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  • Ardisson est content. De lui...

                 On a pu le lire un peu partout: Thierry Ardisson annonce, tout guilleret, qu'il vient de signer  pour une quatrième saison de Salut, les Terriens !, sur Canal +, et que, ma foi, l'emission a "trouvé ses marques", grâce -toujours en toute modestie, bien sûr..- à un "équilibre entre le fun et le fond".

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                Au passage, et en réponses aux questions très consensuelles des différents journalistes qui l'ont interrogé à droite et à gauche, il donne deux petits coups de griffe. A  Eric Zemmour, d'abord ("A l'époque de Tout le monde en parle, on recevait Houellebecq, Shimon Peres, Gorbatchev. Aujourd'hui, à la même heure le samedi soir, on a droit à Zemmour et Nolleau...").

                A Stéphane Bern, ensuite ("Les audiences sont au rendez-vous avec des records à 7,5% de part d'audience. C'est incroyable -toujours très modeste !...- car quand Bern était sur cette case il faisait 3,4%....).

                 Bon, d'accord, puisqu'il est content avec son score, et que cela suffit à son bonheur...

                 Mais il n'y a pas que cela qui compte, cette nouvelle variation sur la culture du chiffre, en quelque sorte. Après tout, qu'un animateur fasse de l'audience, c'est un peu dans la nature des choses, malgré tout... Là n'est pas la seule, ni la vraie question. Le vrai problème, nous semble-t-il, c'est plutôt qu'est-ce qu'il fait de cette audience ? A quoi s'en sert-il, au service de quoi la met-il ? Pour diffuser savoir et culture, élever le public, le tirer vers le haut? Ou bien s'inscrit-il dans ce que Finkielkraut lui avait vertement reproché un jour : le processus de dé-civilisation.

                 Il s'est en effet, par deux fois, fait taper sur les doigts. Par Finkielkraut, d'abord, après le mauvais goût (doux euphémisme !....) d'un de ses épisodes de Salut les Terriens, dans lequel on avait tourné en dérision la mort du cardinal Lustiger. Puis par Luc Ferry, pour sa participation à "l'énorme opération contre Benoît XVI".

                  Mais ça, il a l'air de s'en ficher bien pas mal: seul semble compter, pour lui, son "fun" (comme il dit) et son audimat.

                  Grand bien lui fasse ! Il a peut-être, là, de quoi être content, mais certainement pas de quoi être fier.....


      

  • Jean Guitton...

                "Il faut choisir entre l'absurde et le mystère: j'ai choisi le mystère..."

                 Il y a dix ans, disparaissait Jean Guitton.

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                Canal Académie a choisi de l'évoquer d'une façon assez originale: dans une émission d'a peine plus de 8 minutes, Jean Mauduit, qui a lu les deux ouvrages consacrés à Guitton par deux femmes, qui ont travaillé à ses côtés -Anne Creuchet dans un récit-témoignage et Véronique de Bure dans un roman- présente ces deux ouvrages dans cette chronique littéraire.

                Deux portraits touchants de Jean Guitton, le philosophe homme de coeur.

                http://www.canalacademie.com/Deux-portraits-de-Jean-Guitton.html

                Florilège.....

    - «Avoir des opinions ne m'intéresse pas. C'est à la portée de n'importe qui. Mais avoir des idées vraies, absolument vraies, voilà qui est difficile et voilà qui est beau.» (Mon testament philosophique)

    - «Toutes les époques ont leurs lacunes et leurs erreurs. Si l'on me demandait quel est le défaut majeur de la nôtre, je répondrais que c'est la confusion et le renversement des valeurs.»

    - «En Occident la jeunesse est désemparée ; l'une des raisons de son trouble est que l'on n'exige plus assez d'elle. La jeunesse avec raison exige qu'on exige.» (Ce que je crois)

    - «Ce que nous appelons le hasard n’est que notre incapacité à comprendre un degré d’ordre supérieur.»

    - «Etre dans le vent, c'est avoir le destin des feuilles mortes.»

    - Un être raisonnable n'est pas serf quand il obéit, mais il l'est quand il n'obéit pas raisonnablement. Être raisonnable, c'est penser vrai. (Mon testament philosophique).

    - Qu'est-ce alors que le beau ? Voltaire l'a écrit : " Ce qu'il a de plus beau, pour le crapaud, c'est sa crapaude. " (Mon testament philosophique)

    - Notre civilisation sursaturée de connaissances et de moyens de savoir offre tant de masques et de faux appuis que l'homme ne sait plus ce qu'il sait et ce qu'il ignore. (Le travail intellectuel).

