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Idées, débats... - Page 350

  • Hommage à Pierre Debray, par Olivier de Lérins.

    (Rappel : lafautearousseau vous propose en permanence deux "Catégories"consacrées à Pierre Debray, dans lesquelles deux de ses études sont divisées en plusieurs parties, pour en faciliter la lecture : Une politique pour l'an 2000 (en 28 parties) et Maurras et le Fascisme (en dix parties)...)

     

    Au moment ou l’Action française du XXI° siècle se porte en pointe du combat écologique, il est urgent de relire Pierre Debray. 

    Lui qui fut l’un des quatre maîtres de l’école maurrassienne, fut aussi celui qui analysa la société industrielle au crible de l’empirisme organisateur.

    Le lire aujourd’hui permettra d’éviter au jeune royaliste de 2020, soucieux d’une véritable politique écologique, de tomber dans les dérives de ceux qui après 1968 utilisèrent l’écologie comme porte de sortie du marxisme.

    Lire Pierre Debray aujourd’hui, c’est s’assurer de bien comprendre Ellul, Illitch et Mumford et de s’armer pour l’aggiornamento maurrassien.

    Notons aussi que cette dernière étude monarchiste constitue le complément indispensable du suberbe n° 56 de la Nouvelle Revue Universelle.

    C’est dans Politique Magazine qu’Olivier Lérins, l’un des jeunes talents du mensuel Le Bien Commun a rendu compte du livre de Debray dont il nous fait un résumé d’une grande clarté  !

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  • La civilisation des mœurs, par Gérard Leclerc.

    C’est au grand sociologue allemand Norbert Elias que l’on doit la notion de «  civilisation des mœurs  » progressive (1939). Même abondamment discutée, cette thèse a marqué la réflexion historique contemporaine, par la puissance de l’éclairage qu’elle donnait aux évolutions sociales. Parallèlement, le développement de la recherche sur les mentalités, dont Philippe Ariès fut en France un des grands initiateurs, n’a pu que renforcer ce point de vue. Il apparaît d’une rare pertinence dans la conjoncture actuelle, où nous assistons à un bouleversement manifeste de la société dans ses profondeurs.

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  • "Anemic cinéma", par Michel Onfray.

    LES CÉSARS D'UN EMPIRE EFFONDRÉ

    Cette anagramme, Anemic cinema, est de Marcel Duchamp. A ce jour, elle a donc déjà plus d’un siècle… A l’époque où ce bon mot, qui est aussi une bonne idée, se trouve proféré, le cinéma lui-même est vieux d’une vingtaine d’année, c’est donc un art naissant.

    Si l’on en juge par ce qu’en fit Abel Gance dans Napoléon (1927) ou, rions un peu, avec… J’accuse (1919), le cinéma offrait de magnifiques potentialités esthétiques. C’était un art nouveau, au sens littéral du terme, comme le théâtre ou l’opéra le furent en leurs temps reculés, l’antiquité grecque pour le premier, le baroque italien pour le second, il s’agissait dans ce cas de l’Europe industrielle. On était en passe d’en attendre des chefs d’œuvre, il y en eut –la plupart en noir et blanc…

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

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  • Sur TV Libertés, Coronavirus : vers la chute de la mondialisation ?


    Depuis trois mois, le Coronavirus s’étend sur la planète. D’abord concentré sur la Chine, puis le continent asiatique, le Covid-19 s’installe désormais en Europe. L’Italie est le principal pays touché, mais la France n’est pas en reste. Entre psychose et relativisme, les explications et conclusions sur ce nouveau virus germent partout dans les médias et sur les réseaux sociaux. Elise Blaise reçoit l’économiste spécialiste des questions environnementales, Philippe Murer, pour démêler le vrai du faux.

    Ensemble, ils évoquent la crise de confiance des populations provoquée par les dirigeants politiques. Un problème majeur pour mener une politique sanitaire efficace. Ils reviennent également sur les conséquences économiques du Coronavirus et les mesures de confinement qu’il implique. Des conséquences qui mettent directement en échec l’organisation planétaire basée sur la mondialisation, à l’origine d’une interdépendance dangereuse pour la souveraineté et la résilience des Etats.

  • A savoir : "Voix", le Blog maintenu d'Hélène Richard Favre...

    lfar helene richard favre.jpegIl est arrivé une bien triste mésaventure à notre amie de longue date, Hélène Richard-Favre, avec qui Hilaire de Crémiers m'avait mis en rapport il y a plusieurs années. Son Blog a été purement et simplement fermé, supprimé, sans autre forme de procès : heureusement, elle avait eu l'intuition, juste avant, de sauvegarder ses notes.

    Connaître et apprécier Hélène Richard-Favre, c'est tout un : elle est une spécialiste reconnue de la Russie, et la lire est toujours, à la fois, plaisir et  source d'enrichissement...

    Il m'a donc semblé tout naturel, et surtout nécessaire, en cette période difficile et douloureuse qu'elle traverse de porter ces faits à la connaissance de nos lecteurs, et de donner le nouveau lien sur lequel vous pourrez retrouver ses chroniques...

    Longue vie et plein succès à notre amie pour ce nouveau départ !

    François Davin, Blogmestre de lafautearousseau

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  • « Le grand rire de l’Immortel ! », par Hilaire de Crémiers.

    Comment le plus normal devient le plus extraordinaire.

