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Idées, débats... - Page 510

  • Dans Politique Magazine, Hilaire de Crémiers a lu pour nous... : le dernier Finkielkraut (2/2).

                Dans le même temps, Hilaire de Crémiers a lu également Un coeur intelligent, de Finkielkraut, et le présente de même, à côté et en face du Mattéi. Cela vaut aux lecteurs de Politique Magazine deux somptueuses pages côte à côte, la 38 et la 39. Somptueuses pour l'esprit, s'entend: Mattéi est à gauche (page 38), Finkielkraut à droite (page 39). Peut-on demander plus à une revue ?

                 Un régal pour l'esprit, ces deux pages; une "cure d'altitude mentale", pour reprendre l'expression de Proust, et une magnifique invitation à prendre de la hauteur, à monter sur les sommets: c'est toujours vivifiant !...

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  • Dans Politique Magazine, Hilaire de Crémiers a lu pour nous... : le dernier Mattéi (1/2).

                Alors que, dans lafautearousseau, nous sommes en plein dans la publication des extraits de son remarquable Le regard vide. Essai sur l'épuisement de la culture européenne, Jean-François Mattéi sort un nouvel ouvrage, Le sens de la démesure. Abondance de biens ne nuit pas !....

                Hilaire de Crémier l'a lu, et le présente, dans Politique Magazine du mois d'octobre (n°78).

                Il est animé du même esprit que nous: donner envie à un maximum de personnes de lire Mattéi, "qui n'a jamais si bien mérité la dignité de son titre", comme il le fait remarquer avec justesse.

                Comme nous le disons à chaque fois, il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI d’avoir écrit ces ouvrages. Il faut les lire et les relire, les méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Car il y dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.  

     La réflexion de Jean-François Mattéi nous paraît absolument fondamentale (incontournable, comme on dit aujourd'hui, dans le jatgon...), car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.

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  • Le regard vide, extraits n° 11 et 12.

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    Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.  

     Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.

     C’est pourquoi nous publierons, ici, régulièrement, à compter d’aujourd’hui, et pendant un certain temps, différents extraits significatifs de cet ouvrage, dont, on l’aura compris, fût-ce pour le discuter, nous recommandons vivement la lecture.

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  • Au cercle de l'union Interalliée : Petitfils, hier, sur Henri IV. Sévillia, demain, sur Charles d'Autriche-Hongrie...

                Le lundi 27 septembre dernier, au Cercle de l'Union Interalliée, Jean-Christian Petitfils a prononcé une conférence sur Henri IV. C'était l'occasion de présenter son dernier ouvrage sur le Vert galant (ci dessous). Un participant -manifestement enthousiaste- nous a fait parvenir le lien d'une vidéo montage concernant cette conférence.

                En nous signalant que le prochain orateur invité -le jeudi 22 octobre- serait Jean Sévillia, qui viendra parler, lui aussi, de son dernier ouvrage, sur Charles d'Autriche-Hongrie, le dernier empereur.

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    330 pages, 21 euros

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  • Une histoire politique de la littértaure, de Stéphane Giocanti

                Dans la toujours très intéressante (et très honnête) rubrique Le livre du jour, sur France info, Philippe Vallet a reçu Stéphane Giocanti, le mardi 6 octobre. Il venait présenter son dernier ouvrage Une histoire politique de la littérature. De Victor hugo à Richard Millet.

                Evidemment, 2'09'' (le temps de la rubrique) c'est toujours trop court. On en écouterait volontiers beaucoup plus. Il n'empêche, ces 2'09"" là ont été, comme à l'accoutumé, fort intéressantes. Philippe Vallet rappelle que "...la France se pense à travers ses écrivains", puis tend la perche à Stéphane Giocanti, qui se fait un plaisir de la saisir: "Même lorsqu'ils se sont plantés ?" -demande Philippe Vallet- "Mais oui... -répond Gicocanti- comme Sartre, affirmant que la Chine de Mao est un pays magnifique... ou Aragon écrivant un hymne au Guépéou, la police secrète ultra répressive de l'URSS... ou Gide qui trouve que l'avenir radieux se trouve en URSS... il se corrigera après..."

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  • Jean Guitton...