    - La règle d'or du travail intellectuel peut se traduire ainsi : « Ne tolère ni de demi-travail ni de demi-repos. Donne-toi tout entier ou détends-toi absolument. Qu'il n'y ait jamais en toi de mélange des genres ! » (Le travail intellectuel)

  • Quand Eric Besson découvre l'esclavage, mais n'en tire guère de leçon...

               Parmi la masse innombrable des scandales liés à l'immigration, l'affaire des 150 maîtres-chiens n'apporte guère d'éléments nouveaux; elle n'est qu'une illustration supplémentaire de ce que nous dénonçons régulièrement (alors que les immigrationistes y prêtent la main...) : les immigrés sont le plus souvent les premières victimes de cette aberration qu'est la déferlante migratoire que nous subissons tous, eux et nous.

                Ils sont traités souvent comme des esclaves, osons le mot, comme du bétail. Comme de la chair à profit...

                Aujourd'hui c'est Eric Besson qui semble s'en apercevoir. 150 maîtres chiens sans papiers (en bon français, clandestins, hors la loi, ndlr...) sont employés illégalement par un sous-traitant de la SNCF ? "Ils ont été exploités visiblement dans des conditions qui sont hallucinantes" ? Certes. Mais que propose-t-il ? "Il y en a deux ou trois qui pourraient correspondre à l'application de la circulaire que j'avais prise le 5 février en application de la directive sur la traite des êtres humains...". En clair, on va les naturaliser. Et c'est tout ? C'est tout.

                 Pas un mot, pas d'annonce d'une politique sérieuse pour régler le problème au fond. Au fond, c'est-à-dire en le posant du point de vue des intérêts véritables de l'Afrique et de l'Europe, mais aussi -et en un sens, même, surtout- du point de vue de la personne humaine, de la dignité humaine. Les immigrés sont des êtres humains, qui doivent être traités comme tels, et non être les simples enjeux de sordides calculs, uniquement matériels. C'est d'abord chez eux qu'il faut les aider, en aidant leur pays à se développer, c'est-à-dire en promouvant une saine collaboration entre l'Europe et l'Afrique, profitable aux deux parties. Et non en faisant de millions d'immigrés des millions de déracinés dans des pays loin de chez eux, où ils contribueront -fût-ce à leur corps défendant- à perturber et détraquer la machine économique. 

                 C'est pour des raisons positives que nous critiquons l'actuelle aberration que l'on affuble du mot immigration. Ce n'est bien sûr pas par hostilité personnelle à chaque immigré pris individuellement. C'est parce que l'actuelle situation n'est satisfaisante pour personne, et dans aucun domaine. Et qu'il y a beaucoup plus, et beaucoup mieux à faire. Il faut donc tout reprendre et tout repenser. Il est dommage que M. Besson, lorsqu'il découvre la partie immergée de l'iceberg, n'en tire pas plus de conséquences et n'aille pas plus loin - du moins, pour le moment ?... - dans sa réflexion...

      

  • Sur le front du ”dimanche” : Etienne Neuville, défenseur du repos dominical....

               Etienne Neuville a été appelé "Monsieur Pentecôte" par... Arlette Laguillier ! L'anecdote ne va pas plus loin, mais suffit à cataloguer le personnage. Il mène aujourd'hui, -pour que le dimanche reste le dimanche- le même combat qu'il a mené hier, pour que le lundi de Pentecôte reste ce qu'il était.

                Vous en saurez plus en vous rendant sur le site suivant : http://www.travail-dimanche.com/

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                "Avec quatre copains, on en a eu assez de ces projets de loi gadgets qui défigurent le visage de notre pays riche de ses traditions", dit celui qui ne craint pas de parler du "pays de mes pères" et qui se déclare excédé de voir que des politiques de passage, élus pour quatre ou cinq ans, "jouent parfois avec des traditions séculaires qui font que la France est telle et pas autre".

                Il faut se battre, pour défendre le dimanche ? Fort de son expérience pour défendre le lundi de Pentecôte, il balaie l'objection : "En bossant, on y arrive"...

                 Tout récemment, Benoît XVI et l'archevêque de Strasbourg ont redit, une fois de plus, l'importance du dimanche.

                 "Le dimanche est un bien pour l'homme. Ce jour saint est en effet pour les chrétiens un jour de prière qui leur permet de reprendre des énergies spirituelles en soutenant leur vie par l'écoute et la méditation de la Parole de Dieu, et en se nourrissant du Corps du Christ.Le dimanche est également un jour de délassement et de détente mérités pour se retrouver en famille ou entre amis. J'encourage chacun à vivre ce temps de grâce qu'est le repos dominical !" (Benoît XVI, Angélus du 13 juillet).

