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Idées, débats... - Page 340

  • La technocrature, maladie sénile de la démocratie La technocrature, maladie sénile de la démocratie, par Germain Philippe.

    Oligarchie-Nomenklatura-Pays légal

    En 2017 la «  technocrature  » à pris le pouvoir politique pour sauver le Système disqualifié par l’élite politique. La pertinente dénonciation de ce coup de force technocratique a  été réalisée par l’ultra-gauche mais dans l’approche complotiste des «  gros contre les petits  ». S’étant également intéressé au schéma explicatif proposé par le populisme, les maurrassiens préfèrent pourtant analyser la technocrature comme un phénomène de physique sociale au travers la distinction Pays légal/pays réel.

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  • Sur TV Libertés, Jésus Christ cet inconnu.

    Eglise universelle : Appel à la prière en la fête de Notre-Dame de Guadaloupe
    Jeanne Smits, journaliste, a pris l'initiative d'une prière de réparation, en la fête de Notre-Dame de Guadalupe le 12 décembre, pour les cérémonies idolâtres célébrées au Vatican, à l'occasion du synode sur l'Amazonie en l'honneur de la Pachamama. Cette initiative est soutenue par le cardinal Burke qui nous fait également l'honneur d'intervenir dans cette émission.

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  • Sur TV Libertés, quand les hommes se prennent pour Dieu - Jacques Arnould.

    Le transhumanisme fascine autant qu'il inquiète. L'idéologie qui en découle interroge les fondements mêmes de notre humanité et bouleverse les notions de sacré, de divin et nos manières d'en parler à travers les religions et les théologies. Jacques Arnould, ingénieur agronome, chargé des questions éthiques au Centre national d'études spatiales (CNES), nous présente son dernier ouvrage "Quand les hommes se prennent pour Dieu". Un essai au style enlevé et pétillant qui questionne la tradition théologique chrétienne, au regard des prétentions transhumanistes.


  • Sur le blog de Michel Onfray : Le professeur. Qu'est-ce qu'un chef ? (1).

    Nous sommes mi-mars. Dans les médias, on parle alors beaucoup du professeur Raoult.

    C’est une grande passion française que, pour beaucoup, d’avoir un avis sur tout, y compris quand on n’a ni compétence ni travail à convoquer ou à mobiliser en la matière.

    J’ai souvenir d’un intellectuel français aujourd’hui académicien qui fut capable en son temps de donner un avis sur un film qu’il n’avait pas vu… Il disait aussi, en mai 68, qu’il fallait "essayer des enfants"; il profère aujourd’hui sa haine de cette époque mais sans pour autant faire son autocritique … Il y eut un temps un avis gastronomique publié par un critique sur un site Web alors que le restaurant n’était pas encore ouvert. C’est sans compter sur les journalistes qui tiennent chronique littéraire depuis des décennies et qui encensent ou démontent un livre juste parce qu’il faut détester ou vénérer son auteur pour de pitoyables raisons mondaines (la plupart du temps parisiennes) dans lesquelles le ressentiment, plus que l’oeuvre, joue un rôle majeur. Quand Bernanos écrit: "les ratés ne vous rateront pas", il affirme un vérité psychologique majeure…

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  • La chloroquine, ou le populisme en blouse blanche ?, par Christian Vanneste.

    Le débat sur l’usage ou non de la chloroquine pour lutter contre le Covid-19 en dit long sur la société dans laquelle nous vivons. Il devrait s’agir d’un débat scientifique, et dans la société menacée par un totalitarisme rampant, nous découvrons avec stupéfaction que l’idéologie le dispute à la science, que des préjugés politiques peuvent l’emporter contre des démarches empiriques inspirées par le bon sens que Descartes croyait la chose du monde la mieux partagée. La question médicale est : la chloroquine peut-elle contribuer à l’amélioration des patients atteints par le virus ?

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  • Vendredi saint à Notre-Dame, par Gérard Leclerc.

    Comment célébrer la grande semaine de l’année pour les chrétiens, alors que toute manifestation publique et tout rassemblement, quel qu’il soit, sont strictement interdits ? Chaque paroisse, chaque diocèse, l’Église de France, le Pape ont tenté d’apporter une réponse à cette impossibilité. À peu près tous les intéressés ont décidé d’employer les moyens de communication moderne, et notamment les fameux réseaux sociaux. Comment le leur reprocher ? Quand une communauté n’a plus la possibilité de se réunir autour de l’eucharistie, on voit mal comment reprocher à ses responsables de la convoquer grâce à une médiation qui a l’avantage de la visibilité.

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  • Le « césarisme » républicain à l’œuvre…, par Olivier Perceval.

    3408130272.3.jpegL’expérience du confinement permet, au bout de la troisième semaine, d’observer l’évolution de nos rapports sociaux en situation de crise.

    Il est d’abord piquant de constater à quel point nous sommes passés d’un mode individualiste, stimulé par la loi du marché libre, la publicité et toute une idéologie ambiante émancipatrice de toute forme de morale et d’appartenance à une histoire collective à, par la grâce du confinement, un autoritarisme des pouvoirs publics relayé avec zèle par les forces de l’ordre et accueilli très majoritairement par un large public. Se considérant les plus vertueux, certains sont même prêts à dénoncer les manquements de leurs contemporains jugés irresponsables.

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  • Sur Figaro Vox, Jean-Pierre Chevènement: «Il faut un gouvernement de salut public», par Alexandre Devecchio.

