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Idées, débats... - Page 350

  • De quoi le Coronavirus est-il le nom ?, par Eric Bianchi docteur en médecine.

    De quoi le Coronarovirus est-il le nom nous dirait Alain Badiou. Difficile pour lui de répondre en l’absence d’étude de Lyssenko. Après avoir lu, entendu et même dit beaucoup de bêtises quelques éléments un peu sérieux. Les deux dernières grandes pandémies de la même échelle sont la grippe asiatique de 56-58 et la grippe espagnole de 18-20. (Le SIDA n’étant pas comparable.)

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  • Des printemps arabes à l'islamisme (1ère partie) (6), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le sixième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

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  • Comment nomme t'on ce système ?, par Frédéric Winkler.

    Notre société toute entière est « décomposée », opposée à elle-même, divisée, dissoute dans les luttes et les rivalités. Qu'on le veuille ou non, à travers les partis et les syndicats qui leur sont liés, la lutte des classes, aujourd'hui informelle mais pourtant bien réelle (comme le signalait le milliardaire W. Buffet il y a quelques années qui expliquait que c'était la sienne qui l'avait emportée...), a remplacé les solidarités professionnelles, locales, communales ou provinciales... Une lutte sans merci, où chacun tente de réduire indéfiniment la part de l'autre, compose toute notre vie sociale.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

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  • Sur TV Libertés, pourquoi les États-Unis doivent leur indépendance à la France?

    On nous le répète assez souvent, jusqu'à la nausée : les Américains nous ont "libéré" en 1944. Voire même, pour les plus optimistes, en 1917 ! Au-delà du fait que ces affirmations restent fortement à nuancer, surtout pour la seconde, nos amis d'outre-Atlantique oublient trop souvent qu'ils doivent leur propre indépendance à la France. En effet, à Yorktown en 1781, sans l'aide du corps expéditionnaire de Rochambeau et l'intervention décisive de la marine royale, rien n'aurait été possible, et les États-Unis auraient sans nul doute eu une histoire bien différente...


     

  • Moyen-Orient : la souveraineté méprisée, par Christian Vanneste.

    La offre l’exemple caricatural du mépris de la souveraineté érigé en dogme géopolitique. Il y a, dans ce pays, un État toujours représenté officiellement à l’ONU. Celui-ci a été réduit au rang de « régime » par les médias occidentaux, et son président décrit constamment comme le bourreau de son peuple pour avoir réprimé une révolte qui, dès 2011, a pris un tour armé et violent avec le massacre de policiers.

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français... : L'entretien avec Le Dauphiné libéré (V/V)...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Nous avons passé les trois dernières semaines en bonne compagnie, avec Axel Tisserand, d'abord, puis Jean-François Mattéi et sa très belle intervention dans le jardin du Chemin de Paradis, le 1er septembre 2012; puis avec une sorte de reportage, tiré de nos riches archives, sur ce que fut cette journée d'hommage du 1er septembre 2012, à l'occasion du soixantième anniversaire de la mort de Maurras.

    Le rappel de cette journée montre bien ce qu'était la Maison de Maurras jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'accès, ne la "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'elle comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible...

     "Avant", tout le monde pouvait aller admirer le lieu, et  nous ne nous privions pas, à l'Union Royaliste Provençale. Ces jours heureux sont, pour l'instant, révolus. Jusqu'à quand ? C'est toute la question, et la raison de notre protestation, qui ne cessera que lorsque nous aurons obtenu ce que nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

    Cette semaine - avant-dernière avant que notre Campagne de sensibilisation ne prenne une autre forme, dès le lendemain des élections municipales - nous vous présentons une conséquence directe de cette journée d'hommage du 1er septembre 2012 : Georges Bourquart, journaliste au Dauphiné libéré, nous a écrit trois jours après pour nous demander de lui faire visiter la Maison et le Jardin, et de lui présenter Charles Maurras... (V/V)

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, René Chasset "On ne fait plus appel à la raison des gens".

    René Chasset, essayiste, co-auteur de « Le dernier homme » Édition Le Noyer est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio.


  • Vu sur la page FB de nos amis du GAR.

    Aujourd'hui, l'agriculture et les paysans sont devenus prisonniers d'un système qui privilégie l'argent plutôt que les hommes et la qualité de leur travail, de leurs productions.
    Avec les Royalistes, réfléchissons à changer cela !