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                  Pour sa part, l'archevêque de Strasbourg, Mgr Jean-Pierre Grallet (ci dessus), a rappelé la sagesse biblique aux corps constitués de l'Etat lors de la traditionnelle Messe pour la France, célébrée en la cathédrale de Strasbourg. "Selon l'antique sagesse biblique, il y a un temps pour le labeur et un temps pour le repos, un temps pour la production industrielle et un temps pour la gratuité de l'art, un temps pour l'action et un temps pour la prière, un temps pour l'homme et un temps pour Dieu. L'actuel débat sur le travail dominical est à relier à cette sagesse biblique et à ces rythmes structurants pour l'homme".

                  (Selon le Concordat en vigueur en Alsace-Moselle, la messe pour la France est célébrée chaque année devant les corps constitués de l'Etat à l'occasion du 14 juillet).

  • Maroc : La leçon faite au Monde.

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    une des "Une" de Tel Quel....

    On connaît l’arrogance des journalistes et le crédit qu’il convient d’accorder à une information qu’ils contribuent autant à créer qu’à diffuser. On sait aussi en quoi consiste l’inquisition des esprits aux mains des grands prêtres de la démocratie et l’inclination de ces derniers pour l’opinion publique, celle justement que contribuent à façonner les journalistes. L’« affaire » du sondage récemment interdit de publication au Maroc vient illustrer de façon caricaturale la prétention des uns et des autres à diriger les consciences en disant le bien et le mal.

    L’édition du 4 juilllet du journal Le Monde a été interdite au Maroc, le magazine marocain Tel Quel ayant lui-même été mis au pilon. Les bonnes âmes crient au scandale. Comment ? On n’a pas le droit d’écrire ce que l’on veut ? On n’a pas le droit de publier un sondage ?  Et Mohamed VI d’être condamné pour entrave à la prétendue libre circulation de l’information. Florence Beaugé, la journaliste qui signe l’article « Maroc : le sondage interdit » ajoute ce qu’elle doit penser être le coup de pied de l’âne (de l’ânesse devrait-on dire puisqu’il faut toujours « féminiser ») : « Le plus étonnant est que le résultat de ce sondage est extraordinairement favorable à Mohamed VI ».

    Les autorités marocaines avaient pourtant, par avance, répondu à toute critique en donnant comme motif de l’interdiction que « la monarchie ne peut être mise en équation, même par la voie d’un sondage ». D’ailleurs, qu’est ce qui autorise Madame Beaugé, intellectuelle « parisienne » à faire la leçon aux Marocains ? Mais sa foi en la démocratie, bien sûr. Elle y croit et a donc divisé le monde en deux : les élus et les damnés.

    Ce qu’elle feint sans doute de ne pas comprendre et qu’elle se garde bien de dire, c’est l’essentiel : quelle que soit la proportion de Marocains qui se diraient satisfaits de leur roi, celui-ci ne saurait être considéré comme une marque de yaourt ou une chaîne de télévision. Car c’est de cela qu’il s’agit : donner aujourd’hui la bénédiction démocratique à Mohamed VI pour mieux lui reprocher demain une éventuelle baisse dans les sondages. Le baiser qui tue, en quelque sorte.

    Mais madame Beaugé a oublié une chose : son idéologie se heurtera toujours au principe de réalité, lequel en l’occurrence tient en quelques mots : de par sa dimension historique et religieuse, le souverain chérifien n’a que faire de l’onction des étrangers, son pouvoir est véritablement enraciné dans la terre et la population marocaines. Alors, Madame Beaugé, on n’a pas besoin de vous au Maroc. Retournez à vos casseroles, qu’elles aient nom Ségolène ou Nicolas et sondez, sondez, sondez tant que vous pourrez.

     Louis-Joseph Delanglade 

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  • Indemnisation de Bernard Tapie : Heureusement qu'on a fait la révolution !...

              ... Et qu'on vit donc, depuis, sous le règne heureux de la Liberté et de la Fraternité, mais surtout, surtout, de l'Egalité ! Sinon qu'est-ce que ce serait !...

              On vient d'avoir une ènième confirmation du fait qu'il restera à Bernard Tapie -une fois réglées toutes ses dettes dues au fisc- quelque chose comme, à la louche, 45 millions d'euros. Tout de même...

              Au titre du dédommagement pour préjudice moral, carrière entravée etc... etc..... Somme à rapprocher, pour mémoire, de ce qu'ont touché, par exemple, des victimes de l'amiante (dont le moins que l'on puisse dire et que, elles aussi, elles ont subi un préjudice, et pas seulement moral; et qu'elles ont eu, elles aussi, leur carrière entravée etc... etc....) : 30.000 euros !

              Dès que Bernard Tapie eut gagné son procès, et qu'Eric Woerth eut confirmé que l'Etat ne ferait pas appel, nous avons relevé l'incohérence qu'il y avait de la part de certains socialistes à hurler à la mort d'une façon indécente : après tout, c'est bien François Mitterand qui a hissé Tapie aux sommets; et il est absolument évident que sans des directives venues de tout en haut jamais le Crédit Lyonnais ne serait allé aussi loin dans le soutien déraisonnable apporté indéfectiblement au-dit Bernard Tapie...

