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banlieues - Page 5

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système...(3/3).

              ...On le voit, le reproche principal que nous pouvons faire aux "immigrationnistes" acharnés (type RESF) concerne l'efficacité -et dans leur cas l'inefficacité...- de leur action: ce n'est pas en déplaçant un problème qu'on le résout; ce n'est pas en transplantant la misère d'un lieu à un autre qu'on résout le problème de la misère, c'est en la combattant et en l'éradiquant sur place: que l'on regarde ce qui s'est passé en France (la Gaule de l'époque) durant le Moyen Âge: la régression a été effroyable après la chute de l'Empire Romain et après la prospérité de la Pax Romana; pourtant, nos ancêtres les gaulois (devenus entre temps gallo-romains) ne sont pas partis en Asie ou en Afrique, dans d'autres pays plus avancés; ils ont retroussé leurs manches et, durant plusieurs générations, ils ont travaillé dur pour nous créer et nous laisser en héritage ce pays qui est le nôtre aujourd'hui; et leur vie n'a pas été facile: on mourrait jeune, on mangeait peu et mal, la douleur était monnaie courante car la "santé" au sens d'aujourd'hui était inexistante; on avait la peste, il y avait les famines, les épidémies, les guerres; et il n'y avait pas d'ONU pour intervenir, pas d'Unicef pour sauver les enfants, aucun organisme international d'aucune sorte pour venir nous aider.... 

              Mais la France est apparue, parce que le peuple français, obstiné et courageux, a voulu survivre, a voulu progresser, et s'en est donné les moyens, par son labeur acharné et seulement par son labeur acharné: voilà la vraie et forte leçon à méditer, l'exemple à suivre: c'est en développant les pays pauvres et en rendant enfin les gens heureux sur place, et non en organisant des transferts massifs de population, qu'on réglera le problème de la pauvreté; transformer un pays riche en un pays pauvre ne sera d'aucun secours pour personne, cela n'a jamais été la solution, et ne l'est pas plus aujourd'hui qu'hier. il faut être aveugle, ou avoir d'autres idées en têtes, comme RESF pour croire le contraire...

              Redisons-le: et dans le fond et dans la forme tout ce à quoi nous assistons depuis des années est déplorable, lamentable, condamnable....et dangereux. Et tout cela part d'une idée, d'une théorie, d'une fumeuse et funeste construction intellectuelle (ou plutôt pseudo intellectuelle) de générosité mal placée et mal conçue; de solidarité mal pensée; de nationalité mal et faussement définie; le tout assorti d'un manque total d'efficacité....Il faut "arrêter les frais", il faut remettre de l'ordre dans nos rues, cela devient urgent car, à terme (et un terme pas si lointain...) on ne sera plus en France (on n'y est déjà plus dans certain endroits: il suffit de voir ce qui se passe en Seine Saint Denis...). Mais avant de régner dans les rues, on le sait bien, l'ordre doit d'abord régner dans les esprits, et il faut remettre les idées à l'endroit: c'est dire toute l'urgence de la solution Royale que nous proposons: il faut jouer et proposer sur les deux tableaux; il faut remettre en cause ce qui se passe actuellement, et pour cela il faut remettre en ordre les fondements intellectuels de notre société, faussés et fourvoyés depuis la révolution....  (fin).

     

  • Que sont nos banlieues devenues ?...

              C'est un article du Figaro Magazine du I6 juin 2007; on ne sait pas trop ce qu'on peut dire après l'avoir lu: ahurissant ? terrifiant ? Laissons d'abord la parole à l'auteur du-dit article: sous le titre: "Seine Saint-Denis: Guerre des dealers dans une cité interdite" voici ses premières lignes: "Depuis longtemps déjà, ce qu'on appelle l'ordre républicain ne parvient plus à s'imposer au Clos Saint-Lazare. Trafic de drogue et exécutions sommaires constituent l'ordinaire de cette cité de Stains qui préoccupe les autorités mais dont les drames semblent se jouer à huis clos."  Ce qui "pose problème" -comme on dit dans le jargon...- vient après; l'auteur décrit une scène tout à fait ordinaire et habituelle, d'un jour tout à fait ordinaire et habituel, avec des gens qui agissent d'une façon tout à fait ordinaire et habituelle: "...Seul, le jeune homme fait face au tueur qui dissimule à peine son visage sous une capuche.....; le pied sur la tête de Sory, l'homme de Touré achève sa victime à bout portant devant la porte de son immeuble. Sa mère, depuis la fenêtre de son appartement, assiste impuissante à la scène. Entend claquer les quatre détonations. L'assassin regagne l'Audi volée stationnée sur le parking du MacDo."

