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Au cours des trois dernières années, les dépenses de fonctionnement de l'État ont augmenté de 92 milliards d'euros, soit quasiment 20% !
Merci à Marc Touati de travailler pour nous, pour nos idées, en montrant que ce Système est bien - comme nous le disons tous les jours - un Système de folie et en folie...
100 milliards d'euros, très bientôt, cela va être la somme jetée par la fenêtre chaque année, pour la charge de l'intérêt de la Dette !
Un tel soi-disant Système, cataclysmique, qui gère aussi mal, qui est aussi fou, qui est un tel danger public, qui gaspille NOTRE argent, qu'est-ce qu'on en fait ?
1821 : Découverte de la Bauxite, qui tire son nom du village des Baux-de-Provence
1594 : Première partie de Jeu de Paume pour Henri IV, un jour après son entrée dans Paris
La veille, le roi a fait son entrée dans Paris (voir l'Éphéméride du 22 mars), la ville qu'il assiégeait depuis le 30 juillet 1589 (presque cinq ans !...) et qui se refusait obstinément à lui...
Pourquoi donc, car cela paraît surprenant plusieurs siècles après, commencer en quelque sorte ses activités dans une capitale si chèrement et si longuement convoitée par... une partie de Jeu de Paume ? On le comprendra mieux si l'on se replonge quelques instants dans la mentalité, les moeurs et les goûts de l'époque...
Ancêtre direct du Tennis, mais aussi de la Pelote basque et, plus généralement de tous les jeux de raquette, le Jeu de Paume était extraordinairement populaire sous la Royauté (le mot anglais "tennis" vient du français "tenez !", mot que dit le joueur à son partenaire en lançant le service).
La paume consistait à se renvoyer une balle, appelée éteuf, au-dessus d'un filet; on jouait en individuel (1 contre 1) ou en double (2 contre 2).
Très vite (XIIIème siècle) les joueurs portèrent un gant de cuir, afin de protéger la main qui frappait la balle; au début, la paume se pratiquait en plein air, mais à partir du XIVème siècle on se mit à jouer dans des terrains de jeu couverts : les salles de jeu de paume, également appelées tripots...
1988 : Pose de la première pierre du Pont de Normandie, reliant Le Havre à Honfleur
1421 : Victoire franco-écossaise de Baugé
La bataille du Vieil Baugé, par Martial d'Auvergne, enluminure issue de l'ouvrage "Vigiles de Charles VII", Paris, XVème siècle
Cette bataille fut remportée grâce à l'aide du contingent Écossais, emmené par John Stuart (voir l'Éphéméride du 17 août), agissant ainsi en vertu de l'Auld Alliance conclue entre la France et l'Écosse contre l'Angleterre (voir l'Éphéméride du 23 octobre).
John Stuart se trouve être, par ailleurs, directement aux origines de la Maison du Roi (voir l'Éphéméride du 17 août), puisqu'il fut le premier Commandant de la Garde du Corps du Roi.
Un bon film vaut mieux qu’un long discours, et une soirée sur Notre-Dame avec les Éveilleurs vaut certainement bien mieux qu’une banale soirée chez soi comme il en restera 364 jusqu’à mars prochain ! Alors n’hésitez plus, regardez notre vidéo pour vous rappeler combien vous aimez la cathédrale de Paris et comme vous serez heureux d’écouter l’histoire de ses pierres, celles de ses artisans, celle qui se danse et celle qu’on espère… Forts de cela, cliquez sur le lien et préparez-vous à nous rejoindre ! Nous vous attendons nombreux à l’Espace Bernanos à Paris le 27 mars 2025 à 20h30, en compagnie de Paule Amblard, historienne de l’art, d’Henri d’Anselme le pèlerin des cathédrales, de Loïc Angleys artisan du chantier, d’actrices en herbe et d’artisans de beauté.
Hier matin, sur BFM, Alain Esquerre, qui se proclame porte-parole des victimes de Betharram, a développé une argumentation (?) débile : pour lui, l'Église doit supprimer le célibat des prêtres !
Comme si le mariage et la paternité portaient en eux-mêmes une sorte de "puissance magique" qui protègerait contre les perversions !
On rappellera à ce monsieur, qui développe une thèse simpliste et simplette les deux affaires sordides toutes récentes de ces deux détraqués/pervers de Dominique Pelicot et de Joël Le Scouarnec : ils étaient tous les deux mariés, et pères de trois enfants chacun, et cela ne les a pas empêché de commettre les horreurs immondes qu'ils ont commises (assassinats en plus, pour le premier)...
Alors, monsieur Esquerre, avant de débiter des sornettes "contre le célibat des prêtres", vous feriez mieux de tourner sept fois votre langue dans votre bouche !
Production du Collège des Bernardins : le célibat des prêtres rejoint une tradition très longue, et a une réelle portée spirituelle...