              Mais cette critique des incohérents ne veut bien sûr pas dire que nous ne trouvons pas cet épilogue scandaleux et écoeurant. Car il l'est, sans conteste, et il jette un discrédit évident sur le régime en place. Ne doit-on pas faire reproche au Pays Légal de ces pratiques, de ces moeurs, de ces décisions ? Etait-ce pour établir un régime pareil -aussi pourri, disons les choses clairement...- qu'on a tout cassé lors de la révolution, en promettant qu'on allait voir ce qu'on allait voir ? Eh bien, justement : on voit ! Et ce n'est pas brillant ! Tout ça, pour ca ?...

              Comme elle a vieilli, leur république ! Et, surtout, comme elle a mal vieilli !...

  • Une mauvaise nouvelle, qui devrait les interpeller quelque part...

                Disons tout de suite que nous en nous en réjouissons pas. La dégradation récente des chiffres de l'emploi, conséquence inévitable de la crise, n'a rien qui doive nous plaire, car nous ne souhaitons bien sûr pas jouer, pour des raisons partisanes, contre les intérêts du pays.

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                     Il n'en demeure pas moins que cette explosion du chômage, qui repart très nettement à la hausse, n'est pas sans poser un certain nombre et un certain type de questions à quiconque s'intéresse de près à la chose publique. Mais aussi aux responsables politiques du Pays Légal, aux Syndicats et partis immigrationnistes etc..
                     Des questions assez dérangeantes, et assez inquiétantes.
                     Pas du simple point de vue économique, mais du point de vue social. A moins de faire preuve d'un optimisme béat, frisant l'inconscience, on est bien obligé d'admettre que, selon toute vraisemblance, on se dirige vers une raréfaction du travail. Que va-t-on faire de ces masses d'étrangers que l'on a fait venir au prétexte fumeux qu'ils faisaient les travaux que les français ne voulaient pas faire (1) ? Ne va-t-on pas assister à une radicalisation des travailleurs, et à des tensions (doux euphémisme !...) avec les étrangers, fussent-ils français de plastique ? Bref, le Pays Légal, par pure idéologie, n'a-t-il pas créé toutes les conditions d'une explosion sociale (pour commencer, en attendant qu'elle ne débouche peut-être sur autre chose...), en implantant chez nous cette bombe à retardement qu'est l'immigration de masse depuis 1975 ?
                     On voit bien que les tensions montent, partout en Europe, entre autochtones et nouveaux venus. Des tensions aiguisés jusqu'à l'exacerbation par la crise. Il serait surprenant que la France y echappât...
     
     
     
    (1) : Si ces travaux étaient payés décemment, avec des conditions de travail, d'hygiène et de sécurité décentes, beaucoup de ces postes seraient occupés; ce serait le rôle des syndicats de se battre pôur cela. Certains, comme la CGT, ont préféré lâcher les intérêts des travailleurs français pour privilégier l'implantation en masse de travailleurs immigrés, sur lesquels ils pensent avoir plus de prise... 
         
  • Bon pour l'esclavage ?.....

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              Les services préfectoraux vont examiner les dossiers d'un millier de travailleurs clandestins, employés pour la plupart dans la filière de l'hôtellerie-restauration. Un millier pour commencer, car on ne sait où tout cela s'arrêtera: le par ailleurs assez sympathique André Daguin a avancé le chiffre "d'une centaine de milliers" avant qu'on ne lui demande, en toute hâte, de "fermer sa gueule"(comme aurait dit Chevènement).

              Mais qu'est-ce à dire "examiner les dossiers" ?

              Il y a des lois et des règlements en France. Il y en a même des tonnes: des milliers de pages, qui empoisonnent la vie parfois, et la gâchent assez souvent. Du moins pour ceux qui respectent ces lois et règlements. Et qui finissent par se dire que peut-être, au lieu de s'embêter à les respecter, ils feraient mieux de faire comme les clandestins, et de les contourner....

              Donc, si l'on applique ces lois et règlements, tout étranger en situation irrégulière a vocation a être expulsé. Si on ne le fait pas et qu'on les régularise (et c'est ce qui va se passer pour un certain nombre d'entre eux...) à quoi cela aboutira-t-il ?

              D'abord à permettre légalement leur exploitation, puisqu'il sera accepté et officialisé par les services concernés qu'on leur versera un salaire de misère, dans des conditions de travail inadmissibles: belle régression sociale ! cette "chair à profits"sera donc le plus légalement du monde inséré dans une économie en voie de tiers-mondisation. Une tiers-mondisation préférée à un effort vertueux de progrès social que provoqueraient des salaires attractifs et des conditions de travail décentes.