                "Il faut choisir entre l'absurde et le mystère: j'ai choisi le mystère..."

                 Il y a dix ans, disparaissait Jean Guitton.

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                Canal Académie a choisi de l'évoquer d'une façon assez originale: dans une émission d'a peine plus de 8 minutes, Jean Mauduit, qui a lu les deux ouvrages consacrés à Guitton par deux femmes, qui ont travaillé à ses côtés -Anne Creuchet dans un récit-témoignage et Véronique de Bure dans un roman- présente ces deux ouvrages dans cette chronique littéraire.

                Deux portraits touchants de Jean Guitton, le philosophe homme de coeur.

                http://www.canalacademie.com/Deux-portraits-de-Jean-Guitton.html

                Florilège.....

    - «Avoir des opinions ne m'intéresse pas. C'est à la portée de n'importe qui. Mais avoir des idées vraies, absolument vraies, voilà qui est difficile et voilà qui est beau.» (Mon testament philosophique)

    - «Toutes les époques ont leurs lacunes et leurs erreurs. Si l'on me demandait quel est le défaut majeur de la nôtre, je répondrais que c'est la confusion et le renversement des valeurs.»

    - «En Occident la jeunesse est désemparée ; l'une des raisons de son trouble est que l'on n'exige plus assez d'elle. La jeunesse avec raison exige qu'on exige.» (Ce que je crois)

    - «Ce que nous appelons le hasard n’est que notre incapacité à comprendre un degré d’ordre supérieur.»

    - «Etre dans le vent, c'est avoir le destin des feuilles mortes.»

    - Un être raisonnable n'est pas serf quand il obéit, mais il l'est quand il n'obéit pas raisonnablement. Être raisonnable, c'est penser vrai. (Mon testament philosophique).

    - Qu'est-ce alors que le beau ? Voltaire l'a écrit : " Ce qu'il a de plus beau, pour le crapaud, c'est sa crapaude. " (Mon testament philosophique)

    - Notre civilisation sursaturée de connaissances et de moyens de savoir offre tant de masques et de faux appuis que l'homme ne sait plus ce qu'il sait et ce qu'il ignore. (Le travail intellectuel).

    - La règle d'or du travail intellectuel peut se traduire ainsi : « Ne tolère ni de demi-travail ni de demi-repos. Donne-toi tout entier ou détends-toi absolument. Qu'il n'y ait jamais en toi de mélange des genres ! » (Le travail intellectuel)

  • Le regard vide, extraits n° 8, 9 et 10.

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    Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.  

     Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.

     C’est pourquoi nous publierons, ici, régulièrement, à compter d’aujourd’hui, et pendant un certain temps, différents extraits significatifs de cet ouvrage, dont, on l’aura compris, fût-ce pour le discuter, nous recommandons vivement la lecture. 

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  • Quand les oreilles traînent, du côté des émissions télé...

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                Trois réflexions intéressantes entendues cette semaine, dans trois émissions différentes.

                La première est de Michel Houellebecq, qui déclare sans ambages "L'Europe souffre de vacuité substantielle". N'est-ce pas excellent, très bien vu et très bien dit ? Cela s'insère parfaitement dans la réflexion de Jean-François Mattéi. C'est du Mattéi...

                 La deuxième est de Jean d'Ormesson, et nous ramène à l' "affaire Polanski".

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  • Le regard vide, extraits n° 5, 6 et 7.

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    Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.  

     Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.

     C’est pourquoi nous publierons, ici, régulièrement, à compter d’aujourd’hui, et pendant un certain temps, différents extraits significatifs de cet ouvrage, dont, on l’aura compris, fût-ce pour le discuter, nous recommandons vivement la lecture.

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  • Dans maurras.net : le Charles Maurras, de Tony Kunter (en attendant la vidéo...).

                Le site maurras.net ( http://maurras.net/ ) a signalé la sortie (le 1er septembre) du Charles Maurras, la Contre-Révolution pour héritage, de Tony Kunter, aux Nouvelles Éditions latines.

                Le premier livre de Tony Kunter s’appuie sur une épistémologie de l’histoire des idées novatrice, en se rattachant à l’école de la contextualisation de Quentin Skinner tout en en énonçant les limites. Cet essai est aussi fondé sur une histoire à la source, dépassant la traditionnelle histoire-problématique à la française.

