Fadela Amara pas soumise, mais soumise quand même...
....au conformisme ambiant, aux diktats du groupe de pression pro-gay, au terrorisme qu'il fait régner.
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
....au conformisme ambiant, aux diktats du groupe de pression pro-gay, au terrorisme qu'il fait régner.
Les contribuables associés nous apprennent que la politique de la Ville est vraiment très généreuse....en subventions de tous ordres, pour des associations de tous ordres...
345.252 €: c'est le salaire annuel de Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne. Les 6 membres du directoire de la BCE touchent au total 2.200.000 euros bruts par an. Mais ce n'est pas tout : à ces sommes s'ajoutent une indemnité de résidence et une indemnité pour frais de représentation. Pour ce qui concerne le président, un logement de fonction appartenant à la BCE est mis à sa disposition, à la place de l’indemnité de résidence. Les membres du Directoire ont droit à des allocations scolaires, de foyer et pour enfant à charge, en fonction de leur situation individuelle.
Une enquête du Monde datée des 2 et 3 mars annonce une banalisation de la consommation de cocaïne.
Ségolène Royal a bien tapé sur Sarko, après l'affaire du Salon de l'Agriculture.
"La commission Attali suggère l'immigration de nombreux étrangers, qui travailleraient dans des secteurs d'activité où on ne trouve pas en France les compétences nécessaires...
On aura tout entendu. dans la classe politique, du raisonnable au plus que surprenant (?!): n'en prenons que deux exemples...
Voici la réaction, courte mais musclée, de Gérard-François Dumont, démographe qu'on ne présente plus, à la "décision 221" du Rapport Attali, prônant la relance de l'immigration pour "relancer la croissance":
Ce n'est pas l'avis de Jacques Julliard dans "Le Nouvel observateur" du 30 Janvier:
La proposition devrait encore faire largement débat parmi les automobilistes et non automobilistes franciliens: Denis Baupin, tête de liste Verts dans la capitale aux prochaines municipales,souhaiterait rendre les autoroutes franciliennes et le périphérique parisien payants pour financer les transports collectifs! Christine Albanel, elle, souhaiterait prélever quelques euros sur chaque nuit passée par les touristes dans les hôtels de luxe...Presque chaque semaine on entend une personnalité proposer, pour "s'en sortir", d'instituer une taxe nouvelle sur ceci ou cela (1).
Notons d'abord quelques évidences. Le vrai mal de la France c'est sa sur-administration, donc les prélèvements fiscaux que cela induit, et le gel, la stérilisation d'une quantité d'argent considérable qui serait mieux employée dans la Recherche et dans la meilleure rémunération du Travail.
Et puis il y a ceux qui énoncent "la totale": ainsi l'inénarrable Gérard Aschiéri lorsqu'il formule sa sempiternelle demande ("plus de moyens"!...), ce qui revient à demander et plus de fonctionnaires et une augmentation des salaires! Quand on sait que la sur-administration est l'une des causes principales, voire la principale, du déséquilibre et du désordre général des finances publiques!....
Il faudrait tout de même que certains dirigeants syndicaux, certains responsables de partis cessent de marcher sur la tête: on ne peut pas travailler moins et gagner plus!
Après les deux dernières grèves dans les Transports, la constatation qui, d'évidence, s'impose est qu'il devient non seulement souhaitable mais nécessaire et urgent de construire ou reconstruire un vrai syndicalisme (1), de fonder ou re-fonder de vrais syndicats. La France ne peut plus continuer ainsi à donner le lamentable spectacle de syndicats inexistants au quotidien alors que -les exemples des pays nordiques sont là pour le prouver...- un pays moderne, une économie saine, une société bien organisée ne peuvent se passer de vrais syndicats agissant pour le Bien Commun.
Encore un excellent "commentaire"de Christophe Barbier (un de plus!) le 21 Novembre sur LCI, en réponse aux questions de Jean-François Rabilloud. Après avoir parlé d'un peu tout le monde, il en arrive aux dirigeants syndicaux. Ce n'est pas tout à fait "Le Bon, la Brute et le Truand" mais presque; c'est très bien vu, c'et fort juste et, comme d'habitude, c'est dit sans fard ni langue de bois: un petit régal...