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  • Solidarité Kosovo ! LE FOLKORE DE KOSOVO POLJE À L’HONNEUR...

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    Site officiel : Solidarité Kosovo

    lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :

    https://www.facebook.com/solidarite.kosovo/

    Qui a dit que le folklore était ringard ? Certainement pas les Serbes du Kosovo qui chérissent la pratiquent des danses traditionnelles au sein des KUD- Kulturno Umetničko Društvo [Association Culturelle et Artistique] à qui, comme par le passé, Solidarité Kosovo a accordé un nouveau don de 15.000€ pour le développement des activités de folklore dans les enclaves du Kosovo-Métochie.

    Zoom sur le groupe folklorique de Kosovo Polje qui fait partie de la nouvelle tranche de bénéficiaires.

     

    Danser ensemble renforce la cohésion des jeunes Serbes

    La ronde de danse est en « chabadaba »composée en alternance de garçons au port de tête altier et de filles aux longues tresses nouées en chignon. Sans jamais se départir d’un large sourire, ils exécutent, main dans la main, une chorégraphie parfaitement synchronisée laissant s’envoler quelques Opa ! d’allégresse. La musique traditionnelle qui les accompagne et les costumes locaux dont ils sont fièrement parés ajoutent au spectacle une dimension historique puissante. Après une heure et demie de répétition intensive, la troupe s’accorde une pause.

    Mila, 14 ans, en profite pour lier conversation : « Faire vivre les traditions, porter le costume et l’esprit de groupe. Voilà les raisons qui m’ont poussé à m’inscrire au folklore. »Son professeur de danse et directeur de l’association Dragan ajoute avec émotions :« Notre troupe folklorique, c’est bien plus qu’un club de danse. Trente jeunes se retrouvent ici trois fois par semaine. La plus jeune à 11 ans, le plus âgé 22 ans. Pour nos jeunes, le folklore c’est un vrai moyen de s’évader du quotidien et de briser leur isolement. Ça leur permet de passer du bon temps ensemble ».

    Le folklore multiple

    Rires, ambiance chaleureuse, la convivialité est effectivement palpable !Ce qui rend le folklore très populaire c’est le fait de lier amusement et culture. Les danses folkloriques sont issues d’une culture populaire qui rassemble un ensemble de savoirs venant du passé. Sous la période ottomane, les danses étaient calmes, sans bruit, en silence puis à la libération elles sont devenues gaies et vives. En fonction des périodes dont elles se réfèrent, les danses folkloriques peuvent exprimer la joie, la dignité, la retenue, la fierté, la nostalgie mais aussi l’accablement. Les danses folkloriques ont interprété l’histoire serbe tout comme la géographie du pays. A chaque région de Serbie, sa chorégraphie !Les racines profondes et diverses des danses traditionnelles serbes vivent et fédèrent grâce au folklore.

    Au rythme des concours

    La vie du club folklorique de Kosovo Polje est rythmée par les concours organisés tout au long de l’année. Ils sont l’occasion pour le club de se mettre à l’épreuve et d’améliorer ses performances. Au-delà de la compétition sportive qu’ils supposent, les concours permettent l’évasion, la rencontre et le rayonnement de son savoir-faire. A l’aube de ses 16 ans Mateja dit adorer les concours : « J’aime prendre le car avec mes copains et mes professeurs, sortir de mon enclave pour découvrir une ville. Ce qui me plait aussi, c’est l’esprit de compétition qu’on ressent sur place : quand chaque troupe folklorique monte sur les planches et donne le meilleur d’elle-même. On travaille toute l’année pour montrer que nous aussi au Kosovo nous avons du talent, de la technique et de l’ambition !»

    Afin de permettre aux trente jeunes étoiles traditionnels de briller de tous leurs feux en compétition nationale, Solidarité Kosovo a accordé un don de 15000€ au développement des activités qui en sont liées.

    Le kolo fait partie du patrimoine mondial de l’Unesco

    C’est une décision historique pour la Serbie ! Le Kolo est inscrit depuis le 7 décembre 2017 sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. Dans son communiqué, l’institution présente sa décision : « Le kolo est une danse populaire collective traditionnelle, exécutée par des danseurs évoluant autour d’un cercle, main dans la main. » Cette distinction apporte un soutien aux acteurs publics et associatifs serbe qui œuvrent à préserver et transmettre cette danse traditionnelle aux nouvelles générations.

    Alors on danse… le Kolo ?

    Lors de son inscription sur la liste du patrimoine immatériel mondial, l’Unesco a présenté le Kolo comme étant « exécuté au rythme de la musique à l’occasion de rassemblements privés et publics, auxquels participent l’ensemble des membres de la communauté locale.[…] »La popularité du Kolo est telle qu’il ne se passe pas de mariage, baptême, naissance, anniversaire ou autre fête sans que les notes du Kolo ne retentissent. Il faut voir la farandole se défaire en spirale au rythme de l’accordéon. Personne ne résiste à l’appel du Kolo, le joyeux ballet entraine tous les publics sur son passage, des 0 à 99 ans ! De plus, si des notes de pipeau ont le bonheur de se joindre à la célébration alors celle-ci peut durer jusqu’aux aurores !

     

    Kosovo Polje, haut-lieu de l’Histoire médiévale et contemporaine

    C’est un lieu chargé de symbole qui a vu se dérouler la plus importante bataille de l’histoire de la Serbie ainsi que de l’Europe médiévale. C’est à Kosovo Polje que se trouve le fameux « champ des Merles » où en 1389 eut lieu l’affrontement entre l’armée belligérante de l’Empire ottoman et l’armée serbe conduite par le prince Lazar. Ce fut une défaite pour les Serbes. Le prince Lazar y perdit la vie ainsi que la quasi-totalité de la noblesse serbe. A Paris, les cloches de Notre-Dame ont sonné le glas à la demande du roi Charles VI. S’en suivirent cinq siècles pour les Serbes à supporter la férule turque. En raison de cette charge historique, ce lieu est devenu mystique dans l’imaginaire collectif serbe.

    Témoin des vicissitudes de l’histoire, le village de Kosovo Polje a été décimé par une pluie d’attaques, de pillages et d’incendies lors des pogroms antichrétiens de mars 2004. Quelques années plus tard, alors que des Albanais se sont appropriés les terres des réfugiés, une poignée de famille s’est résous à réinvestir les lieux et à reprendre possession des terres de leurs ancêtres. Grâce à cette dizaine de familles, les Serbes étaient de retour à Kosovo Polje après une absence inédite d’une décennie.

  • Éphéméride du 3 juillet

    987 : élu le premier juillet, Hugues Capet monte sur le trône deux jours après. "987", pour Jacques Bainville, c'est "la date la plus heureuse de notre Histoire"...

     

     

     

     

    987 : Hugues Capet monte sur le trône   

     

    Élu roi deux jours avant, le 1er juillet, à Senlis, grâce à l'aide d'Adalbéron, c'est à Noyon qu'Hugues Capet viendra se faire sacrer, encore par Adalbéron.

    La symbolique était forte : en venant à Noyon, là où avait eu lieu le sacre de Charlemagne, il manifestait qu'il se rattachait, plutôt que de la combattre, à cette dynastie Carolingienne dont il prenait la suite. 

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    De même il se fera enterrer, comme les Carolingiens, à l'Abbaye de Saint-Denis, monastère dont ses ancêtres étaient les patrons et où ils étaient également enterrés.

     

    La nécropole des rois de France est ainsi désignée dès le début de la dynastie...

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    Si la Royauté française commence avec Clovis et le baptême de Reims, ce n'est qu'avec les Capétiens que commencera vraiment la construction de la France telle que nous la connaissons aujourd'hui.

    Les Capétiens vont créer d'abord l'outil indispensable, l'État royal, qui leur permettra d'agir sur la durée.

    Et ils vont en finir avec les deux erreurs commises par les deux précédentes dynasties :

     

    ils vont rompre avec la funeste coutume mérovingienne et carolingienne du partage du royaume à la mort de chaque Roi;

     

    et, surtout, ils vont abandonner également la chimère impériale, limitant leurs ambitions à ce que Maurras appellera un jour "la seule France"..., et se bornant à construire ce qu'on appellera très vite le pré carré...

     

    La modernité des Capétiens est là : à partir de rien, eux qui étaient les plus faibles, les plus petits des féodaux, vont construire la France, géant démographique, économique et politique sous Louis XVI, huit siècles d'efforts après...      

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    1194 : Philippe Auguste, aux origines de la fonction de Garde des Sceaux

     

     

    Le 3 juillet 1194, Philippe Auguste est surpris par Richard Cœur de Lion, avec qui il est en guerre, aux abords de la forêt de Fréteval, près de Vendôme. Richard lui inflige une cuisante défaite, à l'issue de laquelle le roi de France perd ses équipages, son trésor, ses archives et les Livrets de compte du fisc...

     

    Philippe Auguste fut contraint de reconstituer ses archives et décida de les sédentariser, en rassemblant les documents les plus importants à Paris : il confia cette mission d’organisation/réorganisation à Nicolas Guérin, évêque de Senlis et moine-soldat, qui participa activement à la victoire de Bouvines et qui créa – à la suite du désastre de Fréteval - le Trésor des Chartes, où furent déposés, à partir de 1195, les registres et archives particulières de la Couronne.    

           

    Philippe Auguste fit élever Guérin dès 1213 à la dignité de Garde des sceaux, chargé de conserver les sceaux et les archives royales, pendant la vacance de la chancellerie; Guérin obtiendra le titre de Chancelier en 1223, sous Louis VIII.

     

     

      De L'ENCYCLOPÉDIE OU DICTIONNAIRE RAISONNÉ DES SCIENCES, DES ARTS ET DES MÉTIERS :

     

    http://portail.atilf.fr/cgi-bin/getobject_?a.124:366:4./var/artfla/encyclopedie/textdata/image/

      

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    Le sceau de Philippe Auguste

     

     

     

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    1315 : Louis X le Hutin abolit l’esclavage

     

     

    L'Édit du roi proclame que "selon le droit de nature, chacun doit naître franc" et que "le sol de France affranchit l’esclave qui le touche".

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2015/08/20/l-x-5672918.html

     

     

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    1608 : Fondation de Québec par Samuel de Champlain

     

     

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    Le bourg ne compte qu'une poignée de maisons entourées de jardins et destinées à loger les 28 hommes qui l'accompagnent. 20 d'entre eux périront au cours de l'hiver.

               

    Depuis des années, les Français cherchaient à s’installer sur ce territoire d’Amérique du Nord. La ville de Québec se développera rapidement par la suite, jusqu’à devenir plus tard la capitale de la Nouvelle France. Elle ne résistera toutefois pas longtemps aux assauts britanniques.