     

  • Russie-Turquie : l’Occident va-t-il à nouveau choisir le mauvais cheval ?, par Christian Vanneste.

    Le duo (ou le duel) entre Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan revêt la politique internationale d’une dimension personnelle remarquable. La plupart des démocraties sont vouées à des alternances ou soumises à des règles constitutionnelles qui limitent la durée de leurs dirigeants, et quand celle-ci leur est accordée, le pouvoir reste contraint par des oppositions parlementaires ou des protestations populaires. Le Président russe, à la tête de l’Etat ou du gouvernement, dirige le pays depuis vingt ans, celui de la Turquie, dans les mêmes fonctions, depuis dix-sept ans. Seule Mme Merkel pourrait rivaliser avec ses presque quinze ans de chancellerie, mais bien que l’Allemagne soit plus puissante économiquement que les deux autres, ses marges de manoeuvre sont beaucoup plus limitées par le système politique allemand, par l’intégration du pays à l’Union Européenne et à l’Otan, et par une mauvaise conscience historique qui inhibe la parole autant que l’action, dès que l’on quitte le domaine de l’économie pour celui de la stratégie internationale.

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  • Les archives de Pie XII, par Gérard Leclerc.

    Le futur Pie XII, Eugenio Pacelli, alors nonce en Allemagne lors du 900ème anniversaire de la ville de Bamberg en Bavière

     

    L’ouverture des archives du pontificat de Pie XII constitue, sans aucune doute, un événement historiographique de premier ordre. Pour les historiens de métier, c’est un immense champ de découvertes en tout genre qui s’offre à eux.

    Cela ne signifie pas que la connaissance du rôle du pape de la Seconde Guerre mondiale va s’en trouver bouleversée. Philippe Chenaux, qui travaille le sujet depuis de longues années, a pu déclarer ainsi à Nicolas Sénèze de La Croix : « Chacun devrait rester sur ses positions en fonction de ses convictions. Mais on pourrait quand même arriver à un certain consensus à partir duquel on ne pourra pas dire n’importe quoi. »

    Espérons-le !

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  • Question/objection 3 : En 2020, la Monarchie n'est-elle pas une nostalgie dépassée ?, par Jean-Philippe Chauvin.

    Dans le cadre de la promotion de la Monarchie, il nous semble important de répondre aux objections faites à la Monarchie, ne serait-ce que pour dissiper les malentendus sur la Monarchie elle-même et préciser ce que nous entendons par Monarchie « à la française », ce qui nous semble en faire une nécessité dans ce monde-ci et pour la nation française, si particulière et si diverse à la fois.

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  • L'éthique de la reconquète…, de Frédéric Winkler.

    « Souviens-toi que tu dois mourir… Et paraître devant ton créateur… » En chevalerie, tout est beau, aventure, passion et joie… « A l’heure où le mal a souvent droit de cité parmi les hommes, et jusque dans les plus hautes institutions, le réveil de la vocation chevaleresque est une urgence, à laquelle le ciel n’a jamais tardé à répondre. » P. Philippe-Emmanuel Rausis.

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français... : L'entretien avec Le Dauphiné libéré (IV/V)...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Nous avons passé les trois dernières semaines en bonne compagnie, avec Axel Tisserand, d'abord, puis Jean-François Mattéi et sa très belle intervention dans le jardin du Chemin de Paradis, le 1er septembre 2012; puis avec une sorte de reportage, tiré de nos riches archives, sur ce que fut cette journée d'hommage du 1er septembre 2012, à l'occasion du soixantième anniversaire de la mort de Maurras.

    Le rappel de cette journée montre bien ce qu'était la Maison de Maurras jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'accès, ne la "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'elle comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible...

     "Avant", tout le monde pouvait aller admirer le lieu, et  nous ne nous privions pas, à l'Union Royaliste Provençale. Ces jours heureux sont, pour l'instant, révolus. Jusqu'à quand ? C'est toute la question, et la raison de notre protestation, qui ne cessera que lorsque nous aurons obtenu ce que nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

    Cette semaine - avant-dernière avant que notre Campagne de sensibilisation ne prenne une autre forme, dès le lendemain des élections municipales - nous vous présentons une conséquence directe de cette journée d'hommage du 1er septembre 2012 : Georges Bourquart, journaliste au Dauphiné libéré, nous a écrit trois jours après pour nous demander de lui faire visiter la Maison et le Jardin, et de lui présenter Charles Maurras... (IV/V)

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