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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1192

  • Aveuglement et entêtement

    par Louis-Joseph Delanglade 

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    Alors même qu’il n’était pas encore signé par M. Macron et Mme Merkel, le traité d’Aix-la-Chapelle était dénoncé par « le camp souverainiste ».

    Comme d’habitude, les chroniqueurs de France Inter ont été parmi les premiers et les plus zélés défenseurs de M. Macron contre Mme Le Pen et M. Dupont-Aignan, parlant « d’exagérations et de fausses informations » (M. Haski, 21 janvier), voire de « délires » (M. Legrand, 23 janvier). Certes, ces chroniqueurs avaient raison de rappeler que ledit traité ne prévoyait ni la cession de l’Alsace-Lorraine à la Prusse ni le partage du siège de la France au Conseil de sécurité de l’Onu. En affirmant le contraire, Mme Le Pen et M. Dupont-Aignan ont donc donné du grain à moudre à leurs détracteurs et, peut-être, desservi leur cause, à moins que leur calcul politicien de procès en « trahison mondialiste » ne se révèle payant en cette période de campagne pré-électorale. 

    traite-elysee-1963-mae.pngOn peut bien sûr benoîtement penser que M. Macron est allé signer un traité bilatéral visant à renforcer une alliance équilibrée, c’est-à-dire une alliance où chacun des partenaires trouve son compte : ce faisant, il se serait inscrit dans la conception gaullienne de coopération entre nations souveraines, de Gaulle lui-même ayant signé avec Adenauer le fameux « traité de l’Elysée » (22 janvier 1963). Si l’on se donne la peine d’aller au fond des choses, on doit pourtant admettre que le traité d’Aix-la-Chapelle n’est pas si anodin que cela - on le prétendait même « symbolique » à l’Elysée. Derrière les mots se cachent des réalités. 

    Voici donc un traité qui vise explicitement à renforcer la convergence et l’harmonisation des économies française et allemande, d’abord de part et d’autre de la frontière, zone choisie pour l’application stricte de toutes les directives et réglementations édictées par la techno-structure bruxelloise, ce laboratoire géographique constituant le début d’un processus élargi. Ce traité, dans l’esprit de la philosophie transfrontalière qui le sous-tend, vise en fait la diminution et si possible à terme l’effacement des souverainetés nationales, conformément à une logique « impériale », très germanique (rappelée le 21 novembre par Mme Merkel elle-même) mais radicalement étrangère à notre Histoire. 

    l_allemagne-indice-zew-repli-octobre.jpgPosons donc les bonnes questions. Que pèsera, face au mastodonte allemand, une France industriellement exsangue dans une « zone économique franco-allemande dotée de règles communes » ? Comment Paris gardera-t-il la main sur des « eurodistricts » bénéficiant de compétences supranationales ? Est-il raisonnable d’envisager ne serait-ce que des fiançailles avec un pays à la balance commerciale duquel la monnaie commune rapporte bon an mal an près de deux cent cinquante milliards quand elle nous en coûte près de soixante-dix ? 

    Il est douteux que nous obtenions des réponses satisfaisantes. La démarche germanophile de M. Macron, fondée sur un dangereux cocktail d’aveuglement et d’entêtement euro-fédéralistes est plutôt suspecte ; elle justifie en tout cas les critiques dont elle est l’objet, même s’il vaut mieux se garder de toute outrance. ■

  • Les doléances royalistes dans le grand débat national. [Partie 1]

    Par Jean-Philippe Chauvin 

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    Depuis quelques semaines, les cahiers de doléances sont de retour, et cela nous rappelle aussi à notre propre histoire nationale et politique : le précédent de 1789 a ouvert la période révolutionnaire, dénaturant d'ailleurs rapidement le sens même des doléances rédigées dans les 60.000 cahiers issus de tous les coins et recoins du pays.

    Il est intéressant de noter que certains républicains pur jus s'inquiètent de ce « retour » d'une forme de consultation « pré-révolutionnaire », voire « contre-révolutionnaire » car ne s'inscrivant pas exactement dans le cadre de la démocratie représentative qui, parfois, porte si mal son nom !