     

    Au pays des enfants rouges de la France. dans la langue des Algonquins, qui occupaient cette partie du continent avec les Hurons et les Iroquois, Kebec signifie "là où le fleuve se retrécit". 

     
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "On s'étonnera d'un président qui a voulu redonner la parole au peuple juste après qu'il a parlé, et qui ensuite manœuvre de toutes ses forces pour que cette parole n'ait aucun écho...."

    Vincnet Trémolet de Villers a raison, dans son éditorial du Figaro : "Emmanuel Macron, caméléon de la République..." (extrait) :

    "On pensait avoir épuisé la plasticité du macronisme. Avant-hier c'était balle au centre, hier c'était à droite toute, aujourd'hui c'est cap à gauche...

    De Jupiter à Jospin. Du dépassement au retour de la gauche plurielle avec, comme en 1997, Jean-Luc Mélenchon sur le motif. On pensait avoir épuisé la plasticité du macronisme, on découvre que ce caméléon peut prendre toutes les couleurs du Rubik's Cube ? Avant-hier, c'était balle au centre, hier c'était à droite toute, aujourd'hui c'est cap à gauche. Cela fait longtemps que ces projets de coalition échouent sur les rives de l'Assemblée, mais cette fois, puisque le RN est en face, l'Élysée rêve d'une forme nouvelle du Conseil national de la Résistance. Un CNR sans guerre, sans occupation, sans nazis, c'est quand même plus confortable…

    ...L’électeur RN qui a gagné le premier tour voit se dessiner une majorité composée de Hollande et Sandrine Rousseau. L’électeur du centre qui a voté contre les extrêmes se retrouve partenaire de LFI. L’électeur de gauche votera une fois encore à contrecœur pour sauver Macron..."

     

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    1. D'Amaury Brelet, sur "X" à propos de l'agression dont a été victime Prisca Thévenot :

    "Les quatre individus interpellés et placés en garde à vue après l’agression de Prisca Thévenot et son équipe à Meudon dans les Hauts de Seine sont :

    1) Jugurtha B., 20 ans, né à Meudon (92), Français, "type nord africain", préparateur de commandes intérimaire, habite à Meudon (92), "très défavorablement connu des services", indique une source policière à @Valeurs

    2) Un mineur de 17 ans, né à Sèvres (92), Français, "type nord africain", habite à Meudon (92)

    3) Un mineur de 16 ans, né à Colombes (92), Français, "type nord africain", habite Meudon (92)

    4) Un mineur de 15 ans, né en Cote d’Ivoire, Ivoirien, "type africain", habite à Meudon (92)"

     

    ImageBien entendu, lafautearousseau condamne fermement cette agression (comme toute agression, de quiconque, d'ailleurs); mais note que, cette fois, c'est une membre de la secte du  "vivre ensemble" (qu'elle adule tant...) qui a un aperçu de ce que vivent les français au quotidien...

    On s'informe comme on peut !!!!!

     

    2. De Chantal Delsol, dans Le Figaro : "Seule la gauche peut soutenir des terroristes et continuer à donner des leçons de morale"... (extrait) :

    TRIBUNE - Le « front républicain » contre le Rassemblement national a d’autant moins de sens aujourd’hui que les caractères dégoûtants qui faisaient repousser l’extrême droite (le négationnisme, le racisme, l’antisémitisme), sont aujourd’hui l’apanage d’une certaine gauche.

    Nous avons atteint les limites de l’absurde : il faut tenter de comprendre.

    Un rassemblement des gauches peut se permettre de soutenir les terroristes et génocidaires du moment, et de continuer à donner des leçons de morale politique afin de « faire barrage ».

    Autrement dit, les caractères dégoûtants qui faisaient repousser l’extrême droite (le négationnisme, le racisme, l’antisémitisme) ne sont plus considérés comme abjects quand ils sont aujourd’hui l’apanage de la gauche. On doit conclure que l’étalage de ces caractéristiques dégoûtantes était un prétexte, et non une vraie raison. On ne va plus « faire barrage » à la droite parce qu’elle est antisémite (c’est la gauche qui est désormais antisémite), on va « faire barrage » juste parce que c’est la droite. Le roi est nu..."

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    3. La "Une" de L'Humanité ? Elle est juste à inverser : c'est "pas d'eux sans République", qu'il faut dire. "Pas d'eux" sans les scélérats décrets Chirac de "regroupement familial" de 75/76, et la volonté forcenée, pour la République idéologique, qui n'est qu'un totalitarisme religieux, d'éradiquer tout ce qui est "la France d'avant", sa religion traditionnelle et, maintenant, son peuple...

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    4. On serait bientôt presque tenté de dire : "pauvre Macron, plus personne ne veut de lui ! Surtout, ne pas l'approcher ou être approché par lui ! Surtout pas sa photo sur mes tracts ou mes affiches ! Là, il paraît qu'il a appelé personnellement Faustine Bollaert, animatrice de France 2, pour lui demander de l’interviewer sur la façon dont il a vécu la dissolution, une semaine avant le 1er tour, et qu'elle a refusé (c'est dans Le Parisien).

    On est passé, direct, de "la griesche d'hiver", de Ruteboeuf, à "la griesche de Manu"...

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    5. On est comme Pascal Praud, qui dit :

    "Je suis agacé par les leçons de maintien de Kylian Mbappé qui me semblait beaucoup moins regardant sur l’argent du Qatar que sur le programme du RN "

    (extrait vidéo 1'50)

    https://x.com/Frontieresmedia/status/1809123189122895971

    Dans Boulevard Voltaire :

    https://www.bvoltaire.fr/les-footballeurs-sinvitent-dans-le-jeu-politique-attention-au-carton-rouge/

    Plutôt qu'une équipe de françafrique (très laborieuse au demeurant) on préfèrerait une équipe de France : 

    Peut être une image de 11 personnes, personnes jouant au football, personnes jouant au foot et texte

    6. De Bruno Attal, sur "X" à propos du délinquant Merzouk, que ses "potes" (Macron, MBappé, Sy et Compagnie appellent "nahel", mais pas nous...)

    "Nouveau rapport d’expertise sur la mort de Nahël.
    -Il a bien redémarré, passé le rapport de la boîte auto, et accéléré.
    -Il n’y a aucune trace de coups sur le visage. (on nous parlait de coups de cross)
    -il a bien manqué de faucher un piéton et un cycliste.
    -il a roulé à 116kms/h en ville.
    Macron, Mbappé, Omar Sy parlent toujours d’un ange aux 17 infractions et 7 refus d’obtempérer."
     
    Merzouk a pris ses risques; il a joué, il a perdu; il a mis en danger, et il allait encore mettre en danger, des vies, nos vies. Florian, le policier qui l'a mis hors d'état de nuire, doit être décoré...
     
    Le policier tueur de Nahel est un ancien militaire qui a servi en  Afghanistan – Le Jeune Indépendant

     

    7. Ces personnalités (?) qui sont soi-disant de droite, mais vraiment "la plus à gauche du monde" (Mathieu Bock-Côté) : la député LR/Non Ciotti Nadine Morano soutiendra un candidat divers gauche dimanche en Meurthe-et-Moselle...

    Vivement l'assèchement du marigot, et la mort (politqiue, s'entend) de ses caïmans et caïmanes !

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    À DEMAIN !

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  • Éphéméride du 11 décembre

    1967 : Première présentation du prototype du Concorde 001

     

     

     

    1686 : Mort de Louis II de Bourbon-Condé, dit le Grand Condé 

     

    D'abord Duc d'Enghien, Louis de Bourbon devint ensuite Prince de Condé.

    Son influence fut décisive et capitale à un moment lui aussi décisif et capital de notre Histoire. En remportant ses grandes victoires, comment ne pas voir qu'il fut le bras armé de notre politique extérieure et que c'est grâce à ses rares talents militaires que la France dût de voir couronnés les efforts de sa politique et de sa diplomatie. 

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    De Jacques Bainville (Histoire de France, chapitre XI, Louis XIII et Richelieu : La lutte nationale contre la maison d'Autriche) : 

    "...Sur tous les fronts, la guerre continuait, cette guerre qui, pour l'Allemagne, fut de trente ans. En 1643 une victoire éclatante à Rocroy, où la redoutable infanterie espagnole fut battue par Condé, donna aux Français un élan nouveau. L'Empire n'en pouvait plus. L'Espagne faiblissait. Le chef-d'œuvre de Richelieu avait été de retarder l'intervention, de ménager nos forces. La France, avec ses jeunes généraux, donnait à fond au moment où l'adversaire commençait à être las.

    Dès le temps de Richelieu on avait parlé de la paix. L'année d'après Rocroy, des négociations commencèrent. Le lieu choisi pour la conférence était Munster, en Westphalie. Mais la paix n'était pas mûre. Quatre ans se passèrent encore avant qu'elle fût signée, sans que la guerre cessât. On négociait en combattant et Mazarin comprit que, pour obtenir un résultat, il fallait conduire les hostilités avec une nouvelle énergie. Les campagnes de Turenne en Allemagne, une éclatante victoire du Grand Condé à Lens sur les Impériaux unis aux Espagnols décidèrent enfin l'Empereur à traiter. La paix de Westphalie fut signée en octobre 1648..."

     

    Sur le Grand Condé : https://www.histoire-image.org/etudes/prince-conde

    Et, sur cette "paix de Westphalie", "chef d'oeuvre absolu" selon Bainville, voir l'Éphéméride du 24 octobre

     

     

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    1803 : Naissance d'Hector Berlioz

     

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    http://www.hberlioz.com/BerliozAccueil.html

     

                                    Écouter : La Marche hongroise :                                     podcast

     

     

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    1809 : Mort du Comte d'Angiviller, premier organisateur du Musée du Louvre...

    (notre Éphéméride du 8 novembre essaye de proposer une vision d'ensemble des conditions et circonstances qui ont permis, sur plus de huit siècles, d'aboutir à la création du plus grand musée du monde : le Louvre, dans le Palais des rois de France...; on se reportera également aux origines du mot "Salon", dans notre Éphéméride du 25 août...)

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    Charles-Claude de La Billarderie, comte d’Angiviller, huile sur toile de Joseph-Siffred Duplessis, Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon

     

    Charles Claude Flahaut de La Billarderie, comte d’Angiviller, né le 24 janvier 1730, fit d'abord une belle carrière militaire sous Louis XV : il fut nommé Maréchal de camp.

    Ami personnel de Louis XVI, il changea de voie, par la suite, et fut nommé Directeur général des Bâtiments, Jardins et Manufactures de France, en 1774. Il procéda alors à des achats méthodiques d'oeuvres d'art en vue de compléter les collections royales et formula, en 1789, le projet d'un musée dans la Grande Galerie du Louvre, afin d'exposer au grand public les trésors de ces collections. Il commanda, dans cette optique, un rapport à l’architecte Soufflot - mais le projet fut, évidemment, retardé par la révolution...