              Ensuite, le chômage d'une part non négligeable de nos concitoyens continuera: on sait qu'environ 500.000 offres d'emploi ne trouvent pas preneurs, alors qu'on n'a pas loin de quatre millions de chômeurs/précaires/RMIstes et autres; et cela uniquement parce que les conditions de travail de ces emplois ne sont pas motivantes (salaires insuffisants et pénibilité insuffisamment voire pas du tout prise en compte ou compensée....). Comment cela pourrait-il changer si la pression vers le bas exercée sur les salaires par la présence de cette main d'oeuvre immigrée continue et s'accentue même, du simple fait de son officialisation par les pouvoirs publics ?...

              Autant de régularisés, autant de "chair à profits" en plus. Les comptes en banque de certains employeurs vont grossir, et les-dits employeurs engraisser. Des milliers de travailleurs français vont continuer à chômer. Et des milliers de pauvres immigrés à être exploités: beau (x) résultat (s) !.....

  • C’est pas en Chine qu’on verrait une pétaudière pareille…

               Lu le 15 Août sur le site internet d’AOL cet article: « Sur les Champs-Elysées en plein été, des sans-papiers continuent leur action

              En plein coeur de l'été, une quarantaine de travailleurs clandestins en grève poursuivent leur action sur la plus célèbre avenue de Paris, les Champs-Elysées, déterminés à obtenir des papiers.

              Tous les jours, les grévistes du Bistro Romain et du Quick, deux restaurants des Champs-Elysées, installent leurs chaises, quelques drapeaux du syndicat CGT et deux tirelires bricolées dans des seaux sur l'avenue investie par les touristes

              "Mais on ne se fera pas oublier, parce que la CGT nous aide", assure son collègue Kalilou Fissourou…."

              Suit un assez long article, illustré de deux photos, une de clandestin et une de banderole...

              Plusieurs centaines de salariés clandestins ont en effet entamé un mouvement de grève en région parisienne le 15 avril, à l'initiative du syndicat CGT et d'une association de soutien aux "sans-papiers" (hors la loi en bon français, ndlr).

              Mais qu’est-ce que c’est que cette action, en définitive, sinon la promotion de l’illégalité, de l’irrespect des lois par les uns (en vue de les imposer par la force) ; et la tolérance lâche, par les autres, de cette illégalité, de cet irrespect de la loi (en bon français : une démission de l’autorité) ?

              Télescopage (savoureux) de l’actualité : deux jours avant, on apprenait qu’en Chine quatre touristes anglo-saxons venaient d’être expulsés « pour trouble à l’ordre public ». Et le présentateur du JT de citer le communiqué justificatif des autorités chinoises, disant en substance : « Nous sommes en Chine. Il y a des lois et des règlements, et tout le monde doit les respecter. Y compris les étrangers… »

              Pour un peu, on serait tenté de dire « Heureux peuple !» , et on s’en mettrait presque à envier les Chinois. Eh oui, là-bas c’est permis, ils ont le droit de dire qu’ils ont des lois et de demander qu’on les respecte. Chez nous, en république française, c’est la loi des hors la loi…

  • Les prix du mardi...

            le prix citron: à Arnaud Montebourg. Dans un entretien accordé au journal Libération, le député socialiste Arnaud Montebourg a cru intelligent de dénoncer l'"absolutisme" (?!) de Nicolas Sarkozy.

              Sans craindre aucunement l'éxagération, l'ampoulé ni le ridicule qui, heureusement pour lui, ne tue plus, il déclare avec emphase et grandiloquence: "Cette présidence me fait penser aux Romains de la décadence. La classe dirigeante festoie pendant que le peuple peine à boucler les fins de mois". Et de poursuivre : "Il y a une sorte de faillite morale: trahison des promesses électorales, injustices fiscales, fiasco diplomatique, abandon du plus grand nombre..."

              Qu'est-ce qui lui prend? Le Bas-Empire, la décadence: il ne se rend pas compte qu'il se ridiculise avec ses exagérations? Voilà ce qui arrive quand on veut à toute force parler alors que l'on n'a rien à dire; on tombe dans les inepties et la boursouflure. On reste consterné pour ce député, finalement assez mondain lui même (voire "sauteur" comme on dit familièrement), qui se veut le contempteur d'une décadence dont on se demande bien où il l'a observée, et qui semble bien n'exister que dans son imagination. Mais n'est pas Pétrone qui veut. Et pour faire un autre Satyricon, deux ou trois billevesées du genre de cet entretien, comme dirait l'autre, "c'est un peu court, jeune homme..."

             le prix orange: à Vincent Hervouët. Toujours très en forme, mais encore plus que d'habitude ce mercredi 16 Janvier, sur LCI, lorsqu'il nous présente son toujours très intéressant "Journal du Monde", qu'il commence par son rituel: "Dans le Monde ce soir.....". C'est une valeur sûre que ce quart d'heure du soir: on sait qu'on en ressortira toujours un peu plus informé, un peu mieux renseigné, un peu plus au fait de l'actualité.....

