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Idées, débats... - Page 342

  • Urgent ! Comment guérir de la crise du coronavirus... (2ème partie) (10), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le dixième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

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  • Bernanos........l'invasion des machines, par Frédéric Poretti-Winkler.

    « Cela va vite, en effet, cher lecteur, cela va très vite. J'ai vécu à une époque où la formalité du passeport semblait abolie à jamais. N`importe quel honnête homme, pour se rendre d'Europe en Amérique, n'avait que la peine d'aller payer son passage à la Compagnie transatlantique. Il pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille. Les philosophes du XVIIIe siècle protestaient avec indignation contre l`impôt sur le sel - la gabelle - qui leur paraissait immoral, le sel étant un don de la Nature au genre humain. Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats. Oh ! oui, je sais, vous vous dites que ce sont là des bagatelles.

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  • Le Pape face à la tempête, par Gérard Leclerc.

    La scène est unique dans l’histoire. Le Pape s’adresse au monde entier, depuis une place Saint-Pierre absolument vide de tout public. Il est vrai qu’en l’occurrence, c’est l’humanité entière qui se trouve symboliquement présente entre les colonnades du Bernin largement ouvertes comme deux bras tendus à tous les hommes et les femmes de bonne volonté. Dans ces circonstances exceptionnelles, le successeur de Pierre ne peut répercuter que le pur message de l’Évangile. En l’espèce, il a choisi le passage de l’évangile de saint Marc (4, 35-41) désigné habituellement comme celui de la tempête apaisée.

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  • Charles d’Orléans, le poète en captivité, par Jacques Trémolet de Villers.

    Charles d’Orléans prisonnier dans la tour de Londres

    British Library, MS Royal, 16 fo 73

    Charles Ier d’Orléans (1394-1465), duc d’Orléans et de Valois, était prince autant que poète. C’est pendant ses 25 ans de captivité en Angleterre qu’il a développé son œuvre poétique.
    Il est le plus contemporain des poètes anciens et celui par qui l’exquise pensée médiévale nous devient accessible. Et dont les accents, encore aujourd’hui, touchent le cœur.

    « Le temps a laissé son manteau /
    De vent de froidure et de pluie.  »

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  • (Sur Infos-Toulouse) « Sachons déceler la flamme de la transmission » : lettre d’un catholique de France.

    Vitrail de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. © Wikipedia

    Lisez, écoutez, recentrez-vous… Ce confinement permet à certains Français de se recentrer sur eux-mêmes. Découvrez ce cri du cœur d’un lecteur fidèle, un jeune catholique français.

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  • Sur la page facebook d'Emmanuel Boutang...

    "Le vice des institutions politiques n’arrête pas la suite de ses effets aux événements généraux; ils descendent jusqu'au plus secret des personnes et les blessent secrètement aux sources mêmes de leur personnalité. Elles en souffrent tôt ou tard. Tant il est vrai de l’intérêt d'être gouvernés." (Charles Maurras, cité par Victor N'Guyen, dans "Aux origines de l'Action française, p868)

     

    Merci à Emmanuel Boutang de nous permettre ainsi d'évoquer, pour ceux qui ne l'ont pas connu, notre ami Victor N'Guyen

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    On pourra le "retrouver" avec l'ouvrage que cite Emmanuel Boutang et aussi avec les Actes des Colloques Charles Maurras, dont le lien suivant (donnant accès au programme du IVème Colloque) donne une idée de ce qu'ils étaient:

    http://www.maurras-actuel.com/pdf/nguyen_etudes_maurrassiennes_4.pdf

  • Le petit virus, grand pédagogue ? (II) – La fin des illusions ?, par Christian Vanneste.

