La république danse sur un volcan...
Quatre policiers ont été blessés, le dimanche 2 mars après-midi, lors d'affrontements avec une trentaine de "jeunes" dans le quartier réputé sensible de la Grande-Borne à Grigny (Essonne)....
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Quatre policiers ont été blessés, le dimanche 2 mars après-midi, lors d'affrontements avec une trentaine de "jeunes" dans le quartier réputé sensible de la Grande-Borne à Grigny (Essonne)....
On aura tout entendu. dans la classe politique, du raisonnable au plus que surprenant (?!): n'en prenons que deux exemples...
Ne vaut-il pas mieux, parfois, laisser parler les autres? Surtout quand cela vient du "Monde", peu suspect d'alignement sur nos thèses...? Mettra-t-on en doute les faits suivants, rapportés par Olivier Zanetta, qui les dénonce dans son article du cinq janvier? Nous allons parler bientôt du énième "plan banlieue", en disant pourquoi, à notre avis, ce plan ne marchera pas plus et pas mieux que les autres (ce dont, d'ailleurs, nous ne nous réjouissons pas...). Laissons d'abord "Le Monde" dresser en quelque sorte l'état des lieux, dans l'une de ces véritables bombes à retardement follement crées par la république, et qui se comptent maintenant par centaines en France. Ça promet...
Sous le titre: "Une policière: "J'ai évité le pire à Villiers-le-Bel", Christophe Cornevin a recueilli le témoignage d'Helène, 25 ans, gardien de la paix, qui a retenu le geste d'un collègue qui voulait utiliser son arme de service (1).
Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Delphine de Mallevoüe publié dans "Le Figaro magazine" du jeudi 10 Janvier, sous le double titre: "Ces minicaïds qui sèment la terreur dans les maternelles. Âgés de 3 à 10 ans, ils frappent, volent ou brûlent des voitures. Le rajeunissement de la délinquance est un vrai problème dans les cités."
Toujours très attendu parce-que toujours très intéressant, la traditionnel débat Ferry-Julliard sur LCI, animé par Jean-François Rabilloud, a une fois encore (1) tenu toutes ses promesses. On le sait, la langue de bois est bannie de ces débats, et une réconfortante honnêteté intellectuelle y règne de bout en bout: on en a eu encore une illustration ce jour-là...
Lors de l'intervention du Chef de L'État (1) on a eu un bon exemple d'une rupture profonde avec son prédécesseur Chirac. Ne le cachons pas, et ne boudons pas notre plaisir, nous avons été assez satisfaits d'entendre Nicolas Sarkozy parler français et, sans craindre d'appeler un chat un chat, qualifier à plusieurs reprises les émeutiers de Villiers-le-Bel de "voyous".
Qu’on me permette un détour autobiographique. S'il fallait s'adresser à ces jeunes de banlieue, je leur dirais directement ceci :
S'il s'agissait de populations partageant nos valeurs, bien intégrées, n'ayant ni ne posant aucun problème, on pourrait être choqué du procédé, mais bon...Sauf que là, à côté de nombreux immigrés aimant sincèrement la France et désireux de la servir (nous savons bien qu'il ne faut jamais généraliser...), il s'agit aussi de personnes qui très souvent, trop souvent, ne partagent pas et ne souhaitent en aucun cas partager certaines valeurs fondamentales avec nous, qu'il s'agisse de religion, de moeurs, de langue, d'éducation, de culture à transmettre etc....(2). Des populations qui du reste, dans de nombreux cas, n'ont même pas demandé à "être françaises": un comble! Et qu'en plus on a parqué dans des banlieues grises et tristes, sordides parfois, minables toujours. Avec un taux de chômage hallucinant (alors que soi disant -perle du mensonge officiel!- les immigrés "viennent-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire"); où les différents trafics prospèrent (de la "drogue en grand" aux armes lourdes, en passant par tout ce qu'une économie souterraine, totalement contrôlée par les différentes mafias locales, peut induire de dérives malsaines, perverses et, tôt ou tard, forcément dangereuses....); bref, où l'avenir est bouché et où les perspectives sont, sinon nulles, du moins très souvent peu encourageantes...
Lu sur internet, parmi des dizaines d'autres réactions: "Il y a quelques jours dans le village que j'habite, une petite fille de huit ans est décédée à la suite d'un accident de tracteur dans la rue. Un immense chagrin , une population bouleversée mais on n'a brûlé que des cierges."