    Du moins, d’Angiviller avait eu le temps de mener son ambitieuse politique d’acquisitions dans cette perspective, jusqu’à ce que la Guerre d’indépendance américaine ne l'amène à manquer de fonds... Amateur d’art et de sciences, il constitua également un très important cabinet de minéralogie, qu’il légua en 1781 au Jardin des Plantes...

     

     

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    1810 : Naissance d'Alfred de Musset

     

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    https://www.poesie-francaise.fr/poemes-alfred-de-musset/

    http://www.musset-immortel.com/

     

     

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    1902 : Ouverture du Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris, au Petit Palais

     

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    http://www.petitpalais.paris.fr/

     

     

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    1945 : Mort de Charles Fabry

     

    Physicien, il est le co-découvreur de la couche d'ozone en 1913.

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    https://sciences.univ-amu.fr/musee

     

     

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    1967 : Première présentation du prototype du Concorde 001

     

    Elle a lieu dans les ateliers de l'Aérospatiale de Toulouse-Blagnac : l'avion réalisera son premier vol le 2 mars 1969

    Ci-dessous, après le premier vol du Concorde 001, l'équipage pose devant l'appareil : de gauche à droite, Retif, Turcat, Pinet et Perier

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    http://www.doc-aae.fr/pmb2/opac_css/doc_num.php?explnum_id=606

     

     

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    la Table des Matières des 366 jours de l'année (avec le 29 février des années bissextiles...),

    l'album L'Aventure France racontée par les cartes (211 photos),

    écouter 59 morceaux de musique,

    et découvrir pourquoi et dans quels buts<

  • Grandes ”Une” de L'Action française : Charles Maurras élu à l'Académie française...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    Voici le lien donnant accès au numéro du vendredi 10 juin 1938 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k767090w

     

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    (tiré de notre Éphéméride du 8 juin)

     

     

    1939 : Charles Maurras est reçu à l'Académie Française par Henry Bordeaux
     
     
    Il y avait été élu le 9 juin 1938.
     
    Il occupa le 16ème fauteuil, celui de Richelieu qu'occuperont après lui le Duc de Lévis Mirepoix, Léopold Sédar Senghor et Valéry Giscard d'Estaing...
     
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    Ci dessus, Charles Maurras en costume d'Académicien (Archives de l'Académie) et, ci dessous, Charles Maurras prononçant son discours (du site Maurras.net)
     
     
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    et
     
     
    À Marseille, on a dignement fêté l'évènement :
     

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     Dans notre Catégorie Documents pour servir à une histoire de l'URP, le troisième document relate la visite effectuée chez Charles Maurras, dans sa bastide du Chemin de Paradis, à Martigues, lors d'un des deux Camps de Capty, en 1978 et 1979 :
     

                               3. Au Camp de Capty, en 78 et 79 (2/2)...

                                 (suite et fin de la semaine précédente : )

     

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    J'avais prévenu Veziano, alors le gardien de la Maison (qui avait succédé à "l'historique" Vázquez), et celui-ci nous avait sorti le costume d'Académicien : sur la photo ci-dessus, nous sommes dans la chambre de Maurras, vous voyez au mur le bicorne et l'habit, le pantalon était posé à plat sur le lit; et je montre au groupe l'épée d'Académicien de Maurras...

    Pour ma part, originaire de Martigues par mon père (c'est à Martigues que reposent mes parents, dans notre caveau familial du cimetière Saint Joseph, à deux pas de la Maison de Maurras), je m'étais déjà rendu un très grand nombre de fois "chez Charles", comme disait mon grand-père Émile, l'un des neuf fondateurs de la section d'Action française de Martigues, dans les années 1910; mais pour ceux qui n'y étaient jamais venu (comme plusieurs des Bretons) ce fut un vrai moment de grande émotion que de voir cet habit, même si, bien sûr, personne ne s'est permis le moindre geste déplacé : quelques mains ont juste effleuré le pantalon, sur le lit, ou l'habit et le bicorne, sur le mur, pour en apprécier la beauté et la finesse du tissus, et la remarque générale fut celle - mais c'était connu - de la taille modeste de Maurras (physiquement s'entend !...)

    Bien sûr, visite intégrale du Jardin "qui s'est souvenu", de la Maison et tout et tout... et même de l'essentiel de la ville ! Bon moment, belle journée...

     

    Quelques mots sur l'épée de Maurras...

    L'épée d'académicien (détail)

    L'épée d'académicien (détail)

    Elle a été fabriquée, comme celle de Bainville, par Mellerio dits Meller, le plus ancien joaillier du monde.
    Charles Maurras a été élu à l’Académie française le 9 juin 1938.
    Financée par une souscription nationale, son épée lui fut offerte le 4 mars 1939, salle Wagram, par Charles Trochu, président du conseil municipal de Paris.
    Conçue par Maxime Real del Sarte, sa poignée représente Sainte Geneviève protégeant de ses mains un écu fleur de lysé posé à la proue d’une nef d’où se détache le chapiteau de pierre dit « bucrâne » qui orne la terrasse de la maison du Chemin de Paradis.
    Les vagues évoquent la vocation de marin à laquelle Charles Maurras dut renoncer à cause de sa surdité ; elles battent contre un mur de pierres surmonté de « merlons », semblables à ceux du mur grec de Saint Blaise, site archéologique proche de Martigues qui inspira profondément Maurras.
    La bastide du Chemin de Paradis, maison de famille de Charles Maurras, gardée par deux cyprès d’émeraudes, est encadrée par les armes de Provence et de Martigues, et surmontée d’un ciel où brille une Grande Ourse de diamants.
    Sur le revers se trouve le château de Versailles, flanqué des armes de France et de Versailles, et surmonté du bouclier d’Orion.
    Le fourreau de l’épée se termine par une petite amphore grecque.

    Cette épée fut remise le mercredi 19 février 2020 à l'Institut, entre les mains d'Hélène Carrère d'Encausse, par Nicole Maurras :

    https://www.politiquemagazine.fr/culture/le-grand-rire-de-limmortel/

     

    François Davin, Blogmestre

     

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    Pour lire les articles...

    Cliquez sur le lien menant à la "Une" du vendredi 10 juin 1938. En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à doite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite... :

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  • Éphéméride du 3 Avril

    2007  : Record de vitesse du TGV, à 574,8 km/h

     

     

     

     

    1367 : Du Guesclin prisonnier 

     

    Inlassable combattant pour la libération du territoire, du Guesclin a été chargé, en cette période, de débarrasser le royaume des Grandes compagnies, c'est-à-dire des bandes de soldats/mercenaires licenciés par leurs chefs temporaires, mais qui refusaient de quitter les armes pour retourner à la vie civile, et vivaient en rançonnant les campagne et le petit peuple.

    À la demande de son roi, Charles V, du Guesclin s'est donc mis personnellement à la tête de ces pillards, et les a emmenés en Espagne, où il soutint le parti d'Henri de Transtamare, qui disputait le trône de Castille à Pierre le Cruel.

    Celui-ci, sur le point d'être vaincu par le connétable, fit appel aux deux meilleurs généraux anglais du temps : Chandos et le Prince noir. Le sort des armes tourna alors, temporairement, en défaveur de du Guesclin, qui fut fait prisonnier par le Prince noir (prince de Galles, héritier de la couronne d'Angleterre) pendant la bataille de Nájera, en Navarre.

    Le même Prince noir qui mettra Limoges à sac trois ans plus tard (voir l'Éphéméride du 19 septembre).        

    Surnommé le Prince Noir, à cause de la couleur de son armure, le Prince de Galles enfermera le connétable à Bordeaux où les émissaires du roi de France négocieront sa libération, qui interviendra le 17 janvier 1368, après paiement d'une forte rançon.  

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    Statue de du Guesclin à Dinan
     
     
     
     
     
     
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    1369 : Apparition du tir sportif

             

    Le roi de France Charles V (ci-dessous) promulgue un Édit recommandant la pratique des jeux d'arc et d'arbalète, et prétend interdire aux sujets de son royaume la pratique de tout autre jeux (le jeux de dés, le jeu de paume, les quilles, les palets, la soule et les billes sont explicitement désignés).

    De fait, tous les jeux "qui n’ont point d’utilité pour exercer nos dits sujets au maniement des armes" sont visés, les contrevenants s’exposant à l’importante amende de quarante sous; pour se divertir, les sujets doivent s’adonner exclusivement au tir à l’arc ou à l’arbalète. Une telle mesure n’est pas tout à fait originale dans la mesure où Charles V ne fait qu’imiter le roi d’Angleterre Édouard III.

    Pour le roi de France, qui tente de réorganiser le royaume, il s’agit clairement d’améliorer les qualités militaires du peuple français. Le souvenir des cuisantes défaites de Crécy (1346) et de Poitiers (1356) est encore très vif : lors de ces deux batailles, la force de l’archerie avait largement déterminé la victoire anglaise...

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    1559 : Traité de Cateau-Cambrésis

              

    Signé entre Henri II de France et Philippe II d’Espagne, souverains de deux pays épuisés par le conflit, ce Traité (ci-dessous) met fin aux Guerres d’Italie.

    TRAITE DE CATEAU CAMBRESIS.JPG

     

    Après la défaite de Saint-Quentin (voir l'Éphéméride du 10 août), la France renonce à ses prétentions sur l’Italie, mais conserve les Évêchés de Toul, Metz et Verdun : première étape de sa marche vers l'Est et vers le Rhin, la réunion des Trois-Évêchés prélude à celles de la Franche-Comté, de l'Alsace et de la Lorraine....

    Si elle conserve malgré tout quelques places fortes en Italie, la France doit céder le duché de Savoie et ses conquêtes dans le Piémont. Par ailleurs, elle permet aux Génois de reprendre la Corse.

    La veille, la France avait signé un traité de paix plus favorable avec Élisabeth 1ère d’Angleterre, lui concédant Calais pour huit ans. Pour conserver définitivement la ville, elle devra verser 500.000 écus.

    FRANCE RHIN 1.jpg
    La longue marche vers l'Est...
     
     
     
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    1591 : Naissance d'Yves Nicolazic

             

    Né à Pluneret, dans le diocèse de Vannes, Nicolazic est mort à Sainte-Anne-d'Auray le 13 mai 1645.

    C'est lui qui est à l'origine du culte de Sainte Anne en Bretagne, où il fit élever le sanctuaire dédié à celle qui lui apparut de 1623 à 1625. 

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     Haut lieu de la culture religieuse bretonne, Sainte Anne d'Auray (Santez-Anna-Wened) : le Pardon s'y célèbre le 26 juillet...  

    http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Nicolazic/table.htm

     

     

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    1711 : Découverte de l'île de Clipperton

     

    Cette année-là, le vendredi 3 avril est le Vendredi saint : les marins français baptisent donc Île de la Passion l'atoll qu'ils viennent de découvrir. Les commandants, Mathieu Martin de Chassiron et Michel Dubocage, dressent la première carte de l'île... 