              Vous avez bien lu: tout se passe en plein jour, devant tout le monde; on ne se précipite pas, on regagne lentement sa voiture; on ne cache pas son visage! C'est beau la France républicaine ! Il n'y a pas lieu d'épiloguer. Une telle situation est indigne d'un grand pays moderne. Un système qui tolère de telles choses se discrédite et se disqualifie. Surtout s'il est l'héritier de ceux qui ont fait la révolution (en faisant au passage 800.000 morts) en promettant qu'on allait voir ce qu'on allait voir: on voit! la sécurité des biens et des personnes est le premier devoir de tout Etat normal dans toute société normalement constituée; si l'état républicain laisse faire ce que relate "Le Figaro" c'est soit qu'il ne veut pas soit qu'il ne peut pas intervenir; nous sommes fondés à demander des comptes; qu'a-t-on fait de nos banlieues ? qu'a-t-on fait de la France ?

              La situation que décrit "Le Figaro" n'est pas ce que nous voulons. Nous voulons que l'on débarrasse la France de ces voyous, de ces assassins, de ces Mafieux; il est impossible que la police ne les connaisse pas; qu'on les arrête, qu'on les déchoie d'une nationalité "de plastique" qu'on leur a follement octroyée et dont ils ne sont pas dignes; et qu'on les bannisse pour toujours, avec création d'un fichier central ayant pour objet d'empêcher leur éventuel retour en France. C'est ce que nous appelons "la règle des trois tiers", seule façon raisonnable et crédible pour sortir la France de l'impasse mortelle dans laquelle l'a enfermée la république: nous ne voulons pas que, comme la gangrène, ce qui se passe dans les banlieues soit demain la norme généralisée partout.....    

              L'article du Figaro n'est pas terminé: un mois après ("la sentence de la rue s'abat plus vite que celle de la justice", note l'auteur) l'assasin est à son tour assassiné; vengeance somme toute "normale"? si l'on veut, sauf que c'est avec "un Famas ou une Kalachnikov. En tout cas une arme de guerre". On voit d'ailleurs en bas de page, pour illustrer l'article, une petite photo ainsi légendée: "Des jeunes de Stains exhibent sur internet des Mat 49, armes de guerre. La police a ouvert une enquête."  On croit toujours rêver, et on se demande toujours si on a bien lu, si on parle bien de la France. Mais oui, c'est bien la France, notre France, du moins ce que le système l'a laissé devenir!....Mais il reste encore deux surprises à découvrir; d'abord ceci: "En septembre 2006, un revendeur de 28 ans interpellé par les stups reconnaissait gagner 1700 euros par jour. Son "chef", qui dispose de plus d'un employé sous sa coupe, n'a que 20 ans."

              Suivent quelques chiffres montrant les profits énormes que les différentes Mafias réalisent: 18.000 euros par jour pour le trafic de drogue; 4600 euros par mois pour un simple guetteur! Quand cessera-t-on de mentir aux Français et de travestir la réalité? Bien sûr qu'il y a des gens honnêtes parmi tous les immigrés: ils sont probablement même la majorité; mais à côté d'eux, la folle insouciance de nos dirigeants a permis à d'authentiques voyous d'installer leurs trafics; à des Mafias ultra violentes de pousser des racines profondes; voilà -à côté de gens très honnêtes- les nouveaux venus qu'on nous a présenté comme "une chance pour la France"; que l'on a laissé s'installer chez nous sous couvert d'une soi disant "immigration-dont-l'économie-française-a-besoin"; et parce-que ces "jeunes", ces immigrés "font-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire".

              Dernière surprise à découvrir dans et grâce à cet article: c'est en quelque sorte "la cerise sur le gâteau" ! il s'agit -et nous terminerons par là- du rôle que jouent les responsables locaux: l'auteur de l'article cite un passage qui pourrait être hilarant s'il ne posait un vrai problème de fond; jugez-en: des documents municipaux vantent en ces termes la réussite de la réhabilitation du grand ensemble de Stains où se passent ces joyeusetés: "La création d'une nouvelle domanialité par le redécoupage du quartier en plusieurs îlots et la résidentialisation des bâtiments d'habitation..." On voit bien par tout ce qui précède qu'on est là dans le mensonge caractérisé; de deux choses l'une: ou bien la mairie, et plus généralement les autres responsables (département, région...) ne savent pas ce qui se passe à Stains; dans ce cas tous ces messieurs doivent démissionner d'urgence pour cause d'incompétence caractérisée, et souscrire un abonnement d'un an -minimum- au "Figaro Magazine"; ou bien ils savent ce qui se passe à Stains; et dans ce cas.....                  

  • Après les urnes, les banlieues ?