    Près de 500 morts en une journée, plus de 3500 au total, la contamination de la population française par le Covid-19 semble suivre la courbe à l’italienne avec une dizaine de jours de retard. Toutefois, le dénombrement n’est pas le même dans les deux pays, et en France, il ne tient pas compte des décès dans les Ehpad et à domicile, En revanche, les chiffres allemands sont beaucoup plus modérés. Ainsi, leur comparaison entre les trois grands pays voisins au coeur de l’Europe suscite l’étonnement : l’talie, la première touchée par l’épidémie recense 97 689 malades et 10 779 décès, la France paraît la suivre avec 52 128 personnes détectées et 3523 victimes, mais l’Allemagne qui pratique massivement des tests, sept fois plus qu’en France, a identifié 68 305 porteurs du virus alors qu’elle ne dénombre heureusement « que » 710 morts.

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  • Henri Tincq, par Gérard Leclerc.

    « À sa mort, il ferait titrer à la une du “Monde” que son pontificat avait été “hors normes”. »

    CC by : Jean-Pierre Dalbéra

    Pour ses collègues qui le connaissaient bien depuis longtemps, la mort d’Henri Tincq, victime de l’épidémie du coronavirus, constitue un vrai choc affectif. Dans le milieu des informateurs religieux, il était une référence, même si l’on était en désaccord avec lui, ce qui m’est arrivé plus d’une fois. L’homme avait ses convictions, forgées depuis ses origines nordistes, notamment à l’école de la Jeunesse étudiante chrétienne. Il n’aurait pas démenti son étiquette de catholique de gauche, tant son appartenance religieuse allait de pair avec ses engagements politiques.

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  • C'est la guerre, malheur à celui qui se pose des questions !, par Natacha Polony.

    Aujourd’hui, nombre de commentateurs déploient des trésors de rhétorique pour démontrer que non, les méchants "souverainistes" n’avaient pas raison de plaider pour le maintien de capacités de production en France. Admettre qu’on s’est planté, c’est visiblement douloureux.

    « Union nationale ». Ça sonnerait presque comme une injonction. Malheur à qui viendrait rompre cette belle union. C’est vrai, on est en guerre, il ne faudrait pas commencer à poser des questions ou détourner l’effort des combattants. Contentez-vous d’applaudir les soignants, et, quand on vous le demande, de revenir travailler. D’ailleurs, effort de guerre oblige, on en profitera pour vous rogner quelques droits et quelques libertés. Mais on est en guerre, n’est-ce pas...

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  • Aux Mercredis de la NAR : #64 - David DJAÏZ pour son livre “Slow démocratie”.

    Mercredi 26 février, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions David DJAÏZ pour son livre “Slow démocratie”. Normalien, énarque, aujourd’hui haut fonctionnaire et enseignant à Sciences Po, David DJAÏZ nous avait présenté en 2017 son premier ouvrage : « La guerre civile n’aura pas lieu » (voir le numéro 1127 de “Royaliste”). Il revient parmi nous avec son deuxième ouvrage, “Slow démocratie” dans lequel il pose une question majeure : est-il possible de reprendre le contrôle d’une mondialisation qui produit des effets désastreux pour la démocratie, l’environnement et la justice sociale ? David Djaïz propose une nouvelle politique fondée sur la nation démocratique, qu’il faut libérer des assignations identitaires et de la tentation nationaliste du repli. Les solutions que notre invité présente dans son livre sont-elles en mesure de remédier aux multiples crises qui frappent les États et les peuples ?


  • Pour ne pas céder à la sinistrose, une pensée pour... Charles IX, le roi des "poissons d'avril", du muguet et du 1er janvier...

    CHARLES ix.JPG

    Eh, oui ! C'est en 1565 qu'eurent lieu les premiers "poissons d'avril"...

    Mais, pourquoi ?

    C'est simple...

    L'Edit de Roussillon du 9 Août 1564 de Charles IX ayant pris effet, le début de l'année a été pour la première fois fixé pour tout le Royaume au 1er Janvier, en 1565. 

    L'année commençait, avant, à des dates variables, ce qui entraînait des gênes multiples dans un grand nombre de domaines (administration, commerce...) car ces dates s'étalaient jusqu'en avril.