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    Nouvelles Editions Latine, 305 pages, 17 euros

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  • Le dernier Mattéi: "Le XXème siècle est le siècle de la démesure..."

                C'est le dernier (en date) mais on espère bien que ce ne sera pas le dernier: Jean-François Mattéi sort, chez Sulliver, Le sens de la démesure.

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    180 pages, 19 euros

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  • "Les Grecs, l'Europe et l'Islam" : Sylvain Gouguenheim répond à Jean Sévillia.

                Sous le titre Les Grecs, l'Europe et l'Islam, Jean Sevillia nous offre un très intéressant entretien avec Sylvain Gouguenheim, dans Le Figaro Magazinedu 12 septembre.

                On y trouve, entre autre, une nouvelle dénonciation de la supercherie des Tartuffe qui cherchent à imposer le soi-disant anti-racisme (l'arnaque du siècle...), et sa variante, l'islamophobie, tout aussi hypocrite : à la question "Que vaut l'accusation d'islamophobie ?",Gouguenheim répond "Le terme n'est pas scientifique. Il a été forgé pour discréditer celui à qui on colle cette étiquette: l'islamophobe, saisi d'une peur irrationnelle devant tout ce qui est musulman, n'aurait pas toute sa raison, et serait habité par des arrières-pensées racistes. Comme si l'Islam était une race, et non une religion... Dès lors que l'accusation est lancée, il n'y a plus de débat possible. L'expression est donc une arme d'intimidation massive....".

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                La sortie de cet entretien est peut-être l'occasion de re-présenter une partie de la note consacrée au 1300ème anniversaire du Mont, dans laquelle, après avoir évoqué le monument lui-même, nous proposions une sorte de résumé de ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire Gouguenheim: voici donc la deuxième partie de la note Tout ce qui est Racines est bon : Le Mont Saint Michel fête ses 1.300 ans….. (dans la Catégorie Racines).       

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  • Au hasard des (re)lectures d'été: dédié à Julien Dray, de la part de Jacques Bainville

                Le lyncheur lynché n'en finit plus de se plaindre, et dénonce d'imaginaires complots, pour dissimuler la sordide réalité, qu'il persiste à nier.

                Relisant les Contes de La tasse de saxe, de Bainville, nous sommes retombés sur ce court dialogue. Ne va-t-il pas comme un gant au donneur de leçons, au moralisateur d'hier dont on voit bien qu'il est l'un des Tartuffe les plus aboutis - si l'on peut dire !... - de sa génération ?

                "Mes compliments, mon cher, votre philosophie fait des consciences souples et des idéalistes pratiques. Le parasitisme vous a mené loin. Savez-vous le nom que vous méritez ?"

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                Dur retour de manivelle pour le grand manipulateur d'hier; le grand lyncheur d'hier se dit victime de lynchage, aujourd'hui, mais n'est-ce pas, au fond, un juste retour des choses ? Nous avons tous été lynchés par lui et son arme diabolique et scélérate de SOS Racisme lorsque, à chaque fois que nous mettions en garde contre les méfaits de « leur » immigration, "on" nous traitait, entre autres, de nazis.

          

  • Le regard vide, extrait n° 4.

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    Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.  

     Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.

     C’est pourquoi nous publierons, ici, régulièrement, à compter d’aujourd’hui, et pendant un certain temps, différents extraits significatifs de cet ouvrage, dont, on l’aura compris, fût-ce pour le discuter, nous recommandons vivement la lecture. 

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  • A propos du Dernier Empereur...

                Nous avons déjà signalé la parution du dernier ouvrage de Jean Sévillia, présenté par Jean Raspail dans Le Figaro Magazine. Depuis, un intéressant entretien entre Jean-Marc Bastière et l'auteur du Dernier Empereur, intelligemment illustré, est paru dans Famille chrétienne du 12 septembre (n° 1652). Il nous a paru bon de le porter à la connaissance de nos lecteurs, et de revenir un peu sur ce qui motive la passion de Jean Sévillia pour cet Empire et pour celui, plein de bonnes intentions, qui en fut donc "Le dernier empereur".

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    356 pages, 22 euros

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