    On se souviendra que tout un arsenal de différentes armes, dont des armes de guerre, en provenance des pays de l'Est, a été découvert à Marseille, il y a quelques temps, dans une "cité" où la police recherchait des trafiquants de drogue. Faut-il en être surpris? Pas vraiment, puisque l'on sait depuis longtemps que de tels arsenaux existent, et en quantités autrement importantes, dans les banlieues parisiennes. C'est dire que les émeutes que nous avons connues à l'automne 2005 pourraient n'être qu'une répétition de futurs troubles de grande ampleur, lorsque les circonstances politiques les susciteront. S'agira-t-il d'une révolte "des jeunes" comme les médias ont systématiquement voulu le faire accroire? Ou d'émeutes communautaristes, à composante ethnique et religieuse? C'est évidemment cette dernière définition qui correspond à la réalité, quelle que soit la volonté de la France "officielle" de camoufler sous le jeu des mots la réalité des faits. Tout le monde s'accorde à dire que le problème des banlieues n'est pas réglé et qu'il couve, toujours latent, sous les cendres de l'automne 2005 avec la perspective de déclencher un jour ou l'autre un vaste incendie social. Croit-on que l'élection présidentielle va contribuer à résoudre cette brûlante question? L'élection de Nicolas Sarkozy pourrait, tout au contraire, constituer un facteur déclenchant. Celle de Ségolène Royal aussi, d'ailleurs, car son projet de France métisse ne fait que se situer dans la continuité de la démagogie de la gauche française à l'égard du problème de l'immigration. Et si nous devions vivre un jour ou l'autre un Mai 68 des banlieues où, pour de bon, la République brûlerait, croit-on que la solution se trouverait dans les débats parlementaires, ou des législatives anticipées, ou même dans les couloirs des Préfectures et des Ministères? Mai 68 est justement un exemple historique de l'effondrement des Pouvoirs Publics face à de telles situations, comme d'ailleurs l'avaient été en leurs temps Juin 40 ou Mai 58...La France n'est (provisoirement) sortie de la chienlit de Mai 68 que par le coup d'éclat imaginé dans la solitude, hors toute action parlementaire ou gouvernementale, par Charles De Gaulle et quelques rares confidents...Comment sortirions nous d'un Mai 68 des banlieues où Paris brûlerait et où, en lieu et place des étudiants de 68, le régime trouverait face à lui -et ce serait une tout autre histoire...- les "populations" que l'on sait? Les actuels débats électoraux, les discussions polies et -à l'évidence- stupides que les télévisions ont organisées pour l'occasion, afin de présenter programmes et candidats et qui ont rabaissé le futur Chef de l'Etat au niveau du café du commerce, tout cela apparaîtrait d'un seul coup bien dérisoire. Et l'on vérifierait aussitôt que dans tous les cas où le destin du pays se trouve mis en jeu, les procédures et les structures de notre démocratie ne pèsent plus bien lourd. Ceux que la destinée politique des divers candidats ont passionnés et qui prennent encore au sérieux les jeux électoraux de ces semaines-ci auraient sans doute intérêt à y réfléchir un tant soit peu. Pour nous c'est d'un nouveau régime que nous espérons une vraie "rupture". Curieusement, cette vraie rupture passera par des retrouvailles avec tout ce que notre plus lointain passé, notre plus belle histoire commune, comporte de "transmissible et de fécond". Certes, les principaux candidats qui ont participé à l'élection présidentielle et les deux "finalistes", comme il est devenu de bon ton de le dire, ne sont dénués ni de qualités ni de compétences. Mais cette sorte de désignation du Chef de l'Etat, pour ainsi dire , à la roulette, comme au casino, est sans doute devenue, contrairement à ce que prétendaient les Institutions de la Vème République, et malgré l'engouement des français, le pire moment de la vie nationale. On compare assez souvent nos candidats à Tony Blair ou à José Luis Rodriguez Zapatero. Mais a-t-on réfléchi au fait que ces derniers ne briguent pas le poste suprême, parce que celui-ci se trouve placé hors compétition, parce qu'il garantit la permanence de la Nation et de l'État à travers les fluctuations de la vie politique, parce qu'il donne une limite aux ambitions politiciennes et qu'en quelque sorte il régule et pacifie la vie politique? Le premier ministre britannique et le premier ministre espagnol ont une position autrement confortable et notoirement plus efficace qu'un premier ministre français. Quant aux souverains qui incarnent leur Nation, et garantissent la permanence de leur État, 30, 40, 50 ans de règne non seulement n'érodent pas leur popularité mais au contraire la confortent! Ils sont bien l'homme (ou la femme) de la Nation...La fragilisation de la société française, les dangers qu'elle court et dont il ne faut pas se dissimuler qu'ils sont gravissimes, devraient inciter les élites françaises à envisager sérieusement de restaurer, de conforter autant qu'il est possible nos Institutions. Et quand nous entendons le Prince Jean de France déclarer très tranquillement à une grande chaîne de télévision: "Si les circonstances étaient réunies, et si les Français le souhaitent, je gouvernerai...", nous pensons que le Prince maintient ainsi vivant et disponible ce "recours", cette voie de salut national dont il ne faut pas priver la France. Ce serait autrement sérieux que les jeux présidentiels de ces jours-ci, et les hommes et les femmes qui s'y usent y trouveraient sûrement, eux aussi, une dimension nouvelle, d'un tout autre intérêt pour le Bien Commun. Peut être serait-il temps d'y réfléchir et de garder, en quelque sorte, l'idée en tête, y compris au plus haut niveau, pour le cas -malheureusement assez probable- où des circonstances particulières feraient tout à coup apparaitre  dans toute son évidence ce grand besoin national d'un État redevenu respectable. C'est aussi, c'est un autre rêve français. Il n'est pas sûr que, des deux, ce soit le moins réaliste...