            Ce soir-là, il y a un reportage sur Castro. Vincent Hervouët n'y va pas par quatre chemins, et c'est un vrai régal: "...Castro ne passera peut-être pas l'hiver, mais en tout cas il ne passera jamais la main!.....Quand il a dit, il n'y a pas si longtemps, que son devoir était de ne pas s'accrocher au pouvoir, il devait être dans un moment de déprime....Castro c'est Volpone dans la Caraïbe, la dictature en famille, la révolution en viager, et le règne éternel du mort vivant au pays du Vaudou..."

               Ouf! ça, c'est envoyé, et bien envoyé.....

  • Jean Raspail reçoit un Grand Prix...

              La Société de Géographie vient d'honorer notre ami Jean Raspail, en lui décernant son Grand Prix 2007 des explorations et des voyages de découverte. Si l'oeuvre romanesque de Raspail est bien connue, il est vrai que ses expéditions le sont parfois un peu moins: elles ont pourtant donné naissance plus d'une fois à de forts beaux livres, tel celui publié en 2005, "En canot, sur les chemins d'eau du Roi." (sous titré "une aventure en Amérique").

              Depuis 1949, l'auteur a, ainsi, parcouru une grande part du continent américain, trouvant régulièrement la matière de nombreux ouvrages d'aventures dans ses propres expéditions: de Québec à la Nouvelle-Orléans par le saint Laurent et le Mississipi; à travers l'Alaska en automobile; mais aussi au Pérou, en Bolivie et, bien sûr, en Patagonie, terre qui nous a donné, pour notre plus grand bonheur, la "geste" d'Antoine de Tounens!.....

              Si l'on est heureux pour Jean Raspail de la distinction qu'il vient de recevoir, on ne peut cependant que nourrir un regret: que l'Académie Française n'ait pas (pas encore?) ouvert ses portes à celui qui le mérite tant, "pour l'ensemble de son oeuvre" selon la formule consacrée. Une oeuvre dans laquelle on nous permettra peut-être de faire figurer en première place cette petite merveille d'élégance et de bon goût, de sensibilité, de poésie pure qu'est "Le Jeu du Roi": "...Un petit garçon rêvait d'un royaume. Un roi - réellement, légitimement roi, mais de Patagonie - vivait seul, face à l'océan, dans un fort délabré de la côte du Ponant, attendant l'héritier qui recueillerait son rêve avec sa royauté. Il choisit l'enfant. Il lui fit partager les mirages de cette Terre de Feu où il n'avait peut-être jamais mis les pieds, mais qui était toute sa vie, son être même; il l'introduisit dans les mystères du royaume invisible qu'il portait en lui; il le fit roi..."

              Merci à Jean Raspail, pour nous avoir introduit nous même -avec le jeune "héros" de son roman, et à sa suite- dans ce "Royaume invisible" où tout n'est que Pureté, Noblesse et Sensibilité. Où l'élégance du ton magnifie encore la hauteur du propos. Au sens étymologique, il s'agit d'un livre "enthousiasmant" (1). Vite, que l'Académie offre enfin à ce grand écrivain, bon serviteur des Lettres et de l'esprit français, la place qui, de toute évidence, est la sienne sous la Coupole: car si celui là est Roi qui rayonne, il est roi.....

    (1): du grec "theos", dieu, qui donne "en/thousia", inspiration envoyée par les dieux, et "en/thousiadzô", être "habité" par les dieux, et de là "enthousiasme" et "enthousiasmer".... 

  • Une situation malsaine et très compliquée, dont les deux parties sont également responsables.....(1)

              A propos de la grève des transports, qui s'est superposée hier à celle de la Fonction Publique, on peut dire -au risque de surprendre, voire de choquer...- que dans cette affaire tout le monde dit une part de la vérité et toutes les parties ont, en quelque sorte, un peu raison, mais aussi un peu (beaucoup...) tort...

              Comment ne pas approuver Nicolas Sarkozy lorsqu'il essaie de mettre un peu d'ordre dans ce foutoir qu'est devenue la république; un peu d'ordre dans cet ahurissant maquis, cette invraisemblable jungle de privilèges et d'inégalités (1) que la république a instituée (elle qui n'a que le mot d'égalité a la bouche, c'est amusant....)