    Cahier-Doleances.jpgEn fait, c'est la première fois depuis l'audacieuse demande du roi Louis XVI adressée aux « peuples du royaume », que l’État prend, à une telle échelle et sous cette forme ancienne, la responsabilité de demander à tous les Français, dans leur commune, leurs souhaits, leurs revendications, leurs propositions, au moment même où les colères, multiples et parfois incontrôlées, débordent et s'affirment en tumultes parfois incontrôlables. 230 ans que ce que l'on pourrait qualifier de « pays réel », entier et pluriel, n'a pas été ainsi appelé par « l’État légal » à prendre la parole... 

    Dans les cahiers de doléances finistériens et yvelinois étudiés par le quotidien Le Monde en son édition du dimanche 13-lundi 14 janvier 2019, et même si, à ce jour, la participation reste fort modeste et souvent œuvre de retraités, sans doute plus mobilisés par l'exercice du fait de la dévalorisation progressive des retraites, quelques revendications ressortent régulièrement, entre rétablissement de l'ISF (déjà repoussée par l'exécutif) et maintien, voire amélioration du pouvoir d'achat des gens modestes, entre suppression des avantages des anciens présidents de la République et mise en place du désormais célèbre Référendum d'Initiative Citoyenne, le RIC... Des revendications principalement matérielles avec une pointe de demande institutionnelle, comme pour rappeler que le « divorce » de plus en plus flagrant entre les classes dominantes « parisiennes » (au sens législatif du terme) et les classes dominées, souvent travailleuses et provinciales (sans méconnaître la part des populations franciliennes qui se sent aussi marginalisée au cœur même du système « parisien » mondialisé), mérite d'être évoqué et, surtout, surmonté. 

    Le grand débat national ne fait que commencer, et les cahiers de doléances n'en sont qu'un des aspects, mais que nous aurions tort de négliger ou de laisser à d'autres. Pourquoi bouder cette initiative, même si l'on peut légitimement être sceptique sur ses débouchés concrets et que l'on peut, même, s'inquiéter de certaines dérives liées aux effets de masse ou aux manipulations des groupes « féodaux », politiques comme syndicaux ? L'idée d'associer les maires à l'organisation du débat, ceux-là mêmes qui sont souvent les plus proches des préoccupations quotidiennes et qui forment, d'une certaine manière, « le pays réel des notables légaux » (mais sans grand pouvoir législatif, faute d'une décentralisation mieux ordonnée et plus poussée), est une bonne idée dont il faut souhaiter qu'elle ne soit pas le moyen de « court-circuiter » les citoyens actifs, ceux qui proposent et s'engagent dans les « discussions du concret ». 

    NVGeibGPd0bcIk8YdzNixp0Jfv0.jpgIl est des thèmes que les cahiers de doléances n'ont pas encore, semble-t-il, abordés et qui peuvent l'être en ces deux mois de débats et de rédactions, et que les royalistes auront à cœur d'évoquer : sur les questions régionales, par exemple, la nécessité d'un nouveau découpage territorial qui prenne aussi en compte les particularités historiques, comme en Alsace ou en Bretagne, avec le rattachement souhaitable de la Loire-Atlantique à la région administrative bretonne ; sur les questions d'aménagement du territoire avec un véritable « redéploiement rural » qui permette de redonner vie et vitalité à nos villages, et les nouvelles techniques de communication peuvent favoriser, par le télétravail par exemple, cette nécessaire politique ; sur les questions environnementales avec une meilleure prise en compte des intérêts locaux pour la préservation des paysages, ce qui éviterait bien des conflits et des blocages, comme on l'a vu jadis à Notre-Dame-des-Landes, dont la population a longtemps été tenue à l'écart des décisions prises « d'en haut » quand elles concernaient aussi les gens « d'en bas » ; sur les questions économiques, avec un soutien, étatique comme régional, plus actif au « Produire français » et un meilleur contrôle des pratiques de la grande Distribution ; sur les questions agricoles, avec le soutien aux agriculteurs qui veulent se dégager du productivisme et des jeux mortifères d'un Marché qui ne favorise plus que les « gros » quand il faut permettre à tous de vivre du travail de la terre et de la ferme ; sur les questions patrimoniales, avec une politique de rénovation et de valorisation à grande échelle de ce qui fait la richesse de notre pays en tous ses territoires, et pour lesquelles Stéphane Bern et tant d'autres ne cessent de se mobiliser malgré les petites manœuvres de Bercy ; sur les questions scolaires, avec la nécessité d'une plus grande autonomie de fonctionnement des établissements, de la maternelle à l'université, dans le cadre de la commune et de la région plutôt que dans celui de l’État qui ne doit jouer qu'un rôle d'arbitre et, éventuellement, d'investisseur (ou de facilitateur) pour certaines branches de la Formation des intelligences françaises... 

