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Idées, débats... - Page 347

  • Question/objection 4 : « Avec la constitution de la Cinquième République, et comme le dit M. Mélenchon, la France est déjà en « monarchie » : alors, pourquoi vouloir changer ce système ? », par Jean-Philippe Chauvin.

    2737274333.31.jpgC’est un argument que l’on entend effectivement souvent dans les rangs de la gauche radicale et chez les nostalgiques de la Troisième et, plus encore, de la Quatrième République, mais aussi chez certains conservateurs et quelques gaullistes.

    Sans doute y a-t-il dans ce propos un aspect à la fois polémique et simplificateur qui tient aux discours politiques qui se prétendent « antisystème », mais, au regard de notre définition d’une Monarchie « à la française » qui transmet la magistrature suprême d’une génération à la suivante lors de la mort du monarque par la simple formule « le roi est mort, vive le roi », la Cinquième République reste bien, qu’on le regrette ou non, une République qui se déchire dans un féroce combat des chefs à chaque élection présidentielle…

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  • Bernanos, pèlerin de l'absolu, par Frédéric Winkler.

    2737274333.34.jpgL’intellectuel imbécile : « Ceux qui m’ont déjà fait l’honneur de me lire savent que je n’ai pas l’habitude de désigner sous le nom d’imbécile les ignorants ou les simples.

    Bien au contraire.

    L’expérience m’a depuis longtemps démontré que l’imbécile n’est jamais simple, et très rarement ignorant.

    L’intellectuel devrait donc nous être, par définition, suspect ? Certainement.

    Je dis l’intellectuel, l’homme qui se donne lui-même ce titre, en raison des connaissances et des diplômes qu’il possède.

    Je ne parle évidemment pas du savant, de l'artiste ou de l'écrivain dont la vocation est de créer – pour lesquels l’intelligence n'est pas une profession, mais une vocation.

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  • Un étrange dimanche, par Gérard Leclerc.

    Que dire de l’étrange journée vécue hier ? Quelle pythonisse aurait bien pu prévoir la situation qui est la nôtre ? Un pays paralysé, une sourde crainte face à l’extension d’une pandémie qui s’est emparée de l’Europe entière alors qu’elle venait d’Asie, des fidèles privés de leur eucharistie dominicale. Et pour terminer le tableau, une journée de compétition électorale. On discutera à l’infini du bien-fondé de la décision du président de la République de maintenir le vote des municipales, alors que lui et son Premier ministre donnaient des consignes de plus en plus strictes en ce qui concerne la protection des personnes et donc la restriction maximum des occasions de rencontres et de contacts.

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  • Pandémie du Coronavirus : Et maintenant ?, par Éric Bianchi (Médecin, président de la CME.).

    Notre ami Éric Bianchi, par ses fonctions, se trouve au cœur de lutte contre la pandémie. Pour l’AF, il fait un point sur les mesures prises, sans esprit polémique , mais sans concessions non plus.

    Et maintenant qu’allons-nous faire, nous dirait le chanteur ? Nous voici arrivés dans le dur depuis jeudi soir. La fermeture des écoles annonce un nouveau processus. Que penser de ces mesures ? Tout d’abord depuis mon dernier papier la situation a évolué de manière catastrophique en Italie (Espagne ce jour) et inquiétante en France. Il n’y a pas de surprise. Nous suivons les courbes et les modèles statistiques établis dans les premiers pays infectés dont la Chine.

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  • Sur Boulevard Voltaire, « Coronavirus : les politiques et Macron jouent plus leurs intérêts personnels que le bien commun », par Guillaume Bernard.

    Vous avez écouté le discours d’Emmanuel Macron qui portait sur la gestion de la crise de cette épidémie de coronavirus. Comment avez-vous trouvé le président de la République ?

    Je réagis quelques minutes après le discours, alors qu’il faut souvent un peu de temps pour décanter. À chaud, je vous dirai deux choses. De manière générale, il a été moins ondoyant, sans doute plus efficace et un peu plus crédible qu’il ne l’est d’habitude.
    Ensuite, il a voulu inscrire à la fois la crise sanitaire et les enjeux à venir dans le temps long. Il a vraiment annoncé que la crise serait très longue, plusieurs mois. Il a voulu faire une comparaison avec la fameuse grippe espagnole. Il a dit que cette crise était la plus grave depuis un siècle. Elle venait, elle aussi, de Chine. Je rappelle que cette grippe avait fait 50 millions de morts dans le monde entier, 2,5 millions en Europe et 400.000 en France. Il a essayé de s’inscrire dans le temps long pour inscrire son propre discours dans une certaine solennité.

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  • Voilà ce que l'on sait pour l'instant sur le coronavirus, par Bayard...

    Le coronavirus SARS-Cov2, responsable de la maladie Covid-19, mute. L'ampleur de ses mutations est un enjeu d'importance.

    Tous les organismes vivants portent leur patrimoine génétique sur une longue chaîne moléculaire nommée ADN. Dans le cas de certains microbes, comme le coronavirus SARS-Cov2, l'information peut être contenue sur une autre chaîne analogue nommée ARN.

    Lorsqu'ils se reproduisent, que ce soit par reproduction sexuée (2 parents) ou parthénogénétique (un seul parent, comme chez certains insectes, reptiles, poissons, microbes ou végétaux), les individus transmettent ce patrimoine génétique.

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  • Vivre Libre ou Mourir, par Frédéric Winkler.

