UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Idées, débats... - Page 339

  • Aux Mercredis de la NAR : #61- Françoise GERMAIN-ROBIN pour le livre “Congo. Mémoires à vif ” de Luc BEYER de RYKE.

    Mercredi 4 décembre, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Françoise GERMAIN-ROBIN pour le livre “Congo. Mémoires à vif ” de Luc Beyer de Ryke. Lorsqu’il venait participer à nos discussions et partager nos repas du mercredi soir, Luc BEYER DE RYKE, éminent journaliste de la RTBF, évoquait souvent le livre qu’il était en train de préparer sur le Congo belge. Survenue brutalement le 18 janvier 2018 au retour de notre réunion de la rue Sibuet, la mort ne lui laissa pas le temps de terminer son livre. Sa compagne Françoise GERMAIN-ROBIN, qui fut grand reporter à « L’Humanité », a repris et terminé une œuvre qui était déjà commune, aujourd’hui publiée aux éditions Mols. “Congo. Mémoires à vif”, tel est le titre d’un livre où se trouvent recueillis maints témoignages et réflexions de ceux qui ont vécu une histoire qui fait l’objet de polémiques en Belgique et en Afrique. Quel fut le rôle exact de Léopold II ? Le gouvernement belge eut-il raison d’accepter en 1908 cet immense territoire offert par le roi ? Quel fut le rôle de la Belgique dans la décolonisation ratée de 1960 et comment apprécier le rôle de Patrice Lumumba ? Toute ces questions nous renvoient à l’histoire générale de la colonisation et de la décolonisation, toujours vivement débattue en Belgique comme en France.


  • Une vidéo relayée par le centre Lesdiguières : Le complot de la bêtise diplômée.

    http://incisif.hautetfort.com/archive/2020/04/13/les-premiers-de-la-classe-derniers-dans-la-crise-6229690.html

    Carl Von Clausewitz disait : "La première victime de la guerre est la vérité".. Cette phrase sonne plutôt juste au vu du contexte actuel, une nouvelle fois je vous propose une petite analyse de la situation et une mise en perspectives historique.

  • Le sens de Pâques 2020 !, par Christian Vanneste.

    Pâques est la plus importante des fêtes chrétiennes parce qu’elle révèle le message essentiel du christianisme. C’est la commémoration de la mort et de la résurrection du Christ. Dans cet événement se condense l’identité de la religion chrétienne. Celle-ci ne réside pas en la croyance en un au-delà, ni même dans la foi en un Dieu unique, ni dans un dieu qui meurt et renaît. Bien d’autres religions dans l’Histoire ont professé des dogmes semblables ou les véhiculent encore. Il est parfois tentant de les réunir ou de les rapprocher. Les Musulmans évoquent les religions du Livre pour apparenter celles qui se réfèrent à la Bible, le judaïsme, le christianisme et l’islam afin de prétendre que la dernière arrivée, la leur, possède la vérité définitive.

    Lire la suite

  • Santé et environnement, par Frédéric Poretti-Winkler.

    Un peuple drogué…
    Ecoutons Konrad Lorenz : « Dans la pensée occidentale, il est devenu courant de considérer comme étranger au monde des valeurs tout ce qui peut être expliqué par les lois de la nature. Être scientifiquement explicable équivaut à une dévalorisation ».
    Quel est l'impact réel de surconsommation de médicaments ?

    De nombreuses études tendent à prouver que l'utilisation élevée de calmants, dont la France est le 4ème consommateur mondial, rend les Français drogués, c'est-à-dire dépendants d'un certain nombre de substances pas forcément très naturelles. L'accoutumance et l'habitude, voir le phénomène de mode dans la prise régulière de certains traitements finit par transformer petit à petit la population en un monde de « zombies ». Quant à l'élevage agricole, des poissons aux bovins, celui-ci est aujourd'hui traité aux antibiotiques à grosses doses, au risque de provoquer des effets secondaires indésirables. Inutile de sortir des grandes écoles pour savoir que ces traitements se retrouvent dans nos assiettes et qu'ils sont ingérés pour être après retrouvés dans nos organismes.

    Lire la suite

  • La France des ploucs, par Aristide Renou.

    La France des ploucs, ceux qui roulent au diesel et qui fument des clopes. Heureusement que la France de ceux qui envoient des vidéos de leur quéquette à leur maîtresse est là pour prendre leur destin en main (sinon, où irait-on?)

    "Cette violence de la mondialisation sous parapluie européen, du reste, est une donnée qui n’est pas appréhendée par les élites françaises. Pour elles, l’ouverture des frontières européennes, la libéralisation des échanges, la fin des monopoles, la banalisation de la langue anglaise, l’avènement de l’euro, l’arrivée de la main-d’œuvre immigrée à bas coût, le règne d’un droit abstrait et impersonnel, l’envolée des prix de l’immobilier des métropoles (là où elles possèdent leurs biens), la transformation brutale des modes de vie, tout cela est perçu comme autant d’opportunités nouvelles.

    Lire la suite

  • Sur le blog de Michel Onfray : le Président de la République, qu’est-ce qu’un chef? (2)*.