    Ne laissons pas à d'autres le monopole du débat et sachons, en tant que royalistes politiques et enracinés, soucieux du Bien commun et des libertés françaises, saisir l'occasion qui nous est donnée de faire entendre des idées que nous ne cessons de défendre depuis des décennies, non pour le plaisir mais pour le bien de la France, de ses territoires comme de ses habitants... ■ 

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     Le blog de Jean-Philippe Chauvin

  • Une station locale de Radio France incendiée : condamner les violences ? Oui, bien sûr ! Mais...

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    La station locale de Radio France Bleu Isère a été incendiée et totalement détruite, dans la nuit de dimanche à lundi...∗

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  • Culture • Loisirs • Traditions

    Ce visuel est destiné à marquer l'unité des articles du samedi et du dimanche, publiés à la suite ; articles surtout culturels, historiques, littéraires ou de société. On dirait, aujourd'hui, métapolitiques. Ce qui ne signifie pas qu’ils aient une moindre importance.  LFAR

  • Histoire & Mémoire • C'étaient les Camelots du Roi, à Marseille sur la Canebière dans les années 1930 [2]

     L'Action Française sur La Canebière, Marseille, 193.

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgL'un des participants à la conférence-débat avec André Bercoff du 21 janvier dernier à Marseille, lui-même Camelot du Roi*, nous a remis la photographie en en-tête. Il s'agit d'un défilé d'Action Française d'avant-guerre (seconde moitié des années 1930). C'est un document d'archive. Il est bon que nous gardions nos traditions, que nous nous souvenions de quelle histoire nous sommes les héritiers et les continuateurs ; et que les jeunes qui nous rejoignent le sachent eux aussi !  

    IMG - Copie (2).jpgLes Camelots du Roi défilent en tête sur la célébrissime Canebière non encore envahie et défigurée par l'Afrique. Les premiers sont venus avec leur bicyclette. Si l'on y regarde de plus près, on remarque que tous portent à la boutonnière de leur veston l'insigne des Camelots du Roi. Celui-là même que, pour certains d'entre nous, nous portons aussi aujourd'hui encore et que nous remettons au fil du temps à des jeunes qui ont fait la preuve de leur engagement à l'Action Française, de leur disponibilité, et de cette libre discipline que nous acceptons tous comme condition d'efficacité.

    Le Camelot en tête du cortège est Georges Boulon, lui-même fils de Marcel Boulon, lui aussi Camelot du Roi - des toutes premières générations. Ainsi va la fidélité à l'Action Française. Quelques-uns d'entre nous ont connu les deux hommes. Marcel Boulon, déjà âgé et son fils Georges, notre aîné. Mais, par surcroît, leur petit-fils et fils, Yves Boulon, Camelot de troisième génération, était présent à la soirée Bercoff où cette photo nous a été remise. Il y a reconnu son père ... La fidélité et la transmission sont elles aussi des valeurs fondatrices qu'il faudra bien réapprendre ! 

    Autres photos déjà publiées sur Lafautearousseau ... Regroupées ici

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    Les plus anciens reconnaîtront au premier plan à droite de la photo ci-dessus, Jean Lavoëgie, qui fut l'avant-dernier chef des Camelots du Roi de Provence. Il a été après guerre (1960-1990), Secrétaire Général de l'Union Royaliste Provençale, la fédération régionale de l'Action Française. Pierre Chauvet, qui fut, avant-guerre, le dernier Chef des Camelots du Roi de Provence, fut, après-guerre, président de la même Union Royaliste Provençale. 