              En même temps, on est bien obligé de constater que les salariés ont raison sur un point: tous ceux qui relèvent de l'État sont exploités par la république, en ce sens qu'ils sont insuffisamment payés. Que l'on prenne le salaire d'une infirmière, d'un professeur, d'un cheminot, d'un agent des postes etc....il est notoire que dans la grande majorité des cas les salaires sont insuffisants en France. Nous avons souvent dit (2) que la France n'avait pas besoin d'immigration, quand Chirac a décidé seul le regroupement familial en 1975, mais qu'elle avait besoin d'augmenter substantiellement les salaires, afin de combler ce différentiel d'environ 30% que subissent les salariés français par rapport à leurs homologues allemands, dans de très nombreux cas; de même, qu'il fallait en finir avec la scandaleuse disparité salariale hommes-femmes (et non seulement sur les salaires mais aussi pour les retraites....)...

              Nous ne demandons bien sûr pas l'augmentation générale et immédiate de 30% de tous les salaires, mais, oui, nous pensons que ce qu'il manquait à l'économie française en 1975, et ce qui lui manque toujours aujourd'hui, dans ce domaine des salaires, c'était une juste (une plus juste...) rémunération du travail. Au lieu de s'engager dans cette voie vertueuse, sur dix ou vingt ans, et de payer décemment les français qui travaillent, la république a préféré hier -et elle continue aujourd'hui...- se payer une armée d'esclaves immigrés, sous-payés et mal traités; et qui -volens nolens- font objectivement pression "à la baisse" sur les salaires et tirent la machine économique vers le bas: pourquoi investir dans des machines coûteuses, pourquoi payer de forts salaires à des ouvriers qualifiés et bien formés, lorsqu'on a a sa porte une armée d'immigrés pauvres, prêts à accepter n'importe quel travail, à n'importe quelles conditions, pour un tout petit salaire?.... (à suivre...)

    (1): les républicains appellent cela des "droits acquis"!: on leur fera juste remarquer, avec un rien de condescendance amusée, que c'est l'exacte traduction du mot "privilèges"; était-il vraiment nécessaire de faire la révolution, avec son cortège d'horreurs et d'abominations, pour en arriver a remplacer des privilèges par d'autres privilèges, bien plus nombreux, bien plus ruineux et bien plus scandaleux?.....

    (2): voir dans la Catégorie "Conférences" la conférence "Contre la France Métisse...." (deuxième partie, premier point).

  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à la Mission de France; à l'occasion du 40° anniversaire de la mort d'Ernesto Guevara (le 9 octobre 1967), cette entité -qui a le statut de diocèse de l'Église de France- annonce ni plus ni moins qu'elle "s'associe" à la Quinzaine de l'Amérique Latine organisée par la municipalité de Fontenay-sous-Bois (Val de Marne); afin de rendre hommage à une "figure emblématique de l'Amérique Latine"! Jacobo Machover -universitaire cubain exilé en France- vient de publier un ouvrage décisif sur Guevara (1) dans lequel il remet, comme on dit, les pendules à l'heure, en ce qui concerne cette "figure emblématique"; entre autres perles et joyeusetés, qui ne sont pas sans rappeler les grands ancêtres de la Révolution Française: "Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons de fusiller tant qu'il le faudra". Ces propos furent prononcés en 1964 à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies! Beau message évangélique! belle devise pour un diocèse de l'Église Catholique! Vous avez dit "emblématique"?.....

    (1): ("La face cachée du Che", Buchet-Chastel, au fait; 14 euros))

              le prix orange: à la CFTC, pour sa pétition en faveur du repos dominical; on sait l'importance qu'accorde Benoit XVI a cet "espace de liberté" -pour reprendre son heureuse formule- qu'est ce jour chômé du dimanche, jour du Seigneur, aujourd'hui fortement attaqué; "sans le dimanche, nous ne pouvons pas vivre..." a-t-il l'habitude de dire également, face à l'offensive méthodique de ceux qui souhaitent transformer ce jour en jour "banal", et en faire un jour "marchand" comme les autres. Dans cette pétition, la CFTC affirme que "...au-delà du temps de repos, juste et nécessaire, (le dimanche) est un élément fondamental de la vie familiale, sportive, culturelle, associative, voire spirituelle." Il y a un équilibre fragile à maintenir "...face à l'hexagone des tenants d'un monde transformé en une immense galerie marchande aseptisée, où la culture est en tête de gondole, la nourriture en fast-food, la pensée code barrée, le salarié aux horaires décalés, la caissière sous-payée, la famille explosée....C'est sur une certaine idée de la France au travail que nous nous prononçons !".....

              Certes nous aurions placé en tête de phrase la "vie spirituelle", en supprimant le "voire": mais, bon...çe n'est quand même pas si mal vu ni si mal dit....