    Mercredi 19 février, à l’Institut de France, quai de Conti, face au Louvre et dans la perspective unique de la Seine que rehaussent de symboliques festons les clartés vespérales, au sein de ce Paris royal où bat le cœur de la France, dans les salons du Secrétaire perpétuel de l’Académie française, Madame Hélène Carrère d’Encausse. Cela se passe bien chez elle, dans ce logement qu’elle a voulu aménager elle-même lors de son installation avec son propre mobilier pour bien signifier que, quand elle reçoit, c’est elle qui reçoit, elle et nul autre, et bien sûr tout ce qu’elle représente, dont les portraits en nombre des académiciens d’avant la Révolution qui regardent fixement les invités de l’heure du haut des cimaises de l’une des salles de réception.

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  • Un virus mondialisé*, par Michel Onfray.

    Le coronavirus n’est pas juste une épidémie médicale, c’est également une métaphore: celle de ce qu’est (devenue) la France qui subit, voire qui va au devant des problèmes. Ses prétendus experts qui ne décollent pas des plateaux de chaînes d’information continue (j’avais écrit: contenue…), font les malins: ils déclarent "même pas mal!", ils bombent le torse comme des cadors, ils minimisent, ils estiment que c’est moins grave qu’une épidémie classique de grippe hivernale comme il y en a tous les ans, mais je ne peux m’empêcher de croire ce que je vois et non pas de voir ce que je crois: la Chine n’est pas du genre à confiner la ville de Wuhan, quinze millions d’habitants, si l’extrême gravité n’est pas avérée –c’est ce que doit et peut penser quiconque n’a pas renoncé à l’usage de sa raison ni à celui de son esprit critique.

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  • De quoi le Coronavirus est-il le nom ?, par Eric Bianchi docteur en médecine.

    De quoi le Coronarovirus est-il le nom nous dirait Alain Badiou. Difficile pour lui de répondre en l’absence d’étude de Lyssenko. Après avoir lu, entendu et même dit beaucoup de bêtises quelques éléments un peu sérieux. Les deux dernières grandes pandémies de la même échelle sont la grippe asiatique de 56-58 et la grippe espagnole de 18-20. (Le SIDA n’étant pas comparable.)

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  • Des printemps arabes à l'islamisme (1ère partie) (6), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le sixième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

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  • Comment nomme t'on ce système ?, par Frédéric Winkler.

    Notre société toute entière est « décomposée », opposée à elle-même, divisée, dissoute dans les luttes et les rivalités. Qu'on le veuille ou non, à travers les partis et les syndicats qui leur sont liés, la lutte des classes, aujourd'hui informelle mais pourtant bien réelle (comme le signalait le milliardaire W. Buffet il y a quelques années qui expliquait que c'était la sienne qui l'avait emportée...), a remplacé les solidarités professionnelles, locales, communales ou provinciales... Une lutte sans merci, où chacun tente de réduire indéfiniment la part de l'autre, compose toute notre vie sociale.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

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  • Sur TV Libertés, pourquoi les États-Unis doivent leur indépendance à la France?

    On nous le répète assez souvent, jusqu'à la nausée : les Américains nous ont "libéré" en 1944. Voire même, pour les plus optimistes, en 1917 ! Au-delà du fait que ces affirmations restent fortement à nuancer, surtout pour la seconde, nos amis d'outre-Atlantique oublient trop souvent qu'ils doivent leur propre indépendance à la France. En effet, à Yorktown en 1781, sans l'aide du corps expéditionnaire de Rochambeau et l'intervention décisive de la marine royale, rien n'aurait été possible, et les États-Unis auraient sans nul doute eu une histoire bien différente...


     

  • Moyen-Orient : la souveraineté méprisée, par Christian Vanneste.

    La offre l’exemple caricatural du mépris de la souveraineté érigé en dogme géopolitique. Il y a, dans ce pays, un État toujours représenté officiellement à l’ONU. Celui-ci a été réduit au rang de « régime » par les médias occidentaux, et son président décrit constamment comme le bourreau de son peuple pour avoir réprimé une révolte qui, dès 2011, a pris un tour armé et violent avec le massacre de policiers.

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français... : L'entretien avec Le Dauphiné libéré (V/V)...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Nous avons passé les trois dernières semaines en bonne compagnie, avec Axel Tisserand, d'abord, puis Jean-François Mattéi et sa très belle intervention dans le jardin du Chemin de Paradis, le 1er septembre 2012; puis avec une sorte de reportage, tiré de nos riches archives, sur ce que fut cette journée d'hommage du 1er septembre 2012, à l'occasion du soixantième anniversaire de la mort de Maurras.

    Le rappel de cette journée montre bien ce qu'était la Maison de Maurras jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'accès, ne la "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'elle comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible...

     "Avant", tout le monde pouvait aller admirer le lieu, et  nous ne nous privions pas, à l'Union Royaliste Provençale. Ces jours heureux sont, pour l'instant, révolus. Jusqu'à quand ? C'est toute la question, et la raison de notre protestation, qui ne cessera que lorsque nous aurons obtenu ce que nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

    Cette semaine - avant-dernière avant que notre Campagne de sensibilisation ne prenne une autre forme, dès le lendemain des élections municipales - nous vous présentons une conséquence directe de cette journée d'hommage du 1er septembre 2012 : Georges Bourquart, journaliste au Dauphiné libéré, nous a écrit trois jours après pour nous demander de lui faire visiter la Maison et le Jardin, et de lui présenter Charles Maurras... (V/V)

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