    On se fit donc au premier janvier, cette année-là, les petits cadeaux, ou étrennes, d'usage en début d'année.

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  • A propos du "Kiel et Tanger" de Maurras... écrit en 1910, mais, semble-t-il, pour aujourd'hui (II/II)...

     Notre éphéméride d'hier évoque les origines du livre de Maurras Kiel et Tanger. Nous en avons donc profité, hier et aujourd'hui, pour donner 2 documents d'importance :

    • hier, un très intéressant article de Benjamin Fayet...

    • et, aujourd'hui, le chapitre 24 de cet ouvrage, qui compose le IIème de nos Grands Textes... :

     

    GRANDS TEXTES II : L'inoxydable 24ème chapitre de "Kiel et Tanger", de Charles Maurras

     

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  • La vertu d’humanité, par Gérard Leclerc.

    Baptistère de Padoue.

    Fresques au plafond du XIVe s. par Giusto de Menabuoi.

    © Fred de Noyelle / Godong

    Oui, décidément, cette période de confinement et de grande tension morale peut être propice à la réflexion sérieuse. Bien sûr, il y a aussi possibilité d’évasion à travers une littérature conçue pour cela. Mais l’épreuve est souvent envisagée pour elle-même. C’est ce que faisait hier, avec sa hauteur de vue habituelle, Jacques Julliard dans son carnet mensuel du Figaro. C’est notre humanité qui est en cause, expliquait-il, philosophiquement, en disputant la notion de nature humaine qui ne relève sûrement pas du naturalisme style écolo et qui ne saurait être dépassée par on ne sait quel transhumanisme.« Aucun fonctionnalisme social, aucune doctrine utilitariste n’est capable de rendre compte du geste accompli par chaque médecin, chaque infirmière, chaque brancardier pour sauver la vie de son semblable, fut-ce au risque de la sienne. »

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  • Englués, par Philippe Mesnard.

    Nous vivons des moments passionnants. Le système va-t-il exploser ou se maintenir, évoluer ou revenir à son équilibre dément ?

    Cette pandémie est unique par tout ce qu’elle met à nu : les vices de la mondialisation, l’aveuglément des élites humanistes, la crispation idéologique de l’Union européenne, l’incurie française, les mensonges de la technocratie, l’égoïsme des politiques, la fragilité de nos économies, la dictature du sentiment… Car à quoi bon nous faire applaudir des médecins et des infirmières qu’on ne peut pas, qu’on ne sait pas, qu’on ne veut pas équiper ? Pourquoi invoquer sans cesse la science comme boussole quand la même science, ailleurs, indique un nord différent ? Pourquoi avoir nié la crise de longues semaines, de long mois, pour reprocher ensuite aux Français leur inconscience ?

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  • À quoi servent les rois ?, par Christophe Barret.

    Où l’on voit, à travers l’exemple de trois souverains européens, que la monarchie assure l’unité du pays par delà les changements de gouvernement. Les monarques constitutionnels ne servent à rien ! Tel est le lieu commun sans cesse répété, qui correspond à ce que l’on voit d’ordinaire : des personnages qui passent leur temps dans les cérémonies officielles et qui tiennent des propos convenus. Il faut cependant se méfier des apparences. Chez nos voisins européens, les rois et les reines sont manifestement populaires. Cela signifie que les peuples apprécient les fonctions qu’ils remplissent. Dans l’article qu’il consacre à trois pays, la Belgique, l’Espagne et la Grande-Bretagne, l’historien Christophe Barret montre que la monarchie royale assure, en la personne du roi ou de la reine, l’unité du pays par-delà les changements de gouvernement, les conflits sociaux et les crises. La fonction symbolique assumée par les monarques s’accompagne d’un rôle politique aussi concret que discret : celui de médiateur lors des discussions relatives à la formation du gouvernement.

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