    L'histoire de la prise de possession de cet îlot par la France fut assez mouvementée, et ne prit fin qu'en... 1959 !

    C'est grâce à des "possessions" de ce genre que la France, dispose du deuxième espace maritime mondial et s'étend sur trois océans et quatre continents.

    Avec cet empire maritime et ses savoir-faire, la France a le potentiel pour répondre avec succès aux trois grands défis du siècle :

    • la pénurie en eau potable,

    • l'alimentation problématique de milliards d'êtres humains,

    • et la question récurrente des ressources énergétiques.

    La maîtrise et l'exploitation raisonnée des océans - dont, en l'occurrence, Clipperton... - constitue une formidable chance pour la France.

    Et le monde...

     

     Clipperton.pdf

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    http://www.clipperton.fr/incagen.html?histoire.htm~main

     

    Dans notre Album L'aventure France racontée par les cartes...., voir la photo "L'exemple de l'ilôt de Clipperton" et les deux photos précédente et suivante...

     

     

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    1987 : Cérémonie d'ouverture du Millénaire Capétien...

     

    Le 22 janvier 1987, paraissait au Journal officiel de la République française, un décret portant création d’un Comité pour la commémoration du millénaire de l’avènement d’Hugues Capet. 

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    Piéfort en or réalisé pour le Millénaire par la Maison Palombo :

    10 francs - Hugues Capet - 1987

     

    3 avril,du guesclin,prince noir,bordeaux,charles v,cateau cambresis,philippe ii,henri ii,trois évêches,tgv,alsthom,clipperton,jerome lejeuneLe 3 avril suivant, le chef de l’État et le Comte de Paris, héritier des rois de France, se sont retrouvés côte à côte, dans la grande nef de la Cathédrale d’Amiens, pour l’ouverture des Festivités du millénaire devant un public de 800 personnes environ, au pr

  • Éphéméride du 8 avril

    1271 : Chute du Krak des Chevaliers

     

     

     

    819 : Louis le Pieux signe la Charte de fondation de l'Abbaye de Conques 

    Conques.jpg

    http://www.mondaye.com/les-prieures/sainte-foy-de-conques/bienvenue

    L'abbaye est, par ailleurs, au coeur d'un village qui fait partie du réseau des Plus beaux villages de France :

    http://www.les-plus-beaux-villages-de-france.org/fr/conques-0 

     

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    1271 : Baybars, Sultan des Mameluks, s'empare du Krak des Chevaliers 

     

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    La plus grande, la plus majestueuse, la plus puissante, la plus belle de toutes les forteresses construites par "les Francs" (ci dessus) ne se trouve ni en France ni même en Europe, mais en Syrie, qui fut un temps - en partie - conquise par les Croisés puis, sous forme de mandat temporaire, confiée à la France au XXème siècle.

    La chute de la forteresse - un an après la mort de Saint Louis devant Tunis - marqua véritablement la fin des Croisades et des quatre États latins d'Orient :

    le Comté d'Édesse, qui se trouvait le plus au Nord et le plus en pointe, avait disparu dès 1146;

    la Principauté d'Antioche, trois ans auparavant, en 1268;

    le Comté de Tripoli (où se trouve le Krak des Chevaliers) n'avait plus que dix-sept ans à vivre : il disparaîtra en 1288;

    enfin, la ville même de Jérusalem étant perdue depuis bien longtemps, le Royaume de Jérusalem, réfugié à Saint-Jean d'Acre, disparaîtra vingt ans plus tard, en 1291. 

     

    Dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir les deux photos La route des Croisades (I/II) et...et les États latins d'Orient (II/II)

     

    Sur le Krak lui-même : whc.unesco.org/fr/list/1229/

     

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    1364 : Jean II le Bon, second roi de France à mourir à l'étranger

     

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    Ce portrait semble le premier exemple conservé depuis l’Antiquité d’un "portrait peint indépendant". L’inscription "Jehan roi de France" est sans doute postérieure au tableau, qui représente le roi sans couronne, apparemment donc avant son accession au trône (1350), à une époque où il n’était encore que duc de Normandie.

    Vu la rareté des peintures de chevalet du XIVème siècle qui nous sont parvenues, ce tableau serait le plus ancien "portrait indépendant" peint en France...

    À noter : "le Bon" ne se réfère nullement à des vertus morales, mais signifie "courageux, vaillant au combat, batailleur..."

      

    Prisonnier des Anglais depuis la défaite de Poitiers, le 19 septembre 1356, Jean le Bon recouvre la liberté, par le Traité de Brétigny, après quatre ans de captivité et en échange d'otages livrés au roi d'Angleterre. Mais l'un de ces otages, Louis d'Anjou, le propre fils du roi, s'enfuit. Jean le Bon déclare alors que, pour sauver son honneur, sa parole ayant été bafouée, il souhaite retourner à Londres, où il meurt, le 8 avril 1364, à l'Hôtel de Savoie.

    Avec Louis IX, mort de la peste devant Tunis, lors de la dernière Croisade, le 25 août 1270, Jean II est le seul roi régnant à être décédé à l'étranger.

    Deux autres rois, ayant effectivement régné mais décédés après avoir perdu leur trône - alors que, comme Louis XVI, ils auraient parfaitement pu le conserver... - sont morts en exil :

    • Charles X (mort le 6 novembre 1836 à Gorizia, et inhumé, avec son fils dans le sanctuaire de Kostanjevica, à Nova Gorica, en Slovénie);

    Louis-Philippe, mort le 26 août 1850, à Claremont House, en Angleterre, et enterré, lui, en France, dans la chapelle royale de Dreux.

    Enfin, pour être complets, et puisque - selon la superbe formule du duc d'Orléans "Tout ce qui est national est nôtre" - ces Éphémérides, qui veulent rendre compte de ce qu'est l'aventure France ne sauraient éviter de mentionner les deux Napoléons, morts eux aussi en terre étrangère :

    le premier à Sainte-Hélène, le 5 mai 1821,

    et son neveu à Chislehurst, le 9 janvier 1873.

    Ils ont en effet l'un et l'autre exercé le pouvoir, de façon effective, même si ce fut pour le plus grand malheur du peuple français, comme le dit si bien Jacques Bainville, en un raccourci saisissant : "Trois invasions, deux pour l'oncle, une pour le neveu : voilà une famille qui a coûté cher à la France !".

     

    Morts à l'étranger, faits prisonnier sur le champ de bataille, préférant quitter Paris révolté afin d'y revenir après avoir dompté les rebelles, assassinés : plusieurs rois de France ont eu un destin hors du commun, que recensent quatre de nos Éphémérides :

    pour les rois morts à l'étranger, voir l'Éphéméride du 8 avril;

    pour les rois faits prisonniers sur le champ de bataille, voir l'Éphéméride du 11 février;

    pour les rois ayant préféré quitter Paris révolté afin d'y revenir après avoir dompté les rebelles, voir l'Éphéméride du 21 mars;

    pour les rois assassinés, voir l'Éphéméride du 30 juillet...

     

     

    8 avril,françois villon,versailles,louis xiii,louis xiv,chateaubriand,invalides,saint simon,cour de marbre,le vau

     

     

    1431 : Date possible de la naissance de François Villon       

     

    "Eh Dieu! si j'eusse étudié,
    Du temps de ma jeunesse folle,
    Et à bonnes moeurs dédié
    J'eusse maison et couche molle;
    Hélas, je fuyais l'école,
    Comme fait le mauvais enfant.
    En écoutant cette parole,
    À peu que le coeur ne me fend"

    Villon_Francois.jpg
     
     
     
    Georges Brassens chante la "Ballade des Dames du temps jadis" :
     
     
    Ce poème est une évocation des grandes figures féminines de la mythologie gréco-romaine, des légendes chrétiennes et de l'histoire antique et médiévale :
    • Flora était la déesse romaine des fleurs;
    • Villon était meilleur poète qu'historien, puisqu'il confond "Archipiades" et Alcibiade (450-404 av JC) homme d’état grec, disciple et ami de Socrate; Thaïs, elle, fut une sainte égyptienne du IVème siècle;
    • Écho était une nymphe de la mythologie grecque;
    • Héloïse d’Argenteuil fut célèbre pour les sentiments qu'elle inspira au professeur Abélard, le scandale évoluant de la façon tragique que l'on sait (voir l'Éphéméride du 16 juin) ...;
    • La Reine "qui commanda à Buridan" est une évocation d'une autre affaire tragique, celle "de la tour de Nesle", et de la débauche d'au moins deux des trois belles-filles de Philippe le Bel : il peut s'agir de Marguerite, Jeanne ou Blanche de Bourgogne (voir l'Éphéméride du 19 avril); mais, là aussi, Villon est meilleur poète qu'historien, car il ne peut s'agir en aucun cas du grand et puissant maître de philosophie que fut Jean Buridan...
    • "La reine Blanche" est Blanche de Castille (1188-1252), mère de Saint-Louis : chantait-elle donc aussi bien ? Nul ne peut l'affirmer...
    • Berthe au grand pied est Bertrade de Laon (720-783)
    • Bietrix est une référence probable à Béatrice Portinari, person
  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (154)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : Les Berthas tirent sur Paris (II)...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    Modèle réduit d'une "grosse Bertha", visible au Musée de l'Armée, à Paris.

