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Idées, débats... - Page 346

  • Etre citoyen et responsable ?, par Olivier Perceval.

    On nous dit, qu’il faut jouer « l’Union Sacrée » face au fléau national et international qui s’abat sur nous, et toutes notes discordantes seraient indignes en plein milieu du combat, et même de « la guerre » pour reprendre l’expression dramatique du président Macron.

    Mais pour mener une guerre, il faut que le peuple entier fasse confiance en ses chefs, ceux là même qui ont ruiné le système de santé le plus performant du monde et fait tabasser les personnels médicaux en grève pour manque de moyens. Je ne parle pas de la répression sauvage des gilets jaunes, lesquels étaient coupables de ne pas croire aux bienfaits de la « mondialisation heureuse ».

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  • Jean-Pierre Chevènement et Alexandre Devecchio : Le monde face au réveil des peuples !

    Conférence-débat du 5 mars dernier avec Jean-Pierre Chevènement et Alexandre Devecchio sur le populisme. A quelques jours du basculement de notre pays dans une crise majeure, nous ne pouvions encore mesurer combien la disparition des frontières pouvait mettre brutalement les Etats à la merci d'épidémies apparues à des dizaines de milliers de kilomètres, autre face cachée délétère de la mondialisation. Les propos éclairés et l'analyse lumineuse de nos invités sur la révolte des peuples face à la perte de la maitrise de leur destin n'en sont que d'autant plus réjouissants.

    Source : Les éveilleurs


  • Michel Onfray : haute trahison (2/3)

    Buzyn, sa vie, son œuvre

    En publiant un article (le 17.III.2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir!

    Or, les Français ne sont pas débiles: ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.

    Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière: "Je me demande ce que je vais faire de ma vie." Ensuite, le plat de résistance: "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste: "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation?" Pauvre petite fille riche...

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  • La technocrature, maladie sénile de la démocratie, par Philippe Germain.

    Les maurrassiens ne sont pas les seuls à mesurer l’importance de l’évolution du cycle de la démocratie française donnant tout le pouvoir politique aux technocrates. Effectivement à gauche et à l’ultra-gauche, s’enfle l’imaginaire démonologique, voir complotiste  !

    C’est à gauche et même à l’ultra-gauche, que certains ont commencé à se poser la question du «  quel est réellement ce nouveau monde qui gouverne  ?  ». Prenons quelques titres d’ouvrages  :

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  • Sur TV Libertés, Coronavirus : La mondialisation à l’agonie.

    Pandémie mondiale déclarée par l’OMS, le coronavirus (Covid-19) se répand en Europe et en France progressivement. Face à cette crise sanitaire, le gouvernement d’Emmanuel Macron accumule les dysfonctionnements. Les stocks de masques ont été vidés, au détriment des personnels soignants. En France, la situation est sur le chemin de l’Italie, avec une progression approximative de 30% de cas de contaminations chaque jour. Alors que les médecins tirent la sonnette d’alarme depuis plusieurs semaines, Emmanuel Macron ne prend que des "mesurettes" de précaution et maintient les élections municipales. Son obsession ? Retarder la paralysie de l’économie, au mépris du peuple français. L’idéologie mondialiste, telle un carcan mental, semble pétrifier les élites, incapables de prendre de réelles décisions de protection face à un virus taillé sur mesure pour attaquer l’Occident. Philippe Murer, économie spécialiste des questions écologiques, revient avec nous sur une situation qui semble échapper aux dirigeants français, à commencer par Emmanuel Macron.


  • Retour vers le bons sens !, par Christian Vanneste.

    Le monde de demain sera-t-il celui d’hier, voire d’avant-hier : en tout cas, ni le progressisme, ni l’européisme, ni le mondialisme ne font plus recette, car le Covid-19 les a contaminés. Ceux qui marchaient vers un avenir radieux se sentent fiévreux et affaiblis, affaiblis dans leurs certitudes et dans leur arrogance. Depuis quelques jours, les mots d’ordre se sont inversés. Le renversement le plus fort est celui de la préférence que les belles âmes, le Pape en particulier, avaient manifestée en faveur des ponts et au détriment des murs. Par une incroyable ironie de l’Histoire, on voit celle-ci nous offrir une séquence qui commence par l’effondrement du mur de Berlin et la fin de la séquestration des peuples par les dictatures communistes, et qui se termine sans doute en ce moment même avec le rétablissement des frontières.

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  • Ferme-t-on les églises par manque de foi ?, par Gérard Leclerc.

     

    Saint-Nicolas de Veroce

    © Pascal Deloche / Godong

    L’attitude actuelle de l’Église dans la crise épidémique n’est pas toujours comprise. Elle donne même lieu à polémique. Les consignes de confinement ne sauraient pourtant être transgressées par les chrétiens sous peine de grave faute morale.

    Il est vrai que la situation présente de l’Église est déconcertante. On ne voit pas de précédents à cette décision de fermer toutes les Églises et de priver les fidèles de l’eucharistie. Que les sanctuaires de Lourdes soient fermés pour la première fois de leur existence, c’est aussi un paradoxe, alors que la grotte de Massabielle et les basiliques qui l’environnent sont les lieux privilégiées d’accueil des malades de toutes conditions [1].

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  • Michel Onfray : "Emmanuel Macron a exposé les Français au coronavirus par idéologie européiste" (1/3).

    Il Corriere della Sera: Que pensez-vous de l'exode des Parisiens, qui ont quitté la capitale pour rejoindre la province?