Depuis l’élection de Nicolas SARKOZY à la présidence de la République, c’est la première fois qu’une banlieue « brûle », que la République « brûle ». Comme en 2005, avec quelques degrés de violence en plus, elle vient à nouveau de « brûler » à Villiers le Bel. Le scandale est évident, les faits sont considérables. Cela a été dit partout. Mais quels sont les fondements, les tenants et les aboutissants politiques de cette crise ?
Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Sophie Manelli, publié dans le quotidien "La Provence" du lundi 29 octobre, sous le double titre: "Centre-Ville: la police semble bien impuissante face à ces vols à l'arraché. / Pourquoi le port du collier est déconseillé en ville...."
"Quel est le plus grand aéroport de France? Roissy? Non, la Canebière: deux vols à la minute." (1) Un peu exagérée, la blague qui circule cet an-ci. Mais un peu seulement, car depuis cet été, c'est bien deux agressions....par jour, qui seront constatées dans le centre-ville. Et l'on ne parle ici que d'un type très particulier de vol avec violence. L'arrachage de colliers, chaînes et autres "bouliers marseillais" est, depuis quelques mois, la plaie du centre-ville. Et ce alors même que la délinquance de voie publique affiche une baisse de l'ordre de six pour cent par rapport à l'année dernière. La police a clairement identifié les auteurs de ces délits.
Il s'agit le plus souvent de jeunes clandestins, en provenance d'Annaba en Algérie, qui affluent depuis la fin juin, sans doute acheminés par un réseau qui transite par l'Italie.
"A Marseille, ces gamins se spécialisent dans l'arrachage de colliers, certainement avec l'appui de receleurs et de revendeurs locaux", estime un enquêteur, qui a auditionné plusieurs de ces jeunes errants arrêtés en flagrant délit. Leurs victimes, bien ciblées, sont des femmes d'un certain âge, se déplaçant seules, de préférence. Certaines d'entre elles, jetées à terre avant d'être dépouillées, ont eu des membres fracturés. Face à ce fléau, la police ne reste pas les bras ballants. Depuis janvier, 20 opérations de contrôles massifs ont été organisés dans le centre-ville , dont douze à Noailles et Belsunce (la dernière remonte à vendredi, avec soixante trois fonctionnaires mobilisés). Début octobre, une enquête a conduit à l'interpellation de trente deux occupants d'un squat de la rue du Musée. Dix d'entre eux, formellement reconnus par des victimes, ont été placés en garde à vue. Huit ont été écroués. Les vingt deux autres? En séjour irrégulier, ils ont été remis à la police aux frontières. "Mais, comme ils se prétendent mineurs, le Parquet ordonne leur placement en foyer associatif....dont ils s'échappent aussitôt", déplore un fonctionnaire de la PAF.
Ainsi, "quelques jours à peine après leur arrestation, on a revu la plupart de ces jeunes délinquants à Noailles", confirme un policier.
Ces adolescents des rues seraient actuellement une cinquantaine à vagabonder à Marseille. Victimes, eux aussi, des chefs de réseaux qui savent que leur jeune âge leur garantit une quasi impunité."
(1): "Depuis cet été, on en est à deux arrachages de collier par jour" (un policier).....
Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Denis Trossero, publié dans le quotidien "La Provence" du vendredi 19 octobre, sous le titre: "Petits caïds ou racketteurs, ils font régner la rude loi des cités"
C'est l'histoire sans cesse recommencée du jour qui se couche sur les cités chaudes de Marseille. Histoire de zones de non-droit qui n'osent dire leur nom. Histoire que Rafik Gmati, 27 ans aujourd'hui, pourrait raconter mieux que quiconque. Depuis trois ans il gérait l'épicerie de la rue Saint-Pierre (10°), voisine de la cité Air-Bel, à La Pomme (11°). Il en avait connu des sous-entendus, des vilaines pressions, des petits mots glissés à la hâte en forme de menaces larvées.
Mais les 14 et 15 Mai 2006, il n'imaginait pas vivre pareille situation. Le premier jour, il se fait dérober la caisse. Dans la nuit, deux hommes encagoulés et armés débarquent dans son commerce et avant qu'il n'ait pu esquisser un geste, l'un d'eux tire deux coups dans sa direction. Une balle lui traverse la cuisse. Son calvaire ne fait que commencer. Le projectile est passé à deux millimètres de l'artère fémorale. Suivront trois opérations, la pause de dix huit broches, cinq mois de fauteuil roulant. Rafik a reconnu ses "cow-boys" d'un jour. Ils sont de la cité Air-Bel et de La Mazenode (11°). Lui est de La Cravache (9°). A Air-Bel on n'aime pas "les étrangers" (1). Pourtant Rafik est courageux. Il est venu au Tribunal défier le regard désinvolte de ses agresseurs. Il y a là le tireur, Abderahmane Friga, 19 ans, et son complice du même âge, Nacer Bendrer.