     

    De "La pluie de sang", pages 264 à 270 :

    "...Tandis que Ludendorff creusait sa poche (et aussi et surtout la fosse de ses régiments) les gothas (1) et le canon à longue portée -ou ce qu'on croyait être un canon à longue portée - ne demeuraient pas inactifs.
    Les Parisiens s'étaient habitués à ces alertes perpétuelles, de jour et de nuit, et allaient à leurs occupations, comme en temps, normal.
    Toutes les quarante minutes, environ, quelquefois toutes les vingt minutes, du 23 mars au 9 août 1918, on entendait l'éclatement sec de ce qu'on appelait la bertha, du nom de Bertha Krupp, femme ou fille du prétendu inventeur de ce prétendu chef d'oeuvre de tir.
    Les points de chute devaient demeurer cachés à la population (j'ignore pour quelle raison) mais, en fait, ils étaient connus des journaux et répartis bizarrement selon deux directions : l'une du bois de Vincennes au bois de Boulogne, et jusqu'à Meudon. L'autre de la gare de l'Est à Malakoff et à Fontenay-aux-Roses. Les dégâts et les accidents de personnes variaent notamment avec les endroits "où ça tombait". Quelquefois aucun résultat. Quelquefois une véritable catastrophe.
    C'est ainsi que le Vendredi saint, sur le coup de trois heures après-midi une "bertha" tomba sur l'église Saint-Gervais - pendant l'Office des Ténèbres et les choeurs des Petits Chanteurs à la Croix de Bois - une partie de la voûte s'écroula et quatre-vingt personnes environ, parmi lesquelles des femmes et des enfants, furent abominablement écrasés.
    On s'est demandé, depuis lors, si l'église n'était pas visée précisément à cette heure-là.
    On se l'est demandé d'autant plus que le surlendemain, jour de Pâques, une autre "bertha" tomba rue Michelet, à quelques trois cent mètres de Saint-Sulpice, pendant l'office du matin.
    Sans compter le ministère de la Guerre qui fut "encadré", et finalement touché, par les projectiles du prodigieux canon, indépendamment des chutes de torpilles et de gothas.
    Mais il n'est pas vraisemblable, quels que soient les perfectionnements de l'optique allemande (Zeiss et Cie) qu'à cent vingt kilomètres de distance on puisse préciser des objectifs déterminés de tir et pointer exactement dessus.
    Ajoutons qu'à l'Armistice, ni dans la région de Fère-en-Tardenois, ni ailleurs, on n'a retrouvé aucune trace du prétendu canon, ni des prétendus canons à longue portée. Les épis, repérés et dénichés, correspondaient à des pièces d'artillerie lourde courantes.
    C'est ce qui a donné naissance à une autre explication (ou peut-être une autre légende) d'après laquelle lesdits canons étaient simplement des canons ordinaires, mais "muets au départ", habilement dissimulés en deux points de la grande banlieue parisenne et tirant dans deux directions.
    Il ne faut pas oublier que le camouflage de l'invention est un article allemand; qu'à l'époque dont je parle l'ennemi cherchait un effet de terreur, et que le mystère ajoute à la terreur; que l'empereur (sorti de son cabanon de demi-gâteux, à ce moment-là, tout exprès) félicita ostentatoirement la maison Krupp; enfin que le nombre des coups tirés n'augmenta pas du 23 mars au 9 août 1918; alors qu'on ne voit pas bien ce qui eût empêché la maison Krupp de construire en série ces canons phénomènes.
    Soudain il arriva aux Boches, aujourd'hui (1932) si chers à la Papauté, à la Nonciature et à l'Archevêché de Paris, ceci - qui paraîtra à tout croyant de fort mauvais présage - qu'ils bombardèrent une église de Paris, pleine de fidèles, le jour du Vendredi-Saint et à l'heure même du divin sacrifice de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
    Sacrilège voulu, prémédité - car rien ne les forçait à tirer le canon ce jour-là, à cette heure-là et dans cette direction-là - et qui devait comporter, pour ses auteurs, un châtiment exemplaire.
    Je reproduis ici l'article que le surlendemain, dimanche de Pâques, je publiai à ce sujet dans l'Action française, sous le titre "L'Abomination".
    Il n'a pas encore été mis à l'Index.

    Cette humble, mais sincère prédiction a faille se réaliser en novembre 1918.
    "Aide-toi, le Ciel t'aidera", dit le proverbe.
    Clémenceau et Foch ont eu le tort de ne pas s'aider suffisamment, de ne pas pousser la victoire jusqu'à Berlin.
    Le démembrement de l'Allemagne, ainsi devenu inévitable, garantissait, pour 150 ans, la paix du monde..."


    (ndlr : on lira l'article intégral dans le document suivant : ceux qui seraient surpris, voire choqués, par la dureté du ton - "férocité sacrilège du peuple allemand", "race maudite" - se reporteront aux trois documents qui le suivent, concernant - pour les deux premiers - le martyre de la cathédrale de Reims, et les propos qu'il a inspiré à Anatole France et à Ashmead Bartlett; le troisième étant l'opinion du sage et mesuré Jacques Bainville, sur les atrocités allemandes, en général, au cours de l'ensemble de la guerre... )


    (1) : Gothaer Waggonfabrik (Gotha, GWF) était un constructeur allemand de matériel roulant ferroviaire établis à la fin du XIXème siècle à Gotha, ville de Thuringe, située à 23 km à l'ouest d'Erfurt, la capitale du Land. Pendant les deux guerres mondiales, Gothaer fabriqua une série de bombardiers, malheureusement pour nous très réussie...

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    En plus de la Chine (qui veut s'en emparer, pour son nickel et sa position stratégique) et de Poutine (qui veut nous gêner pour se venger du soutien français à l'Ukraine), il y  a aussi les nazéris d'Azerbaïdjan qui "jouent contre nous", en Nouvelle Calédonie...

    De Jean-Christophe Buisson (sur tweeter) :

    "Le 18 avril, 3 semaines avant les émeutes, était signé par 1 élue kanake, au nom du Congrès de la #NouvelleCalédonie,1 memorandum avec le Parlement azerbaïdjanais actant l'alliance entre kanaks indépendantistes et Azéris. Voici ce qu'en disait le quotidien local @LaVoixduCaillou :

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    Et Jean-Christophe Buisson d'ajouter :

    "J'espère que les autorités françaises vont se pencher sur le rôle de l'Azerbaïdjan dans le déclenchement et l'encadrement des émeutes en #NouvelleCalédonie..."

    Il semblerait que Darmanin ait, au moins, ouvert les yeux. Maintenant, ouvrir les yeux, c'est bien, mais l'important c'est ce qu'on fait, après...

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    Elsa Faucillon (de la NUPES) : un exemple entre mille, dix mille, cent mille "esprits tordus"...
    Elle déclare que mettre les Kanaks en minorité sur leur propre terre, c'est de la "colonisation"; mais, ici, en France métropolitaine, elle se fait "la voix de son maître" et, comme Mélenchon, dit que ce que l'on constate (à savoir, la mise des Français en minorité sur leur propre terre), c'est bien , c'est un progrès, c'est de la "créolisation" !...
     
     Citation scandaleuse de cette dame ("GPR/NUPES, donc "collabo LFI") qui prend carrément le parti de l'étranger :
     
    "Le gvnmt porte une lourde responsabilité dans cette situation en forçant son projet unilatéral de dégel du corps électoral La colonisation Française a déjà amené trop de morts en pays Kanak. Il faut stopper ce processus qui veut mettre en minorité un peuple sur sa propre terre."
     

    Onze Fructueux propriétaire pouce vers le bas Supporter Salon vivre

     

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    1. Arthur de Watrigant en a marre ! Nous aussi ! :

    "Gabriel Attal annonce une grande exposition nationale sur la mémoire de l’esclavage : J'en ai marre que la France soit réduite à des toilettes pour l'incontinence décoloniale et antiraciste."
     
    (extrait vidéo 0'58)
     

     

    2. La voiture électrique (mi scandale/mi arnaque) ? C'est l'erreur stratégique majeure de nos gouvernants, comme l'explique ici Jacques Closterman :

    (extrait vidéo 1'17)

    https://x.com/jaclostermann/status/1790861098201042964

     

    3. D'accord avec Éric Anceau :

     
    "Incroyable ! Macron est maintenant prêt à vendre la Société générale, l’un des fleurons de notre système bancaire (créée sous Napoléon III) à l’étranger, pour faire grandir l’Europe au détriment de la France. Une banque de cette importance ce n’est pas n’importe quoi ! Ce sont des dizaines de milliards de capitaux mais aussi des millions d’informations clés sur nos entreprises et sur les Français eux-mêmes !"

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    4. (Source Le Télégramme) Quand l'idiotie s'ajoute à l'aberration ! Non seulement le gouvernement défigure nos paysage et saccage la France, mais, en plus, il le fait faire par des entreprises étrangères !

    Nous sommes vraiment dans un Système de folie, et en folie...

    "Le parc éolien en mer de Bretagne Sud sera construit par des entreprises belge et allemande

    C’est le consortium Pennavel, composé d’Elicio et BayWa r.e, qui exploitera le parc éolien en mer flottant de Bretagne Sud. Il s’est vu attribuer le marché, ce mercredi 15 mai, avec un prix bas et des engagements.

    Le consortium composé de BayWa r.e et Elicio, qui a formé la société Pennavel, a remporté le marché du parc éolien mer de Bretagne-Sud (250 MW), a indiqué, ce mercredi 15 mai, le ministère de l’Économie, à l’occasion d’un déplacement de Roland Lescure au parc de Fécamp, en Normandie. Ce premier parc flottant commercial attribué en France devrait produire de l’électricité renouvelable, à partir de 2031, au large de Belle-Île-en-Mer et Groix...."

    BayWa r.e et Elicio sont deux acteurs majeurs dans la construction de parcs éoliens en Europe.
    BayWa r.e et Elicio sont deux acteurs majeurs dans la construction de parcs éoliens en Europe. (Photo d’illustration Carmen Jaspersen/EPA)

     

    5. Sur les deux assassinats barbares d'Incarville, par des monstres froids fous furieux qu'il faut mettre hors d'état de nuire de toute urgence, fût-ce en les tuant, afin qu'ils n'assassinent plus... d'accord avec Gilbert Collard :

     
    "Si Mohamed avait été tué, on aurait eu des émeutes, des " traoréades", des leçons pleureuses de la gauche verbeuse, de la LDH, contre les violences policières ; pour les deux fonctionnaires assassinés, l'indignation conventionnelle et l'oubli rapide suffisent, la honte !"
     
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    À gauche, un monstre barbare de la pire espèce, qui commande à d'autres monstres barbares, assassins de la pire espèce : une engeance à exterminer, comme les nuisibles qu'ils sont...
    À droite, deux "braves types" : celui d'en haut laisse une femme et deux enfants; l'enfant de celui d'en bas, qui naîtra dans quatre mois, ne connaîtra jamais son père...
     
    UNE SEULE SOLUTION :
     
    AUX DONNEURS DE MORT,
     
    IL FAUT DONNER LA MORT...

     

    6. De l'ASLA (sur tweeter) :

    "Victoire ! L'ASLA fait annuler la subvention de 15.000 euros accordée par la ville de Montpellier à SOS MÉDITERRANÉE."

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    7. De SOS CALVAIRES :

    "Suite à la tempête Ciaran un #calvaire ressuscite dans le #Morbihan. Merci à la #mairiedeNeuillac
  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (196)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : "la Reine de France" aux obsèques de Philippe VIII...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    Ouvrage offert au Prince en 1895. Reliure signée de PETIT, à son chiffre "P" couronné.

     

     

    Nous sommes en 1926. Le duc d'Orléans, Philippe VIII, vient de mourir, en terre étrangère, "interdit de France" par l'inique loi d'exil.
    Celle-ci datait du 26 juin 1886, et ne fut abolie que le 24 juin 1950, sur proposition du député MRP du Morbihan, Paul Hutin-Desgrées.
    Cette loi interdisait l’accès et le séjour sur le sol français aux chefs des familles royale (et impériale) ayant régné sur la France, ainsi qu’à leur fils aîné. Elle interdisait également à tous les hommes de ces familles de servir dans l’armée française.
    Mais, à la différence des précédentes, cette loi ne concernait que les "prétendants" (Orléans et Bonaparte) ainsi que leurs fils aînés, et pas les autres membres de la famille.
    À Notre-Dame de Paris a lieu un service funèbre : Léon Daudet, qui y assiste avec Maurras, raconte...