    Venant de la banque, du libéralisme et de la haute fonction publique, personne n’a obligé Emmanuel Macron, huitième président de la V° République, à se réclamer du général de Gaulle, qui n’aimait ni la banque, ni le libéralisme, ni la haute fonction publique -qui le lui ont d’ailleurs bien rendu…

    De la même manière, annoncer une présidence jupitérienne, avec une parole rare, ne relevait d’aucune autre obligation chez lui que de pure et simple communication électoraliste. Dans l’image officielle qu’il se fait et veut donner de lui, il choisit de poser négligemment son fessier sur le bord d’un bureau et de placer bien en vue trois volumes de la prestigieuse collection des éditions Gallimard: la Pléiade. On sait depuis que, dans ces trois volumes savamment choisis et mis en scène par son service communication, on trouve les Mémoires du général de Gaulle.

    Lire la suite

  • Ces princes qui auraient dû être rois, par Jacques Trémolet de Villers.

    1.jpgJeune et brillant historien, Thibault Gandouly nous avait déjà donné une très intéressante biographie de Paul de Cassagnac, l’enfant terrible du bonapartisme.

    Nous retrouvons ce journaliste intrépide et intelligent dans un second ouvrage, Philippe d’Orléans, comte de Paris 1838-1894.

    Lire la suite

  • La politique est un art et pas une science, par Aristide Renou.

    L’heure est à louer les personnels médicaux, et c’est parfaitement compréhensible. C’est grâce à l’abnégation de beaucoup d’entre eux, envoyés au « front » de ce qui est parait-il une « guerre » pratiquement sans armes ni protection adéquate que nos hôpitaux continuent à fonctionner et que des malades sont sauvés tous les jours. Ils ont droit à notre gratitude.

    Mais, oserais-je l’avouer ? Je suis inquiet de la place prise par les médecins dans le débat politique, ou dans ce qui devrait être un débat politique mais qui l’est de moins en moins.

    Lire la suite

  • Quand s'élève la parole royale..., par Jean-Philippe Chauvin.

    2737274333.65.jpgEn un soir de confinement, Elisabeth II, la reine d’Angleterre, souveraine du Royaume-Uni et du Commonwealth, a prononcé un discours qui, par sa simplicité et sa brièveté, a porté au-delà des frontières mêmes du pays sur lequel elle règne sans politiquement gouverner. Evidemment, certains n’ont pu s’empêcher de comparer sa courte intervention télévisée avec celles, plus longues, plus dramatisantes et moins consensuelles de l’actuel locataire du palais de l’Elysée ; les mêmes ont pu évoquer les différences de réactions à l’égard des deux chefs d’Etat, plus crispées et souvent agressives envers le président français quand elles semblaient pour la plupart plus bienveillantes, voire admiratives, envers la monarque d’un pays dont les Malouins chantent encore le rejet à la façon du mot de Cambronne…

    Lire la suite

  • Dictature de santé publique, par Frederic Rouvillois.

    https://www.fondation-du-pont-neuf.fr/

    « Le temps est venu » écrit Michel Chevalier le 9 avril 1832, au début de l’épidémie de choléra qui va frapper Paris de plein fouet, « où les peuples doivent, sous peine d’une mort hideuse, soigner leur corps à l’égal de leur esprit ; où la sollicitude des gouvernements doit embrasser aussi bien le développement matériel de la race humaine que son développement rationnel, et s’occuper autant (…) de leur chair (…) sous toutes les formes, qu’il s’occupe ou qu’il est censé s’occuper de leur intelligence[1] ».

    Lire la suite

  • Du big-bang au matin de Pâques (11), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le onzième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

    Lire la suite

  • La technocrature, maladie sénile de la démocratie La technocrature, maladie sénile de la démocratie, par Germain Philippe.

    Oligarchie-Nomenklatura-Pays légal

    En 2017 la «  technocrature  » à pris le pouvoir politique pour sauver le Système disqualifié par l’élite politique. La pertinente dénonciation de ce coup de force technocratique a  été réalisée par l’ultra-gauche mais dans l’approche complotiste des «  gros contre les petits  ». S’étant également intéressé au schéma explicatif proposé par le populisme, les maurrassiens préfèrent pourtant analyser la technocrature comme un phénomène de physique sociale au travers la distinction Pays légal/pays réel.

    Lire la suite

  • Sur TV Libertés, Jésus Christ cet inconnu.

    Eglise universelle : Appel à la prière en la fête de Notre-Dame de Guadaloupe
    Jeanne Smits, journaliste, a pris l'initiative d'une prière de réparation, en la fête de Notre-Dame de Guadalupe le 12 décembre, pour les cérémonies idolâtres célébrées au Vatican, à l'occasion du synode sur l'Amazonie en l'honneur de la Pachamama. Cette initiative est soutenue par le cardinal Burke qui nous fait également l'honneur d'intervenir dans cette émission.

    Lire la suite

  • Sur TV Libertés, quand les hommes se prennent pour Dieu - Jacques Arnould.

    Le transhumanisme fascine autant qu'il inquiète. L'idéologie qui en découle interroge les fondements mêmes de notre humanité et bouleverse les notions de sacré, de divin et nos manières d'en parler à travers les religions et les théologies. Jacques Arnould, ingénieur agronome, chargé des questions éthiques au Centre national d'études spatiales (CNES), nous présente son dernier ouvrage "Quand les hommes se prennent pour Dieu". Un essai au style enlevé et pétillant qui questionne la tradition théologique chrétienne, au regard des prétentions transhumanistes.