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    À remarquer que les Camelots du Roi des années trente, défilaient en ordre, correctement habillés, souvent chapeautés, y compris les plus jeunes, quoique toutes les classes sociales y fussent mêlées. Nous ajouterons qu'ils défilaient en silence, sans cris ni folklore ni agressivité quelconque. C'étaient des gens sérieux, portés par l'amour de la France.  LFAR  

    *Merci à Didier Arnoux 

    Voir aussi dans Lafautearousseau ...

    Histoire • Action Française : Les royalistes sur la Canebière
    Histoire • Action Française : Les affrontements des années 30 à Marseille
  • Patrimoine cinématographique • Beaumarchais, l’insolent

    Par Pierre Builly

    Beaumarchais, l'insolent d'Édouard Molinaro (1996)

    20525593_1529036520490493_4184281983923317414_n.jpgLa vie en tourbillon

    Quelquefois le culot paye et le public suit.

    À moins de considérer que ce qui fut possible en 1996 ne serait pas concevable aujourd'hui, où les progrès de la massification, de l'inculture et des blockbusters ne permettraient pas de parier un kopeck sur le succès au Box-Office d'un film français intelligent, brillant, consacré à un auteur qu'on ne joue plus guère et à une période historique peu connue. 

    En tout cas Édouard Molinaro, en adaptant avec Jean-Claude Brisville (auteur, puis cinéaste du remarquable Souper) une pièce de 1950 de Sacha Guitry, a eu la main singulièrement heureuse et a donné à Fabrice Luchini ce qui est sans doute, à ce jour, son meilleur rôle de premier plan au cinéma. 

    Là une parenthèse : comment ne pas se désoler qu'un acteur aussi immense, de l'importance d'un Jouvet ou d'un Raimu, qui peut tenir des salles entières sous le charme en lisant une fable de La Fontaine, une page de Louis-Ferdinand Céline, un extrait du philosophe réactionnaire Philippe Muray, n’ait pas trouvé un rôle à sa mesure, comment ne pas se désoler qu'aucun grand réalisateur n'ait pu l'employer pour un film majeur ? Qu'est-ce qu'on mettrait en exergue si, par malheur, il disparaissait demain ? La discrète de Christian Vincent, Confidences trop intimes de Patrice Leconte, Alceste à bicyclette de Philippe Le Guay... quelques bons films paisibles ; et puis des apparitions ici et là, souvent brillantes, chez Éric Rohmer ou François Ozon... Rien qui marque durablement. 

    Mais qu'il est bon dans Beaumarchais, un rôle fait pour lui, tout de légèreté, de brio, d'élégance, de désinvolture, de talent... Peut-être parce que, finalement, comme son personnage il privilégie la qualité de sa vie à la qualité de son œuvre... 

    17807.jpgLe film reprend avec une grande fidélité les péripéties dignes d'un roman feuilleton de la vie de Pierre Caron de Beaumarchais entre 1773 et 1780, marquées par le succès des deux pièces qui l'ont immortalisé (Le barbier de Séville et Le mariage de Figaro) et donc ses démêlés avec les Parlements et les financiers (il était néanmoins lui-même à la tête d'une fortune considérable), mais aussi par ses activités d'agent secret au service de la Couronne, son action en faveur des Insurgents d'Amérique et par la faveur des Rois, Louis XV puis Louis XVI, agacés devant un esprit aussi rétif mais admiratifs de son énergie et de son inventivité. Je m'étonne et me réjouis qu'un récit historique qui exige un minimum de connaissances sur cette période complexe des dernières années d'Ancien Régime ait pu remporter un grand succès public, mais je ne suis pas certain que tout le monde ait bien compris la subtilité de plusieurs passages. 

    En tout cas Molinaro, qui a disposé de moyens techniques et financiers importants (voir l'intéressant making off du bonus) a filmé cela avec esprit et dans l'esprit de Guitry : on s'amuse d'ailleurs beaucoup de voir, au fil des séquences, comme chez le Maître, dans ses grandes machines historiques (Si Versailles etc.), surgir des visages d'acteurs connus venir jouer  des rôles de quelques lignes et c'est un bonheur que de les reconnaître au passage (Michel Serrault en Louis XV, mais aussi Jean-Claude Brialy, Jean Yanne, Guy Marchand, François Morel, José Garcia et bien d'autres...) 