    De "Paris vécu", pages 271 à 273 (fin de l'ouvrage) :

    "...Voici maintenant, à Notre-Dame de Paris, le service funèbre pour l'âme de Monseigneur le duc d'Orléans, enlevé brusquement à nos espérances, loin de cette terre de France d'où la barbarie républicaine, depuis 1886, le tenait exilé.
    À ce grand Prince qui, s'il eût régné, eût écarté le fléau sanglant de 1914, fils de l'incurie effroyable du régime autant et plus que de la mégalomanie allemande, à ce souverain de Shakespeare, fait pour le pouvoir suprême et dont la vie ne fut qu'un long supplice, succédait, dans le Droit et dans l'Exil, un autre magnanime Héritier : Monseigneur le duc de Guise. Rien de plus beau qu'une telle acceptation, et si simple, d'un si haut devoir.
    Mêlées au sentiment d'admiration, de regret, de douleur, de deuil, la ferveur royaliste et la certitude animaient cette foule compacte, serrée, silencieuse, mais brûlante, d'hommes, de femmes, de tout âge et de toute condition, de jeunes gens aux regards fiers, de belles jeunes filles, toutes et tous marqués du signe du dévouement.
    Cette foule, cette armée, je la connais bien. Depuis vingt ans, elle s'est rassemblée autour de notre Action Française, rassemblée elle-même autour de Maurras. Nombreux sont les absents morts à la guerre, au premier rang, ou tombés ici dans les luttes politiques sans merci, pour avoir voulu arracher la Patrie à son bourreau, au régime infâme. Mais absents de corps, ils sont présents par l'âme. Marius Plateau, Ernest Berger, mon fils Philippe sont auprès de nous, parmi nous, au-dessus de nous. Je distingue le délicieux sourire de mon petit garçon, son doux visage attentif, un peu penché.
    La portail s'ouvre à deux battants... c'est le jour limpide et franc, le jour léger, à peine bleuté de Paris, qui délivre et délie l'angoisse de la grande ville.
    Avec lui une forme est entrée, une forme féminine, vêtue de noir; aussi belle et sûre que sculptée par Phidias, glissant avec lenteur plus qu'elle ne marche.
    Droite sans rigidité, elle s'avance à travers le respect sans un souffle de ces milliers de figures passionnées, tournées vers Elle.
    On distingue maintenant un regard pur et grave, étonnamment jeune, irradiant, évoquant la plus haute poésie et les plus gracieuses héroïnes de notre histoire, suave et comme dessiné par le grand Florentin.
    C'est Elle.
    C'est la reine de France.
    Un frisson d'orgueil et de confiance
    impossible à réprimer, rédempteur, a passé à travers la multitude attentive. Cet unanime silence crie et acclame sous les voûtes solennelles, dans l'espace muet et blanc.
    Cependant, Madame n'a cessé de progresser, impalpablement, telle une fée, comme si ses pas déliés frôlaient l'eau et la brume, dans la campagne matinale de chez nous.
    La nef est parcourue.
    La voici au niveau de Maurras. Elle s'arrête un instant, un dixième d'instant, et fixe son regard, diamant irrisé de vert, sur ses yeux et son front de lion.
    Déjà, Elle a a franchi notre chef aimé, celui que nous mettons, sachant pourquoi, à quelques centaines de lieues en avant de tous nos meilleurs contemporains.
    Je me suis penché vers Maurras et je lui ai dit : "Vous êtes payé."
    Cependant que cet évènement, chargé de promesses et de latences incommensurables, s'accomplissait, un Prince auguste et son fils, quintessence de notre race, dans un manoir de la banlieue de Bruxelles, de l'accueillante et douce Bruxelles, sortie des tortures de l'occupation allemande, étaient en communion de pensée avec Celle qu'acclamaient nos coeurs, les coeurs de milliers de Parisiennes et de Parisiens.
    Le dur exil un instant se fendait, leur laissant voir, deviner comme un mirage, ce spectacle unique et qui imprimait à tous les assistants ce que les Bretons appellent l'intersigne heureux : une transe, accompagnée d'un présage d'or."

     

    Dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française", voir :

    Grandes "Une" de L'Action française : mort de Philippe VIII, le grand roi qui a manqué à la France...

  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (205)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : 20 août 1927 : la conférence en exil, à Spa...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    Léon Daudet prononça une mémorable conférence, "littéraire" - et non "politique, on va voir pourquoi... - à l'Apollo, de Spa, le 20 août 1927.

    C'est au début de son exil qu'il fut invité à faire cette conférence à Spa, au cinéma Apollo, le samedi 20 août, à 17 heures.
    Le thème de l'exposé était : "Les salons littéraires de la IIIème République".
    Après la conférence à l'Apollo et un détour par le Neubois, où il pensait pouvoir visiter l'abri du Kaiser, Léon Daudet fut invité à dîner chez le baron de Crawhez, route de la Sauvenière.
    Léon Daudet a raconté cela dans "Vingt-neuf mois d'exil", dont voici un extrait significatif :

    "...Tout de suite, les Cahiers mosans, dont s'occupent, avec talent et persévérance, Paul Dresse et Raymond Janne, m'avaient demandé de faire une conférence à Spa.
    Conférence littéraire, bien entendu. Car très résolu à continuer mes campagnes quotidiennes dans l'Action Française avec la même virulence que lorsque j'étais dans mon bureau de la rue de Rome, je n'étais pas moins décidé à ne manifester aucune activité politique en Belgique même et, bien entendu, à ne créer aucune difficulté, d'aucun ordre, au noble pays dont j'étais l'hôte.
    Il y a, à Bruxelles, un groupement important d'Action française, je veux dire de Français et de Belges, qui suivent les doctrines de Maurras et commentent le journal.
    Je n'y ai jamais mis les pieds, m'excusant auprès de nos amis et leur exposant de vive voix ce que je viens de dire.
    J'étais d'ailleurs averti que l'ambassadeur de France Herbette, le pauvre diable qui a eu récemment à Paris, pendant un séjour, la fin lamentable que l'on sait, était prêt à me chercher des poux et à tracasser le gouvernement belge à mon sujet. Mais il n'en eut pas le prétexte.
    Je n'avais jamais encore eu l'occasion de visiter Spa, où séjourna Guillaume II pendant la guerre européenne.
    C'est une ville d'eaux ravissante et luxueuse, située à l'entrée des Ardennes, entourée de vallonnements sauvages et nuancés, aux courbes harmonieuses.
    Il y a là des domaines et des villas de toute beauté, dominant des forêts à la Shakespeare et que l'on sent prêtes à se mettre en marche, comme dans Macbeth. Ces installations princières et d'un goût sobre, sans nulle flamboyance, rappelant les demeures écossaises, semblent propices à la poésie et au rêve. Parmi elles, celle des parents de Paul Dresse (son père fut jeté en prison pendant l'occupation) et de l'aimable bourgmestre, le baron Crawhez, me remplirent d'admiration.
    Nous déjeunâmes dans la première avant la conférence et nous dînâmes dans la seconde. Bien qu'on fût au mois d'août, il y avait un joli feu de bois dans les vastes cheminées.
    Tout se passa le mieux du monde. Des Camelots du roi étaient arrivés de Paris pour faire discrètement la police de la salle, certains bruits bizarres étant parvenus à nos services de renseignements.
    Je sus plus tard, de très bonne source, que ces bruits étaient fondés.
    Voici ce qu'on me raconta; des inspecteurs de la Sûreté générale avaient l'intention de passer la frontière, avec une forte automobile, de soulever un incident violent pendant que je parlerais et, à la faveur du brouhaha, de m'enlever de vive force !
    Le duc d'Enghien, au petit pied, quoi !
    Mais le baron Crawhez, ayant eu vent de ce complot, vint à la conférence avec son écharpe; sa présence et celle, vite éventée, des Camelots, firent réfléchir "ces messieurs", qui demeurèrent cois et inodores.
    Le public me manifesta chaleureusement sa sympathie.
    La Sûreté française ne prévoyait pas les conséquences d'une telle violation de territoire qui, aux yeux du peuple indépendant qu'est le peuple belge, fût apparue comme une intolérable injure.
    Il est heureux, pour les argousins, que le beau projet ait fusé".
    (tiré de "Souvenirs littéraires", Le Livre de Poche, pages 452/445).

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    Léon Daudet à Spa...

     



    L'illustration (en début de note) du compte-rendu de la conférence, dans L'Action française du 22 août 1927 (en "Une", partie inférieure de la deuxième colonne) étant peu lisible (même lorsque l'on clique dessus pour l'agrandir) en voici la transcription :



    La conférence de Léon Daudet à Spa.

    Samedi, lorsqu'à 5h14, Léon Daudet fit son entrée sur la scène de l'Apollo de Spa, la salle, pleine à craquer depuis de longs instants déjà, fit à notre directeur une ovation qui, pour quelques moments, le replonge dans l'atmosphère enthousiaste de ses vastes auditoires parisiens.
    En quelques mots émouvants, Léon Daudet montre la ressemblance des auditoires devant lesquels il lui a été donné de parler et de ses auditoires français; elle est telle que pour lui ils ne font qu'un, comme à ses yeux Belges et Français sont frères.
    Puis, devant un public suspendu à ses lèvres et qui, par des applaudissements répétés, bientôt devenus d'interminables ovations, lui marquent son plaisir et son admiration, Léon Daudet fait défiler les rénovateurs de la langue d'oc.
    Il glorifie ces félibres dont l'oeuvre prend chaque jour une place plus importante dans la littérature française, le maître, Frédéric Mistral, et ces deux très grands poètes, Roumanille et Théodore Aubanel.
    Puis il présente rapidement quelques uns des écrivains et savants qui se rencontraient autour de son père à Champrosay.
    Il campe et anime magnifiquement tour à tour Drumont, Rochefort, Clemenceau, Geoffroy, Paul Arène, Théodore de Banville.
    Sur chacun, anecdotes inédites, souvenirs curieux et caractéristiques, jugements fortement motivés qui font la joie de ses auditeurs et leur révèlent un Daudet trop peu connu des foules.
    Il est près de 7 heures lorsque cette magnifique conférence se termine.
    Elle soulève une ovation finale qui rappelle les beaux jours de Luna Park et de la salle Wagram.
    Quels que soient les bruits qui avaient pu circuler, aucun incident ne s'est produit; cela est d'autant plus heureux qu'un certain nombre de nos amis belges étaient bien décidés à faire respecter leur hôte et les traditions généreuses de leur patrie.