    Il suffit de faire croire aux individus qu'ils sont libres et ainsi les mettre dans les chaînes. Notre civilisation se meurt du bourrage de crâne médiatique du prêt à penser. Nos vies sont déjà gravement menacées par la nourriture dépourvue du nécessaire vital pour notre santé. Comment faire confiance à une société empoisonnant sa population à coup de pesticides et autres chimies sortant des mêmes laboratoires que les gaz de combat !
    Tandis que l’humus disparait progressivement de nos sols les rendant imperméable à toute vie. Redonnons au monde paysan le respect et la liberté de produire comme le faisaient leurs pères et arrêtons de les soumettre à l’esclavage du productivisme. Gilles Lartigot dans son livre EAT, nous interpelle en disant que « nous vivons dans une société toxique pour notre santé. La nourriture industrielle nous rend malade. La pollution, le stress et les produits chimiques font partie de notre quotidien. Ce sont des faits. Il est encore temps d’en réchapper… »

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  • MARTIGUES/MAISON MAURRAS : NON ASSISTANCE A MONUMENT EN DANGER !

    AUJOURD'HUI, APRES PLUSIEURS ANNEES DE FERMETURE,  1.300ème JOUR "D'ABANDON DE FAIT" DE LA BASTIDE MALGRE LE VOTE "POUDRE AUX YEUX" DU CONSEIL MUNICIPAL PROMETTANT DES TRAVAUX...

    Jamais ouverte, aérée, ventilée; jamais chauffée depuis plusieurs hivers; exposée sans aucun entretien aux intempéries et à l'humidité, ici plus qu'ailleurs, dans cette ville "bâtie non pas au bord de l'eau mais dans l'eau" (Alexandre Dumas) : tel est l'état pitoyable dans lequel la très riche Mairie de Martigues laisse la très belle bastide de Maurras, au Chemin de Paradis, l'un des deux seuls édifices civils du XVIIème siècle que possède la Ville, et que celle-ci, par sectarisme haineux, laisse littéralement, pourrir sur pied...

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  • Pierre-Marie Sève : Le tsunami pornographique, ravages et conséquences.

    Le tsunami pornographique, le comprendre et le combattre !

    Il est urgent de lutter contre un fléau qui touche toutes les classes d'âge et d'origines sociales.

    Aujourd'hui le porno est devenu un produit de consommation de masse, accessible à tous.

    Dès l'âge de 3 ans, de jeunes enfants peuvent être exposés à du contenu pornographique, des images violentes ayant le même impact sur le cerveau qu'un abus sexuel.

    20% des jeunes seraient accrocs au porno !

    Et pourtant, les signes d'espoir sont là, chacun a le devoir d'agir à son niveau.. Il en va de l'avenir de l'humanité.


  • Extrait de l'émission «Et en même temps» diffusée sur BFM : Michel Onfray fustige les médias.

  • La démocratie ne peut s’appuyer sur la peur !, par Christian Vanneste.

    La démocratie libérale, cet idéal dont la France s’éloigne chaque jour davantage, repose sur des équilibres. Le premier est celui entre la liberté individuelle et la solidarité avec la communauté qui est la base politique de la démocratie, la cité hier, la nation aujourd’hui. Cela suppose d’une part que je sois maître de ma pensée, libre de l’exprimer, suffisamment indépendant de toute puissance pour le faire sans contrainte, et que ces libertés soient garanties par le droit et par l’Etat à travers la Justice. Mais cela implique d’autre part que ma liberté de choix et d’opinion vise toujours le Bien Commun de la Cité dont je suis citoyen.

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  • Féministes, prostates et CRS, par Aristide Renou.

    Réfuter une idiotie est un des grands plaisirs de l’existence. Et lorsque cette idiotie est par surcroit toxique, nuisible, malfaisante, le plaisir est encore plus grand.

    De toutes les formes de réfutation possible, ma préférée est la réfutation en actes – la réfutation silencieuse mais sans réplique, et qui souvent échappe à celui qui est réfuté, cerise sur le gâteau de mon contentement.

    Genre, Diogène marchant de long en large devant Zénon en train de lui démontrer par A+B que le mouvement n’existe pas ; ou bien Simone de Beauvoir, la grand-mère de toutes les féministes « radicales », se conduisant comme une serpillère avec son Jean-Paul ; ou encore un adepte de Michel Foucault se précipitant chez le médecin pour faire soigner son panaris après avoir expliqué pendant des années que la médecine n’était qu’un « pouvoir » et un « discours » comme les autres.

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  • Dix ans d’expertises devant le Tribunal Pénal International pour le Rwanda, par Bernard Lugan.

    26 années après le drame, l’histoire du génocide du Rwanda n’est connue que par sa version officielle. Ecrite par les vainqueurs, elle est répétée en boucle par des médias alignés sur la doxa imposée par le régime du général Kagamé.

    Cette histoire officielle tient en trois points :

    1) Le 6 avril 1994, les « extrémistes » hutu abattirent l’avion du président hutu Habyarimana.

    2) Dans la nuit du 6 au 7 avril, ces mêmes « extrémistes » hutu firent un coup d’Etat afin de mettre en place le GIR (Gouvernement intérimaire rwandais), qui entreprit de déclencher le génocide des Tutsi, un génocide programmé de longue date.

    3) Les forces tutsi du FPR furent alors contraintes de violer le cessez-le-feu en vigueur afin de sauver les populations du massacre.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

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