  • L'unique raison de tant d'hystérie...(1/2)

              Excédé par la mauvaise foi hallucinante des opposants aux tests ADN, François Fillon a cherché à attirer leur attention sur un point important: vous perdez de vue l'ensemble du dossier, a-t-il expliqué en substance, à force de vous focaliser sur un seul de ses aspects, qui n'est qu'un détail de cet ensemble; il n'en a pas fallu plus pour que toute une partie de l'intelligentsia de gauche et d'extrême gauche (1) redouble d'ardeur, elle qui délire déjà "plein pot", d'une façon outrancière, grotesque et ridicule, depuis plusieurs jours: elle veut nous faire croire qu'elle retrouve dans ces propos du Premier ministre ceux que Jean-Marie Le Pen avait prononcés en 1993 sur les chambres à gaz, "détail de l'Histoire" !

              Ici, on n'est plus du tout dans le domaine d'une saine confrontation des idées; on n'est plus dans l'opposition légitime (fut-elle virulente....) à des textes de lois; même plus dans le domaine de l'éxagération, parfois compréhensible et -comme on le dit souvent- "de bonne guerre": n'ayons pas peur des mots et disons-le clairement, on est dans le crétinisme absolu, même plus le niveau zéro de la politique, car les personnes qui profèrent ces insanités ont sombré corps et bien dans le grand naufrage de leur pauvre "intelligence" ( ? ); quelle déroute de la pensée! quel désolant spectacle! à qui feront-ils croire, ces pseudo censeurs, qu'ils retrouvent du Le Pen dans François Fillon?

              La vérité est très simple: le "Parti Immigrationniste" se déchaîne parce que, dans la forme et dans le fond, "on" a touché à l'essentiel:

              Dans le fond, "on" a osé toucher à leur jouet, l'immigration, dont ils se servent pour "casser" la France; et le gouvernement essaye (même si cela nous parait encore très largement insuffisant...) de mettre un tout petit peu d'ordre dans cette pétaudière qu'est l'immigration, machine infernale destinée à diluer l'ensemble français et à nous faire disparaître en tant que tels, en changeant tout simplement le Peuple.      (à suivre.....)

    (1): remarquons bien que toute la gauche n'est pas stupide à ce point; et qu'il s'y trouve au contraire beaucoup de gens sensés et raisonnables: sachons donc dénoncer l'hypocrisie et les arrières pensées malsaines des braillards, sans tomber dans un amalgame réducteur et facile, mais faux et injuste: toute la gauche n'est pas acquise au "Parti Immigrationniste", aux outrances de ses propos, aux folies de ce que Maurras appelait justement les "nuées".....

     

  • Saint Benoît et l'Europe...

              Encore et toujours de fortes, et fort utiles, paroles de Benoît XVI. On les trouvera sur l'excellent site de "ZENIT",  l'agence d'information internationale qui se donne pour but de présenter à tous "le monde et l'actualité vus de Rome" (http://www.zenit.org)

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               Disponible sur le site, en date du 10 Avril, le compte-rendu fait par l'Osservatore Romano de l'allocution du Pape prononcée la veille. Le Saint Père parle de Saint Benoît, de son rôle fondamental dans la construction de l'Europe (hier...) et dans la reconstruction de l'Europe (aujourd'hui et demain...)

               "....L'œuvre du saint et, en particulier sa Règle, se révélèrent détentrices d'un authentique ferment spirituel qui transforma le visage de l'Europe au cours des siècles, bien au-delà des frontières de sa patrie et de son temps, suscitant après la chute de l'unité politique créée par l'empire romain une nouvelle unité spirituelle et culturelle, celle de la foi chrétienne partagée par les peuples du continent. C'est précisément ainsi qu'est née la réalité que nous appelons ‘Europe'"....

              "....Aujourd'hui, l'Europe - à peine sortie d'un siècle profondément blessé par deux guerres mondiales et après l'effondrement des grandes idéologies qui se sont révélées de tragiques utopies - est à la recherche de sa propre identité. Pour créer une unité nouvelle et durable, les instruments politiques, économiques et juridiques sont assurément importants, mais il faut également susciter un renouveau éthique et spirituel qui puise aux racines chrétiennes du continent, autrement on ne peut pas reconstruire l'Europe".....

              Ainsi, en nous renvoyant comme il le fait aux sources d'une Europe qui est aujourd'hui plus à re-construire qu'à construire, Benoit XVI marche-t-il dans la voie et sur les traces de Jean-Paul II. On se souvient de la formule heureuse de celui-ci, exhortant à retrouver partout et toujours la fraîcheur et l'intuition des origines. Benoit XVI illustre et enrichit aujourd'hui cette excellente règle de Sagesse. Il remplit une fois de plus, au quotidien, son rôle indispensable et bénéfique de "Pater et Magister".....