Sur ce scandale inouï, d'accord avec David Lisnard :
"Ce nom peut vous dire quelque chose et vous rappeler une époque que nous pensions lointaine. Dominique Voynet se vantait d’avoir saboté le nucléaire français. La France et les Français en ont payé les conséquences à tous les niveaux, y compris sur leurs factures. La nature en a pâti avec la mise à mal de notre principale source énergie « décarbonée » (outre d’être abondante, pilotable et bon marché). Or, le Gouvernement la nomme au Haut Comité pour la Transparence et l'Information sur la Sécurité Nucléaire. C’est a minima une provocation, au pire - et probablement - nuisible, ramener le loup dans la bergerie que celui-ci avait décimée."
1908 : Premier numéro de L’Action française quotidienne
Ci-dessus, la première "Une" de l'AF, le 21 mars 1908...
• Une Catégorie entière de notre quotidien est consacrées aux grandes "Une" de L'Action française, afin, non pas d'écrire une nouvelle histoire de l'Action française, mais de permettre au public le plus large possible de se faire une idée de ce que fut cette grande aventure, en consultant les sujets traités dans le journal. Dans cette Catégorie des "Grandes "Une" de L'Action française", voir, au sujet de ce premier numéro :
21 mars 1908 : Premier numéro de L’Action française quotidienne
1098 : Fondation de l'Abbaye de Cîteaux
Robert, de l'Abbaye de Molesme, avec une vingtaine de compagnons, veut en revenir à une observance plus stricte que celle qui était pratiquée dans les monastères de l'époque...
Pour bien mesurer l'importance que devait revêtir cette fondation : de Michel Mourre (Dictionnaire Encyclopédique d'Histoire, pages 980/981) :
"...Cîteaux.... ne prit vraiment son essor qu'avec l'arrivée au monastère (printemps 1112) du jeune Saint Bernard, accompagné d'une trentaine de parents et d'amis...
Intéressant, dans Marianne, l'entretien avec Václav Smil :
"Les vérités qui dérangent sur le climat du plus grand expert mondial de l’énergie - Entretien - Propos recueillis par Etienne Campion
(ndlr : Marianne propose aussi "écouter cet article"; à notre très humble avis, la "lecture" du texte n'est pas une réussite, mais bon...; cela dure 5'56")
Le Pont du Gard, pièce maîtresse de l'adduction d'eau à la colonie romaine de Nemausus (Nîmes)
12 Avant J-C : Mort d'Agrippa...
Dans la période trouble et très agitée qui suivit l'assassinat de César, Agrippa fut tout à la fois l'ami très proche d'Octave - qui devait devenir Auguste, le premier Empereur romain, après avoir "vengé" César - son allié fidèle et comme son bras droit, mais aussi un général et un administrateur hors pair...
S'il voyagea dans une grande partie de ce qui devenait "l'Empire", occupant dans de nombreux endroits de très hautes fonctions, il fit deux séjours importants en Gaule :
• son premier Gouvernorat des Gaules fut assez court puisque, arrivé en 39, il fut rappelé à Rome en 37. Depuis la conquête romaine de César, la Gaule était, de fait, livrée à elle-même pendant les guerres civiles à Rome. Agrippa reprit le dessus, pour Rome, sur les Aquitains, les Belges et les tribus germaines, notamment les Suèves : il devint le deuxième général romain à traverser le Rhin après Jules César...
• c'est son second séjour qui - bien que bref lui aussi : en 20 et 19 - marqua surtout les esprits, lorsqu'il obtint leGouvernorat de l’Occident.
Il se rendit d'abord sur le Rhin, où il repoussa les incursions germaniques et fonda une ville sur l'emplacement de l'actuelle Cologne (c'est l'empereur Claude qui, plus tard, donnera à cette ville son nom définitif : Colonia Claudia Ara Agrippinensis, devenue Cologne).
Puis, Agrippa jeta les bases de l'organisation de la Province des Gaules, réformant l'administration provinciale, le système de taxes et construisant un important réseau d'aqueducs, indispensables à chaque fois que l'on fondait une ville.
Il entreprit aussi la construction du réseau de voies romaines en Gaule, Lugdunum se retrouvant au cœur du nouveau réseau routier et devenant alors capitale des Gaules. Il favorisa aussi la colonie de Nemausus (Nîmes) fondée par Auguste quelques années plus tôt, qui devint le siège d'un atelier monétaire et où de nombreux monuments magnifiques furent construits : c'est sous Agrippa que fut menée à bien la construction du Pont du Gard (au moins dans sa plus grande partie...).
Milliaire de la via Agrippa, dans la cathédrale de Valence (Drôme).
(ndlr : la date de la mort d'Agrippa n'est pas absolument certaine; quelques auteurs la signalent "entre le 19 et le 23 mars"...)