Friga évoque une "vengeance". Parce qu'il aurait été humilié la veille devant toute la cité, quand Rafik a récupéré sa recette. Petits caïds aux vils desseins. Rafik explique qu'ils avaient commencé par lui voler des sandwiches, puis qu'ils auraient bien aimé qu'il lui cède son épicerie sans payer. Racket ordinaire en 2007 à Marseille. Le procureur Candau, dans une synthétique géopolitique de nos cités, fustigera "l'attitude de ces groupes qui tentent de faire régner leur loi". Friga a écopé de cinq ans, Bendrer de trois ans. A l'énoncé du jugement, ce dernier a craché en direction du Tribunal, en criant "Fils de Pute!". Il devrait retourner en garde à vue.
(1): en français dans le texte! c'est trop beau! à verser dans la catégorie: "Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd".....!
Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Sophie Manelli, publié dans le quotidien "La Provence" du mercredi 3 octobre, sous le double titre: "Une trentaine de "jeunes" suspectés d'actes de délinquance interpellés / Tout un quartier terrorisé par des ados squatters."
Armés de couteaux, parfois de harpons de pêche, ils attendent les passants au coin de la rue. "Cet été, il ne s'est pas passé deux jours sans qu'une petite vieille soit jetée à terre" (1), raconte un boulanger de la rue Longue des Capucins. Depuis cet été, d'ailleurs, il garde en permanence...une hache de boucher à portée de main, cachée sous son plan de travail. En deux mois, pas moins de 20 plaintes pour des vols avec violences ont concerné le secteur Noailles. La plupart des victimes étaient des femmes âgées (1bis), sauvagement agressées sous l'oeil impuissant des caméras de surveillance.....
Certaines ont reconnu leur agresseur: dix au total, âgés de 15 à 20 ans, interpellés mardi dernier dans une descente de police effectuée dans leur repaire de la rue du Musée. Un trottoir entier, ou presque. Du numéro 22 au numéro 32, ces immeubles en ruine abritaient le plus gros foyer de ces "petits" délinquants qui terrorisent le centre-ville. Au total, 32 personnes ont été interpellées dans le squat. Pour la plupart en situation irrégulière, ces jeunes sont originaires de la région d'Annaba en Algérie, qu'ils ont quitté en bateau jusqu'à Naples ou la Sardaigne, avant de rejoindre Marseille; sans doute attirés par des filières de passeurs qui promettent les trafics faciles du trafic de cigarettes ou de contrefaçons.
"Ils sont arrivés par vagues, depuis le mois de juin dernier. Certains ont trouvé du boulot, mais la plupart se mettent à voler, en repérant des proies faciles", raconte Farid, qui tient un point phone dans le quartier. Comme d'autres commerçants, il n'hésite pas à mettre en garde les touristes qui s'engouffrent imprudemment dans le quartier. "Le coup de filet de mardi, ça va calmer les choses, mais pour combien de temps?" interroge Yves Baussens, charcutier au marché des Capucins, qui a vu tant de fois la délinquance "simplement déménager".
Dimanche dernier, une touriste anglaise a été blessée à la tête après avoir été jetée à terre et dépouillée de son camescope;
(1): on admirera le courage de ces "jeunes", avec un couteau ou un harpon contre "une petite vieille": rappelons-nous Chirac: "ce sont les enfants de la république...une chance pour la France...."
(1bis): idem....
Brice Hortefeux, ministre de l'immigration et de l'identité nationale, accorde un entretien à deux journalistes du Figaro Magazine (1): la bonne volonté du ministre est évidente; sa vision des choses est celle d'un homme pragmatique, qui souhaite mettre de l'ordre dans cette pétaudière qu'est l'immigration; et la plupart de ses propos sont frappés au coin du bon sens; on a simplement envie de demander pourquoi on n'a pas prononcé plus tôt ces paroles fortes et lucides; et quels sont les responsables de cet immense échec, qui est devenu un vrai problème de sécurité nationale, et plus seulement un problème "d'identité nationale": il suffit de voir la banalisation des batailles rangées entre bandes rivales de banlieues, des bandes composées presqu'exclusivement d'immigrés récents....; on va en être bientôt -"incessamment sous peu"- à une par jour, et les premiers coups de feu ont été tirées lors de la dernière en date; à tout observateur lucide et impartial, il apparaît clairement que la république a mis en place les conditions qui font que la France s'enfonce tout doucement, mais très sûrement, dans la violence quotidienne, ordinaire et banalisée: c'est à dire la pire.