    Trav9.jpgEt mention spéciale pour le choix des demoiselles : Claire Nebout prête sa beauté androgyne au Chevalier d'Éon (on ne saurait faire meilleur choix), Isabelle Carré, Florence Thomassin sont de ravissantes soubrettes de théâtre, Sandrine Kiberlain interprète la troisième (et dernière) épouse de l'auteur avec le grand talent qu'on lui connaît. 

    Et Fabrice Luchini, donc, impeccable, rieur, allègre, spirituel. Le monde danse sur un volcan et, depuis que les Parlements, les Jansénistes, la haute noblesse et les Gallicans, coalition improbable et suicidaire, ont eu la peau de la réforme Maupeou, rien ne peut empêcher l'Ancien Régime de courir à sa perte. Il n'est pas certain que Beaumarchais s'en réjouisse, loin de là ; mais que peut-il devant l'aveuglement ?  

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    DVD autour de 5 € .

    Retrouvez l'ensemble des chroniques hebdomadaires de Pierre Builly sur notre patrimoine cinématographique, publiées en principe le dimanche, dans notre catégorie Culture et Civilisation.
  • LOUIS XVI 2019 ! Annonces ... Être présent ! [Dernier jour]

     

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    Nous publierons ici chaque jour - jusqu'au 27 janvier - la liste des messes, cérémonies, conférences et manifestations qui nous seront signalées, liste toujours très longue, mise à jour au fur et à mesure que nous en aurons connaissance.

    Par souci d'exactitude, nous n'y intégrons que les annonces complètes avec heure et localisation exacte.

    Les organisateurs peuvent d'ores et déjà nous informer. 
    Courriel : lafautearousseau@outlook.fr  

    3142979974.jpgAnnonces 

    VENDREDI 18 JANVIER

     Épinal : 18h30, Église Saint Antoine, 12, rue Armand Colle.   

    SAMEDI 19 JANVIER

    Lyon : 10h30, Sanctuaire Saint- Bonaventure, 7 Place des Cordeliers (2ème). 

    ■ Toulouse : 10h30, Chapelle Saint-Jean-Baptiste, 7 rue Antonin Mercié. Métro Capitole ou Esquirol ou Parking Esquirol. Messe de requiem célébrée par le chanoine Thibaut d'Aviau de Ternay.  

    ■ Lanvallay (Côtes d'Armor) : 11h, Chapelle du Sacré-Coeur, Prieuré Sainte-Anne.

    ■ Vion, La Chapelle du Chêne (Sarthe) : 12h15, Messe en la Basilique Notre-Dame du Chème, suivie d'un déjeuner-débat avec Guillaume de Thieulloy. Renseignements : 06.64.91.52.45 - 02.43.98.43.44 - 09.86.25.43..27.

    ■ Amiens : 18h30, Chapelle Saint Vincent de Paul, 54 ter rue Jules Barni.

    ■ Équemauville (Calvados): 10h, Eglise Saint Pierre. .

    ■ Fontaine-les-Dijon (Côte d'Or) : 17h, Basilique de la Maison natale de Saint Bernard, Place des Feuillants.  

    ■ Coligny (Ain) : 10h30 Église Saint-Martin.

    ■ Montélimar : 17h30, Chapelle Notre-Dame de la Rose, 36 Avenue Saint-Martin.

    ■ Le Val (Var) : 11h Collégiale Notre-Dame-de-l’Assomption.  

    DIMANCHE 20 JANVIER

    ■ Paris

    → 10h30, Chapelle Expiatoire, Square Louis XVI, 62 rue d'Anjou (8ème).

    → 17h15 : Marche aux Flambeaux. Rendez-vous à l'Eglise Saint-Roch. L'abbé Thierry Laurent recevra les participants dans l'église pour une allocution d'introduction puis les accompagnera jusqu'à la Chapelle Expiatoire.

    ■  Biarritz : 10h, Église Saint-Martin, 4 Rue Saint-Martin.

    ■ Quimper : 10h30, Église Saint Mathieu, rue du Chapeau rouge.

    ■ Villejuif : 10h30, 24 rue Leon Moussinac.

    ■ Montargis : 10h Chapelle du Château. 

    ■ Aix-en Provence : 10h, Chapelle des Pénitents gris, dits Bourras, 15 rue Lieutaud.