    Selon Jean-Pierre Chevènement, l’heure n’est pas à la recherche des responsabilités mais à l’unité nationale pour faire face à la crise sanitaire et économique et préparer le «monde d’après». SERGE PICARD/Le Figaro Magazine

    Le «monde d’après» va s’organiser plus que jamais autour des États-Unis et de la Chine, juge l’ancien ministre. L’Union européenne va devoir opérer un tournant philosophique et stratégique radical.

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  • Aux Mercredis de la NAR : #63 - Gabriel MARTINEZ-GROS pour son livre “L’Empire islamique – VIIème – XIème siècles”.

    Mercredi 29 janvier, aux “Mercredis de la NAR” nous recevrons Gabriel Martinez-Gros pour son livre “ L’Empire islamique – VIIème – XIème siècles ”. Agrégé d’histoire, professeur émérite d’histoire de l’islam médiéval, Gabriel MARTINEZ-GROS a publié, entre autres ouvrages, une très remarquable « Brève histoire des empires » qu’il avait bien voulu nous présenter (voir « Royaliste », N° 1062). Il revient parmi nous avec un nouvel ouvrage qu’il consacre à L’Empire islamique – VIIème – XIème siècles. Ces pages d’histoire médiévales, inspirées par la pensée d’Ibn Khaldoun, font ressortir les fines dialectiques qui existaient entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux, entre le centre de l’empire et sa périphérie, entre la théologie et la culture – loin, très loin des apologies et des dénonciations militantes qui saturent aujourd’hui le débat public sur l’islam.


  • L'épidémie met en lumière l'opposition entre classes dominantes et classes populaires, par Aristide Renou.

    Si l’épidémie actuelle devait servir à quelque chose d’utile, cela pourrait être de rappeler que l’idée que les classes dominantes pourraient se passer des classes populaires est largement une illusion. Une illusion certes plausible dans les temps paisibles, lorsque ni la nature ni la politique ne se manifestent trop brutalement, mais une illusion qui se dissipe dans les temps de crise, ou qui devrait se dissiper si nos élites avaient encore un minimum de clairvoyance.

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  • Ne pas oublier le printemps !, par Gérard Leclerc.

    © Marc Torfs / Pixabay

    Malgré nos déboires actuels pouvons-nous ignorer l’extraordinaire éveil de la nature qui s’offre à nos yeux et qui n’est pas sans relation avec la symbolique de Pâques ?

    La fameuse formule de Pascal sur le malheur des hommes « qui vient de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre » a été amplement sollicitée ces dernières semaines. Il y a de bonnes raisons pour cela, même si l’on pourrait faire quelques objections à son utilisation. Le confinement actuel est loin de ne concerner que des personnes isolées, et même des couples.

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  • Le retour du matriarcat primitif et le déclin du patriarcat protecteur - Sylvain Durain.

    1808265901.6.jpgPour nous soutenir, à votre mesure :

    fr.tipeee.com/actionfrancaiserestaurationnationale

    A leur état primitif les sociétés humaines étaient souvent matriarcales et transitèrent vers un modèle moins tribal et plus patriarcal avec la naissance de la figure du père, alors encore floue dans ces sociétés archaïques.

    Sylvain Durain met en lumière le déclin de ce système patriarcal chrétien et le retour du matriarcat archaïque et païen parallèlement à la dégénérescence de notre société.

    https://soundcloud.com/user-245860045/le-declin-du-patriarcat-protecteur-sylvain-durain?fbclid=IwAR1z3YNYitnny-R6khI4qRao-qtp2Yo76PTe7NdTrIpLuC0PqHcNUfsX5Tw

  • Sur Sacr TV, Les raisons de notre combat.

    Vidéo présentant les raisons du combat royaliste face au système et à la politique actuelle.


     

  • Nouveaux scénarios à l’ère du Coronavirus Le Coronavirus est-il un châtiment divin ? Considérations politiques, historiques et théologiques, par le Professeur Roberto de Mattei.


    (Un grand merci à Annie Laurent qui m'a transmis hier matin ce texte extrêmement intéressant... François Davin, Blogmestre)

     

    Le sujet de mon intervention s’intitule : “les nouveaux scénarios en Italie et en Europe pendant et après le Coronavirus”. Je n’aborderai pas la question d’un point de vue médical ou scientifique : je n’en ai pas la compétence. Mais je traiterai cette question sous trois autres angles : celui du spécialiste de sciences politiques et sociales ; celui de l’historien ; et celui du philosophe de l’histoire. 

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  • IVG et néo-féminisme, par Aristide Renou.

    Il y a quelques jours, Olivier Véran a évoqué une « réduction inquiétante du recours à l’IVG » à cause de l’épidémie de coronavirus. Il répondait, lors des questions au gouvernement, à l’interpellation de la passionaria de l’avortement, la sénatrice Laurence Rossignol, qui le sommait de faire quelque chose pour inverser cette tendance.

    Rappelons qu’il existe en France deux types d’avortement. L’avortement dit thérapeutique, pratiqué en cas de péril grave pour la santé de la mère, qui peut être réalisé à tout moment de la grossesse. Et l’avortement à finalité « sociale », qui peut être réalisé pendant les douze premières semaines de la grossesse. C’est évidemment ce second type d’avortement qu’Olivier Véran et Laurence « Torquemada » Rossignol avaient à l’esprit.

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