Mais pour lutter vraiment contre un fléau, bonne volonté et lucidité ne suffisent pas. Il faut avoir le courage de "casser la baraque"et de remonter aux sources; c'est à dire de dénoncer les causes du mal que l'on dénonce. Ainsi, lorsque Brice Hortefeux déclare tout de go: "Dans certaines banlieues, plus de 40% des étrangers sont au chômage..." on aurait aimé être à la place des deux journalistes pour lui faire remarquer ceci: "on" nous a "bassiné" (pour rester polis...) avec la sempiternelle rengaine des "immigrés-qui-viennent-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire", et avec cette sornette, on a réussi à faire taire le plus souvent les voix qui s'élevaient contre ce "processus de substitution démographique"dont parle élégamment la démographe Michèle Tribalat (2). (à suivre.....)
Et maintenant, un ministre vient nous dire que ces fameux immigrés, du moins "40% d'entre eux dans certaines banlieues", sont au chômage! On croit rêver! Question impertinente, à dix centimes d'euros: pourquoi donc sont-ils venus ici? si c'est pour être chômeurs?.....ne venaient-ils pas, soi-disant, pour travailler, pour remplacer ces bons à rien, ces feignants que nous sommes?.....
Et si l'on ajoute à ce pourcentage de chômeurs (qui pour nous -c'est clair- ne devrait pas être en France...) le pourcentage des délinquants en liberté ou emprisonnés; et le pourcentage de ceux qui ont fraudé sur les "reconnaissances bidons" d'enfants qui ne sont pas les leurs (d'où, entre parenthèse, l'intérêt des tests ADN...), on voit bien que, sur ce dossier sensible de l'immigration, la république a menti sur toute la ligne, et depuis le début: c'est un gigantesque coup de balai qui s'impose! il ne faut pas seulement, comme le propose Brice Hortefeux, opérer un "rééquilibrage entre immigration familiale et économique" (ce serait un simple cautère sur une jambe de bois....): il faut renvoyer du territoire national les étrangers au chômage; les étrangers et les naturalisés qui sont délinquants (3), ou qui ont fraudé dans leur déclarations de paternité, en faisant passer pour des membres de leur familles des enfants qui n'étaient pas les leurs; c'est à dire ceux qui sont venus chez nous exclusivement pour des allocs, pour du fric, pour vivre à nos crochets (4): le fric qu'ils nous pompent depuis 1975 (chômeurs ou délinquants) c'est de l'argent qui serait mieux employé ailleurs: dans la Recherche par exemple, créatrice d'emplois, dont notre économie a bien besoin....
(1): "Le Figaro Magazine", samedi 15 septembre 2007; propos recueillis par Arnauld Dingreville et Dominique Rizet.
(2): ce qui veut dire, en clair: les étrangers viennent nous remplacer, et la république change le peuple! Voir les 5 notes "Erreur ou mensonge?..." dans la Catégorie "Immigration et Identité Nationale"; et les 2 notes "Qui constitue le Peuple ?" et "La république change le Peuple." dans la Catégorie "Immigration et Désintégration Nationale."
(3): et qui sont venus chez nous sans que le Peuple -pourtant réputé souverain...- ait jamais été consulté, ce qui fait de cette présence une présence illégitime à nos yeux; et de la politique menée par Chirac et ses successeurs depuis 1975 une politique également illégitime, que le Peuple sera fondé à remettre en cause à tout moment; et ce qui fait des papiers qu'on a donné à ces immigrés, de la nationalité française qu'on leur a bradé, des papiers et une nationalité illégitimes....que le Peuple souverain sera fondé à annuler et à retirer si bon lui semble (par exemple en cas de délinquance: voir les notes de la catégorie "L'insécurité partout : Déchoir et expulser"....)
(4): cette fraude est évaluée à trente pour cent par le porte-parole du gouvernement Laurent Wauquiez: derrière le débat sur les test ADN, a-t-il souligné, "il y a un vrai sujet: celui de la fraude...; ...30 % la fraude sur le regroupement familial, ce n'est pas tout à fait négligeable" ! on ne saurait mieux dire !