    ■ Calais : 8H45, Chapelle Sainte Victoire, Hames Boucres (Près de Guines)

    ■ Bayonne : 10h30, Église Saint Amand, 52 Avenue Maréchal Soult.

    ■ Reims : 10h30, Église Sainte Jeanne d'Arc rue de Verdun

    ■ Limoges : 10H45, Chapelle Saint-Antoine, rue des Papillons.

    ■ Plouay (Morbihan) : 10h30, Chapelle expiatoire, 6 rue du Haras.

    ■ Belloy-en-France : 11h, Église paroissiale.

    Nantes : 12h15, dépôt de gerbes et lecture du testament du Roi, place Louis XVI, au pied de la colonne.

    ■ Tonnay (Charente maritime) : 10h30, Église Saint Etienne. 

    LUNDI 21 JANVIER

     Paris

    → 10h, Rassemblement Place de la Concorde, devant la statue de Rouen, côté Hôtel Crillon, Ambassade des Etats-Unis. 

    → 12h, Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des Rois de France, Messe célébrée à la demande du Cercle de l’Oeillet Blanc pour le repos de l’âme du roi Louis XVI, en présence des Princes de la Maison de France. 

    → 18h30, Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins (5ème). Métro Maubert-Mutualité ligne 10.

    → 19h, Eglise Saint Eugène - Sainte Cécile, 4 Rue du Conservatoire (9ème).

     Marseille 

    19h, Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado. La Messe, dite à la demande de l'Union Royaliste Provençale (Action Française) et du Souvenir Bourbonien, sera célébrée par Mgr. Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique. L'homélie sera donnée par le père Antoine Deveaux. Une soirée conférence-débat suivra avec André Bercoff, invité exceptionnel 2019.

    ■ Lyon : 18h30, Église St Georges, quai Fulchiron. 

    ■ Toulouse : 18h30, Chapelle du Férétra, 116 Rue du Férétra.  

    ■ Toulon : 18h30, Église Saint François de Paule, Place Louis Blanc. 

    ■ Novéant-sur-Moselle : 18h30, Église de Novéant.

    ■ Montpellier : 18h, Chapelle des Pénitents bleus, rue des Étuves (06 81 72 31 11).

    ■ Grenoble : 18h, Collégiale Saint André, ancienne Chapelle Royale, place Saint André.

    ■ Bayonne : 18h30, Église Saint Amand, 52 Avenue Maréchal Soult.

    ■ Biarritz : 18h, Église Saint Joseph, 9 Avenue Victor Hugo. 

    ■ Poitiers : 18h30, Église Notre Dame la Grande.

    ​​■ Chandai (Orne) : 10h30, Monastère Syro-Orthodoxe Notre-Dame de Miséricorde. 

    ​​ Béziers : 19h, Chapelle des Pénitents bleus, 4 rue du 4 septembre.

    ​​​■ Montauban : 18h, Église Saint -Jacques. 

    ​​​■ Tulle : 18h30, Cathédrale Notre-Dame. Messe à la mémoire du Roi Louis XVI et de sa famille. Seront associées à cette prière toutes les victimes de la barbarie humaine. 

    ​​​■ ​Fontainebleau : 19h. messe pour Louis XVI en l'église du Carmel 16 bis rue du Maréchal Foch. (Et le 26 janvier, à 14h30, Galette des rois à l'hôtel de l'aigle Noir, Place du Général de Gaulle).

    ■ Carcassonne : 11h, Basilique des saints Nazaire et Celse.

    ■ Vannes : 18h30, Église Saint-Patern.

    ■ Brest : 18h30, Chapelle sainte Anne, 43 rue Bruat.   

    ■ Chambéry : 19h, Cathédrale, place Métropole. 

    ■ Sées (Orne) : 18h30, Chapelle de l'Institut Croix des Vents, 55 rue d'Argentré.

     Perpignan

    → 18h30, Église Saint-Mathieu, Rue Grande la Monnaie.

    → 18h30, Prieuré du Christ-Roi, 113 avenue Joffre.

    ■ Tarbes : 18h30, Maison Saint-Paul 51 Rue de Traynes.

    ■ Nantes

    → 18h30, Chapelle du Christ-Roi, 88 rue d’Allonville.