  • Éphéméride du 19 mars

    1987 : Mort de Louis de Broglie, Nobel de Physique 1929 : l’indétermination, l’incertitude, la probabilité, l’a-causal, le non local, l’a-temporel  : quelques uns des concepts étranges formant le socle de la Physique quantique... 

     

     

     

    1315 : Louis X, le Hutin, octroie la Charte aux Normands 

     

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    Ci dessus, "Le grand coutumier de Normandie. Charte aux Normands donnée en 1314 par Louis X le Hutin", artiste Anonyme (XIVème siècle)

    Symbole du particularisme normand, la Charte aux Normands, octroyée le 19 mars 1315 par le roi de France Louis X le Hutin, confirmée par Philippe de Valois en 1339, bien qu’abolie par Louis XIV, continuera de figurer au titre des Ordonnances royales jusqu’à la révolution française de 1789.

    Cette charte, sans équivalence dans la France de cette époque et aux valeurs quasi constitutionnelles, conférait à la Normandie une large autonomie vis à vis du pouvoir royal en matière fiscale, judiciaire et militaire.

    La Charte aux Normands, qui figure en préambule du Grand Coutumier de Normandie (détail ci dessous), manuscrit sur parchemin datant de la fin du XVème siècle conservé aux Archives départementales de Seine-Maritime, est la première et la plus originale des chartes provinciales octroyées par la royauté.
    Elle est exceptionnelle à la fois par son caractère contractuel et sa persistance dans le temps.
     
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    Ces libéralités, concédées à une Normandie "recouvrée" de fraîche date - en fait conquise par la force des armes et fatiguée des conflits opposant couronnes de France et d’Angleterre... - mettent en évidence que cette Province n’est, à cette époque, ni intégrée, ni soumise. Il en sera ainsi durant de longues années. De la Guerre de Cent Ans - dont la Normandie sera un des enjeux majeurs mais aussi la principale victime... - jusque sous le règne du roi Louis XIV, les Normands n’auront de cesse, de contester et de s’opposer au pouvoir royal et de brandir la Charte aux Normands pour faire valoir leurs droits et marquer leurs différences.

    Violée à de multiples reprises, à chaque fois reconduite et confirmée, la Charte aux Normands, qui ne compte pas moins de 24 chapitres ou alinéas, régira cependant la vie quotidienne en Normandie pendant plus de quatre cent ans.

    Cinq articles suffisent, à eux seuls, à mettre en lumière la spécificité et l’intérêt de ce document historique :

    •  à commencer par les alinéas 3 et 4 qui limitent les droits du roi dans le domaine militaire. La seule obligation faite aux Normands se borne, dorénavant, à l’accomplissement d’une période aux armées ne pouvant excéder quarante jours et à la fourniture d’un contingent de sergents.

    • les alinéas 17 et 21 sont, pour leur part, la reconnaissance officielle d’un droit ancestral : seule la coutume a désormais droit de cité en Normandie. Les causes et affaires normandes ne peuvent être jugées qu’en Normandie, sans autre droit de regard ni d’appel que celui de l’Échiquier de Normandie.

    • enfin, antépénultième article, l’alinéa 22 met, quant à lui, la province à l’abri de l’arbitraire royal en matière fiscale, le roi s’engageant à ne plus lever d’impôts nouveaux en Normandie sauf en cas de "grande nécessité".

    Bien que cette Charte batte passablement en brèche son autorité, Louis X honorera sa parole et veillera à ce qu’elle soit appliquée dans son intégralité. C’est ainsi qu’il en confirmera tous les termes, en juillet 1315, quand il apprendra de la bouche de barons normands, venus le rejoindre à Crécy, que cette dernière n’est pas encore entrée pleinement en application.

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    1443 : Agnès Sorel est présentée à Charles VII...

     

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    http://www.herodote.net/Agnes_Sorel_1422_1450_-synthese-264.php

     

     

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    1563 : Publication de L'Édit d'Amboise

               

    Promulgué par Catherine de Médicis, cet Édit reconnaît provisoirement aux protestants la liberté de conscience, ainsi qu'une liberté de culte limitée à leurs demeures et à une seule ville par territoire, à l'exception de Paris.

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    http://www.histoirepassion.eu/spip.php?article1277

     

     

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    1783 : Louis XVI fonde l'École des Mines

     

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     https://histoiresduniversites.wordpress.com/2020/12/04/1783-ecole-des-mines-de-paris/

     

     

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    1822 : Mort de Valentin Haüy

             

    C’est lui qui fonda à Paris la première École pour aveugles, devenue depuis l'Institut national des jeunes aveugles.

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    http://www.avh.asso.fr/rubriques/association/association.php

     

     

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    1859 : Première représentation à Paris du Faust de Gounod

     

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    http://www.francemusique.fr/personne/charles-gounod

       Écouter : la kermesse, de Faust : Charles Gounod - Faust Kermesse.mp3

     

     

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    1866 : Fondation de l'Oeuvre des Orphelins Apprentis d'Auteuil (OAA)

             

    L'abbé Roussel fonde "l'Oeuvre de la Première Communion pour les pauvres enfants abandonnés ou vagabonds", dans une maison délabrée du quartier d'Auteuil, au 40 rue La Fontaine, à Paris.

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    http://www.fondation-auteuil.org/ 

     Voir l'Éphéméride du 7 septembre, jour de la naissance du Père Daniel Brottier, réorganisateur de l'Oeuvre...

     

     

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    1900 : Naissance de Frédéric Joliot Curie

             

    Il reçut le Prix Nobel de Chimie 1935, avec Irène Joliot Curie.

  • Éphéméride du 24 Mars

    24 mars 2014 : Mort de Jean-François Mattéi

     

     

     

     

    1776 : Turgot crée la Caisse d'Escompte, à l'origine directe de la Banque de France    

     

    Organisée par le banquier suisse Isaac Panchaud, la Caisse d'escompte eut pour mission d'escompter les lettres de change et autres effets de commerce afin de faire baisser le taux d'intérêt du crédit commercial.

    Elle est considérée comme l'ancêtre directe de la Banque de France, de la direction du Trésor et de la Caisse des dépôts et consignations. Elle n'avait cependant pas pouvoir de battre monnaie.

    Supprimée par la Révolution, en 1793, Bonaparte, Premier Consul, la réorganisera de fait, en 1800, lorsqu'il instituera la Banque de France. 

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      sceco.univ-poitiers.fr/hfranc/CaisseEscompte.htm 

     

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    1794 : Anacharsis Cloots est guillotiné

             

    Jean-Baptiste du Val-de-Grâce, baron de Cloots - férocement anti-catholique, il s'est lui-même rebaptisé Anacharsis Cloots... - est né au château de Gnadenthal, près de Clèves, le 24 juin 1755.

    Féru d'antiquité - comme la plupart des révolutionnaires... - il a tiré ce nom d'Anacharsis d'un philosophe grec et, comme lui, il voulait réformer les peuples et les États selon les modèles et les visions de la démocratie antique.

    Toujours modeste, - là aussi, comme beaucoup d'autres révolutionnaires... - il s'octroya, en toute simplicité, le surnom d'orateur du genre humain : rien de moins ! Ardent révolutionnaire, il s'opposait à Robespierre d'abord par son amitié avec Hébert, mais aussi par son athéisme virulent : il s'était donné, comme autre surnom, celui d' "ennemi personnel de Jésus-Christ" !...

    Robespierre le fera guillotiner - avec les Hébertistes - le 24 mars 1794.

    Connu, dès avant la Révolution, pour ses opinions francophiles, il demandait - dès 1786 !... - le rattachement de la rive gauche du Rhin à la France, dans un ouvrage intitulé Vœux d’un Gallophile, ... 

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    1860  : Nice et la Savoie deviennent Françaises

     

    Pour prix de l'aide militaire apportée au Royaume du Piémont contre l'Autriche, le roi du Piémont-Sardaigne, Victor-Emmanuel cède à Napoléon III Nice et la Savoie.

    Les populations des deux comtés se prononcent massivement en faveur de leur rattachement à la France par plébiscite (ci dessous, le blason de la Savoie).

              

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    Tende et La Brigue, dans le Comté de Nice (ci dessous), qui avaient aussi voté leur rattachement, sont laissées au Roi d'Italie et devront attendre le lendemain de la Seconde Guerre Mondiale pour être réunies à leur tour, après avoir manifesté une deuxième fois massivement leur volonté par un nouveau vote en 1947 (voir l'Éphéméride du 12 octobre).

     

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    Les "villes libres" de Menton et de Roquebrune, par leur vote en faveur de la France furent rattachées au département des Alpes-Maritimes. Mais elles faisaient cependant partie, au moins nominalement, en même temps qu'elles étaient "libres", de la Principauté de Monaco : le Prince Charles III protesta vigoureusement contre ce rattachement, mais devant les résultats de la consultation populaire (883 voix pour le rattachement à la France contre 54), le Prince préféra négocier avec l’empereur Napoléon III la cession de ses Communes (son ancêtre Charles 1er les avaient achetées en 1346 et 1355).

    Le Traité du 2 février 1861 régla définitivement cette question par la vente à la France de Menton et Roquebrune. Ce traité prévoyait également le passage par Monaco de la ligne de chemin de fer qui allait relier Nice à Gênes, ainsi que la réalisation, aux frais de la France, d’une route littorale pour désenclaver la Principauté dont l’accès par voie terrestre, comme maritime, était des plus difficiles.

    La Principauté perdit ainsi les 4/5èmes de son territoire, et ne couvre plus, aujourd'hui, qu'une superficie de 202 hectares...

     
     
     

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    1905 : Mort de Jules Verne

     

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    Photographié par Nadar
     

     

    "On ne connaissait pas Jules Verne sous ce jour monarchiste et catholique..." dit de lui Antoine de Lacoste, dans ses "conseils de lecture", à propos d'un livre de jeunesse : Le comte de Chateleine.

    Raison de plus pour le découvrir !...

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    1934 : La "Traction avant"...

     

    André Citroën présente à un public de concessionnaires la dernière voiture sortie de ses usines du Quai de Javel : la Traction avant.

    Conçue en un an par l'ingénieur André Lefebvre, la Traction sera plébiscitée par les Français pour son confort et sa tenue de route.

     

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    2010 : L'Armagnac récupère le fac-similé du premier texte mentionnant son nom, écrit par Maître Vital Dufour en 1310 !...

     

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  • Feuilleton : ”Qui n 'a pas lutté n'a pas vécu”... : Léon Daudet ! (43)

     

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     (retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)

    Aujourd'hui : L'amitié pour Marcel Proust (II)...

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    ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...