    Michel Onfray: Depuis Philippe Le Bel, c'est-à-dire depuis le XIV° siècle, l'État français est centralisé. De ce fait, il y a toujours un peu de mépris pour la province quand on la regarde de Paris. Elle est la périphérie des choses et du monde. C'est le lieu des ploucs, des pécores, des paysans, des ruraux, des gens mal dégrossis, des incultes. Peu importe que ces Parisiens soient souvent des provinciaux "montés à Paris", comme on dit, parce que c'est la ville où se concentrent tous les Rastignac et qu'ils cherchent à réussir à la Capitale... Seulement c'est à la province que Paris demande depuis des siècles de quoi manger, y compris sous l'occupation, c'est à la province qu’on demande également d'accueillir les migrants quand ils arrivent massivement, c'est à la province qu'on impose les quarantaines d'expatriés français ramenés de Chine par l'État français. Et c'est à la province qu'on va ces temps-ci se protéger des miasmes de la capitale quand la pandémie menace... La province est bonne fille...

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  • Bernanos, pèlerin de l'absolu, par Frédéric Winkler.

    « J’ignore pour qui j’écris, mais je sais pourquoi j’écris, j’écris pour me justifier. Aux yeux de qui ? Je vous ai déjà dit, je brave le ridicule de vous le redire. Aux yeux de l’enfant que je fus… » Georges Bernanos (Les enfants humiliés). Ecoutons Paul Barba Negra : « Tout pèlerinage représente en effet un cheminement vers le centre, c’est-à-dire vers le soleil des origines. Et dans ce cheminement vers le Christ lumière, devant cette exigence de ressourcement suprême, ou se situe l’homme moderne ? Commençons-nous à comprendre, combien Baudelaire avait raison lorsqu’il opposait les conquêtes du gaz ou de la vapeur au véritable progrès qui est la diminution du péché originel et avant lui William Black ne disait-il pas que le progrès technique était une punition de Dieu ! Lorsque nous sommes immergés au sein de nos villes démesurées, pouvons-nous trouver quelque plénitude dans une foule ou chacun se sent de plus en plus écrasé par le poids de sa propre solitude. » (Le Mont St Michel et l’Archange de lumière).

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  • Graines d'éducation (8), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le huitième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

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  • Mobilisation spirituelle (Epidémie), par Gérard Leclerc.

    Mgr Dominique Rey a béni la ville de Toulon depuis le Mont Faron

    Il n’y a plus aucun doute sur la catastrophe sanitaire que constitue la pandémie du coronavirus. Venue de Chine, elle s’est abattue sur l’Europe, développant chaque jour ses effets sur les populations. Singulièrement en Italie, puis en France. L’insouciance qui a prévalu trop longtemps a fait place à l’inquiétude. Il ne faudrait pas qu’elle se transforme en panique. Aussi l’épreuve que vit notre pays, à l’instar des autres nations, a pris une dimension que les chrétiens partagent dans sa profondeur spirituelle. Celle-ci ne les retranche nullement du reste de la population, même incroyante. Elle est d’abord inhérente à notre condition, ainsi que l’attestent les fondements antiques de notre civilisation et de notre culture.

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  • Sur le blog de Michel Onfray : Berezina, Macron au pied du mur.

    PHASE 1

    Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que, la Chine ne passant pas pour très économe de la vie de ses citoyens, le confinement de l'une de ses villes de plusieurs millions d'habitants par les autorités communistes témoignait de facto en faveur de la gravité de cette crise du coronavirus. Je l'ai pour ma part fait savoir sur un plateau de télévision fin janvier. Ce pays, dont il est dit qu'il prélève dans les prisons les condamnés à mort qu'il exécute afin de vendre leurs organes frais au marché noir des transplantations partout sur la planète, n'est pas connu pour son humanisme, son humanité et son souci des hommes concrets. C'est le moins qu'on puisse dire... En prenant ces mesures, il disait à qui réfléchissait un peu qu'il y avait péril en sa demeure, donc en la nôtre. Qui l'a vu? Qui l'a dit? Qui a compris cette leçon? La plupart ont vu et dit ce que les agents de l'État profond disaient qu'il fallait voir et dire.

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  • Communiqué du collectif Résistance Francophone.

    L’Action Française soutient sans équivoque les associations de défense de la langue française et de la francophonie et s’associe pleinement à ce communiqué

    Communiqué de Presse 20 mars 2020

    Semaine de la langue française et de la Francophonie – COMMUNIQUÉ DU COLLECTIF RESISTANCE FRANCOPHONE

    Pour un Grand Débat sur la politique linguistique de la France et de l’Union européenne

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  • Dans la revue l'Incorrect, « À quoi a servi le principe de précaution qui figure dans la Constitution ? », par Nicolas Lecaussin.

    Nicolas Lecaussin dirige l’IREF (Institut de recherches économiques et fiscales), « think tank libéral et européen » fondé en 2002. Grand contempteur du rôle de l’État en France, il vient de publier Les donneurs de leçons (Pourquoi la France est en vrac !) au Rocher, où il s’attaque aux intellectuels de gauche, aux journalistes de l’établissement et aux hauts-fonctionnaires.

    La crise du coronavirus, ses conséquences et la réaction de l’État sont l’occasion de lui donner la parole.

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  • Une société en métamorphose, par Gérard Leclerc.

    LECLERC.jpgLa France à changé en quelques heures depuis qu’elle a pris conscience du danger de la pandémie du coronavirus. C’est d’abord manifeste dans la vie quotidienne et la sociabilité de la rue. Mais aussi dans la vie religieuse.

    Après cette étonnante journée de dimanche, c’est comme si nous étions en phase de métamorphose. Peut-être nos prédécesseurs ont-ils connu quelque chose d’analogue avec l’état de guerre. C’est tout un climat anthropologique qui apparaît, comme si nous changions de monde.

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