    → 20h, Église Saint Clément.

    ■ Bordeaux

    → 19h, Église Saint-Bruno, 5 Place du 11 Novembre.

    ​→ 18h30, Grosse Cloche, rue Saint-James.

    ■ Caen : 18h45, Église Saint-Sauveur, place Pierre Bouchard.

     Unieux (Loire) : 16h30, 31 rue Holtzer.

    ​■ Chartres : 19h30, Eglise Saint Aignan. 

    ​■ Mérigny (Indre) : 11h, Chapelle de la Transfiguration, au lieu-dit « Le Bois ».

    ÉTRANGER

    ALLEMAGNE

     Sarrelouis : 18h30, Eglise Saint Pierre Canisius, Stifstrasse 18, Saarlouis.  

    BELGIQUE

    Bruxelles : 19h, Église du Couvent Sainte Anne Watermael-Boitsfort, Avenue Léopold Wiener 26B.  

     Tournai : 11h, Cathédrale Notre-Dame.

    MONACO

     18h30, Église du Sacré-Coeur, 14 chemin de La Turbie.

    SAMEDI 26 JANVIER

    ■ Versailles : 19h, Chapelle Royale du Château de Versailles. Requiem de Cherubini, à la mémoire de Louis XVI. 

    ■ Nîmes : 11h, Église Saint Baudile,

    ■ Caumont-sur-Durance : 18h30, Eglise Saint Symphorien.

     Strasbourg :  16h, Cathédrale Notre-Dame, Messe dite à la demande du Cercle Merry del Val et du Cercle Saint Louis d’Alsace. Elle sera célébrée par M. l’Abbé Frédéric Martin, en la Chapelle Saint Laurent, avec la participation de la Psalette grégorienne de Strasbourg. 

    DIMANCHE 27 JANVIER

     Nancy : 10h30, Église Marie-Immaculée, 33 Avenue du Général Leclerc. A partir de 12h30, Fête des Rois de l'USRL et de La Lorraine Royaliste : repas à l'Auberge de Maître Marcel, angle route de Martinvaux et Maron-Chaligny (Renseignements : lalorraineroyaliste@yahoo.fr ou 06 65 64 73 17). 

    ■ Autun (Bourgogne) : 11h, Chapelle du Saint-Sacrement

    Sur le sens à donner à ces activités, lire : 

    LOUIS XVI 2019 ! Mémoire et acte politique fort : marquer le début de notre décadence

  • Culture • Loisirs • Traditions

    Ce visuel est destiné à marquer l'unité des articles du samedi et du dimanche, publiés à la suite ; articles surtout culturels, historiques, littéraires ou de société. On dirait, aujourd'hui, métapolitiques. Ce qui ne signifie pas qu’ils aient une moindre importance.  LFAR

  • Monarchie • Hilaire de Crémiers au Figaro : « Le fils du comte de Paris saura répondre à ses devoirs »

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    Hilaire de Crémiers, fondateur de la revue Politique Magazine, décrypte l’héritage et l’avenir des monarchistes en France, après le décès du comte de Paris.  

    Malgré son format rectiligne, cette vidéo peut être regardée en plein écran. Cliquez ! Activez le son, s'il y a lieu. 

     

    7'42"" - Publiée le 23/01/2019

  • Société • Fin du corps sexué, fin de l’histoire

    par Gérard Leclerc

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    Il y a de quoi se battre !

    Il est des sujets qu’il convient de ne pas mettre sur la sellette.

    Ainsi va un certain progressisme qui prétend décider de ce qui est moderne ou pas et s’oppose à toute discussion sérieuse de ce qu’elle tient pour définitivement acquis. D’où la surprise, voire la stupéfaction, lorsque parmi les vœux de l’opinion arrive en tête la remise en cause du mariage dit pour tous. C’est une sorte de sacrilège, car il n’est pas vrai que le sacrilège ait disparu aujourd’hui, il a simplement changé d’objet avec les déplacements de la sacralité. Il en va aussi de l’avortement qui constitue un droit absolu que ne saurait relativiser aucune requête de la conscience. Impossible de remettre en cause la notion de gender, dont Le Monde nous assurait sérieusement encore la semaine dernière qu’il ne constitue en rien une théorie philosophique, n’étant qu’un simple dispositif de recherche en sciences humaines.