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    L'Hôtel de France et d’Angleterre – 1 rue Royale, Fontainebleau, aujourd'hui.
    En 1896, Marcel Proust s’est rendu à l’Hôtel de France et d’Angleterre (aujourd’hui Hôtel de Londres) en compagnie de Léon Daudet. Il y a écrit quelques pages de "Jean Santeuil".
    La ville de Fontainebleau est un des modèles de Doncières dans "A la Recherche du temps perdu"...

     

    De "Salons et Journaux", pages 298 à 302 :

    "...Vers 7 heures et demie arrivait chez Weber un jeune homme pâle, aux yeux de biche, suçant ou tripotant une moitié de sa moustache brune et tombante, entouré de lainages comme un bibelot chinois.
    Il demandait une grappe de raisin, un verre d’eau et déclarait qu’il venait de se lever, qu’il avait la grippe, qu’il s’allait recoucher, que le bruit lui faisait mal, jetait autour de lui des regards inquiets, puis moqueurs, en fin de compte éclatait d’un rire enchanté et restait.
    Bientôt sortaient de ses lèvres, proférées sur un ton hésitant et hâtif, des remarques d’une extraordinaire nouveauté et des aperçus d’une finesse diabolique. Ses images imprévues voletaient à la cime des choses et des gens, ainsi qu’une musique supérieure, comme on raconte qu’il arrivait à la taverne du Globe, entre les compagnons du divin Shakespeare.
    Il tenait de Mercutio et de Puck, suivant plusieurs pensées à la fois, agile à s’excuser d’être aimable, rongé de scrupules ironiques, naturellement complexe, frémissant et soyeux.
    C’était l’auteur de ce livre original, souvent ahurissant, plein de promesses : Du côté de chez Swann, c’était Marcel Proust.
    "Dites, monsieur, ne croyez-vous pas..."
    Ainsi commençait l'insidieux garçon et le monsieur, sans méfiance, se prêtait à un analyste comparable à un millier de laborieuses fourmis.
    Car tandis qu'une partie du cerveau de Marcel admire et goûte, une autre critique et s'irrite et une troisième assiste, indifférente et comme "spinozée", aux ébats des précédentes.
    Je ne m'étonne pas qu'il soit toujours fatigué. Je ne connais pas d'être plus harcelé par le mystère psychologique et somatique des gens du passé et de ses contemporains, ni plus expert à se transformer, par le désir, en quelque chose de presque semblable, ou du moins de très analogue à eux.
    Il est le sire de métempsychose et un véritable phénomène d'imagination autocréatrice...
    ...Marcel Proust déteste la campagne. Elle dérange en effet ses habitudes casanières, la claustration volontaire pendant laquelle il lit, rêvasse et réfléchit, échappant ainsi à l'abus que l'on ferait de sa trop grande obligeance et de son amicale émotivité.
    Nous nous sommes rencontrés, il y a de cela une vingtaine d'années, pendant une semaine à l'Hôtel de France et d'Angleterre, à Fontainebleau.
    Il restait enfermé toute la journée dans sa chambre, puis, le soir, il consentait à faire avec moi une promenade en voiture dans la forêt, sous les étoiles.
    C'était le plus charmant, le plus fantaisiste, le plus irréel des compagnons, un feu follet assis sur les coussins de la victoria.
    Mais, ne voyant pas ce que les autres voient, il voit des choses qu'eux ne voient pas, il se coule derrière la tapisserie et contemple le bâti et la trame, dût Hamlet le prendre pour un rat.
    Il s'est fabriqué, à l'aide d'une marqueterie de méditations sur le concret, un monde abstrait où il vit heureux, presque tranquille, séparé de tout et de tous par une sorte de cloison transparente.
    En une autre circonstance, il se laissa décider par mon frère Lucien à venir nous rendre visite en Touraine.
    Il arriva par le train du soir, passa la nuit dans un nuage de fumée de cigarettes Espic - car il souffrait alors d'une crise d'asthme - et repartit le lendemain matin, déclarant que rien n'égalait la Loire en suavité et en magnificence.
    Ce passage d'un météore souffreteux n'en laissait pas moins une traînée de lumière et je crois de bonne foi notre cher Proust, par excès d'activité intellectuelle, phosphorescent.
    Au plus fort de nos dissensions politiques d'avant la guerre, il imagina - c'était en 1901 - de convoquer à dîner chez lui une soixantaine de personnes d'opinions différentes. Toute la vaisselle eût pu voler en morceaux.
    Je me trouvais placé à côté d'une ravissante personne, pareille à un portrait de Nattier ou de Largillière, que j'appris être la fille d'un banquier israélite bien connu. La table voisine était présidée par Anatole France. Des ennemis acharnés mastiquaient leur chaud-froid à deux mètres les uns des autres.
    Cependant les effluves de compréhension et de bienveillance qui émanent de Marcel se répandaient en tourbillons et spirales à travers la salle à manger et les salons, et la cordialité la plus vraie régna, pendant deux heures, parmi les Atrides.
    Je crois que personne d'autre à Paris n'eût pu réaliser ce tour de force. Comme je complimentais ce maître de maison et de prodiges, il me répondit avec modestie :
    "Monsieur, en vérité, monsieur, tout dépend de la façon dont s'accrochent, dès le premier contact, les caractères."
    Je compris ainsi qu'il avait fait une expérience dangereuse et qu'il était content de l'avoir réussie..."

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Tous les cinéphiles connaissent "Mère courage"; avec ce reportage de France info, les Français connaissent maintenant "Maire exemple" : bravo à lui !

    "Confronté à la détérioration inexorable de l’église communale et à la difficulté de recevoir des aides financières, Patrick Mangin, le maire de Saint-Maurice-aux-Forges (Meurthe-et-Moselle), fait don de la totalité de ses indemnités. Par son geste, il espère susciter la générosité collective et voir l’église rouvrir prochainement au public..."

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/ce-maire-donne-ses-indemnites-d-elu-pour-sauver-l-eglise-de-son-village-2940360.html

    Meurthe et Moselle : un maire fait don de ses indemnités pour sauver  l'église de son village | Lorfm
     

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    1. Contre l'islamisation de notre continent et de notre pays, favorisée par les mêmes qui veulent effacer nos Racines chrétiennes : évidemment d'accord avec Marion Maréchal :

    "Ici à Francfort, en Allemagne, le maire de la ville a installé des décorations pour le Ramadan. Voici la 1ère étape du #GrandDévoilement, notre tour de France et d’Europe de l’islamisation."

    (extrait vidéo 4'07)

    https://x.com/MarionMarechal/status/1769444760182210932?s=20

     

    La municipalité de Francfort a décoré une rue de la ville pour le Ramadan.  Des décorations lumineuses "Happy Ramadan" ont été accr... | Instagram

     

    2. De Guillaume Bigot :

    "Euro-bobos et islamo-bobos ont chacun leur drapeau qui est comme le marqueur de leur aliénation..."

    (extrait vidéo 1'28)

    https://x.com/Guillaume_Bigot/status/1769446249525031120?s=20

    CNEWS on X: "Guillaume Bigot : «C'est le drapeau des bobos euro-mondialistes,  le drapeau de l'Ukraine. C'est donc une patrie de substitution. Le drapeau  palestinien c'est celui des bobos altermondialistes et aussi

     

    3. Encore et toujours Sciences Po Paris : Une affaire d'État ? De Philippe de Villiers :

    "#SciencesPo, temple de l’islamo-gauchisme ! L’#antisémitisme violent, vénéneux vient se loger au cœur d'un haut lieu du civisme français. Cette école est devenue, en 20 ans, le miroir grossissant du mal qui ronge l’université française : l'islamo-wokisme. Elle s’est effondrée sur elle-même..."

    (extrait vidéo 7'14)

    https://x.com/PhdeVilliers/status/1769439968089280687?s=20

    Antisémitisme : Sciences Po Dans La Ligne De Mire De L'État - I24NEWS

     

    3 BIS. Mais le cancer a "métastasé" ! Et il n'y a plus que "Sciences Po Paris :

     

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    3 TER. Et l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 : "Jean-Luc Mélenchon, le diable s’habille en paria..."

    "A Science Po, Mélenchon fait 55%. Si l’on faisait un sondage dans la magistrature ou dans l’audiovisuel public son score serait supérieur à ses résultats électoraux. Le gauchisme culturel dont LFI est l’expression politique la plus aboutie donne encore le tempo du débat public..."

    (extrait vidéo 3'05)

    https://x.com/vtremolet/status/1769633303521350011?s=20

     

    Jean-Luc Mélenchon, le diable s'habille en paria

     

    6. De Michel Onfray, à propos de LFI et de l’antisémitisme :

    "Toutes les semaines on a des gens de LFI qui tiennent des propos antisémites... On laisse avancer cette espèce de peste brune... Inversion de valeurs... on n'a pas vu le fascisme arriver, mais il est arrivé quand même !"

    (extrait vidéo 1'26)

    https://x.com/_Direct_News/status/1769467558309036354?s=20

     

    Antisémitisme : « Aujourd'hui, on ne peut plus défendre Mélenchon »

     

    7. Et, pour conclure cette série d'aujourd'hui, nous suivrons le conseil de Christophe Dickès :

    "A LIRE | Rarement un titre de livre aura reflété la réalité de son contenu. Gracieux, intelligent, exquis, souriant, réaliste, cultivé. On entend et même on écoute Hélène Carrère d'Encausse nous parler..."
     

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    Fayard, 112 pages, 14 euros...

    Présentation de l'éditeur :

    Rien de crépusculaire dans cette conversation inédite, interrompue par la mort d’Hélène Carrère d’Encausse.
    En confiance avec Darius Rochebin, la première femme élue Secrétaire perpétuel de l’Académie française se livre avec une totale liberté d’esprit. Par la passion du savoir, à force de ténacité, l’enfant sans patrie, née dans la pauvreté, devint une figure de la civilisation française.
    Méditant sur le destin russe baigné de sang, façonnée dès l’enfance par la lecture de l’Iliade, Hélène Carrère d’Encausse rappelle la loi de fer : la guerre est la règle, la paix l’exception. L'éblouissante leçon d'histoire nous fait comprendre la Russie, la guerre partout rallumée et l'avenir de l'Occident, menacé par la Chine et les nouvelles puissances.
    Pas question de céder à la fatalité. Hélène Carrère d’Encausse revendique le mot d’ordre de Voltaire  : beaucoup de gaieté, beaucoup d’ironie. La culture fut la grâce de sa vie. De même, croyait-elle, la civilisation l’emportera sur les fanatismes.
    Non violente par le cœur, combative par l’esprit, Hélène Carrère d’Encausse baptisa son épée d’académicienne Joyeuse, en hommage à Charlemagne : joyeuse et altière comme il faut l’être, disait-elle, « surtout quand le sort paraît contraire ». Elle nous transmet cette espérance.

     

     

     

    À DEMAIN !

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