècle et fondé la France.