    Toute objection à ces dogmes progressistes est considérée comme réactionnaire ou ultra-conservatrice, les mots employés étant autant d’armes d’intimidation pour faire taire les récalcitrants, car il s’agit bien d’une guerre, une guerre de l’esprit, dont, je le répète, les enjeux sont d’une rare gravité. Une révolution anthropologique est en cours, dont les médias ne nous montrent que quelques effets de surface. Les choses prennent une autre dimension lorsqu’on s’intéresse aux chercheurs de pointe qui vont jusqu’au bout de cette révolution. Et ces chercheurs sont en mesure d’exercer une pression intellectuelle qui change les mentalités courantes et dispose les sociétés à accepter ce qu’elles n’auraient jamais accepté autrefois. C’est d’une certaine façon la revanche des totalitarismes vaincus d’hier, qui ont inoculé durablement à la postérité l’usage de la transgression.

    Pour lutter contre cette déshumanisation dont Gunther Anders disait qu’elle était la conséquence de l’idée d’obsolescence de l’homme, il faut du courage, de la détermination. Heureusement, Anders et d’autres prophètes, tel un Philippe Muray, nous ont avertis à l’égard « d’une humanité techniquement réformée, réanimalisée, déshominisée… Fin du corps sexué. Fin de l’histoire. Fin de la distinction entre animal et humain. » Il y a de quoi se battre !  ■ 

    Gérard Leclerc
    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 22 janvier 2019.
  • Cinéma • Chantons sous la pluie

    Par Guilhem de Tarlé 

    Art et essai : Chantons sous la pluie, un film américain de 1952, de Gene Kelly et Stanley Donon, avec Gene Kelly (Don Locwood), Jean Hagen (Lina Lamont), Debbie Reynols (Kathy Selden), Donald O’Connor (Cosmo Brown). 

    GT Champagne !.JPG

    Chantons sous la pluie.

    Non, il ne pleuvait pas, mais après un Noël radieux, sous un ciel digne de Marie, le temps était couvert en ce 26 décembre à La Ciotat, triste sans doute de ce lendemain de fête ou chacun se sépare pour (re)gagner sa vraie vie.

    Faisons néanmoins contre mauvaise fortune bon cœur et continuons de chanter, en ce temps de Noël, la gloire de Dieu, l'amour d'une femme, la joie de ces réunions familiales et, malgré Macron, le goût de vivre.

    Chantons avec Mistral :

    Mistral-Fr-d-ric.jpg

    « Alègre ! alègre,
    Diéu nous alègre !
    E nous fague la gràci de vèire l'an que vèn,
    E se noun sian pas mai, que noun fuguen pas mens ! »

    Singin'_in_the_Rain_trailer_3.jpgChantons (donc) sous la pluie et éblouissons nous de ces danses, de ces claquettes et de ces cascades qui n'ont rien à envier aux effets spéciaux de notre époque.

    Une comédie musicale saine et amusante où il ne faut pas hésiter à emmener nos adolescents.   

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.

  • Eh oui ! Emmanuel Macron, le Roi manque ! Il manque toujours !

     

    Entretien paru le 8 juillet 2015 dans l'hebdomadaire Le 1

  • SITUATION EXPLOSIVE DE LA FRANCE ET DU MONDE par ANDRÉ BERCOFF. Conférence et débat

     

    Conférence et débat tenus à Marseille le 21 janvier 2019

    Durée : 1 heure 17 minutes.  

    Conférence André Bercoff 21.01.2019 - URP sur Vimeo.

  • Obsèques de Monseigneur le Comte de Paris : Communiqué du Chef de la Maison de France

    La chapelle royale Saint-Louis de Dreux

    Communiqué du Chef de la Maison de France, Monseigneur le duc de Vendôme.

    jean-iv-de-france.jpg« Les obsèques de Monseigneur le comte de Paris seront célébrées le samedi 2 février 2019 à 15 heures, en la chapelle royale Saint-Louis de Dreux. 

    Une chapelle ardente sera ouverte à la chapelle royale, du mercredi 30 janvier au vendredi 1er février de 13 heures à 17 heures. »   

    Le site officiel du Prince Jean de France

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